• Loïc et moi, nous formons un vrai couple depuis dix ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et je prends plaisir à le sucer autant qu'à me faire sucer et enculer. Mais dernièrement, tout a basculé suite à une fanfaronnade de sa part. "Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée sans que je débande !" Prétendait-il.
    Moi, je doutais un peu. Loïc m'a limée longtemps, très longtemps, avec sa petite queue bien droite et fine, mais pas durant une heure. Total en gage, j'ai eu le droit de lui demander ce qui me plaisait.
    - Loïc, je vais t'habiller en femelle, et tu m'obéiras en tout ! Tu seras ma petite pute à queue !
    Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout, et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré un slip en dentelles sous son nez. Une fois en érection maximale, j'ai accroché le slip au bout de sa bite, pour l'humilier. "Ta queue est raide comme un portemanteau", lui ai-je dit. Alors Loïc a rougi comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités, et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour de la queue de mon homme.
    J'ai cisaillé son membre en tirant le slip par les deux bouts. Loïc gémissait et me demandait d'arrêter. "Non, tu dois m'obéir en tout! ". II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre à quatre pattes. J'ai doigté son anus, en le félicitant d’avoir une si belle croupe, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique.
    Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, Loïc couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené devant la glace, et là je l'ai peloté. II bandait si dur que mon pauvre petit slip était prêt à se déchirer. J’en revenais pas mon mec était une vraie salope.
    Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de bambou, et je lui en ai donné vingt coups sur le cul. Loïc se trémoussait, de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée, le temps de me mettre nue. "Loïc, vilain petit chien, lèche ta maîtresse !" II a dû faire le beau entre mes cuisses et me donner de grands coups de langue dans la chatte. J’étais lâchée et toute exitée…
    J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave. "Suce et lèche, petit sale, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ".
    Loïc a obéi, pour la première fois sa langue glissait dans mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé ce petit sexe en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux, alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts, et j'ai joui.
    Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée à temps pour pose ma fente sur la bouche de Loïc et lui ordonner de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé une caresse sur la joue.
    Je me prenais a fond au jeu puisque lui aussi, apparemment adorait cela… j’en rajoutais alors…
    Loïc reçu l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain, le tout en petite tenue. II était mignon, son cul moulé par mon slip de dentelle, sa queue en érection grimpant jusqu'au nombril, et ses cuisses musclées gainées de nylon. J'ai passé l'inspection, déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à l'état de soubrette.
    J’avais une terrible envie de le battre qui me faisait me mordre les lèvres, J'ai dégrafé son soutif et sucé ses tétons qui ont durci. Alors je les ai cinglés avec l'extrémité du manche, et cette fois Loïc s'est écroulé à mes pieds. II m'a supplié d'arrêter.
    Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui ai retiré son slip, j'ai retroussé son prépuce, et j'ai sucé son gland. Je titillais le méat du bout de ma langue, et puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que les couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa petite bite luisante de salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué et m'a fait jouir très fort.
    Depuis ce jour, Loïc me supplie de le travestir en femme et de le commander. II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter), et accepte même sans rechigner de se mettre au service de mes amies intimes.

    Dernièrement avec mon amie Brigitte, nous avions passé l'après midi à nous distraire avec Loïc. Il avait d'abord fait le ménage en tenue de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre. (Brigitte est une superbe blonde de 30 ans très portée sur les femmes) ensuite nous avons "inspecté" le travail effectué par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition de 50 coups de cravache. Loïc voulu discuter comme quoi c'était trop, mais Brigitte lui dit "Un mot de plus et ce sera 100 coups" il se tût immédiatement et sur mon ordre se mit en position sur "le punissoir". Il s'agit d'un tréteau assez haut au-dessus duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. Son cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet "accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit. Une fois encore nous avons eu la preuve que mon esclave était excité par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la dimension de son engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)

    Avec Brigitte nous nous sommes partagé les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Loïc au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber son cul bien zébré.

    Au cours de la discussion, Brigitte me dit soudainement "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prennes un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire." Je n'avais jamais pensé à ça jusque là, mais cette idée me fit aussitôt mouiller. Je répondis aussitôt "C'est une bonne idée que tu as là, c’est que maintenant ce n’est plus vraiment un homme."

    En tournant la tête vers le coin où Loïc était en pénitence, je lui dit de venir à mes pieds. Je n'étais pas certaine encore de vouloir risquer mon mariage (j'aime toujours beaucoup mon mari) mais alors que mon esclave arrivait vers moi à 4 pattes, la tête baissée, je vis qu'il avait recommencé à bander. Le petit salaud, il bandait alors qu'on était en train d'évoquer l'idée de le faire cocu. Brigitte ne manqua pas de remarquer cet état de fait et déclara "Et en plus ça fait bander ta lopette de savoir qu'il va être cocu."
    J’étais subjugué de voir mon mari si bas, je pensais à toutes ces années auprès de lui ou je ne soupçonnais pas ses attirances, à mes yeux il tombait bien bas, je n’avais plus de respect pour ce sous homme, une nouvelle ère s’ouvrait pour moi de liberté et de plaisir épanoui… Je m'adossais au canapé en ouvrant mes cuisses au maximum et j'ordonnais à Loïc de nettoyer ma chatte trempée à l'idée des grosses bites qui allaient bientôt la pénétrer. Sans un mot, il se mit à l'ouvrage alors que Brigitte évoquais des amis à elle très bien montés qu'elle pourrait me présenter. Je commençais à mouiller comme une fontaine sous les coups de langue de mon soumis. Brigitte se positionna derrière Loïc qui, à 4 pattes, exhibait son cul rougi et elle lui massa la rosette avec du gel avant de lui entrer un petit vibro dans le cul. Durant toute l'opération Loïc continuait son travail de léchage et j'approchais doucement de l'orgasme. Brigitte continuait durant tout ce temps à faire des commentaires salaces qui ne faisaient que m'exciter davantage : "Et puis s'il est sage ce cocu, il aura le droit de préparer ta chatte pour tes amants." Elle se mit alors à pistonner l'anus de Loïc vigoureusement tout en lui effleurant les couilles de ses ongles en continuant à m'exciter "Tu vois chérie, quand tu auras trouvé quelques amants vigoureux, ta vie sera parfaite : satisfaction sexuelle garantie et un petit toutou soumis pour t'entretenir et te faire la vie belle pendant ce temps." Au même moment j'explosais en arrosant le visage de mon esclave de mon jus et lui se répandit misérablement sur le tapis. Nous l'avons insulté de s'être laissé allé comme ça et remis au coin.

    Lorsque Brigitte fut partie, je me tournais vers lui et dit : "Tu vois puisque tu n'as pas pu tenir une heure, il va falloir que je trouve quelqu'un d'autre pour ça." Il ne dit rien et baissa la tête.
    Je compris alors que l'avenir s'annonçait bien !

    Je vous tiendrais au courant de l'évolution de la situation.


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  • Lisez les questions, si elles correspondent à des situations ou attitudes familières chez lui, notez le nombre de point correspondant fait le total des points et comparez vos résultats à la fin.

    Avez-vous de l'autorité parfois sur lui ? – 1 point
    Avez-vous un salaire supérieur au sien ? – 2 points
    Participe t- il facilement aux taches ménagères ? – 2 points
    Fait-il facilement la gestion du linge lessive, étendage, repassage ? – 1 point
    A t-il déjà lavé votre linge délicat à la main ? – 4 points

    L'avez-vous déjà insulté devant des tiers sans qu'il réplique ? - 2 points
    L'avez-vous déjà frappé par jeux ou par énervement sans qu'il réplique ? - 2 points
    Vous a t il déjà avoué une relation homosexuelle ? - 2 points
    Est il capable de trouver un homme beau ? - 1 point
    Vous a t il déjà encouragé à vous habiller sexy lorsque vous sortez ? - 2 points
    L'avez-vous ou s'est-il déjà habillé en femme avec enthousiasme pour une soirée déguisée, carnaval ou autre ? - 3 points
    Le soupçonnez-vous de jouer avec vos culottes sale ou propre bas maquillage ou autre quand vous n'êtes pas là ? - 4 points


    S'est il déjà masturbé devant vous ? – 2 points
    S'est il déjà masturbé devant vous après un rapport infructueux pour lui ? - 2 points
    S'est il déjà masturbé devant après que vous ayez repoussé ses avances ? – 4 points
    Lui avez-vous déjà donné une fessée dans vos jeux érotiques ? - 2 points
    Est ce qu'il aime vous faire des cunnilingus ? - 2 points
    Est ce qu'il aime lorsque vous lui montez dessus pour faire l'amour ? - 1 point
    Est ce qu'il aime se faire doigter ? - 2 points
    Est ce qu'il aime se faire pénétrer par des godes ou autre ? - 4 points
    Aime t il rester la tête entre vos fesses, vous a t il déjà demandé de vous asseoir sur son visage ? - 4 points

    Résultats
    De 0 à 15 points, il n'est peut être pas mûr ou bien vous ne l'avez pas encore observé sous cet angle ou testé dans ces voies-là... Faites ce qu'il faut et refaite le test un peu plus tard.

    De 15 à 30 points
    Il est mur , c'est sûr, la bête abrite une vraie lopette prête à être révélé doucement par vous. À vous de jouer pour le pousser progressivement à cette déviance naturelle chez lui...

    De 30 à 50 points
    C'est une fiotte en fait, prête à vous servir ou à servir votre amant, elle n'attend qu'un signal pour sauter le pas...Allez-y carrément et n'oubliez pas de nous raconter le jour de la révélation.



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  • Comment me trouves-tu ?
    Ma femme sort de la salle de bain en petite tenue ; un ensemble slip- soutien- gorgeque je ne lui connais pas.
    Je dis -superbe
    Et comme ça ; elle fait une pirouette sur elle-même et je me rends compte qu'en fait de slip elle porte un string qui met son petit cul en valeur

    - Ma cochonne, tu vas l'affoler ! Et disant cela je sens mon sexe se dresser aussitôt. Cela n'échappe pas au regard lubrique de ma femme d'autant plus qu'en ce jour de canicule je nesuis vêtu que d'un ample caleçon. Elle tend sa main et empoigne ma bite érigée comme une pique.
    Ca t'excite de penser que ta petite femme va se faire baiser. Vraiment tu es un beau salaud. J'essaye d'en profiter et de l'attirer à moi mais elle s'esquive et court dans sa chambre en rigolant et sous le prétexte qu'elle va être en retard. Elle s'est faite belle, fardée, pomponnée et elle craint que je ne mette en désordre la belle ordonnance.

    Elle enfile une robe légère de coton largement décolletée. Puis toute virevoltante et souriante elle me tend sa joue et court vers son amant sans le moindre remord pour moi. Je me sens seul tout d'un coup et mes sentiments sont complexes. Jalousie d'abord de l'avoir vuepartir si guillerette aller se faire baiser, troublé en même temps, songeant à ces mains, cette langue sûrement et ce sexe qui allaient tout à l'heure la fouiller. J'allume la télé pour écouter un peu les infos, mais mon esprit erre ailleurs vers la petite Twingo qui mène ma femme vers la débauche entre les bras d'un homme à peine entrevu.

    Et puis je l'imagine demain rentrant au matin souillée, suintant la sueur le sperme et ses propres jouissances et je m'impatiente à l'idée de ses longues heures qui me séparent de son retour. Moment ou je vais la renifler dans ses recoins les plus intimes, sa fente malmenée toute une nuit, peut être sa rosette déformée, ses seins triturés et sûrement souillés de sperme. Je t'aime ma petite femme chérie ! Tu as pris depuis ces nouveaux jeux une dimension toute autre. Tu te complais à me raconter ensuite tes turpitudes longuement avec moult détails. Et nos rapports sont mille fois plus riches. Pourtant il y a six mois encore tu étais la femme d'un seul homme, tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte n'avaient connu que moi. Et puis il y a eu Hunter le bien nommé. Il avait été envoyé par la maison mère américaine de la boite ou tu travailles comme analyste et c'était toi qui avais été chargée de le guider. Tu avais d'abord été séduite par son efficacité sa capacité de travail, d'analyse. Les méthodes américaines dont il usait. Tu m'enparlais le soir avec enthousiasme. J'avais une confiance absolue en toi et pas une seconde je n'ai été jaloux de votre complicité.

    Et curieusement c'est vers la fin de son séjour a Pariset comme tu avais tout soudain cessé de m'en parler que brusquement un doute affreux m'a saisi. Nous venions de nous coucher et brusquement j'ai dis. - tu ne me parles plus de Hunter ? Tu as parue surprise. -Mais si ; as-tu protesté. -Non ça fait plusieurs jours que tu ne m'en as plus parlé. J'ai martelé soudain pris d'un affreux doute - as-tu couché avec lui ? -Non je te le jure. Tu as dis cela d'une telle manière que mes doutes se sont de suite envolés. Bizarrement j'étais à la fois rassuré et pour être franc un peu déçu. J'ai insiste encore -mais pourtant je devine qu'il s'est passé quelque chose ; Je me trompe ? Un long silence a suivi puis tu as poursuivi -Il y a deux jours il a cherché à m'embrasser me disant qu'il avait une envie folle de moi. -Et tu t'es laissée faire !

    Non il m'a prise dans ses bras m'a caressée tout en cherchant ma bouche mais je me suis dérobée. Je lui ai rappelé que j'étais mariée et que d'ailleurs lui aussi l'était. Il s'est excusé mais il a persisté en disant qu'il me désirait comme jamais il n'avait désiréune femme et que d'ailleurs il sentait bien que moi aussi je n'étais pas insensible.

    J'ai serré ma femme dans mes bras et j ‘ai chuchoté -c'est vrai tu le désirais ? Tu as mis un long temps pour me répondre et curieusement j'ai senti ma bite se durcir au fur et a mesure de ton silence. Toi-même s'en t'en rendre compte tu l'as saisie, t'es lovée encore plus contre moi et les yeux levés soudain vers moi tu as chuchoté- Je crois que oui ! Puis tu as précisé -avant qu'il ne me prenne dans ses bras je n'y avais pas songé, j'étais simplement bien avec lui, j'admirais sa manière d'être, son efficacité au travail, mais quand il m'a serrée j'ai eu l'impression que la terre tournait plus vite, mon cœur c'est emballé.

    Ses mains qui parcourraient fiévreusement mon corps m'embrasaient. Pendant un instant j'ai faillis céder à ces caresses puis, je me suis reprise, j'étais soudain furieuse et de lui et de moi-même. Je l'ai repoussé avec brusquerie et je me suis dégagée. Je m'en voulais car je me sentais brûlante et que ma poitrine palpitait encore fortement. J'ai refermé les dossiers puis suis sortie du bureau. J'ai été aux toilettes me mouiller le visage ce qui m'a aidée à reprendre mes esprits. Elle s'est lovée contre moi un peu plus. J'ai dis-Tu as senti sa queue contre toi ? Tu as murmuré un « oui » timide. J'ai alors glissé ma main entre ses cuisses - Et tu mouillais comme ça ? - J'étais trempée. Sous mes doigts ta chatte était gonflée de plaisir, brûlante et toute gluante de mouille, ton clitorisexcité ondulait sous mes caresses. Nos bouches se sont mêlées dans un baiser passionné, je suis monté sur toi pour mieux te sentir, tu as glissé ta main entre nos ventres et tu m'as dis-viens prends-moi ; tout en l'insérant en toi. Jamais tu n'avais été aussi ouverte, jamais mon sexe n'avait été aussi gros. Je te sentais baveuse sous mes coups de boutoirs.

    J'aime te baiser ma chérie je suis si heureux lorsque je suis enchâssé au fond de toi, et ce soir là j'ai adoré plus que jamais. De te savoir désirée par un autre que moi te rendait plus précieuse, et c'est à ce moment je crois que nos jeux pervers sont nés. Je me coulais en toi et je ne pouvais m'empêcher de penser qu'un autre homme maintenant convoitait ta chatte si douce. Je n'étais plus le seul objet de tes pensées et ta fente depuis peu aspirait à une autre bite je le devinais. Elle rêvait de se faire bourrer par la queue de cet américain, j'en étais certain. Le plus étrange était que cette simple pensée qui aurait du me rendre fou de rage avaitune face excitante. Ce soir nos orgasmes ont été ravageurs. Je t'avais inondée de sperme, et le plaisir a été si intense que je pense que nous nous sommes endormis de suite.

    Comment ai-je pu le lendemain te laisser aller à ton travail. Tu allais vers un autre homme désormais mon rival et je n'ai rien dis. Toute la matinée je n'ai fais qu'imaginer de drôles de choses. La jalousie me mordait au cœur, et je m'en voulais de t'avoir laissée partir. Je me disais -Sûrement qu'il essaye de la peloter, de l'embrasser et je n'étais même plus confiant en toi. Vers le coup de midi j'arrivais au paroxysme de l'angoisse, j'imaginais le pire, je me disais- si ça se trouve en ce moment il caresse ses seins, ou alors il glisse une main sous sa jupe et même pire -peut être qu'elle caresse sa queue. Je me figurais des scènes torrideset j'enrageais. Comme un fou je décidais alors de t'épier.

    Il fallait que j'en ai le cœur net. Je savais que régulièrement après le repas pris à la cantine de l'entreprise tu avais l'habitude d'aller prendre ton café au bistro du coin avec plusieurs de tes collègues. Je me rendis comme un fou là où tu travaillais etme postais à une courte distance du troquet. Derrière une colonne Morris bienvenue, je contrôlais à la fois la sortie de son travail et l'entrée du bistro. Bon sang comme le temps parait long dans ce genre de situation. Je commençais à désespérer de la voir sortir quand soudain je vous ai aperçus tous les deux bras dessus bras dessous. Vous discutiez de manière enjouée. Je connais ma femme, et elle avait l'allure des jours heureux. Quand elle se meut de cette manière c'est qu'elle se sent bien et en l'occurrence visiblement elle s'accrochait au bras de Hunter avec bonheur. Un instant j'ai failli intervenir, m'interposer, mais j'ai eu peur de la réaction de mon épouse

    Et après tout il ne se passait rien de compromettant pour elle. Je tentais de me résonner en me disant qu'une femme peu bien tenir le bras d'un collègue sans prêter à mal. Puis je me rassurais quand les épiant jusqu'au bout je dus me rendre à l'évidence qu'à part cela je n'avais rien à reprocher à mon épouse. Pourtant rentré à mon bureau je me rendais compte tout soudain que quelque part j'avais été déçu de n'avoir rien constaté de compromettant. En m'analysant honnêtement je devais admettre que j'avais été déçu de la sagesse de ma femme. Au fond j'avais espéré la voir dans les bras de l'Américain peut être s'embrassant ou plus se caressant. Et puis à nouveau je m'inquiétais me disant que sûrement ils avaient joué la prudence etmaintenant entre les quatre murs de leur bureau il devait peut-être se l'enfiler et à cette simple évocation je me sentis devenir dur, ma queue soudain à l'étroit dans mon pantalon. Je me disais- sûrement qu'en ce moment elle suce sa grosse bite et ça faisait du bien a la mienne. Mon travail s'en est ressenti ce jour-là et les autres ensuite d'ailleurs. Je n'ai rien dit à ma femme de mes excursions du midi. Et le soir au lit je la prenais avec frénésie l'imaginant la bouche pleine de son amant la chatte éclatée de son gros chibre.

    Ainsi jusqu'au dernier soir j'ai vécu la tête pleine de ces sentiments tellement contradictoires ; une folle jalousie et en même temps cette excitation à l'imaginer adultère.
    Nous étions donc vendredi soir et lorsque je suis entré du travail le soir j'ai tout de suite compris que quelque chose n'allait pas. Le visage de ma femme était sombre elle avait perdu son somptueux sourire, j'avais du mal à lui soutirer deux mots.
    J'ai dis- ça va pas ?
    Tu as été dans la cuisine pour éluder ma question
    Je t'ai suivie et comme j'insistais tu t'es emportée ce qui n'est pas dans tes habitudes.
    J'ai pose délicatement ma main sur ta nuque comme pour t'apaiser

    - Confis-toi à ton mari !
    Alors tu as pleuré, blottie contre moi tu t'es laissée aller à déverser ton gros chagrin. Tu as dis Hunter part demain

    - Et tu es malheureuse ?
    - Oui
    - Depuis quand tu couches avec lui ?
    Tu t'es révoltée - je n'ai pas couché avec lui

    - Alors que s'est il passé ?
    - Cet après midi il m'a prise soudain dans ses bras et là j'ai perdu la tête, je lui ai rendu ses baisers, ses caresses, j ai laissé sa main se glisser sous ma jupe, j'ai écarté les cuisses pour faciliter son passage vers ma chatte en feu, j'ai caressé sa queue par-dessus son pantalon pendant que ses doigts s'enfonçaient dans mes chairs.
    Tu es restée un moment silencieuse.
    J'ai insisté - et alors ?
    Ses pleurs ont redoublés.

    - Alors il m'a faite me pencher sur le bureau, il a retroussé ma culotte, j'étais prête à me donner à lui, j'ai senti son sexe effleurer mes chairs quand soudain nous avons entendu des pas. J 'ai juste eu le temps derabattre ma jupe. La secrétaire nous a annoncé que le patron demandait à nous voir, elle avait un drôle d'air comme si elle avait senti qu'il s'était passé quelque chose. Surprise! Le Big Boss avait organisé un pot pour nous féliciter du bon travail et pour regretter le départ de Hunter.
    J'ai demandé -Et après le travail ?

    - Rien ! Nous n'avons pas pu nous trouver seuls le moindre instant, et de plus à la fin le patron et lui sont sortis sans que nous puissions échanger le moindre mot.
    J'étais atterré par ces confidences, elle a du le sentir car retournant son visage elle a dit :
    - Tu dois m'en vouloir beaucoup !
    Et bien curieusement je ne lui en voulais pas. Elle a poursuivi ; par la suite il m'a appelée sur mon portable, il avait réussi à se débarrasser du patron et me demandait de le rejoindre.

    - Alors ?
    J'ai répondu que ce n'était pas possible, qu'en fin de compte heureusement que nous avions été interrompus et que je lui souhaitais bon retour aux States.
    J'ai vu quelle était bien malheureuse, et du fond du cœur j'ai crié - tu es folle ! tu aurais du accepter
    Elle a paru ne pas comprendre. C'est toi qui me dis ça ?

    - Oui c'est moi et tu vas lui téléphoner de suite pour lui dire que tu le rejoins.
    - Tu deviens fou ! Toi mon mari me demander de rejoindre un autre homme !
    - Oui ! Moi ton mariparce que je t'aime et que j'ai peur de vivre avec une femme qui aurait des souvenirs et des regrets dans la tête. Je t'ai tendu le combiné du téléphone -Vas-y ! Téléphone-lui !
    Tu as hésité J'ai insisté -Vas-y téléphone avant que je ne le regrette, et d'ailleurs je vois bien que tu en meurs d'envie. Alors tu t'es jetée dans mes bras en m'embrassant follement
    Tu as dis -tu ne le regretteras pas c'est sur ?

    - Je ne t'en voudrais pas mais j'y ajoute une condition ; c'est qu'au retour tu me racontes tout dans les détailset que........ tu ne te laves pas en rentrant le lendemain que je te hume au retour de l'amour
    Tu as parue abasourdie. - Que je te raconte tout et que je ne me lave pas ?

    - Oui
    - Tu deviens vicieux !
    - Oui je crois. Alors d'accord ? et je t'ai tendu le combiné téléphonique
    En manière d'acquiescement tu as composé son numéro. J'avais le cœur qui battait à cent à l'heure. Tu t'exprimais en anglais et malgré mon peu de maîtrise de cette langue j'ai compris que tu te proposais de le rejoindre. Puis tu t'es retournée vers moi ; -Toujours d'accord ?
    J'ai fais oui de la tête. Alors t'exprimant en français tu lui as dis - à tout de suite !

    Nous sommes restés un long moment à nous observer sans la moindre parole puis d'une tapette je T'ai encouragée. J'ai dis -allez vas vite te faire belle. A partir de là les choses ont été vite comme aujourd'hui tu t'es douchée et parfumée fardée tu as revêtu tes plus beaux dessous, une robe noire et comme il faisait très froid ce jour tu as enfilé par dessus ton manteau de vison. Tu étais superbe. Et comme ce soir tu as volé vers la débauche, vers un amant me laissant seul excité et frustré. Comme les heures peuvent paraître longues a certains moments de l'existence ! Ainsi que ce soir j'avais essayé d'occuper mon esprit passant de la télé a la lecture d'un bouquin. Mais je ne pouvais m'empêcher de vous imaginer des scènes torrides entre toi et ton amant. J'éprouvais un plaisir morbide à vous deviner dans des situations obscènes. Je souffrais mais j'aimais ça à la fois. Je me disais - En ce moment elle doit être nue sur son lit cuisses écartées et sûrement qu'il doit lui manger le minou. Je connais bien ma femme elle adore se faire brouter et elle devait être fondante de mouille sous sa langue, il doit avoir enfoncé ses doigts bien au fond de sa chatte et elle doit onduler sous ces caresses. Ou alors c'était comme si je la voyais la bouche pleine de son gros chibre.

    Plus tard j'ai essayé de dîner mais les bouchées ne passaient pas. Pour être franc je me masturbais à l'imaginer la fente pleine de son gros sexe. Ce fut une nuit délicieuse de perversité que d'imaginer ma femme adorée entre les bras d'un autre. Là en ce moment évoquant la première nuit adultère de mon épouse je connais la même excitation, la même impatience. La retrouver demain toute souillée, toute odorante des ces parfums d'amour, de sexe, la mine fatiguée de s'être tant donnée, un peu honteuse malgrétout mais cependant l'œil un peu provocateur. Semblant m'annoncer ainsi sa nouvelle toute puissance de femme libérée.

    En écrivant ces pages je tache de davantage tuer le temps qui me sépare de sa venue. Il y a six mois je m'étais épuisé à essayer de trouver le sommeil jusqu'à ce qu'à l'aube presque vaincu de fatigue je m'étais endormi. Et c'est le bruit de ces clefs ouvrant la porte qui m'avait réveillé. Il était 8 heures passées. Bon sang dans quel état elle rentrait ! Crevée, fanée, sans force presque. -J'ai dit-« Alors ! »

    - Je suis morte de fatigue !
    - Il t'a bien baisée !
    - Il m'a tuée !
    J'ai essayé de la prendre dans mes bras, mais elle m'a repoussé

    - Non s'il te plait je suis lasse, prépare-moi plutôt un bain.
    - Tu as oublié nos conventions, je te veux suintante d'amour. Je l'ai portée dans notre chambre et là affalée surle lit, je l'ai déshabillée. Il s'exhalait de tout ton corps une odeur troublante de sueur d'amouret de sexe, de sperme et de mouille, un cocktail affolantqui m'enivrait, m'affolait et me donnait l'envie brusque de la prendre ainsi dans ses souillures. J'en ai profité pour glisser un doit entre les lèvres de sa chatte. Elles étaient poisseuses. Elle s'est plainte !

    - « Laisse-moi s'il te plait, je suis vannée, j'ai besoin de dormir. Elle s'est glissée sous les draps et en un clin d'œil s'est endormie. J'étais profondément déçu, je devais attendre encore avant de savoir. Il ne me restait plus que le loisir de la contempler dans son sommeil. Je remarquais ses traits tirés ; combien de fois lui avait-il fait l'amour ? J'ai profité de sa torpeur pour la humer dans ses recoins les plus intimes, j'ai écarté ses fesses et j'ai constaté à l'état de sa rosette irritée et quelque peu défoncée, qu'il avait su l'honorer par cette voie là aussi. Bon sang comme elle était belle ainsi souillée ! Je me suis collé contre son corps, j'ai glissé ma queue tendue contre ses fesses. Elles étaient brûlantes, elle a geint un peu dans son sommeil mais j'ai vite atteins l'entrée humide de son vagin. Quel bonheur que de ressentir du bout du sexe la chaude moiteur du sexe de sa femme chérie ! Surtout quel piment que d'imaginer que quelques instants auparavant un autre chibre s'est aussi infiltré de la même manière dans cet antre de plaisir ! Hélas dans l'état d'excitation où je me trouvais j'ai vite éjaculé surajoutant par la même mon spermea celui de mon rival ! Je me retrouvais bête et déçu puis sevré de sommeil comme je l'étais j'ai vite sombré dans le néant tout contre elle. Il faisait bien jour quand je me suis réveillé. Une bonne odeur de cuisine avait du chatouiller mes narines et me tirer de mon sommeil. Je retrouvais ma femme dans la cuisine à ses fourneaux en train de préparer de délicieux spaghettis à la bolognaise. Encore toute nue ! Je dis-« bonjour» !

    - Bonjour chéri ! Elle avait une mine comme ravie de me revoir -Bien dormi ?
    Je me suis rapproche d'elle pour l'embrasser dans le cou, les mains un peu baladeuses !
    Elle me tendit sa bouche, nos langues se mêlèrent un peu. Je la humais en même temps.
    Elle éclata de rire -non je ne me suis pas lavée comme tu le crains, suis encore toute poisseuse de sperme. Cà va tu es content comme ça ! Elle semblait heureuse de nos retrouvailles, se faisant câline, et caressante et elle flattât d'une main douce ma bite toute droite déjà. J'en profitais pour lisser un doigt dans sa chatte gluante et dans le mouvement essayais de l'entraîner dans la chambre à coucher. -Allez viens racontes moi tout !

    - Non je meurs de faim et les spaghettis n'attendent pas !
    Nous nous sommes installés à table, je la regardais avec amour. Dans un premier temps nous avons mangé en silence puis c'est elle qui a parlé la première mettant fin à mon impatience.

    - D'abord mon chérije voudrais te remercier pour ta largeur d'esprit ! Hier soir j'étais très malheureuse et frustrée d'avoir quitté Hunter ainsi. J'avais le cœur brisé et tu as su le comprendre. Maintenant je peux te le dire mais j'avais une envie folle de sa bouche, ses bras, sa peau sa.... Bite j'ose le dire. Et quand tu m'as proposé de le rejoindre, j'ai cru rêver. Elle s'interromput un moment.
    - Je ne te choque pas en te parlant si crûment ? Vous pensez si elle me choquait en fait à ses paroles je sentais ma queue se dresser. J'ai dit - rassures toi ma chérie au contraire même ça m'excite.
    Elle observa un moment puis poursuivit.

    - Quand je l'ai retrouvé dans sa chambre d'hôtel je me suis jetée contre lui avec fièvre !
    - Il m'a serrée contre lui avec force puis m'a poussée sur le lit tout proche. Il m'a déshabillée avec impatience.
    - J'ai dis -toute nue ?
    - Oui en un tour de main nous nous sommes retrouvés nus l'un contre l'autre à nous caresser à nous embrasser. Il était sur moi et je sentais son sexe battre contre mon ventre.
    - Comment était il ? Je posais cette question avec anxiété.
    - Enorme, bien plus long et plus épais que le tien si c'est ce que tu espères savoir !
    Je me suis senti vexé et jaloux mais curieusement heureux à la pensée d'un énorme chibre coulé dans sa chatte.
    J'ai dit - terminons vite de manger puis allons vite dans notre chambre.
    A partir de là nous avons mis les bouchées doubles puis je l'ai amenée avec impatience sur notre lit conjugal

    Je me suis penché sur elle avec un amour immense, me suis glisséentre ses cuisses pour humer les senteurs de sa fente souillée.
    Bon sang comme sa chatte était excitante, je la reniflais, ce qu'elle sentait fort, suintante de mouille et du sperme de son amant.
    Comme j'avançais ma bouche pour la lécher elle tenta de m'arrêter sans doute gênée par le parfum trouble qui s'en dégageait. La situation devait cependant la troubler car son minou était luisant de mouille. Je repoussais gentiment la main qui tentait de me contenir et d'un coup de langue rapide je lapais les chaires roses. Quel goût ! Pour être franc un peu fort et trop odorant de prime abord. Mais je surmontais le premier haut le cœur et vite je m'excitais à la lécher avec gourmandise, songeant qu'un autre s'était penché là-dessus, l'avait fouilléede sa langue, ses doigts, sa bite énorme aux dires de ma femme. Déjà ma femme geignait.
    J ai dit- « Il te mangeait comme ça ? »

    - Ouiiiiiiii ! Continues ! Lèche son sperme mon chéri, mange la petite chatte de ta salope de femme qui s'est bien faite baiser !
    - Tu n'as pas honte de me parler comme ça
    - Non, tu l'as voulu, tu m'as poussée à m'offrir à un autre, je veux te faire sentir ta condition de cocu maintenant, j'adore çà et puis cesse de parler et lèche-moi ! Lèches le foutre du vrai mâle !
    Ce qui est curieux, c'est que ses insultes m'excitaient davantage. Je me suis rué sur son con malodorant avec encore plus de frénésie, lui léchant au passage son anus défoncé visiblement.
    Elle a crié – Oh oui ! Lèche bien mon petit trou, ça fait du bien il m'a tellement forcée par-là. J'ai enfoncé un doigt sans beaucoup avoir à forcer dans sa rosette suintante, puis deux.
    Elle ondulait dessus.

    - Oh oui, c'est bon !!!
    Je ne reconnaissais plus mon épouse ! Si dévergondée soudainement ! Et j'en étais ravi.
    Ma pine gonflée allait exploser. J'ai pris alors sa bouche puis j'ai présenté ma queue à l'orée de son vagin. Je m'y suis introduit sans précaution comme pour me venger de cette chatte infidèle.
    Ma pine était énorme d'excitation, à la pensée surtout qu'une autre plus grande et plus grosse l'avait fouillée. Elle a poussé un cri qui tenait de la douleur et du plaisir. Bon sang que j'aime quand je la baise ainsi, que j'adore me sentir au fond de son trou chaud et moelleux. Elle était baveuse de mouille ma chatte gourmande !

    - Salope tu aimes bien çà, hein, la bite !
    J'ondulais dans son ventre, j'allais venais et c'était trop bon. Je l'ai limée un bon moment comme ça, puis à un moment je l'ai retournée pour la prendre à quatre pattes.

    - Hé comme ça, il t'a prise ?
    - Oui comme une chienne et c'était trop bon !
    J'ai bien agrippé ses hanches, pour la fourrer comme un forcené.
    Quel magnifique spectacle que son cul cambré offert ainsi à mes assauts, ses grosses lèvres écartelées .Comme son amant avait du se régaler aussi de cette vision somptueuse !
    J'ai claqué ses fesses tout en l'insultant la traitant de cochonne de sale pute infidèle.

    - Tu m'as trompé salope hein ?
    - Ouiiii mon cocu chéri ! Elle était grosse et dure sa bite, il m'a défoncée ! Vas-y encore plus fort !
    Elle hurlait et geignait sous mes coups de plus en plus rapides ! Et soudain un énorme orgasme l'a secouée, je l'ai sentie s'échapper d'entre mes mains au moment même où je me déversais dans son vagin. Nous nous sommes effondrés sans force corps contre corps comme deux masses inertes et repues de plaisir. Cette matinée de samedi a été un moment mémorable de notre vie de couple. Sa franchise a été totale. Cà l'excitait de retracer dans les moindres détails sa nuit de débauche et immanquablement ma queue se redressait d'excitation et nous faisions alors l'amour avec une fougue toute nouvelle.
    Les jours et les semaines qui ont suivi ont été des heures d'orgies. Plus elle retraçait les détails scabreux de sa nuit de folie plus cela nous enflammait. Je ne me lassais pas de l'écouter me narrer sa nuit de folie et elle prenait plaisir me semble t il a enrajouter et quelque part à m'humilier !
    Maintenant le terme de cocu fleurissait couramment de sa bouche.

    Elle disait par exemple- « viens lécher la chatte de ta petite femme mon cocu chéri ! » Ou alors –«qu'est ce que j'aimais sa grosse bite » cherchant par-là à me diminuer. Et curieusement c'était là des paroles qui sonnaient bon à mes oreilles tant je prenais du plaisir à me sentir rabaissé.
    Une dizaine de jours plus tard notre excitation s'est amplifiée lorsque Hunter lui a téléphoné.
    Il devait faire escale à Londres pour une nuit«est ce qu'elle pouvait le rejoindre, il mourait d'envie d'elle ». Sans me consulter elle avait accepté ; et le soir à mon retour de travail lorsque j'avais appris la nouvelle, j'avais de suite senti ma queue se durcir dans mon slip. Pendant la semaine qui nous séparait de son départ pour Londres notre folie de sexe a atteint un point de jouissance incroyable.

    Elle se faisait une joie de ses retrouvailles d'avec son amant et moi à nouveau je rêvais de nouveaux récits de sa future nuit de débauche. Je lui faisais l'amour tout en imaginant un autre, là à ma place entre ses cuisses. Hélas un nouveau coup de fil de Hunter nous douchait tous les deux ; son escale d'une nuit à Londres était annulée. Le coup a été dur pour ma chérie qui se faisait un tel plaisir de sa nuit adultère, et je pense plus douloureux encore pour moi qui m'étais fait une telle joie à l'idée d'être à nouveau cocu. La déception a été telle que durant quelques jours nous sommes restés même sans faire l'amour. Une obsession qui en venait même à friser la folie me la faisait toujours imaginer se faisant bourrer par un autre. Un soir n'y tenant plus j ‘ai dit « Enfin il n'y a pas que Hunter, sûrement que d'autres hommes te font la cour en ce moment !
    A ma grande surprise tu t'es jetée dans mes bras me couvrant de baisers !

    - « Comme tu es merveilleux mon chéri, je n'osais pas t'en parler mais depuis quelque temps mon prof de comédie me fait une drague d'enfer ! Chaque fois qu'il reprend mes mouvements il enprofite pour m'effleurer, quelquefois même me tripoter. J'ai dis –« Il te plait ? »
    - Oh oui il est très mignon et justement il voulait ce soir que je le rejoigne pour finir de mettre au point mon jeu dans la pièce que nous répétons !
    - Et pourquoi ne m'en as tu pas parlé plus tôt ?
    Je n'arrivais pas à me décider ! Tu as tendu ta main vers le combiné téléphonique.

    - Tu es d'accord ?
    J'ai dit oui ,mais tu te rappelles nos conditions ?

    - Oui ne pas me doucher et te revenir la chatte encore pleine de sperme ! Mon cochon de mari ! Puis tu m'as tendu tes lèvres de miel et tu as tâté de ma queue pour te rendre compte comme j'étais excité. Après les choses ont été rapides. Vite douchée, fardée, habillée tu m'as laissé seul sans remords à tes nouveaux jeux, toi impatiente soudain et moi en transes avec dans la tête mille images perverses. Comme pour la première fois j'ai essaye de fixer mon attention dans des émissions télé mais très vite mon esprit à vagabonder.

    J'ai imaginé son arrivée chez son prof, les scènes de la pièce a répéter, avec ses mains d'homme baladeuses sur le corps consentant de ma femme, puis cette longue glissade vers le plaisir qui allait les unir. Ce qu'il y avait de mieux cette fois c'est que ce nouvel amant elle pourrait le rencontrer souvent m'offrant ainsi a chaque fois sa chatte souillée, et puis une chose que j'imaginais troublante c'était d'avoir par la suite à le rencontrer en cocu que j'étais maintenant. Plus tard je me suis assoupis devant la télé et c'est le bruit des clefs sur la porte qui m'a réveillé. J'ai regardé l'heure à ma montre poignet, il n'était pas même encore minuit. Je te connais ma femme ; tu n'avais pas l'air de bonne humeur. J'ai dit

    - Qu'est ce qui t'arrive, déjà de retour ? Vous n'avez pas fait l'amour ? Tu as fondu en larmes.
    - Si m'est c'est un piètre amant ! Il éjaculait trop vite.
    - Allez viens racontes moi !
    - Nous avons été au lit, tu t'es blottie contre moi toute petite toute malheureuse. Tout avait bien commencé pourtant. Il avait fait mine de te faire mieux prendre conscience de ton rôle avec comme à son habitude depuis quelque temps, de t'effleurer, puis il t'avait embrassée, entraînée vers un large fauteuil. Vous vous étiez longuement caressés, lui glissant ses doigts dans ta chatte déjà baveuse et toi empoignant sa bite par-dessus l'étoffe de son pantalon. Avec impatience tu l'avais extirpé du slip pour le porter à ta bouche. Et c ‘est la que les choses se sont gâtées.

    - A peine je l'avais léché qu'il est parti. Son sperme a giclé sur mes lèvres et mon visage. Tu ne peux pas savoir comme j'étais déçue moi qui avait envie de la sentir palpiter dans ma bouche. Il s'est excusé le pauvre. Il y avait si longtemps qu'il me désirait qu'il n'avait pas réussi à se contenir. Pour se faire pardonner il a glissé entre mes cuisses pour me donner du plaisir. Il a enlevé ma culotte et m'a léchée longuement mais je ne sais si c'était du à mon énervement ou à de la maladresse de sa part je n'arrivais pas à avoir vraiment du plaisir. Alors comme je m'étais rendu compte qu'à nouveau il était en érection je l'ai attiré vers moi en lui disant

    - Prends-moi ! Eh bien figure-toi qu'à peine rentré en moi à nouveau il est parti. J'étais folle de rage, je me suis rhabillée et suis partie.
    - Ma pauvre chérie,quel vilain goujat ! Mais alors si je comprends bien tu es encore toute pleine de sperme ? J'ai mis ma main entre ses cuisses ; elle était gluante. Elle devait avoir été très frustrée car je l'ai sentie se cabrer sous mes doigts !

    - J'ai glisse entre ses cuisses pour me repaître de ses effluves !
    Bon sang elle était baveuse de sperme et ce soir j ‘ai su calmer ses tensions j'ai adoré la sentir jouir dans mes bras et sous les coups redoublés de ma bite en feu.
    A la suite de cette déceptionnous n'avons plus évoques ce genre de jeux. Moi j'y pensais à chaque fois que nous faisions l'amour.
    Les mois passaient et il nous arrivait certes quelquefois d'évoquer sa nuit avec Hunter mais sans aller plus loin. Et puis avant hier en rentrant du travail je l'ai sentie gênée, comme ayant quelque chose à me demander mais n'osant pas le faire.
    Elle s'était faite draguer par un type drôlement beau et très sympa, il lui avait laissé son numéro de portable.
    Et là je l'attends avec impatience. Sûrement que cet amant s'est révélé être à la hauteur car là, en ce moment ou j'écris ces lignes il est près de 7 heures du matin. Elle vient de m'envoyer un coup de fil.

    - « Ne t'inquiètes pas, tout c'est bien passé, suis en route, j'arrive bises.
    Je vous laisse donc car j'ai l'impression, au ton de sa voix qu'elle s'est bien faite défoncer.
    Elle va sûrement rentrer défraîchie et suintante de sperme




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  • Ma relation avec Maria avait débuté normalement. Nous étions sortis
    ensemble longtemps avant d'avoir des relations sexuelles. Maria était issue
    d'une famille d'origine mexicaine. Elle était extrêmement belle, avec de
    longs cheveux noirs, des yeux noirs, mutins. Elle était fine, et plus
    grande que moi d'environ 10 cm. Je ne suis pas athlétique et Maria était,
    naturellement plus forte et puissante que moi.


    Lorsque nous fûmes intimes, Maria dévoila son coté autoritaire au lit et
    son coté insatiable. Elle n'en avait jamais assez. Dès que nous rentrions
    chez elle, elle me déshabillait et commençait à caresser mon sexe de 12 cm.
    Elle s'appropriait mes couilles, les malaxant et les étirant. Puis elle
    enfouissait ma tête entre ses jambes, seule manière pour moi de la
    satisfaire. Elle s'agrippait à mes cheveux, et souvent elle me demandait de
    mieux m'y prendre et d'y mettre plus d'entrain.


    Nous, nous allongions ensuite sur le lit, et là elle devenait vraiment
    agressive.

    Je veux plus de sexe ! Se lamentait-elle, et elle saisissait mes bourses.

    Elle tirait sur mon gland, agrippait mes couilles et faisait rouler entre
    ses doigts mes testicules, les écrasant, sans pitié, jusqu'à ce que je crie
    de douleur.


    Un soir, je saisis son poignet pour qu'elle arrête de me faire mal. Elle
    bondit alors sur moi, saisissant ma verge, et commença à lutter avec moi.
    Je me prêtais au jeu, et après m'avoir immobilisé facilement, elle commença
    à claquer mes couilles avec la paume de sa main. Elle me laissa reprendre
    mon souffle, j'étais irrité, et je lui écrasais sa magnifique poitrine. Son
    sourire dominateur disparu et elle m'envoya un terrible coup de genou dans
    mes noisettes. Je criais, tentant de lui échapper et roulé en boule dans un
    coin du lit, évitant de lui montrer les larmes qui coulaient sur mon
    visage. Elle bondit sur moi et vint placer son sexe sur ma bouche en
    m'insultant.

    Leche, puisqu'il n'y a que cela que tu saches faire !


    Nous luttions régulièrement, après que je n'ai pu la satisfaire
    sexuellement. J'évitais de toucher à ses seins pour ne pas la contrarier,
    par peur de sa force et des sévices qui serait, immanquablement, survenu.


    A présent, à chaque combat, elle s'emparait des mes testicules, qu'elle
    écrasait méticuleusement jusqu'à ce que je l'implore d'arrêter. Elle avait
    pour habitude de tenir fermement mes couilles, et de frapper de son autre
    main, poing fermé, ma virilité ainsi offerte à sa fureur. Elle adorait me
    faire pleurer, ce qui la faisait toujours rire et elle me sortait des
    remarques désobligeantes du style, petite bite, micro pénis, noisettes de
    bébé, impuissant ou couilles molles.

    Tu n'es pas un vrai homme, Mark, alors qu'elle me conduisait, un jour,
    vers la douche en tirant sur mes bourses.

    Sa main soupesait mes couilles,

    Tu es monté comme une petite souris. C'est les plus petites couilles que je
    n'ai jamais vues. Comment espères-tu me satisfaire avec ça ?

    Elle continuait à malaxer mon sexe, je me laissais faire, résigné. Elle me
    dit qu'elle avait envie de me castrer. Je souriais, bêtement, sans
    comprendre qu'elle ne plaisantait pas.


    Le lendemain, tandis que ma langue s'activer entre ses cuisses, elle me
    dit :

    Tu sais j'ai déjà castré un homme, avant toi !

    Je la regardais, surpris de voir un sourire sadique sur son visage.

    Tu mens, dis-je avec une boule d'angoisse dans la gorge.

    Couches toi sur le dos ! Ordonna-t-elle avant de disparaître dans la
    cuisine.

    En revenant, elle arborait un large sourire, si belle nue, elle était
    rayonnante. Elle se plaçât sur le haut de mon corps nu, ses énormes seins
    écrasant ma poitrine. Elle posa ses lèvres sur les miennes et m'embrassa. .
    Puis elle me força à ouvrir la bouche. Elle me montra deux boules, qu'elle
    introduisit dans ma bouche.

    Et ce que tu as dans ta bouche, c'est quoi ? Les testicules de
    Jonathan ! ! ! !

    J'eus un haut le corps, imaginant Jonathan se promener dans la rue, brisé
    et privé de sa virilité. J'étais, à présent, totalement horrifié.

    Elles sont plus grosses que les tiennes, n'est-ce pas.

    J'acquiesçais de la tête, passant ma langue sur les deux grosses boules,
    sachant qu'elle avait raison. Je pleurais. Je sentis l'une de ses mains
    s'emparer de mes couilles.

    Je m'ennuyais avec Jonathan, il avait une grosse queue, mais il était
    incompétent, sa langue ne savait pas me satisfaire. Alors je l'ai quitté,
    il m'a laissé ses testicules en souvenir !

    Elle serra fermement mes couilles, et je sentis mon corps se raidir.

    Tu es bien tendre, ma femmelette chérie.

    Une seule de ses mains suffisait à contenir totalement mes couilles. Elle
    se leva et se dirigea vers la salle de bain. Lorsqu'elle revint, elle
    portait un énorme gode ceinture. A coté, mon sexe paraissait minuscule.
    Elle me fit mettre à quatre pattes et s'agenouilla derrière moi. Elle
    saisit l'un des testicules dans ma bouche, elle rigolait. Je sentis l'un de
    ses doigts dilater mon anus, et plonger dans mon fondement. D'abord un
    doigt, puis deux, puis trois forcèrent le passage. Ensuite, je sentis
    qu'elle introduisait dans mon cul le testicule de Jonathan, elle le poussa
    le plus loin possible avec ses doigts puis introduisit le gode qui poussa
    encore plus loin la boule. Elle faisait cela sans se souciait de ma
    douleur. J'etais certain que mon rectum devait saigner. Je retenais mes
    cris.

    Pauvre garçon, essaie au moins une fois de te comporter en homme. Mais tu
    préfères, j'en suis sure être ma femelle.

    Elle poursuivait son va et vient avec acharnement, violemment, mais avec
    facilité, elle agrippa mes noisettes.

    Comment veux-tu être un homme avec ça, dit-elle méchamment. Ni une jeune
    fille, ni même ma grand-mère, n'en voudrait. Tu es incapable de satisfaire
    une femme !

    Elle serra violemment mes couilles, je ressentis la douleur jusque dans ma
    poitrine. Je criais, et expulsais le testicule de ma bouche, qui roula à
    deux mètres de nous. Je l'implorais d'arrêter le massacre. Elle cessa de me
    ramoner, en rigolant, et me retourna m'invitant à m'asseoir. Elle vint
    s'asseoir sur mes cuisses, pointant son pénis artificiel vers mon sexe
    flasque, si petit. Je sentais le testicule de Jonathan au plus profond de
    moi. Ses seins caressaient ma poitrine, elle se releva et disparu à nouveau
    à la salle de bain. Elle revint avec un gant de toilette, chaud et humide,
    elle nettoya mes couilles, gentiment, avec amour. Cela me fit le plus grand
    bien, et je commençais à avoir une érection sous l'action du massage de sa
    main.

    Ma petite bite qui ne grandira jamais, ma si petite bite de souris...

    Elle decallota mon gland, se pencha et déposa un petit baiser sur le bout.
    Sa main serra tendrement mes couilles, elle passa un doigt sur mon anus.
    Mon sexe était dur. J'étais sa chose sexuelle, sa prochaine victime. Je ne
    pouvais, ni ne voulais, résister.

    Regarde, Mark.

    Je relevais la tête, Maria brandissait une grosse paire de ciseau.

    Je vais t'émasculer, mon chéri ! Dit-elle d'un ton froid et dur.

    Non, Maria, l'implorais-je, NON ! S'il te plait, S'il te plait, S'il te
    plait...

    Elle brandit les ciseaux devant mon visage et les referma brusquement. Elle
    le fit plusieurs fois, éclatant de rire en voyant mon visage horrifié.

    Ce soir, tu vas cesser d'être un homme, Mark ! Clip, clip ! Plus de
    testicules, plus d'homme !

    Elle posa les ciseaux sur mes lèvres.

    Embrasse-les, ordonna-t-elle.

    J'obéissais aussitôt, espérant sa clémence. Elle n'avait aucune pitié. Elle
    descendit les ciseaux, son autre main serrait fortement mes bourses, les
    tirant le plus possible en avant. Je gémissais, me laissant faire, résigné.
    Maria le savait.

    Tu m'adoreras pour toujours, Mark, comme celle qui t'a émasculé, celle qui
    t'a castré, celle qui ne veut plus que tu sois un homme ! Regarde Mark !

    Elle posa les ciseaux sur mes bourses, enfonçant les pointes dans chaque
    testicule, les blessant. Elle redressa mon pénis qui la gênait, et nota
    qu'il était toujours en érection.

    S'il te plait, Maria...

    Quoi, Mark ? Tu as envie d'être castré, ta petite queue parle pour toi. Tu
    n'as plus besoin des tes couilles, tu n'as jamais su t'en servir, et il me
    restera ta langue, pour MON plaisir. Et puis tes couilles te font du mal,
    non ?

    Non, dis bêtement.

    Non ? Que dis-tu de cela ?

    Elle posa les ciseaux, et d'un coup de poing parfait, elle frappa mes
    testicules. Mon bas ventre fut envahit par une douleur intense. Je lui
    avais donné l'occasion de m'anéantir totalement. Un second coup me fit
    trembler dans tout mon corps.

    Tu vois, tu ne ressentiras plus de telle douleur !

    Elle reprit les ciseaux et tapota sur mes couilles comme avec une petite
    batte.

    Regarde-moi, Mark.

    Je lui obéissais tremblant de peur et vis à travers mes larmes la beauté de
    mon bourreau.

    Dis adieu, à tes testicules, Mark ! Allez ! Dis : Adieu ma virilité, je
    veux être ton eunuque. Dis-le !

    Elle posa le métal froid des ciseaux sur mes bourses. Je dis d'une voix
    brisée :

    Adieu ma virilité, je veux être ton eunuque, Maria.

    Bien ma femmelette chérie, regarde tes couilles.

    Je pleurais et baissais la tête. Maria rigolait. Je vis les ciseaux se
    refermer sur mes couilles. Mes testicules étaient sectionnés !


    Ma vie a changé, je passe des heures entre les cuisses de Maria pour son
    plaisir exclusif. Son appétit sexuel n'a pas diminué. Elle adore me voir
    nu, poser sa main sur mon bas ventre castré. Elle a déposait mes testicules
    dans une boite, à coté de celles de Jonathan. En rigolant, elle m'a dit
    qu'elle envisageait de constituer une collection.


    Je lui obéis, je l'aime. Je suis son esclave, son EUNUQUE !



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  • Bonjour, j'ai découvert ce blogg dans les favoris de mon mari, alors je lui offre en cadeau notre histoire d'amour.
    Je me prénomme Elisabeth, je suis âgée de 35 ans, et je contrôle la sexualité de mon mari Patrick, un bonhomme très porté sur le sexe, et qui m'agaçait à toujours vouloir m'imposer sa libido.
    Je suis très loin d'être une nympho. En effet, j'ai très peu de désir sexuel, sauf à un moment très précis qui correspond à mon ovulation. Mon mari lui était tout le temps excité et me demandait en plus chaque week-end de l'aguicher en portant des tenues sexy qui me faisait passer dans les rues pour une pute, ce qui me déplaisait au plus haut point. Mais je l'aime, alors par amour je m'exécutais.

    Par contre quelques jours après mes règles, j'avais un besoin pressant de queue. Je voulais être prise comme une vulgaire salope, me sentir pleine et culbutée. Et là, alors qu'il m'avait fait chier tout le mois, Monsieur n'était pas capable de me satisfaire. Il n'est pas éjaculateur précoce, mais n'arrivait pas à suivre le rythme qu'il me fallait ! J'adore être prise violemment, intensément, à un rythme effréné, et surtout sans interruption.

    Après 8 ans de vie commune, où finalement tous les deux nous étions frustrés, je découvris par hasard que mon mari était abonné à un magasine sado-maso. Ce fut pour moi un choc. Je découvrais un monde qui, je l'avoue, me répugnait à l'époque.
    Je décidais alors de l'observer, était-il réellement l'homme que j'aimais ? Quelle facette de sa personnalité me cachait-il ?

    Le contenu de sa revu me laissait penser qu'il devait être maso. Un soir, je suis rentrée avec une paire d'escarpins que je venais d'acheter, aux talons vertigineux comme dans son magasine. Je sentis immédiatement son trouble. Prétextant que mes chaussons étaient au lavage, je restais perchée sur mes escarpins toute la soirée. Invoquant une légère fatigue, je lui commandais de s'occuper de la maison et des enfants. Il le fit sans la moindre protestation, à mon grand étonnement. Les tâches ménagères étaient jusqu'à cette soirée là disons mon domaine réservé !
    Après avoir couché les enfants, j'étais comme tous les soirs assise sur le canapé en train de regardé la télé. Il vint vers moi, et s'assis à mes cotés.
    Gardant tout mon calme, je le regarda fixement, et inspirée par les récis de sa revu je lui dis « Ce soir ta place sera à mes pieds, tu sors ta bite, tu la mets au garde à vous, puis tu me lèches les escarpins ».
    Je n'en revenais pas, il s'executa sans broncher, et alla jusqu'à lécher mes semelles ! Honnêtement je trouvais ça répugnant.

    Ce fut une soirée révélation, il m'avoua tous ses fantasmes, et je découvris qu'en fait mon mari n'était pas maso mais soumis. J'aime mon mari, je suis heureuse avec lui, mais j'avoue que cette situation était très destabilisante. Je me suis demandée si je pouvais continuer à vivre avec un homme qui désirais devenir mon esclave. J'aurais pu nier ses désirs, mais j'avais envie de construire ma vie avec lui, et construire un couple c'est aussi savoir accepté et comprendre l'autre. Notre relation de couple a donc évoluée. Mes désirs et sa soumission s'y sont bien intégrés. Ce ne fut pas facile, mais aujourd'hui j'en tire tous les bénéfices, et nous sommes heureux.

    D'un regard je peux le mettre au garde à vous. Il m'obéît au doigt et à l'œil. Ce n'est plus moi, qui doit aguicher les passant le week-end en portant des tenues sexy, mais lui qui sort avec un plug bien enfoncé dans le cul.

    Malgré toute sa dévotion, il était toujours maladroit, incapable de me satisfaire. Il faut se rendre à l'évidence, mon mari ne peut me faire jouir. J'ai donc décidé de prendre mon plaisir en main.

    Premièrement puisque sa bite m'est devenue inutile, il porte une ceinture de chasteté. Deuxièmement, il doit me trouver une fois par mois, un amant bien membré et endurant pour satisfaire mes ovulations ! Il a intérêt à bien chercher car, s'il ne me convient pas, il devra attendre le mois suivant pour pouvoir se branler.

    Hier, il m'a présenté Vincent, un type dont Patrick a jaugé la bite dans les vestiaires de son club de sport. Une tenue plus que sexy, robe noire fendue laissant apparaître la lisière de mes bas couture, un décolleté échancré, et une paire de mule à talons aiguilles a mis rapidement Vincent dans tous ses états. Patrick m'a alors préparée avec sa langue sous ma robe pendant que Vincent me regardait en se caressant la bite. Je le complimentais sur la grosseur de son engin. La comparant à la petite bite de ma lopette, je lui expliquais que Patrick ne parvenait pas à me faire jouir. Je sais que mes paroles excitent Patrick. Chaque humiliation accélérait le rythme de sa langue. Mais il ne peut pas se caresser, sa ceinture l'en empêche. Son sexe est entravé, tout gonfler dans son étui, il sait que si Vincent ne m'apporte pas un orgasme, il restera ainsi, ses couilles pleines de sperme jusqu'au mois suivant. Alors il s'applique, ma jouissance en dépend. Après une bonne demi-heure de lèche, Patrick met un préservatif à mon futur amant. J'ai envie de sa queue, et je vais enfin l'avoir. On peut dire que Vincent m'a bien baisée. Il m'a prise brutalement, je sentais sa verge me remplir et taper au fond de mon vagin. Aucune douceur, juste de la queue. J'adore. J'adore ce moment où je ne suis plus qu'un trou, où je m'entends jurer. Il me baise bien ce salaud. J'aime sa queue. Regarde chéri comme il me baise. Regarde ta femme dans les mains d'un autre. Cette situation perverse m'excite, je me laisse aller. Parfois dans ces moments là j'offre mon cul à mes amants, mais pas ce soir, sa bite est trop grosse, mon vagin est gourmand, je vais jouir. L'orgasme est puissant, pas besoin de me caresser, sa bite me suffit. Je jouis. Ma lopette me regarde, je ferme les yeux, un petit cri. Vincent comprend qu'il est entrain de me faire jouir, son excitation est alors à son comble, il se vide.
    Son préservatif est plein, mon mari lui retire et le noue, puis le repose sur la table. Il sait qu'après le départ de Vincent, une fois que son contenu aura été réchauffé afin de le stériliser, il devra le déguster sous mes yeux en se branlant. C'est la seule forme de jouissance que je lui autorise.
    Vincent est parti, Patrick va faire chauffer le préservatif dans un bain mari. Il revient. Je lui retire sa ceinture avec difficulté, son membre oppressé se raidit instantanément. Il troue le préservatif avec ses dents, et déverse le sperme sur les lèvres de mon vagin. Patrick aime le sperme. Il lèche, et se branle modérément pour ne pas jouir. "Arrête ! Va dans le congélateur, j'ai une surprise pour toi".
    "Cette après midi, je me suis tapé Nicolas, ton meilleur ami, et je t'ai conservé sa semence pour ton désert. Tu sais, pour un ami, il ne m'a pas résisté longtemps"... je vois sa tête changer, puis se baisser...Patrick revient à mes pieds, mets le préservatif congelé dans sa bouche. "Pendant que tu dégèles le sperme de ton pote, branle-toi bien". Patrick est à genou devant ma moule, le préservatif de son ami dans la bouche.
    Je regarde ce sous homme avec dédain, "Maintenant mâche le bien ce préservatif, tu va sentir le sperme de Nico couler dans ta bouche". "C'est bon, tu aimes le sperme petit cocu, allez jouis."

    Elisabeth


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