• La métamorphose de Julien

    Julien déguste sa limonade, assis à la terrasse de ce café parisien, accompagné de sa femme Sophie. Le couple traverse une période de douce monotonie. Les vacances sont quelque peu libératoires dans le sens ou leur sexualité connaît un léger renouveau, dû à l’oisiveté de ces derniers jours. Voilà dix ans que ce libraire vit avec cette traductrice. Lui est un homme légèrement bedonnant mais la trentaine presque révolue provoque ce genre de disgrâce. Son charme réside, d’après les dires de Sophie, plus dans sa gentillesse, sa tendresse et dans l’amour incommensurable qu’il voue à son épouse. Sophie se prend même à qualifier cet amour de faiblesse. Sans réel goût vestimentaire pour sa personne, il s’habille d’une manière classique, sans grande originalité.
    Quant à elle, la gestion du foyer passe par le filtre de sa volonté et son aptitude à imposer ses quatre volontés à Julien. Du haut de ses 1m69, elle surpasse de quelques centimètres son mari. Des formes charnelles la caractérisent. Une jolie poitrine (90B), une chevelure lisse et blonde, des yeux bleus, un joli sourire et des lèvres pulpeuses, des fesses légèrement bombées et une très légère culotte de cheval. Bref, sans être un canon de la beauté, elle reste une femme agréable à regarder du haut de ses 35 ans. Après dix ans de vie commune, ils se marièrent il y a 5 ans. Ils éprouvent quelques difficultés pour avoir un enfant et Sophie suit un traitement hormonal.
    Bref, l’usure du temps se faisant, Julien se réfugiait dans quelques littératures érotiques, alors que l’esprit de Sophie vagabondait de talk show en émissions de variétés. Julien, au fond de lui-même se sentait coupable de ne pouvoir donner d’enfant à sa femme, même si c’est elle qui ne pouvait pas procréer. Il avait l’impression de n’être pas performant du fait d’un sexe de courte taille et de ses éjaculations précoces. Malgré le réconfort de son épouse et l’assurance du plaisir qu’elle éprouve, Julien se réfugiait de plus en plus dans les récits érotiques comme échappatoire à ce qu’il considérait comme un échec personnel. Il était hypnotisé par des textes mettant en scène des hommes virils et bien membrés entretenant des relations avec des épouses infidèles. Au fil du temps, il se masturbait même en transposant sa femme dans ce rôle. Il endossait ce rôle de cocu, d’homme trompé et bafoué, mais loin de le dégoûter, cette posture éveillait un désir inqualifiable et tellement trouble. La jouissance tirée de ce statut prenait de plus en plus d’ampleur. Avant, pendant et après chaque rapport sexuel, il évoquait la présence d’un autre homme, pourvu d’attributs physiques bien plus avantageux que les siens, ce qui avait pour résultat de lasser Sophie.

    A force de répéter sans cesse les mêmes propos fantasmagoriques, il finit par éveiller chez Sophie une douce curiosité. Après tout, pas d’enfant en vue, une vie tout ce qu’il y a de plus banale, une sexualité sans extravagance, et un mari devenu schizophrène à l’idée de voir sa femme se faire empaler par un étranger sous ses yeux. L’idée faisait son chemin mais elle voulait le consentement de son époux.
    Alors que Julien lui rabattait une fois de plus les oreilles avec ses fantasmes, elle décida de le prendre aux mots. Après qu’il eut éjaculé, c'est-à-dire assez rapidement, elle lui tint alors des propos inattendus :
    - OK, Julien. On va le faire et tu seras là !
    - Faire quoi Mamour… dit-il d’un ton étonné.
    - Je vais me faire prendre par un autre homme, bien membré et très performant. Satisfait ?

    Pour la première fois, Sophie se lançait et électrisa Julien au plus profond de sa chair. Une onde de choc atteignit son cerveau et il oscillait maintenant entre peur et plaisir. La peur de se comparer à l’autre, celui qui pourrait aisément le remplacer sur le plan sexuel, celui qui pourrait faire connaître à sa femme des sensations inconnues, celui qui serait un homme… cet homme qu’il ne semble pas être. Et puis, il y a le plaisir. Cette forme de doux bonheur dans lequel sa femme s’épanouirait enfin, le plaisir d’imaginer sa femme possédée et comblée pleinement, celui de se sentir humilié et bafoué. Entre les deux, son cœur balance…
    Déstabilisé, il affronte quand même sa femme.
    - Tu penses ce que tu dis Mamour ?
    - Ca fait des mois que tu me bassines avec ça. Si c’est vraiment ce que tu veux, je vais te le donner. Alors, comment s’y prendre dans de tel cas ?
    Julien avait un genou à terre. Il n’allait pas tarder à voir le deuxième.
    - Je… je ne sais pas trop…
    - Mais dis moi, tu bandes ? Ca te plaît de te sentir cocu… c’est ça ? Tu ne bandes jamais après avoir joui généralement. C’est cette idée de me voir prise par un autre qui te met dans cet état ? Alors écoute moi bien, je vais exhausser tes vœux, mais à une condition… Tu me regarderas me faire baiser par ce type. Alors, heureux ?
    - Oui… je crois… je ferai comme tu le souhaites ma chérie.
    - Commence par me baiser puisque tu es en forme. Allez ramone ta femme, mon petit cocu !!!

    Le ton étant plus directif et autoritaire, le pauvre Julien a même tenu moins longtemps que la fois précédente. Après quelques aller retour, il se répandait misérablement dans les entrailles de Sophie.
    - Ecoute moi, cocu. Au travail, il y a un homme… le responsable commercial. Il a une réputation d’homme à femmes. Sylvie, ma collègue, a couché avec lui. Elle m’a dit qu’elle n’avait jamais connu de coup comme lui. Alors c’est lui qui te déshonorera pour la première fois. Il est assez athlétique, sûr de lui, grand et viril… un homme quoi ! Tout le contraire de toi.
    - Comme tu voudras ma chérie… dit-il en baissant la tête.
    - Oui, c’est ça. Comme je veux… et crois moi, tu en auras pour ton argent.

    La boucle était bouclée. Julien était passé du stade d’époux à celui d’époux cocu en sursis. Mais plus que cela, il était passé sous l’emprise totale de sa femme. Psychologiquement, le peu de masculinité qu’il possédait venait de fondre comme neige au soleil. C’est un peu comme si les deux personnages avaient toujours eu cette aptitude à se soumettre pour l’un et à soumettre pour l’autre sans que ces aptitudes ne soient révélées. Et bien la révélation venait de se produire.
    Les jours qui suivaient furent laborieux pour Julien qui était privé de relations sexuelles. Il cuisinait, faisait le ménage et avait le droit de se masturber quand Sophie lui en donnait l’autorisation. Elle régissait son foyer à son bon vouloir, avec l’approbation complice de son mari, qui voyait à travers ce nouveau rôle, un bien être accru dans sa condition d’homme soumis. Il ferait l’amour quand sa femme en aurait envie et plus le contraire. Il faisait auparavant déjà ce que Sophie lui demandait de faire, désormais il n’évoluera plus que dans ce rôle d’exécutant.
    Les jours passent et Julien attendait le jour J. Quand il questionna Sophie sur l’échéance de la date ou son statut de mari se transformerait en simple position de cocu, sa femme lui répondit simplement que quand il aura passé 15 jours sans relations sexuelles ni masturbations, l’issue serait proche.

    Les deux semaines étaient quasiment écoulées. Julien sentait de plus en plus la pression monter. Il n’avait plus le droit de questionner sa femme sur le jour fatidique. Après trois semaines de domptage, Sophie avait à la maison un compagnon docile et dévoué. Elle se complaisait à ouvertement commander Julien. Quant à lui, il savourait tous ces moments ou il servait sa femme et remplissait la moindre de ses exigences.
    Un vendredi soir, elle ordonna à Julien de nettoyer la maison comme il faut pour le lendemain car un invité venait déjeuner le samedi midi.
    Julien avait compris qu’il n’était plus qu’à un jour du déshonneur. Ses sentiments étaient mitigés. Sa joie était aussi forte que ses craintes. Toutes ces semaines à se féminiser mentalement. Ses tâches quotidiennes à la maison étaient celles d’une bonne mère de famille. Le matriarcat était de mise. Une fois le déjeuner préparé et le ménage soigneux réalisé, elle convia Julien à s’asseoir sur le canapé.
    - Aujourd’hui, tu seras cocu pour de bon. Max, que tu vas rencontrer très vite, va s’occuper de ta femme comme il se doit. Tu m’obéiras et tu lui obéiras également au cas ou il voudrait te faire participer à nos ébats. Ton rêve se réalise mon petit cocu ! Ca te fait plaisir ?
    - Je suis heureux mon amour à partir du moment ou tu es épanouie.
    - Oh oui je le suis. Tu vas manger de suite. Oui, j’ai oublié de te dire que tu ne partageras pas notre repas. En revanche, tu te dénuderas et tu enfileras mon tablier de cuisine. Tu seras le domestique des lieux. Tu nous serviras et tu débarrasseras, sans oublier de faire la vaisselle bien évidemment.
    Après avoir déjeuné, Julien, nu comme un vert, enfila le tablier blanc qui le couvrait du haut du ventre jusqu’au haut des genoux. Le dos complètement dénudé, les fesses offertes à la vue de tous, il s’affairait à nettoyer son assiette, quand la sonnette retentit.
    - Julien, va ouvrir… c’est Max.
    - Mais tu n’y penses pas chérie…
    - Et comment que j’y pense ! Obéis, tout comme tu obéiras à Max si il a éventuellement besoin de toi.

    Honteux et résigné, il va ouvrir à son invité. Son cœur bat la chamade, la chaleur l’envahit et ses jambes le lâchent presque lorsque sur le pas de la porte, il accueille Max.
    L’homme est grand, plus d’1m85, athlétique (comme l’avait décrit Sophie), la tête rasée et des yeux marrons. Il pénètre en souriant dans l’appartement et s’esclaffe de rire en voyant le dos de Julien.
    - Ahh, ahhh la vache… ta femme avait raison. Tu m’as l’air d’être une vraie lope !
    - Je ne t’avais pas menti Max. Il est apprivoisé et très doux. Merci pour les fleurs.
    - Je t’en prie.
    - J’avais jamais vu un truc pareil.
    Il attrape Julien par le bras pour faire le tour de sa personne et lui assène une petite claque sur la fesse droite.
    - Allez, va me chercher une petit verre mon Juju !

    Julien n’était plus que l’ombre de lui-même. Sa femme avait fait de lui son valet, ce type faisait de lui une carpette. Tenaillé par la honte, il n’avait aucune intention de se révolter. Il appliquait les directives de Sophie, par amour… mais aussi par goût puisque sous son tablier commençait à s’ériger une légère bosse. La situation l’excitait.
    Une fois à table, le couple se restaurait en parlant très peu de travail, évoquant brièvement l’histoire de sa copine Sylvie qui de temps en temps encore, couchait avec Max. Sophie avait un petit tailleur sans chemise. Un décolleté prononcé laissait apparaître sa poitrine volumineuse. Sa petite jupe abritait un ensemble de lingerie noire avec porte-jarretelles. Les doigts de Max effleuraient ceux de Sophie et caressaient son avant-bras. Le repas se déroule sans aucun égard pour Julien. Les conversations d’ordre sexuel vont bon train et Julien observe Max, sa carrure imposante, écoute sa voix grave, dévisage l’interlocuteur qui a écarté ses cuisses pour permettre au pied déchaussé de Sophie de caresser le sexe de son interlocuteur. Sophie se rappela au bon souvenir de son mari :
    - Max, tu as vu… mon cocu de mari bande.
    - C’est pas vrai ! Tu bandes Juju ? Moi aussi ! Viens par ici.
    Il souleva le tablier de Julien ce qui libéra un sexe d’une dizaine de cm à peine et d’un diamètre encore plus ridicule. Sous les yeux de sa femme et d’un inconnu, Julien se sentait honteux mais appréciait de plus en plus ce traitement. Il jubilait de n’être qu’un cocu domestiqué, qu’un objet dépendant de la volonté de sa femme et de son amant.
    C’est alors que Max empoigna le sexe de Julien.
    - Sophie, c’est avec ça que tu te fais plaisir ? Merde Juju, c’est pas permis d’être monté comme ça ! Enlève ton tablier et viens me déshabiller… dit-il en lâchant la petite queue de Julien.
    Julien s’affairait à mettre Max à nu lentement. Il défit la cravate et la chemise de son invité, découvrit son torse puissant. Des bras musclés et un corps athlétique apparût au grand jour, pour le plus grand plaisir de Sophie. En ôtant le pantalon de Max, Julien se rendait compte que le sexe qu’il était entrain de découvrir n’avait aucune commune mesure avec le sien. Il libéra un monstre qui était bien deux fois et demi plus long et trois fois plus gros. Sophie en était ravie autant qu’elle en était effrayée.
    - Vas y mon Juju… prend le dans tes mains. Amuse toi un peu avec et offre le à ta femme.
    Julien s’accroche au puissant manche de ses deux mains. Inconsciemment, il se disait qu’il avait toujours voulu faire ça. Il en éprouvait une certaine joie, alors qu’il masturbait lentement ce terrible engin.
    - Embrasse le… lui lança Sophie.
    Et Julien posa délicatement ses lèvres sur le pieu de chair. En fermant les yeux, il se prit même à mettre en bouche le sexe de Max et commençait une fellation comme si il vénérait un dieu !
    - Ca suffit mon Juju… mais t’es une vraie cochonne toi ! Si tu aimes ça, je te présenterai un jour Nono, mon pote antillais. Il te plaira sûrement… Allez, offre ton présent à ta femme. Fais lui plaisir mon Juju.
    - Sophie, je t’offre ce sexe afin de satisfaire comme il se doit tes besoins de femme.
    - Mmmmm…merci mon petit cocu. Va te mettre sur le canapé que je puisse m’occuper de notre invité comme il se doit.
    Julien alla se placer sur le canapé alors Sophie, à genoux entre les cuisses de Max, lui administrait une fellation magistrale. Léchant, suçant, aspirant, elle avalait goulûment la queue turgescente et tendue qu’on lui offrait, sous le regard d’un Max râlant, assis confortablement dans un fauteuil. Julien ne perdait pas une miette de ce spectacle. Il observait sa femme, en sous-vêtements, admirait sa cambrure, bougeant les fesses au rythme de la pipe, s’apercevant au passage la mouillure sur sa culotte ainsi que son entrecuisse humide et luisante.
    - Ahhh… vas y … pompe moi bien. Ohhh oui… suce moi comme ça ! Putain Juju, ta femme suce comme une vraie pute… aahhhh… Vas y ma Sophie… pompe moi le dard comme ça… Attend, je vais te prendre comme tu le mérites. Lève toi et tourne moi le dos… C’est bien ! Ecarte les jambes et fléchit tes genoux légèrement… voilà…

    Après avoir sucé longuement son collègue, elle faisait face à son mari qui regardait cette scène surréaliste. Elle avait retiré sa culotte et Max faisait glisser le bout de son gland entre se lèvres. Le sillon était chaud et trempé. Lorsqu’il remonta son gland sur le haut du sexe de Sophie, il frotta tendrement son clitoris prêt à exploser. En quelques mouvements, la jouissance électrisa cette femme qui poussa un cri rauque, les jambes tremblante et les doigts crispés, agrippant les genoux de son homme ! Julien contemplait la scène et se masturbait lentement. Il était au bord de l’éjaculation…
    - Vas y ma belle, plante toi sur mon mât…
    Inutile de commander plus, Sophie se saisit de la colonne de chair pour l’introduire lentement en elle. Coulissant sans problème dans ce fourreau parfaitement huilé, elle avala le pieu jusqu’à la garde en criant torridement et restait figée pendant quelques secondes comme pour s’accoutumer à ces nouvelles dimensions. Elle était complètement remplie. Le diamètre et la longueur jusqu’alors inconnu la comblaient littéralement. Max se saisit de Sophie par les hanches et la soulevait pour la faire ensuite redescendre sur sa queue. Les cris s’enchaînaient de même que les orgasmes. Sophie n’avait jamais été baisée de la sorte. Max pilonnait sa victime avec vigueur en la traitant comme une pute à deux sous. C’est était trop pour Julien, dont le cri retentit. Il salissait le parquet de son sperme.
    - Regarde ton mari jouir ma salope… dit il à Sophie. T’aime ça mon Juju hein, quand j’explose ta femme comme ça. Tiens… ahhh prend ça ma salope…
    - Oui… prend moi !!!!!!! baise moi fort !!!!!!!!! suppliait Sophie.

    Julien souffrait de ce prétendant avec lequel il ne pouvait rivaliser mais se délectait du spectacle. L’homme saccageait sa femme comme jamais il ne pourrait le faire et lui la contemplait, hurler et jouir comme jamais, en sueur et complètement comblé. Les rictus de douleur et les sourires se succédaient, les cris et les orgasmes libérateurs également ainsi que les spasmes et autres ondes de plaisir. Il jubilait de voir ce corps de la sorte martyrisé, ainsi utilisé et abusé… ce corps qu’il aime tant mais qu’il ne peut traiter ainsi.
    Après un exercice ayant duré plus qu’il ne fallait, un temps en dehors de ce que pouvait concevoir Julien, Max se déversa au plus profond de Sophie, tout en se crispant et en hurlant comme un animal.
    Repue, Sophie s’affalait sur le sol pour retrouver ses esprits, libérant la verge encore en érection de Max.
    - Ahh… Mon Juju, ta femme est vraiment trop bonne. Je pense que j’en userai et abuserai au boulot aussi. Tiens, viens nettoyer mon outil. Je vois que tu mates ma queue avec envie… Et nettoie moi ça bien jusqu’à la dernière goutte!

    Julien vient s’agenouiller devant ce colosse et s’engouffre entre les jambes musclées de Max. Il s’applique à nettoyer le sabre encore luisant de sperme et de cyprine que lui tendait l’homme qui venait d’anéantir sa femme. Sa langue parcoure le cylindre d’une manière soignée et méticuleuse. Il engloutit l’objet devenu mou mais néanmoins encore volumineux.
    - C’est bien mon Juju. T’es une bonne lope. Je te présenterai mon pote Nono, l’antillais de service. Il aime les salopes dans ton genre.

    Julien en avait des frissons. Il se réjouissait de se sentir bafoué par celui qui venait de le salir. Il pensait également que ce Nono saurait le traiter comme il le méritait. Sophie le regardait en se disant que son amour pour elle n’avait plus de limites. Elle savait que dorénavant, elle rattraperait le temps perdu, d’une part avec Max, mais aussi avec d’autres hommes. Julien se complaisait dans ce rôle ou sa personnalité était féminisée à l’extrême, ou ses sens étaient exacerbés à l’extrême, ou sa passivité le rendait heureux. Il n’aspirait plus qu’à servir et à être utilisé. Sophie s’en réjouissait à l’avance… et Max également !

    … Lorsque Max s’en fut allé, Julien et Sophie se retrouvaient tendrement. Leur rôle respectif était bien défini. Désormais, le couple discutait ouvertement de ce nouveau rapport de force… et d’amour. Plus rien n’importait plus aux yeux de Julien que le plaisir qu’éprouvait sa tendre épouse, et la joie de Julien ne consistait plus qu’en remplissant fièrement et avec dévouement sa tâche de sujet corvéable à merci au service de sa Majesté. Sophie avait bien plus de respect de la part de son mari que la plupart de ses amies n’en recevait de leurs époux. Elle recevait d’ailleurs même beaucoup plus d’amour. La passivité et la docilité de Julien, son aptitude à contenir sa jalousie, son excitation à apprécier la tromperie de sa femme et l’accomplissement de sa féminisation ainsi que de sa servitude en faisait un sujet fidèle à la voix de sa maîtresse.

    Bien évidemment, Sophie le lui rendait bien. Quand Julien le méritait, il pouvait retrouver sa condition d’homme et profiter du sexe de sa femme. Il en était venu à adorer et vénérer ce Mont de Vénus comme un dieu vivant. Il idolâtrait cette partie de sa femme car c’était pour lui devenu une rareté. Il n’avait plus le droit au chapitre de la luxure que sur le bon vouloir de Sophie.
    Le couple avait trouvé dans cette relation un nouveau départ, de nouvelles pratiques et de nouveaux rapports. Sophie était même revenue à la maison quelques jours plus tard avec un gode ceinture.
    - Mon petit Julien, il se peut que je finisse par t’appeler Julie bientôt.
    - Pourquoi ça mon amour ?
    - Je vais t’expliquer, dit-elle en se déshabillant et en positionnant ses fesses sur le bord du canapé. L’une de ses jambes était repliée sur un coussin, l’autre pied était posé au sol. Allez, lèche ta petite femme pour commencer.
    Julien ne se faisait pas prié et vint s’agenouiller au pied du canapé. Sa bouche entreprit de manger tendrement cet abricot dont le nectar avait un goût divin. L’ambroisie, le nectar des dieux… dont Julien se délectait. Sophie se laissait aller sous les coups de langue de son mari.
    - Oui… mmmm… lèche moi comme ça. Oh ouuii…
    Ses deux mains agrippent la chevelure de Julien et dictent le chemin qu’elle souhaite faire emprunter à la langue qui la lèche. De bas en haut, elle parcoure ses lèvres, introduit cette langue dans son vagin, puis se chatouille l’anus avec plaisir et réoriente son outil de plaisir vers son clitoris.
    - Ouiii… ouuuuiiiii… lèche moi bien. Je vais te récompenser comme tu le mérites après ça. Ahhhh ouuuiiiiiii… je jouis… dit elle, en relâchant doucement les cheveux meurtris de Julien.
    C’est bien mon Juju. Maintenant, fixe donc cette ceinture à ma taille. Tu vas me donner le bâton toi-même pour te faire battre. C’est bien… fixe donc le gode sur l’embout et suce moi !
    Max m’a dit que ça te plairait…

    Interrogatif et pourtant tellement excité, Julien reprenait son travail de succion. Il passait d’un sexe à l’autre mais ce membre là était bien plus imposant que le précédent. Il repensait à Max et au traitement qu’il lui offrit. Ces gestes étaient appliqués et il en tirait du plaisir. Agenouillé aux pieds de sa femme, il regardait de temps en temps Sophie dans les yeux qui lui répondait par un sourire de satisfaction.
    - C’est bien mon chéri… suce moi bien… Je te prépare pour ta rencontre avec Nono, l’ami antillais de Max, qui a très envie de te rencontrer. Arrête de sucer avec gourmandise, ta préparation ne s’arrête pas là. Pose tes coudes sur le canapé et écarte un peu tes cuisses !
    - Mais chérie, tu ne vas pas me…
    - Si… et c’est pour ça que tu vas t’appeler Julie et non Julien. Laisse moi juste t’appliquer ce petit gel lubrifiant pour t’initier en douceur. Nono et Max prendront peut-être moins de précautions.
    Puis lentement, Sophie manie son foret avec douceur, parcourant de long en large la rondelle d’une Julie craintive. Elle force tendrement l’entrée d’un territoire encore vierge. Le gland est rentré, arrachant un cri et un mouvement de la tête de Julien. Il s’agrippe férocement au tissu du canapé alors que le reste de ce sexe va fouiller le fond de son anus. La bouche ouverte, un rictus de douleur déforme son visage. Un gode de 25 cm ainsi qu’un diamètre imposant marque forcément les esprits… et les passages étroits. Sophie reste ainsi plantée dans sa victime et lui demande de se détendre pour s’habituer à ce volume cylindrique qu’elle aura dorénavant l’habitude d’utiliser. Julien se détend ce qui permet une dilatation de son rectum.
    Sophie commence lentement à aller et venir dans les entrailles de ce qui fût son homme jadis. Elle attrape ses poignées d’amour, puis perfore et fore cette grotte à présent déflorée. Julien alterne entre soupirs et cris, il se laisse désormais aller à l’allégresse de son bourreau qui n’y va plus de main morte.
    - Alors t’aimes ça hein mon Juju ? Tu aimes te faire monter, hein…ma salope !
    - Ouuiii… ahhh… ouiii j’aime çaaaaaaa !!!
    Effectivement, Julien aimait cette sensation. Se sentir prisonnier de ce membre, soumis à sa femme, offrant tout son amour à celle qui le comprenait si bien et qui lui offrait le traitement qu’il méritait. Entre insultes et claques sur les fesses, le supplice de Julien s’arrêta lorsque qu’un jet dru de sperme vint souiller le bas du canapé, dans un cri de délivrance.
    Lorsque Sophie se retira, Julien se mit immédiatement à nettoyer ses bêtises, comme sa femme le lui avait appris.

    Deux semaines s’écoulèrent pendant lesquelles Sophie initia son Julien à la sodomie. Les gestes étaient plus précis, la technique était rôdée, le plaisir était au rendez-vous. La Sophie cérébrale savait se montrer physique et Julien encaissait les ordres et les coups de boutoir avec amour. Julien ou Julie, au choix… s’occupa de la maison comme une vraie fée du logis. Sophie endossait le rôle de mâle dominant, une sorte de matriarcat s’était installé. Julien n’était pas un homme battu, juste un homme soumis qui adorait sa condition. Il aimait savoir que sa femme se faisait baiser par des hommes qui lui donnaient ce que lui était incapable de lui donner, il aimait cette sensation de savoir sa condition d’homme bafouée et il prenait autant de plaisir que sa femme.
    Un soir, le couple sortit au restaurant. Ils allaient rejoindre Max et Nono pour un dîner à quatre et Julien allait enfin faire la connaissance de Nono.
    Après les présentations, chacun était au courant de la condition de Julien et tout le monde savait que le plaisir serait au rdv en cours ou en fin de soirée. Après quelques propos échangés, l’osmose se faisait plutôt bien entre Nono et Julien. L’antillais avouait à Julien qu’il était friand de travestis. Il fit même avouer à Julie (c’est ainsi qu’il l’appelait, évitant délibérément le prénom Julien) son plaisir de se sentir femme et pris rdv avec lui pour une journée durant laquelle il se travestira pour devenir réellement Julie.
    Alors que Max caressait allègrement les cuisses de Sophie, Nono attira le bras de Julie et plaqua sa main sur sa braguette. Julie jaugeait manuellement de l’importance de ce sexe, sous le regard gêné de la serveuse.
    - Huummm…Julie, je ne sais pas si je dois te baiser maintenant, dans les chiottes du resto ou attendre d’être chez toi ?
    - Je ne sais pas… répondit Julien à Nono, dont les yeux le fixaient avec désir.
    - Pourquoi ne pas rentrer d’abord, s’occuper de Sophie… et tu finiras par ta Julie, rétorqua Max.
    - Ouais, c’est pas bête. On va laisser Sophie décider… ce sera plus simple !
    - Dans ce cas là, occupez vous d’abord de moi. Juju passera après. Et puis il adore regarder quand je me fais prendre. C’est pas vrai mon Juju ? Deux pour le prix d’un… hummm, j’en salive déjà.

    Arrivés dans leur doux foyer, les invités et les propriétaires se mettent à l’aise. Un parfum de luxure flotte dans la pièce alors que Max et Nono déshabillent Sophie, en embrassant, caressant et malaxant ce corps qui leur est offert. A genoux, elle libère de leur carcan les queues de ses assaillants.
    - Mmmm… deux cornets vanille chocolat. Un régal…, dit elle, en engloutissant ce qu’elle pouvait de la vanille et en branlant le chocolat. Elle passait d’un parfum à l’autre avec gourmandise, comme si elle n’avait pas mangé depuis deux jours.

    Nono voyant Julien assis sur le canapé, nu comme un ver, lui demanda d’approcher.
    - Viens ma Julie. Ramène ta bouche de métropolitaine et suce moi…
    Julien approcha et s’agenouilla aux côtés de sa femme et pris en bouche ce pieu d’ébène qui était aussi gros, voire peut-être plus gros que le gode qu’elle utilisait.
    - Ah ouiiii… suce moi bien…lèche mes couilles aussi… mmmm… c’est bon. J’aime bien les salopes qui n’ont pas que la peau sur les os, comme toi ma Julie… Ca doit venir de mes racines africaines, on aime bien les femmes qui ont des formes… ha ha ha…

    Nono avait une propension à parler et à exprimer son ressentit. Alors qu’il suce goulûment son antillais, les mains de Julien caressent les fesses et les cuisses musclées puis les hanches et les pectoraux de celui qui attrape ses cheveux.
    - Attend ma Julie. Arrête de faire ta gourmande ou je vais te gicler en pleine face… Non, non, non… tu vas me donner ton gros cul…
    Nono s’installe confortablement dans le canapé et érige son mât à l’attention de sa nouvelle égérie. Sur le fauteuil, Max était assis également. Sophie tournait le dos à Nono et Julien. Elle s’était empalée sur la puissante queue de Max et ondulait lentement son corps, montant et descendant dans un mouvement régulier. Le vit distordait les lèvres de Sophie et coulissait délicieusement dans la fente de sa monture.
    - Viens ma Julie, enfourche ma selle et regarde ta femme prendre son pied.

    Tournant le dos à Nono, Julien s’empale lentement mais sûrement sur le pieu de chair. Une sensation de plénitude l’envahit. Alors qu’il voit Sophie coulisser le long du mandrin puissant et fier de Max, la chatte et l’entrecuisse trempés, accumulant orgasmes et cris, il se laisse porter par les paroles de Nono et capitule sur la baillonette qui le transperce.
    Instinctivement, il se masturbe en contemplant sa femme jouir en s’agrippant aux imposantes épaules de son amant, alors que les grandes mains de Nono se saisissent de ses poignées d’amour. Tout son corps se soulève sous le mouvement de levier opéré par les bras musclés de l’antillais. Les petites claques que lui prodigue Nono sur les fesses et sur les cuisses l’excitent de plus en plus. C’est alors que Max, au bord de l’explosion, ordonne à Sophie de se mettre à genoux et de finir son travail avec ses lèvres. Elle entreprend une fellation délicate, sentant le membre gonflé à son paroxysme, et reçoit la récompense suprême dans un cri à la hauteur de l’intensité de l’orgasme. Elle avale le précieux nectar en nettoyant son bienfaiteur.
    Maltraité par le boudin antillais, Julien succombe au spectacle que lui a offert sa femme. Il jouit en répandant sa semence sur le parquet. Ses cris se confondent entre ceux de sa jouissance et ceux qui lui sont imposés par cet antillais qui fait de ce cul une purée sans nom.
    - C’est bon de se faire défoncer, hein ma Julie ? Ahhh… comme j’aime ton gros cul… Mmmm… ah ouiiii… ca vient … Met toi à genoux et pompe moi bien !!!!!!!!!

    Julien obtempère, reprend la longue et grosse tige d’ébène à deux mains et la porte à ses lèvres. Il s’applique à sucer avec ardeur, alors que Max et Sophie peuvent contempler l’anus encore dilaté que Julien leur offre en spectacle. Les mains de Nono ont de nouveau pris possession de la chevelure de Julien et battent la cadence. Dans un mouvement de crispation ultime, tous les muscles de l’antillais se tendent. Il libère alors son jus en saccades dans la gorge de Julien qui avale par petites gorgées. Il poursuit son nettoyage appliqué de l’outil qui vient de martyriser son cul et se vautre au pieds de Nono, en entourant la taille de l’antillais de ses bras et en posant sa joue sur le serpent noir, qui bien que ramollit, conserve une taille impressionnante. Il embrasse tendrement l’organe qu’il aurait tant voulu posséder lui-même, signe d’une vénération évidente. La main de Nono caresse alors les cheveux de celui qui montre tant d’affection et de soumission.- Ma Julie, je crois que tu vas remplacer ma Francine... Bientôt tu sortiras à mon bras, habillée comme il se doit…

     

    Auteur PHILMO sur http://philmotheque.blogspot.fr/2006/08/la-mtamorphose-de-julien-2.html

    « Instructions détaillées pour féminiser votre mari Aziz baise ma femme »

  • Commentaires

    4
    Lopette
    Mardi 9 Avril 2019 à 01:31
    Je suis une lopette cocu assumée, je suis femelle et 7cm ! J'ai vécu et je vis les mêmes choses que juju, j'adore...
    3
    lailatvx
    Samedi 2 Juin 2018 à 11:25

    Bravo pour cette histoire ! Elle reflète exactement mon statut de mari soumis et cocu volontaire.

    2
    Marion
    Dimanche 24 Décembre 2017 à 22:42
    Mon ami tu délire franchement tu délire tu n'es pas un mec mais un pede comment peux tu accepter te faire niqué toi qui joue au golf moi ma femme me trompe je le quitte mais tu t'es bien fait humilié on acceptant un homme mais vraiment tu es con vraiment con je sais pas comment insulte tu es un rate pour ta famille
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    1
    alexiasou30
    Vendredi 30 Octobre 2015 à 11:03

    Génial ! j'en ai le clito de lope tout ragaillardi !

    je rêve d’être dans la position de Julie

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