• -Tu me disais que c’était pas terrible au lit ?

    Ecoutes c’est vrai, quand il me pénètre je ne sens rien, un vague frottement, qui ne m’amène pas du tout à l’orgasme, il s’agite sur moi et je fini par le regarder, à sortir du jeux, à m’ennuyer en attendant qu’il finisse. Heureusement il dure pas longtemps.

    _ oh ma pauvre, c’est pas vrai, un si beau mec,

    Oui, il est beau, je l’aime et tout et tout, mais il est vraiment tout petit entre les jambes, et là c’est un vrai problème.

    Alors je le pousse a me finir après en me léchant, il descend quand il a finit, et il me lèche jusqu'à l’orgasme,

    - il ne rechigne pas ? Parce qu’il va boire son … tu vois ce que je veux dire ?

    Ben écoutes, il n’a pas le choix et je crois que ca lui plait finalement,

    -Mais il fait quelle taille exactement ?

    J’ai pas pris mon mètre figure toi hi hi … mais et bien,  en érection quand je le prend dans mon poing le gland dépasse à peine, ca fait quoi dix centimètres. ?

    - Ah houai… dur dur, et la largeur ?

    Je sais pas mais pas bien épais en tous les cas, mon ex était  deux fois plus gros, presque, je le prenais à deux mains tu te rend compte ? Et surtout bien large et endurant, c’est trop con la vie…

    - C’est surtout que tu as été gâtée ma chérie avant et que tu sais ce que c’est que de se faire prendre,

    Oui, là, tu vois, quand on a fini, c‘est comme si je m’étais masturbée, j’ai jouie grâce à sa langue, mais j’ai encore faim , il me manque la sensation de pleinement avoir été prise, assez longtemps, ouverte, puis l’explosion vaginale qui te met par terre…

    Tu aurais du regarder ses doigts, je suis sur que son index doit être plus long que son annulaire…

    C’est vrai ? je savais pas que c’est un indicateur, mais enfin tu vois, je tombe amoureuse du mecs « plus petit » , il aurait pu être juste normal..

    - Oui, mais il est gentil, bonne famille aisée, peut-être même un peu soumis à toi, c’est ca que tu aimes aussi…

    Oui mais il me faut un vrai mec au lit ,

    - Si tu le garde il te faudra des amants..

    Oui ; là même maintenant, tout de suite, il m’en faudrait un, hi hi..

    - Tu sais,  c’est plus facile de se faire sauter par un gros chibre d’un coureur que d’avoir un bon gentil à la maison, au moins, il ne te trompera pas et avec un peu de tactique tu vas te le mettre à ta botte, chérie, et vivre comme une princesse.

    Tu as raison, je crois vraiment que c’est pas un vrai mec au fond…

    - Commence doucement par le culpabilisé, progressivement, lui faire remarquer qu’il assure pas que son pénis est vraiment petit.. que tu as connu que des plus gros,

    Ah oui alors tu as raison, faut que je le casse de ce coté là.

    - Que ton vagin est habitué à plus grand maintenant et que ça ne reviendra jamais en arrière…

    Ah t’es drôle... hi hi

    - Oui comme cela il va bien s’enfermer dans cette idée, c’est facile ensuite, tu le laisses à peine te prendre à cause de sa petitesse et tu lui fait toujours lécher ta chatte, ca c’est bien, il faut qu’il serve ton plaisir comme un bon toutou,

    Oui comme cela il n’aura plus que moi dans sa tête à pouvoir accepter sa petite différence

    - Oui il va s’accrocher à toi ma chérie, il se sentira tellement minable, tu devrais regarder du porno avec lui avec que des films genre « interracial » tu vois avec des black énormes, tu le branles devant, en lui vantant ces gros pénis, il ne s’imaginera jamais plus en concurrent et il acceptera que tu ailles voir ailleurs, il t’encouragera même.

    Oh tu est vraiment cruelle,

    - Mais tu sais ce genre de mec c’est le genre « cuckold », au lit, si tu fait bien les choses tu pourrais même lui faire aimer la bite, tu lui flatte l’anus tu lui mets un doigt deux doigts, tu verra il bandera encore plus, c’est sur, tu fais sortir  son coté femelle puisque la nature n’a pas développé son coté homme.

    Oui j’ai déjà vu qu’il aime bien m’avoir dessus, et quand je passe à cet endroit il frisonne comme une fille,

    - Oui c’est sur, c’est forcement un sous homme hétéro, une lopette refoulée, tu peux pas être un vrai mâle avec des attributs pareils.

    Oui, je crois que vraiment c’est possible maintenant que tu me le dis, je vois bien le truc, je le rends hyper féminin, doucement, j’en fait ma petite soubrette, de l'inavouable l'enfermer dans un relation qu'il ne pourras avoir qu'avec moi,

    - C'est ca ! tu développes son coté caché, il ne demande que cela je suis sur…tu pourrais même l’hormoner le rendre accroc à la bite et le faire prendre par tes amants. Et là il sera à ta botte.

    Oh mon Dieu, tu me fait mouiller là.. rien qu'à l'imaginer à genoux.

    - Comme cela tu aura une lopette à la maison à ton service, fidèle, un parfait mari en société, et t’iras voir de vrais mecs pour te prendre.. Eh eh  la vie parfaite ! Et tes enfants, tu te les fait faire par tes amants, il les élèvera dans son argent et ils n’auront pas sa tare entre les jambes.

    Ecoute c'est dingue comme tu m'éclaires tout d'un coup, c'est vrai je vais faire ca doucement, ce serait l'idéal !

    - Arrêtes ! je suis presque jalouse, finalement.


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  • Ma femme et mon petit zizi (Par Lailatvx)

    La nature est cruelle et dément l’idée selon laquelle tous les hommes naissent égaux.

    Depuis l’école maternelle, Nadia avait décidé que j’étais son amoureux. Un jour, elle précisa que je serais son mari. Quand arrivèrent nos vingt ans, Nadia décida que je devais l’épouser. De ce jour, elle m’accorda le droit de l’embrasser sur la bouche. Nous connûmes les joies de la découverte du vrai baiser. Mais pour obtenir plus, je dus me résoudre à demander officiellement sa main à son père. Ce n’était qu’une formalité, le brave père, plus ému que surpris, s’amusa à me faire décliner toutes les raisons qui inspiraient une telle démarche. Outre l’ancienneté de notre relation, je vantais la beauté de l’élue, son charme naturel et l’amour qu’elle me portait depuis toujours. 
    -C’est tout? As-tu vu son corps, sais-tu si vos corps se compléteront, si vous vous accorderez au lit?
    -A vrai dire, ce sont des choses à découvrir quand nous vivrons en couple. Jusqu’à présent, Nadia a farouchement défendu sa vertu; en dehors de son visage et de ses membres, je ne connais pas son corps. Cependant, elle semble faite comme toutes les jeunes filles de son âge. 
    -Bien, sois mon fils et épouse ma fille !

    Nous étions donc fiancés. Elle voulut bien découvrir sa poitrine devant moi. Je fus ébloui à la vue de ces deux globes délicats couronnés par une minuscule framboise. Elle m’accorda une caresse et je reçus prière de déposer sur le timide fruit rouge un baiser. Avec dévotion, mes lèvres se refermèrent sur ce bouton exquis, le roulèrent et ma langue le tutoya assez pour le sentir grossir et durcir. La deuxième framboise eut la même réaction à la même sollicitation. Nadia caressa mes cheveux, me remercia. Son visage avait rougi, sa respiration s’était accélérée, mais tout naturellement, ses mains rangèrent ses délicats ornements dans son corsage. Si je m’étais montré attentif à ses désirs, bien gentil comme elle aimait le reconnaître, quand nous étions seuls, je recevais en récompense le droit d’honorer ses seins, de les découvrir, de les baiser et même de les sucer comme le ferait plus tard notre bébé. 

    Le mariage eut lieu. La petite taille de mon zizi, pendant la nuit de noces, étonna à peine l’épouse qui l’attribua à la fatigue et au stress dû à l’événement, aux nombreux toasts, au brouhaha de la fête. La nuit suivante, je fus plus vaillant et mon membre, sur commande manuelle étonnamment adroite de l’épouse, devint raide et dur, Nadia prit la pose, couchée sur le dos, jambes ouvertes, mains appliquées à me présenter son adorable sexe, vierge comme je dus le constater de visu. Où donc avait-elle acquis cette dextérité manuelle capable de dégeler mon oiseau? Elle était très fière d’avoir su se conserver intacte pour moi. Mais est-ce inné pour une femme de prendre la pose pour accueillir son mari? Elle m’invita fort gentiment à la rendre femme. Je pris le temps d’observer attentivement cet entrejambe enfin révélé, le contraste entre les grandes lèvres et les nymphes aux chairs si différentes. Nadia désigna en haut de sa fente une pointe minuscule, cachée et nomma son clitoris. Un homme tendre et aimant se devait d’y déposer un baiser, comme sur les tétons.
    Avec application, je donnai des soins doux et humides à ce petit pois de chair. Je le suçai tendrement au point que ma jeune vierge manifesta par petits gémissements et sursauts de son bassin tout le plaisir qu’elle tirait de mes attentions et me signifia l’urgence de passer à l’acte. Le visage mouillé par ce contact, la bouche étonnée de l’étrange saveur de ce clitoris et de ses environs, à la demande de la mariée, je m’allongeai dans le berceau de ses cuisses, je dirigeai mon zizi tendu vers l’obstacle à franchir, plein d’appréhension mais aussi de bonne volonté. J’appuyai comme Nadia le voulait et fus en elle beaucoup plus facilement et rapidement qu’elle ne l’avait prévu. Sa mère l’avait instruite, mise en garde contre de possibles difficultés et des douleurs désagréables, habituelles mais nécessaires lors d’un dépucelage. Elle s’attendait au pire, elle n’eut que le meilleur.
    L’avantage d’un petit pénis est de pouvoir entrer en évitant les gros dégâts. Dernier témoin de sa virginité, son sang macula nos sexes, un tour rapide en salle de bain remit les choses en ordre. Nadia me lava entre ses mains avec tendresse mais tiqua quand elle comprit pourquoi je m‘étais introduit de façon quasi indolore. Je la repris et, selon ses indications précises, je fus actif, je me fis le plaisir de la conduire vers une jouissance qu’elle sut traduire en râles et plaintes d’amour. Ce qui prouve qu’une petite bite bien raide peut être aussi efficace, sinon plus qu’une grande paresseuse. J’en éprouvai un sentiment de légitime fierté. Il est vrai que la partie la mieux innervée du vagin se situe autour des sept ou huit premiers centimètres selon ce que j’en ai lu depuis. Moins instruit à l’époque, je fus un époux comblé d’avoir, dès la première fois, fait jouir la femme qui m’avait choisi. Et cette nuit, ses baisers devinrent mille fois plus savoureux que les baisers de fiançailles.
    Mon bonheur venait du plaisir que je lui donnai, elle se disait heureuse de me faire jouir.

    Les années passèrent ainsi; Un jour, je pus dire à mon beau-père que nos corps se complétaient et que nous tirions l’un de l’autre, physiquement et psychiquement, entière satisfaction. Il n’avait pas à s’inquiéter.
    Cependant, Nadia me regardait parfois avec un air étrange. Elle fixait ma verge, la prenait en main, la caressait, lui donnait des bisous puis me demandait de la prendre et de lui faire connaître l’orgasme. Après les secousses de la jouissance, elle semblait comblée, ravie, mais comme étonnée. Et dans l’euphorie d’une nuit où elle avait fait quelques allers-retours au septième ciel, elle dévoila enfin la cause de son étonnement. Par des recherches, par des lectures, par des confidences, par l’écoute de certaines conversations, elle avait appris que la taille moyenne d’un pénis était d’environ 13 à 16 centimètres. Elle tenait le mien entre ses doigts, embarrassée par mon regard qui surveillait sa façon de me mesurer sans en avoir l’air. Elle n’osait pas le dire mais elle semblait déçue de n’avoir en main qu’un morceau de huit centimètres, même bandé. J’avais de bonnes raisons de me croire efficace, ne venait-elle pas de clamer à plusieurs reprises sa jouissance. Pour avoir reçu les mêmes informations, je me savais doté d’un instrument de petite taille. Plus jeune, j’avais développé un complexe à cause de mon petit zizi. L’amour de Nadia et nos unions charnelles réussies, le plaisir qu’elle prétendait éprouver m’avait rassuré. 
    - Chéri, il paraît que certains chanceux ont des pénis de grande taille, de plus de 20 et parfois de 30 centimètres. Tu te rends compte? Il paraît aussi qu’il y a des maris qui acceptent d’être cocus afin que leurs épouses ne restent pas frustrées et qu’elles puissent profiter de ces pénis de grande taille !

    Ce disant, elle considérait avec pitié ou commisération l’objet de sa déception soudaine, cette petite queue, certes ferme et de diamètre acceptable, mais peu présentable dans un concours. Jamais elle ne pourrait se vanter auprès de ses collègues de posséder un spécimen exceptionnel. Elle écouterait les autres détailler longueur, diamètre, forme, énergie: mon truc n’intéresserait aucune de ces femmes comblées par un pieu, un gourdin ou une massue, un manche énorme, une tige de fer brûlante, longue, nerveuse, une lance à incendie au débit de sperme phénoménal. Ses propos suffisaient à traduire sa déception. Il y avait des « chanceux » à grandes et grosses queues pour les autres et il y avait ma nouille de pas chanceux et, peut-être un jour, de mari cocu. Pour la consoler, je plaidai:
    -Ma chérie, n’as-tu pas joui ce soir avec mon zizi de petite taille?
    De bonne foi, elle protesta:
    -Mais si, mon amour, mais tu imagines ce que cela serait si tu avais un zob de 20 ou 25 centimètres par exemple? J’aimerais bien essayer ce genre de bites mais je n’ose même pas y penser ! Mon amour, imagine seulement, mais c’est juste un fantasme, notre fantasme, notre secret ! Imagine que je me fais prendre devant toi par une très grosse bite pendant que toi, tu masturbes ton clitoris ! Imagine notre plaisir à deux ! Moi, une épouse comblée par ses amants et toi, un mari cocu mais heureux ! 

    Au contraire, elle ne pensait qu’à ça, elle devait passer beaucoup de temps à imaginer. Et maintenant, son silence couvrait une des rêveries qui la livraient aux assauts furieux, houleux, ravageurs, extraordinaires, si délicieux et bienfaisants d’un rouleau de chair surdimensionné en train de lui labourer le ventre, de lui défoncer le vagin et de la faire hurler d’un bonheur que ma petite dimension ne pouvait pas lui faire connaître. Assurément « un chanceux » aurait fait mieux que moi et Nadia était dépitée de ne pas goûter aux béatitudes extraordinaires d’une queue longue, large, épaisse, chaude. « Tu imagines ce que cela serait »: cette petite phrase a ressuscité mes complexes d’adolescent, je me suis senti si petit, si insignifiant, si nul. Elle imaginait, elle comparait, elle devait avoir des regrets. Elle regrettait de ne pas avoir su plus tôt, de ne pas avoir pris des dimensions plus tôt, de ne pas avoir essayé avant de s’engager avec un « sous dimensionné ». Trop petit, plus petit que… Si petit et donc frustrant…Epoux cocufié à cause de son petit zizi : nécessairement ma taille la privait des explosions charnelles extrêmes dont d’autres plus chanceuses se vantaient en roucoulant. Tout petit, ridiculement petit, honteusement petit, donc impossible à placer dans une conversation avec les copines. L’idée d’être un mari cocu commençait à faire son chemin dans ma tête ! L’idée de partager avec elle les grosses bites de ses amants m’excitait au plus haut point ! Je m’imaginais déjà un mari travesti, un époux hermaphrodite, avec un clito et un vagin ! Je me masturbais souvent sur les sites candaulistes.
    Mais ma queue était pour elle, malgré tout, un sujet de conversation: je l’entendis ce jour-là dans une conversation dans ma chambre à coucher. J’ai oublié pourquoi ce jour je rentrai plus tôt que d’habitude. Curieusement, Nadia m’avait précédé à la maison. Les bruits venus de ma chambre étaient éloquents. Disons plutôt la conversation que je surpris. En réalité, c’étaient des exclamations :
    -Oh ! Est-ce possible. Quelle belle bite ! Longue, dure, épaisse. Est-ce possible ? Je peux encore toucher ?
    -Elle te plaît ? Tu vois, ce n’est pas du toc. Touche, serre, c’est du vrai, du solide, à ton service ma chère !
    - Elle est splendide, magnifique. Elle va encore grandir si je te masturbe ?… Mais oui ! Formidable, combien de centimètres en tout m’as-tu dit ?
    - Vingt-deux ! Du matériel de première qualité ! 
    - Ah! Tu es sûr, pas plus? J’aurais cru… Il faut que je prenne mon mètre de couturière. Vingt-deux seulement ? Il paraît que d’autres sont plus longues.
    - Attends que je te la mette, on verra si tu es capable de l’avaler. Tu as déjà tellement de mal à en prendre un bout dans la bouche. Gare à ta cramouille, tu vas souffrir ! Si je comprends bien, c’est ta première grosse queue. Il faudra de la vaseline, ma chère. Goûte, suce bien, oui, profite. Et ton mari cocu ?
    - Oh! Ne m’en parle pas, il en a une petite, ridicule que je ne sens même pas. Si j’avais su! Mais ne t’en fais pas, j’en ferai non seulement un mari cocu volontaire mais aussi un époux soumis !
    - Quoi, tu n’avais pas déballé sa marchandise avant de l’acheter ? Tu n’avais pas pris son paquet en main, même pas ? Je te plains. Si petite ? Tu blagues ! Pauvre fille, tu ne sais donc pas ce qu’est un véritable orgasme ! Est-il capable de te faire jouir vraiment ? 
    -A vrai dire, je ne sais plus. Je croyais, mais la vue de ce magnifique jouet me laisse penser que je passe habituellement à côté des véritables joies de la chair.
    - Ne t’inquiète pas, nous allons réparer cette erreur. Tourne-toi, présente ta moule, ouvre bien avec tes mains, lève les jambes. Tu es belle, presque aussi neuve qu’une pucelle. Tu me fais un cadeau sublime. Tu sens mon nœud contre ton con ? Tu es prête ? Attention, ça vient, un, deux... Puis un long gémissement de femme envahi la maison

    Quand même, je ne pouvais pas laisser faire, et tout cas ne pas assister comme cela a ca, je voulais lui révéler ma présence.
    - Nadia Chérie, coucou, tu es là ? Ta voiture est dehors. Veux-tu que je la rentre au garage ?
    - Ah!!! Oui mon amour, ce serait bien gentil…Oh !!! Oui !!! Encore !!! Plus fort !!! Oui, au garage, tout dans mon garage !!!

    Sa voix était hachée. Prise, elle se pâmait, envahie par l’impressionnant engin.

    Je prenais mon temps, mon asticot bandant à mort,  je mettais la voiture au garage et restait un moment au volant en me masturbant à mort en pensant à la vulve de nadia enfin dilatée.Je revient une bonne demie heure après, tout était rentré dans l’ordre. Ma petite femme, un peu trop rouge et essoufflée, dégageait une odeur de transpiration, mais faisait son possible pour paraître naturelle.

    - Chéri, voudrais-tu m’aider à tirer le lit, je n’en ai pas eu le temps ce matin.
    - C’est quoi ce slip à côté du lit ? Hou lala ! C’est du XXL. Comment a-t-il atterri à ma place ? Ce n’est pas à moi. Pas possible, beaucoup trop grand pour ma petite queue ridicule, hein? Regarde Nadia, c’est fait pour un pénis de plus de vingt centimètres. Ca ne sort pas de mon imagination. Berk ! Il est poisseux. Quelqu’un t’en aurait fait cadeau ? 
    Nadia me regarde, interdite, muette, encore plus rouge.
    -C’est peut-être le type qui s’est sauvé pendant que je rentrais ta voiture qui l’aura oublié dans sa hâte de foutre le camp ?
    -Quoi ? Que dis-tu ? Quel type ? Euh…!
    -Tu devais vérifier qu’il faisait seulement vingt-deux centimètres.
    - Ah! Oui. …Tu te souviens, je t’en avais parlé. Par curiosité, je voulais savoir, alors, j’ai invité l’ami d’une collègue à me laisser examiner son pénis. C’est ce que tu as dû entendre. Mais ce n’est pas ce que tu crois, mon amour. Oh ! Tu as cru… ? Non, juste pour voir si ça existe, rien d’autre, crois-moi. Mais quand je l’ai vu, j’avoue honnêtement, j’ai ressenti une chaleur incroyable dans tout mon corps. Terrible tu sais. Heureusement, je t’aime trop fort pour me laisser trop impressionner. Non, ne crois pas… mais vraiment, la vue de son monstre m’a…

    Tiens, tu devrais profiter toi aussi de sa bite ! Imagine, mon amour, que tu tiens ce gros zob entre tes mains, que tu le sens palpiter, grandir petit à petit comme un bébé ! Imagine que tu lèches ce monstre, que tu le suces et que tu me l’offres après !
    - Ton amie sait que ce monsieur te faisait une démonstration à domicile ? Elle est d’accord ? Je la connais ?
    - Non, c’est une nouvelle.
    - Et le démonstrateur, tu le connais?
    - Forcément, tu en as de bonnes, toi, mon amour!
    - Sais-tu où il habite ? 
    - Oui, bien sûr, je ne demanderais pas une chose pareille à un inconnu.
    - Dans ce cas, tu prends son slip, attention il est humide… tu prends tes affaires et tu vas chez lui vérifier combien de centimètres de sa queue tu es capable de recevoir dans ton sexe. Essaie-le, compare et reste chez lui un bout de temps. Mais vingt-deux centimètres, c’est loin du record ! Il y a mieux ! Cherche bien ! Ici, tu ne trouveras que mon petit zizi.

     

    - Merci chéri comme tu es compréhensif, mais c'est normal après tout , tu m'as arnaqué pendant des années avec ton sous membre d'homme ! Tu veux vraiment être cocu alors ?

    - Oui Nadia je le veux je te le dois bien,

    - Mais je veux plus je te veux soumis à moi en paiement de ton infâme nature

    - Oui, je suis prêt à être ton mari cocu, soumis si tu le veux,

    - Je dois rattraper tout ce temps perdu au lit avec toi,

    Elle devait avoir prévu un prochain départ. Elle est partie heureuse de quitter ma petite queue ridicule pour aller mesurer les plus grandes.

    Je lui ai conseillé de ne pas oublier son mètre ruban. Elle est partie deux semaines. Elle aurait changé plusieurs fois de compagnon.
    Elle en change encore aujourd’hui car je suis devenu son mari cocu volontaire, son époux soumis.

    je partage avec elle ses amants très bien membrés, elle me travesti quand ils sont là pour m'humilier et me faire payer mes "kilomètres de dette" comme elle dit !

    - Tu vas en prendre dans le cul autant qu'il m'en a manqué pendant toutes ces années.

    Elle a fait le calcul, 5 ans avec tous les jours 12 cm de queue en moins; Je lui dois 18Km de manque à pénétrer, qu'elle s'applique à me faire prendre par le cul par ses amants.


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  • Chers amis cocus, voici une modeste contribution sur la méthode pour devenir éjaculateur ultra précoce et le rester.
    Rappelons que c'est là l'un des moyens de faire en sorte que nos épouses trouvent le bonheur dans les bras d'un autre (ou de plusieurs autres) homme(s).
    C'est aussi un moyen assez habile pour rester marié puisque la définition même du cocu inclus à minima le fait d'avoir une 
    femme. Hé oui ! Si elle n'apprend jamais ce qui est écrit ci dessous, votre éjaculation précoce aura tout d'une maladie. Vous allez vous dégrader peu à peu, assurant au lit de moins en moins jusqu'a plus du tout.
    Elle ne peut donc vous en vouloir et n'a aucune raison de divorcer pour ça. 

    Par contre elle aura toutes les raisons de rechercher une verge en mesure de coulisser en elle suffisamment longtemps pour la faire jouir, ce qui ne sera plus votre cas.
    Voici donc la méthode que j'ai appliquée avec succès sur environ 20 ans
    Méthode en 8 étapes
    Etape 1 : Gérer le temps / Oublier le plaisir
    Se masturber lorsque l'on est débutant (jeune) c'est faire durer, projeter des images porno dans sa tête, arrêter lorsque 
    le méat commence à couler, puis reprendre et pour finir, lacher de longs jets au bout de 30 minutes (en ce qui me 
    concerne). 
    Il va falloir contrôler cela et totalement extraire la dimension érotique de la masturbation pour en faire 
    quelque chose de strictement mécanique. Pour cela vous aurez besoin d'un chrono qui justement va détourner votre attention.

    Etape 2 : Position.
    L'idéal est de rester habillé et de seulement baisser pantalon et culotte. Vous pouvez le faire à la 
    salle de bain, face à un miroir (c'est parfait), assis au sol cuisses ouvertes

    Etape 3 : Préparation. L'exercice ne fonctionne qu'avec une érection très nette. Sans vous toucher (très important), la 
    queue doit être tendue. Pour cette partie, vous pouvez imaginer votre épouse sous un autre homme que vous connaissez mais 
    n'appréciez pas du tout. C'est en général très très excitant. Pour moi, c'est un ex rival que je déteste

    Etape 4 : Une fois la queue bien tendue, lubrifiez votre main avec un gel intime (ou crachez dedans ça marche aussi), 
    prenez votre chrono avec l'autre main et déclenchez en même temps que vous masturbez votre queue à toute vitesse / Le plus 
    vite possible. L'objectif est de provoquer une éjaculation reflexe, sans plaisir, en moins d'une minute. 
    C'est normalement ce qui doit se passer si vous branlez très très vite dès le démarrage sans réfléchir à rien d'autre. 
    Allez y vous serez surpris. 
    Attention après l'éjaculation à ne pas rester là à réfléchir. Vous lavez vos mains, remontez culotte et pantalon 
    et retournez à vos activités. Pas de repos ou de pensées. Vous passez à autre chose point.

    Etape 5 : Raccourcir la durée. A partir de là, chaque prochaine séance doit vous permettre de gagner du temps et d'éjaculer 
    toujours plus vite. 
    Quelques règles simples : 
    Si vous le ne sentez pas (fatigue, énervement...), ne faites pas de séance. 
    Fixez vous une limite : si vous n'avez pas éjaculé au bout de 1 minute, vous arrêtez. 
    Fixez vous une pénalité : si le temps n'a pas diminué par rapport à la séance précédente, vous faites quelque chose que vous n'aimez pas. Pour moi j'avale mon 
    sperme.

    Etape 6 : Temps limite / Le succès est en vue lorsque vous réalisez l'exercice en moins de 10 secondes. 
    Mon record est de... 0 secondes et aucun mouvement de pompe sur ma queue. J'ai juté sans me toucher et sans le moindre plaisir, 
    l'éjaculation étant devenue purement réflexe. Là vous pouvez passer à l'étape 7 de frustration

    Etape 7 : Cette étape de frustration de votre épouse est facilitée si, comme c'est le cas de ma petite chinoise, elle 
    mouille peu. Dans ce cas, la pénétration nécessite l'application d'un gel sur le pénis (ou de salive). Il est alors très 
    simple de faire quelques mouvements de la main pour répendre le gel sur la bite et de lacher à la grande surprise de votre 
    épouse les jets de semence dans les poils avant même d'avoir pénétré le vagin. Vous pouvez alors vous excuser piteusement et essuyer le chatte avec un linge en lui disant que vous ferez mieux la prochaine fois.
    Ne compensez surtout pas en léchant la fente, elle doit rester frustrée pour aller sous un autre à terme.

    Etape 8 : Recommencez encore et encore en éjaculant dès que vous baissez votre culotte, ou au contact de la fente ou 
    carrément dans votre culotte, tout ceci grâce au maintien de l'entrainement plus haut qui ne doit jamais s'arrêter. 
    Je peux vous assurer que le regard de votre femme lorsque vous baissez votre culotte remplie de sperme face à elle et en pleine lumière vaut le détour. Au début, elle était très malheureuse pour moi et me disant des phrases comme "oh mon chéri, tu as déjà fait !". Aujourd'hui elle rigole en disant "encore !" ou "déjà"
    *
    Il n'a fallu que quelques mois après l'étape 7 dite de frustration pour que ma femme Anne aille sous un autre. Je lui en ai 
    parlé ouvertement, prétendant que je consultais un spécialiste et qu'il n'y avait rien à faire pour empêcher l'émission 
    immédiate du sperme. Je l'ai fortement encouragée à mener sa vie sainement et à rester une femme dans tous les sens du 
    terme. Elle va sous l'un de ses collègues qu'elle m'a d'ailleurs présenté et elle ne me cache rien, lui même étant marié et 
    assez malheureux en couple. 
    J'ai toujours le droit de "coucher" avec elle et elle me caresse tendrement la tête lorque je baisse ma culotte et que mon sperme gicle dans les poils. Elle me demande d'ailleurs maintenant de la lécher, ce que je ne refuse plus puiqu'elle à trouvé un autre homme pour la monter comme elle le mérite. 
    Mon éjaculation est devenue si réflexe que j'englue régulièrement mon slip en voyant des femmes asiatiques dans le métro ou le bus/ Elles me rappellent ma femme.
    Voilà / Bon entrainement


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  • Elle me trait tous les jours, dès que l’on se met au lit et qu’elle n’est pas en soirée avec ses copines ou ses amants,

    "Aller gros lard en place"  dit elle d’un ton monocorde.

    Moi je bande déjà dans un reflexe Pavlovien, me mettre nue et à quatre patte provoque aussitôt mon pauvre désir.

     Je me mets sur le ventre sur le lit me frottant bien sur l’entrejambe et les couilles, puis sur son ordre à quatre pattes, elle mets en place la serviette sous mes genoux et sa culotte du jour sur la tête, l’entrejambe bien placé sur mon nez, puis elle attrape ma pine et la branle sans autre forme d’attention dans un rythme très régulier et assez rapide.

    Je ne la vois pas, elle est derrière moi et feuillette parfois un magazine de l’autre main.

    « Allez dépêche toi » dit-elle énervée quand ca dure un peu.

    Moi, je me concentre pour jouir au plus vite pour lui faire plaisir, et la libérer de cette tache fastidieuse.

    Quand elle a le temps ou l’humeur, elle joue avec, avec tirant ma pine entre mes fesses et disant « tu ne risques pas de t’enculer tout seul avec cette petite queue », parfois énervée elle me gifle les couilles sous mes cris « j’en ai marre de te tirer ta cuillère à café de jus tous les soirs », elle claque mes fesses qui tremblent flasques accompagnant mes gémissements. " Mon Dieu comment ai-je pu épouser cela !"

    Au mieux quand elle est en forme, pour en finir, elle m’enfonce le god de la table de nuit dans le cul violemment ce qui généralement provoque immédiatement mon éjaculation, « j’en revient pas t’es vraiment une lopette » ses insultes autant que la dilatation brutal de mon anus me fond gicler deux ou trois goutte de semence inutile. Si elle se retrouve avec du sperme sur la main elle me la donne à lécher.

     Cette convention est assez vite arrivée, où soumis à elle depuis le début, et peu capable au lit vu la taille restreinte de mon sexe 12cm par 3 ; ma femme, très autoritaire décida vite de ne plus avoir de rapport avec moi, très belle et moi assez aisé, le deal s’établi assez vite qu’elle jouirait de mes revenus et de son statut de femme libre et moi j’aurais la chance de l’avoir à mon bras en société et en famille où elle donne le change.

    Depuis lors je bosse la journée dans mon entreprise et elle a la journée libre, jouissant de mon argent pour son shopping, de ses rencontres avec ses partenaires de sexe, nos enfants ne sont pas de moi, bien sur, conçues avec ses amants, ma fille et mon garçon ne me ressemblent pas et j’en soufre un peu (Mais j’en jouie également car ils me rappellent quotidiennement que je suis un sous homme bien chanceux d’avoir une femme attentionnée et de beaux enfants finalement).

    Aussi elle remplaça nos rapports par cette branlette quotidienne, elle dit qu’elle me trait, (elle parle de mon pis de vache). Cela devient de plus en plus hygiénique et ma femme, comme un contrat moral, le fait tous les soirs. Si je suis désagréable ou que je la contrarie , elle me glisse dans l’oreille que je ne serais pas trait ce soir, aussitôt je baisse les yeux et me reprend à l’idée de ne pas avoir mon soulagement quotidien...


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  • Un jour, ma femme et moi étions sexuellement très excités, et on avait envie de fumer un peu d’herbe pour nous détendre et faire l’amour tranquillement.
    Je téléphonais à Abdel, un petit dealer que je connaissais, qui me donna rencard chez lui à 18h. Ma femme avait mis une mini-jupe, et n’avait pas mis de culotte : j’adorais ça, j’adorais savoir qu’elle était nue sous sa jupe lorsqu’on se promenait dans les rues de Paris et dans le métro. Cette situation nous excitait tout les deux très fortement.

    Arrivés chez Abdel, je sonnais et, immédiatement, j’entendis des aboiements derrière la porte. J’étais très étonné car je ne savais pas qu’Abdel avait fait l’acquisition d’un chien.

    Après nous avoir ouvert, Abdel me dit que c’était le Pitbull d’une copine à lui, qui lui avait laissé en garde pendant qu’elle faisait un break de six mois à l’étranger.

    Le problème c’est que le chien était salement énervé et, surtout, très entreprenant. C’était comme comme s’il avait été très attiré par l’odeur de la chatte de ma femme. C’était très gênant. Comme ma femme n’avait pas de culotte, je comprenais qu’il devait sentir directement l’odeur de son sexe, mais je n’avais pas envie de le dire à Abdel.

    Ma femme n’arrêtait pas de repousser le chien, mais celui-ci arrivait tout de même à laper par-ci par-là de temps en temps sous sa jupe, ce qui ne manquait pas de déclencher chez ma femme un rire gêné.

    Je voyais bien que ma femme avait à la fois envie d’en rire mais qu’elle était également très embarrassée.

    Au bout d’un moment, Abdel, lui aussi gêné, en a eu assez, il prit le Pitbull par le collier et le mit dans une pièce à part.

    Nous nous sommes enfin assis dans le salon et avons commencer à fumer l’herbe que nous proposait Abdel. Nous discutions tranquillement bien installé dans les canapés et l’effet de la substance commençait à se faire sentir. On se sentait de plus en plus tranquille et détendu, mais derrière la porte, le chien, lui, était toujours très énervé et n’arrêtait pas d’aboyer, comme s’il voulait participer à notre petite partie.

    Nous continuons à fumer en rigolant et on s’excitait de plus en plus, lorsqu’à un moment, entendant les gémissements du chien, ma femme ne pu s’empêcher de dire à Abdel qu’elle se sentait tout de même une peu coupable d’avoir fait enfermer la pauvre bête dans une pièce à part.

    Abdel lui répondit qu’il voulait bien laisser sortir le chien mais qu’il allait continuer à essayer de la lécher surtout dans l’état dans lequel elle se trouvait désormais, rigolarde et grisée, car, lui précisa-t-il, les chiens sentent immédiatement l’excitation des humains.

    Ma femme rigola et insista pour libérer le chien.

    Abdel alla à la porte, l’ouvrit et, évidemment, se passa ce qui devait se passer… Le chien se jeta immédiatement sous les jupes de ma femme pour la lécher de plus belles !

    Ma femme lâcha de petits cris deux trois fois en essayant de le repousser, mais on voyait bien que les coups langue du Pitbull atteignaient souvent leur but et ne la laissait pas sans effet, ma femme rigolant de plus belle sous l’effet de l’herbe.

    Au bout d’un moment, Abdel compris ce que tout le monde commençait à comprendre à demi-mots… Il me regarda et me dit :
    - Putain, fini ce petit manège mon pote, ta femme a vraiment envie se faire lécher par le Pit !

    Alors que je restais interloqué par sa réflexion, Abdel se leva, prit le Pitbull par le collier et s’adressa directement à ma femme :
    - T’as envie de te faire lécher par le chien ?

    Ma femme était éberluée, elle rigolait, mais ne répondait rien, tandis que le Pitbull essayait de jouer du collier et d’avancer vers ma femme pour lui donner quelques coups langues supplémentaires.

    Abdel le retenait toujours par le collier mais approcha un peu plus le Pit de ma femme et répéta la question :
    - T’as envie de te faire lécher par le chien salope ? Répond !

    Ma femme me regarda hagard et excitée, cette fois-ci elle ne rigolait plus et ne savait plus quoi répondre.

    Abdel alors prit les choses main, et il lui dit d’un ton assuré :
    - Allez salope, lève ta jupe et fais toi bouffer devant ton mari, t’en as envie hein ? Dis-le !

    Il approcha le Pitbull tout près de la chatte de ma femme, le chien essayait de laper de plus belle en allongeant sa langue des quelques centimètres qui le séparaient de la chatte de ma femme… « Ouvre tes cuisses salope ! » dit une dernière fois Abdel.

    Ma femme s’exécuta timidement et s’abandonna alors totalement sous les coups de langues épaisses du Pit !

    Le spectacle était affolant. Au bout de quelques secondes la chatte de ma femme était complètement engorgée et elle gémissait comme une chienne en chaleur.

    Elle ne nous calculait plus. Elle se tordait sous les babines épaisses du Pitbull qui, affamé, ne semblait plus pouvoir s’arrêter.

    Je vis Abdel s’asseoir à côté de moi et sortir sa bite et commencer à se branler devant le spectacle. Sa queue était énorme. Trois fois plus grosse que la mienne. Il se branlait tout en commentant le spectacle.
    - Ta femme va se faire niquer par le Pit mon pote, tu vas voir, il va finir par la niquer… 2 contre 1 !

    Ma femme gémissait de plus en plus.

    Je n’en pouvais plus. Je sortis moi aussi ma queue et commençais à me palucher à côté de l’énorme bite d’Abdel, qui commentait toujours le spectacle.

    - Regarde elle commence à avoir envie de se faire monter…

    Effectivement, le Pit commençait à essayer de monter sur ma femme, mais c’était pas pratique de la prendre en missionnaire, il ne faisait que s’accrocher à ses cuisses.

    - Regarde-la, elle commence à écarter les cuisses… elle a envie de se faire monter, regarde…

    Abdel me regarda me masturber et me dit :
    - Ça excite ta petite bite hein ? Le Pit’ va te niquer ta femme avec sa grosse queue mon pote !

    J’étais au bord de l’éjaculation.

    « Tu n’y arriveras pas comme ça salope, dit Abdel, faut que tu mettes à quatre pattes… »

    Le Pitbull essayait de plus en plus de monter sur ma femme, qui écartait de plus en plus les jambes, mais le chien n’arrivait qu’à attraper une de ses cuisses : tantôt la droite, tantôt la gauche, alternativement ; son sexe, sorti du fourreau, dardait vers ma femme, mais n’arrivait toujours pas à trouver le chemin.

    Ma femme gémissait, elle avait maintenant manifestement envie que le Pit la monte, elle écartait les jambes mais ne savait pas comment s’y prendre.

    Là encore, Abdel prit les choses en main. Il sortit de la pièce et revient avec une laisse au bout de laquelle était fixé un gros collier de chien.

    Abdel s’approcha de ma femme et lui passa le collier autour du coup, puis il prit l’autre bout de la laisse et lui dit sèchement :
    - Allez, fous toi à quatre patte maintenant !

    Ma femme descendis du canapé et se mis à quatre patte sur le tapis.

    Abdel la fit tourner au bout de sa laisse tout autour de la pièce, avec le Pit qui la suivait à la trace en essayant de lui monter dessus.

    Au bout d’un moment Abdel s’arrêta et le Pit essaya de monter ma femme, trois ou quatre fois sans réussite. À la cinquième fois, il lui fourra violemment sa bite dans la chatte et entama un va-et-vient à une cadence hallucinante, entrainant des cris suraigus de ma femme. Elle jouissait d’une manière totalement extraordinaire, autant du rythme infernal des va-et-vient du Pit que de se faire humilier de la sorte.

    Cette scène extraordinaire scène dura bien 40 ou 50 secondes, avant que le Pit ne se calme, et finit par rester immobile, accroché au con de ma femme.

    Sa bite avait tellement grossie qu’elle était prisonnière de la chatte de ma femme, qui le retenait jusqu’au nœud.

    Ma femme continuait de gémir, car manifestement, la bite du Pit continuait d’éjaculer dans son con.

    Le Pit et ma femme étaient tous deux essoufflés, essayant chacun de reprendre leur souffle, mais ma femme continuait manifestement à jouir.

    Cela dura bien trois ou quatre minutes, avant que le Pit déconna dans un bruit de jet d’urine : c’était le sperme enfermé dans la chatte de ma femme qui soudain d’échappait. Au même moment, ma femme laissa échappé un cri suraigu, puis s’allongea sur le dos comme essoufflée, râlant encore de plaisir.

    Le Pit tournait lentement autour d’elle, sa grosse queue encore turgescente brinquebalait entre ses pattes, en laissant régulièrement échappée d’énormes giclées de sperme.

    Ma femme se masturbait machinalement en râlant, les yeux hagards.

    C’est alors qu’Abdel intervint de nouveau :
    - Finis-le salope ! Suce lui sa grosse queue, prends la dans ta bouche !… Vas y il a envie se faire sucer maintenant !

    À ces mots ma femme recommença à geindre et à se masturber de plus belle, tandis qu’Abdel, s’accroupit, pris la queue du chien à sa base, et l’approcha de la bouche de ma femme.

    Ma femme se prit alors un énorme giclée de sperme en travers de la figure et dans un râle, commença à lécher la bite turgescente du Pit.

    « Vas y prends-la toute dans ta bouche salope ! », l’encouragea Abdel.

    Ma femme s’empara alors de l’énorme queue et la glissa profondément dans sa bouche et la suça en va-et-vient tandis que le Pit lui léchait sa chatte encore toute mouillée. Un 69 bestiale s’ensuivit, enivrant, ma femme râlait à chaque giclée de sperme du Pit qui, lui, la léchait de plus belle…

    Abdel n’en pouvait plus, il prit à nouveau son sexe dans sa main et recommença à branler son énorme bite en me regardant et en traitant ma femme de salope de blanche, de chienne en chaleur et j’en passe.

    Au bout d’un moment, la queue du Pit se dégonfla et le chien s’éloigna, laissant ma femme seule, allongée sur le dos, se masturbant sur le tapis…

    C’est là qu’Abdel s’approcha de ma femme, s’accroupit en continuant à se branler et l’insulter et, soudain, lui lâcha dans la bouche une énorme giclée de sperme que ma femme tentât de capter du mieux qu’elle pouvait, tandis qu’Abdel la traitait de chienne en chaleur.

    À la dernière giclée, ma femme avança sa bouche vers le gland d’Abdel, s’en empara puis le suça comme pour en faire sortir le dernières gouttes de semence… Abdel l’insultait :
    - Vas-y salope, suce la grosse queue d’Arabe, pompe encore, t’as encore envie de pomper de la grosse queue de rebeu hein ? Salope !

    Me femme n’arrêtait pas de pomper la bite d’Abdel qui commençait enfin à se dégonfler.

    Au bout d’un moment, Abdel en eut marre.

    « Allez, ça va sale pute, ça suffit », dit Abdel en se relevant. « C’est pas le tout les amis, mais j’ai un autre deal à conclure dans 10 mn, et il faudrait que je clean un peu tout ce merdier avant ! Il est temps partir les amis ! »

    Ma femme se rhabilla, et Abdel nous raccompagna à la porte. Au moment de partir il me dit :
    - Ta femme voudra recommencer mec, c’est sûr, je sais pas dans combien de temps, mais après avoir gouté à ça, on peut plus s’en passer mec… La prochaine fois, je te prendrai 300€ pour que le Pit baise ta femme, prix d’ami ! Tu me passes un coup de fil avant, et je vous dirai quand passer ! Allez salut, à la revoyure !

    Ma femme et moi, nous descendîmes l’escalier sans un mot, main dans la main. Nous rentrâmes chez nous, et une fois arrivé, on ne put s’empêcher de se jeter l’un sur l’autre et de faire l’amour surexcités comme des bêtes.

    Ça dura comme ça une semaine, chaque jour, chaque soir, à baiser comme des fous ! Jusqu’à ce qu’un jour… je compris, à demi-mots, que ma femme avait encore envie d’aller chez Abdel. Alors, moi aussi, tout excité, je pris mon téléphone, et composa le numéro.


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