• Guillaume était déjà l'an dernier, et est toujours, mon meilleur ami. Nous avons fait nos études ensemble, il vit près de Paris alors que ma femme Hélène et moi vivons désormais à Lille. Il est marié, et sa femme était enceinte depuis plusieurs mois lorsqu'il est venu passer deux jours à Lille pour une formation professionnelle. Evidemment je lui ai proposé de l'héberger.

    Hélène a deux ans de moins que moi, cela lui faisait alors 26 ans et moi 28. Elle est plutôt jolie, 1m68, mince, et surtout des seins magnifiques (100 bonnet D !!) qui font toujours se retourner les hommes dans la rue. Elle a beaucoup de tempérament, alors que je suis plutôt réservé. Guillaume a mon âge et il me ressemble pas mal : brun, mignon, 1m75. Mais il fait plus de sport que moi, il est beaucoup plus sociable, et il s'est toujours vanté devant moi d'être capable de pouvoir faire l'amour 7 ou 8 fois dans une nuit, et d'être mieux monté que moi. Ce qui est vrai (je l'ai constaté sous les douches, après le foot), en tout cas son sexe au repos est franchement gros, le genre de queue qui pend lourdement entre les jambes, et je ne l'avais jamais vu en érection.

    Il faut dire que notre amitié est forte, mais qu'elle a toujours été teintée d'une sorte d'inégalité, de supériorité de sa part : il me traitait parfois de sous-homme en plaisantant, il m'a souvent chambré en disant que je rêvais sûrement de lui sucer la queue, et devant les filles, pendant nos études, il me vannait sur nos performances sexuelles respectives. Il a été surpris quand j'ai épousé une bombe sexuelle, il y a 4 ans maintenant ... Moi, de mon côté je me suis toujours senti inférieur à ce genre de mec, sûr de lui avec les femmes, fier de sa queue et toujours prêt à des prouesses sexuelles, alors que je n'arrive pas à faire l'amour plus d'une fois par nuit ... Mais malgré cela, nous avons toujours été très liés, très amis, il m'a rendu pas mal de services dans le cadre professionnel et moi aussi.

    Quand il est arrivé à Lille, il devait être 18h ; j'étais allé le cherche à la gare, et je l'ai amené jusqu'à notre appartement, où Hélène nous attendait. Sur le trajet, Guillaume m'a parlé de la grossesse de sa femme, et m'a dit que, évidemment, pour lui l'abstinence sexuelle était incroyablement dure à supporter ; il m'a demandé en riant si je ne connaissais pas une pute, pour qu'il puisse se soulager. Arrivés chez moi, on a discuté, bu un verre, puis on a dîné. Guillaume et Hélène se connaissent depuis plusieurs années, et il m'a toujours dit que d'après lui « cette fille n'est pas pour moi ». Je sais aussi qu'il a toujours été très très intéressé par ses seins, et il les regarde souvent en douce.

    Après le dîner, on s'est installés au salon, devant la télé, Guillaume et moi sur un canapé, Hélène sur l'autre canapé. Comme il n'y avait rien d'intéressant à la télé, on a commencé à discuter de tout et de rien. Pendant la discussion, j'ai commencé à remarquer les regards de plus en plus fréquents que Guillaume posait sur les seins de ma femme. Elle portait un tee-shirt blanc et une jupe beige courte : des vêtements pas faits pour être sexys, mais un tee-shirt sur des seins de taille 100 D, c'est forcément sexy pour un homme, surtout un queutard comme Guillaume, et surtout quand il n'a pas pu coucher avec sa femme depuis pas mal de temps.

    Ses regards m'ont excité, et c'est moi qui, sans doute avec une arrière pensée perverse, mais pas encore bien nette dans mon cerveau, ai proposé un poker. Comme Guillaume faisait remarquer qu'il n'avait pas beaucoup d'argent sur lui, j'ai donc ajouté, encore poussé par ce début de désir un peu masochiste et pervers de voir l'effet des seins de ma femme sur lui : « bon alors on fait un strip-poker ! ». Immédiatement les yeux de Guillaume se sont mis à briller et son visage s'est éclairé. Hélène m'a plus surpris en disant criant presque « d'accord ! ». Je pense qu'elle n'avait pas été insensible aux regards de Guillaume sur son tee-shirt (Et elle se souvenait sans doute de sa réputation) ...Peut-être même avait-elle apprécié la carrure de mon meilleur ami, qui portait lui aussi un tee-shirt clair, et un jean moulant son entrejambe.

    Très vite Guillaume s'est retrouvé torse nu ; un torse plus dessiné que le mien, avec des épaules bien larges. Hélène plaisantait avec lui, et je me suis assez vite senti un peu en dehors de la conversation. Ils ne se draguaient pas ouvertement, mais ça s'en rapprochait. Le jeu continuait, Hélène s'est retrouvée en soutien-gorge, puis elle a perdu sa jupe. Moi je me suis retrouvé aussi en caleçon, mais ça n'avait l'air d'intéresser personne. Les yeux de Guillaume brillaient, et quand il a perdu à nouveau, il a enlevé son jean et s'est retrouvé en caleçon moulant, avec une érection monstrueuse bien visible sous le caleçon, qu'Hélène et moi faisions semblant de ne pas remarquer. Le visage de Guillaume au contraire brillait de fierté. Les choses pouvaient déraper, ou au contraire en rester là. Clairement, Guillaume avait envie que ça dérape, Hélène aussi, et moi aussi... même si moi je le cachais.

    C'est quand Hélène a encore perdu que les choses se sont précipitées. Elle devait logiquement ôter son soutien-gorge et dévoiler enfin ses très gros seins devant mon meilleur copain en rut. Mais j'ai eu peur, tout en en ayant envie. J'ai donc proposé qu'elle garde son soutien-gorge, mais que la prochaine fois qu'elle perdrait, elle l'enlèverait et aurait en plus un gage. Guillaume qui commençait à craindre que les choses tournent moins bien que prévu, sauta sur l'occasion et décida que le gage serait que celui qui lui ferait perdre son soutien-gorge, serait chargé de le lui enlever lui-même.

    D'un ton résigné, je dis « d'accord », mais c'est Guillaume qui a perdu le coup suivant. Il du donc enlever son caleçon, ce qui n'a pas semblé le gêner : assez fièrement, il se leva, baissa son caleçon, et Hélène et moi avons donc eu droit au spectacle d'une énorme queue en érection, dressée devant nous. Puis il revint s'assoir à côté de moi, en laissant bien son membre en évidence, raide et dur comme un pieu en bois.

    Hélène dissimulait mal l'état d'excitation dans lequel elle était, et Guillaume était l'image même du mâle très fier de sa virilité, sourire narquois aux lèvres, pas gêné du tout. Puis Hélène a perdu le coup suivant, et je pense que c'était tout sauf un hasard. Guillaume lui fit signe de s'approcher, elle s'assit à côté de lui, sur le même canapé que moi, les seins tournés vers lui, et il lui dégrafa son soutien-gorge, avec une érection toujours énorme ; quand le soutien-gorge tomba, il lui dit « t'as vraiment des seins magnifiques » et il commença à les caresser du bout des doigts. Il se tourna vers moi et me dis « tu ne m'en veux pas, ça faisait partie du gage, non ? Et j'ai pas touché une femme depuis des mois ... » et je ne répondis rien d'autre qu'un sourire gêné. Bien sûr il comprit que je me retirais du jeu et qu'il devenait logiquement « le mâle dominant » dans cet appartement. Hélène se laissait faire, rougissante en baissant les yeux, et Guillaume lui prit les seins dans ses mains, plus franchement, en poussant quelques « mmmhhhhhh » de satisfaction.

    Puis je lui fis remarquer que le gage était terminé, et il s'arrêta, gentiment, de caresser les seins de ma femme, et elle est retournée sur l'autre canapé, légèrement haletante, très troublée visiblement. Elle portait toujours sa culotte, mais perdit encore le coup suivant, et je me retrouvais comme dans un état de somnambulisme, ne sachant plus si je voulais tout arrêter ou au contraire les pousser dans les bras l'un de l'autre. Cette fois-ci elle enleva elle-même sa culotte, et Guillaume se leva très naturellement, avec son énorme trique, et vint s'asseoir à côté d'elle. Il me demanda « on continue ? », ce qui semblait s'appliquer au strip-poker (ou à autre chose ?), et je répondis « oui » d'une voix tremblante, Hélène chuchotant un « oui » aussi. Visiblement les choses étaient allées trop loin pour revenir en arrière. Je perdis le coup suivant et Guillaume décida que mon gage serait qu'il embrasse ma femme, ce qui n'était pas un gage normal dans la mesure où j'avais encore mon caleçon que j'aurais donc du enlever.

    Je répondis « ok », et Hélène vint s'asseoir sur ses genoux, « en amazone », et il l'embrassa à pleine bouche en lui caressant les hanches, les cuisses et de nouveau les seins. Il me regarda ensuite de nouveau, en me demandant si ça me gênait qu'il embrasse les seins d'Hélène. Visiblement on ne parlait plus de strip-poker, mais il avait l'air de dire qu'il se contenterait de caresses et de baisers. Je pus juste faire un « oui » de la tête, et il prit Hélène dans ses bras, la coucha sur le canapé, et vint se placer à l'horizontal, sans se poser sur elle, et il commença à lui lécher les seins, en se soutenant sur ses avant-bras, à les manger presque, devant moi, en remontant parfois sur son cou, ses lèvres, redescendant ensuite sur sa grosse poitrine. Je pensais au sexe de Guillaume qu'elle devait sentir tendu contre elle...Cela durait depuis quelques instants, il poussait des petits gémissements, et Hélène encore plus, elle écartait insensiblement les cuisses, et elle commença alors à lui caresser les épaules et les bras, presque tendrement. Je vis alors le corps de Guillaume descendre au point de toucher celui d'Hélène, cela dura quelques secondes, puis il tourna le visage vers moi et dit d'un ton soudain grave et légèrement autoritaire : « faut que je la baise, j'en peux plus », et sans attendre de réponse, il prit sa grosse queue dans une main, la décalotta, l'approcha de la fente d'Hélène, et pénétra ma femme sous mes yeux, faisant entrer toute sa queue dans sa chatte, assez rapidement. Leurs gémissements devinrent plus forts, il se mit à la limer sans complexe, en lui rouant des pelles, et je devins complètements spectateur.

    Pendant un gros quart d'heure, Guillaume fit l'amour à ma femme, de façon très vigoureuse, comme un macho en rut fait l'amour à une femme dont il a envie depuis un moment. Clairement, il lui bourrait la chatte et voulait tirer un coup, pas commencer une histoire d'amour. Cependant, ils s'embrassaient aussi, se caressaient, leurs gestes n'était pas tendres, mais pas violents non plus, c'était les gestes d'un couple qui baise, un homme en rut et une femme en chaleur. Ils sont restés dans la position « du missionnaire » pendant tout le temps où ils ont fait l'amour. Hélène murmurait des « encore, encore ... ! », des « c'est bon, prends-moi fort », et Guillaume ne répondait rien, sauf à un moment où il lui murmura « je vais te baiser toute la nuit » et Hélène soupira un long « oui ... ».

    Hélène avait vraiment les gestes, les gémissements et l'air d'une femme qui prend un plaisir incroyable. Ses gémissements devenaient des cris rauques de plaisir quand Guillaume poussait sa grosse queue large tout au fond de son vagin, tout en lui léchant les seins ou le cou. Guillaume n'avait pas mis de préservatif, mais cela ne l'empêcha pas d'éjaculer dans le vagin de ma femme, sans aucun scrupule. Ils restèrent ensuite enlacés quelques secondes, se roulèrent une pelle, puis Guillaume se retira, s'assit sur le canapé sans rien dire, et Hélène se leva pour aller à la salle-de-bains.

    Après quelques secondes de silence, Guillaume me regarda, il n'avait pas l'air honteux du tout, mais il me dit quand même : « désolé », et moi, sortant de mon hébétude, je lui répondis quelque chose comme « ne sois pas désolé, tu avais envie d'elle, elle avait envie de toi, je n'ai pas à me mettre entre vous ».

    Il me répondit, en souriant gentiment « t'es un peu lopette, quand même, franchement ! ». Guillaume restait nu, assis, sa grosse queue débandant lentement. Quand Hélène revint, avec une culotte et un tee-shirt, elle évitait mon regard. Guillaume hésita quelques secondes puis se leva, la prit par la taille, l'embrassa de nouveau, et lui dit « on va dans la chambre, j'ai encore envie de toi ». Sa queue recommençait à grossir. Hélène sembla gênée, mais Guillaume lui dit « t'inquiète » et pour lui prouver que tout allait bien il se tourna vers moi et me dit « bon, ben tu dors sur le canapé cette nuit » d'un ton certes autoritaire, un peu supérieur, mais pas méchant.

    Comme Hélène se dirigeait vers la chambre, visiblement ravie de passer la nuit dans les bras d'un amant aussi vigoureux, je dis « Guillaume », il se retourna, revins vers moi, son membre cette fois-ci complètement gros et raide, et je lui dis « tu ne veux pas mettre un préservatif, quand même ? » en désignant cette énorme bite avec ma main. Il me répondit en souriant gentiment « non, c'est plus agréable sans, ça me donne plus de sensations et à ta femme aussi » ; il s'interrompit et ajouta « franchement, tu ne veux pas que je raconte à nos potes que tu es allé me chercher des préservatifs pour que je baise ta femme ? » et ma voix redevint mourante quand je répondis un timide « non ... ».

    Ils ont passé la nuit à faire l'amour, j'ai entendu le lit grincer presque sans interruption, leurs gémissements, les paroles étouffées ... c'était pour moi à la fois un enfer brûlant et une scène d'un érotisme torride. J'ai dormi sur le canapé en me réveillant  et me masturbant à chaque fois que j'entendais leurs ébats de l'autre côté de la cloison. Franchement, Guillaume est aussi endurant au lit qu'il me le disait en se vantant, et Hélène était visiblement au septième ciel, en tout cas elle le criait.

    C'était très étrange de me faire cocufier par mon meilleur ami, dans mon lit et avec mon consentement, mais sous son emprise, et de le voir me parler avec ce mélange de supériorité et de gentillesse, en sentant bien de toute façon que son amitié pour moi s'effaçait complètement devant son envie irrésistible de baiser ma femme, de la posséder sans que je me sente même me droit de m'y opposer.

    Au matin, Guillaume en caleçon dans la cuisine était visiblement le maître des lieux. Je lui ai proposé une tasse de café, qu'il a acceptée, à un moment il m'a passé la main sur l'épaule sans rien dire, en me regardant dans les yeux : encore cette amitié et cette supériorité, mélangées, indissociables. Il est parti pour suivre sa 2ème journée de formation, sans caresser Hélène, sans un geste montrant qu'il l'avait possédée toute la nuit, juste un léger baiser sur les lèvres en se disant au revoir, une poignée de mains pour moi, et il franchit la porte.

    Hélène est partie se doucher avant sa journée de travail, et nous n'avons jamais reparlé de cette nuit. Guillaume est toujours mon meilleur ami, je l'admire encore plus qu'avant, on se voit souvent, parfois avec Hélène et avec Virginie, sa femme, mais à ma connaissance il ne s'est jamais rien repassé entre eux depuis un an, même si je surprends toujours fréquemment des regards insistants de Guillaume.. sur les seins de ma femme.


    votre commentaire
  • Merci Seb pour cette excroissance sans intérêt.


    2 commentaires
  • Rien a faire avec ca...


    votre commentaire

  • Avoir une petite bite prédestine effectivement les sous males à être cocus.

    La nature ou la génétique a doté les hommes comme moi de sexes bien trop petits pour combler une femme. Ma première épouse, lassée par ma toute petite queue (9cm en érection) m'a souvent cocufié, puis a fini par me plaquer, non sans m'avoir auparavant bien convaincu de mon infériorité.

    C'est donc conscient de cela que j'ai connu ma compagne actuelle. J'avais 40 ans, elle 22, mignonne, vierge et très innocente, elle n'avait aucune idée de la taille normale d'un sexe. J'aurai pu ne rien dire, mais ma première épouse m'avait bien conditionné. J'ai donc très rapidement avoué à Cécile que le peu de sensations qu'elle éprouvait lors de mes saillies était du à la petitesse de mon sexe.

    Très amoureuse de moi, elle prit cela avec amusement, disant ne pas y accorder d'importance. Elle disait il est vrai, regretter de ne pas me sentir en elle et trouvait mes prestations bien trop brèves (je suis éjaculateur précoce), mais se contentait de jouir sous ma langue.

    Un soir cependant, alors que j'étais déjà au lit, elle arriva munie d'un mètre de couturière et voulut mesurer mon sexe au repos et en érection. Je ressentis une humiliation et une honte intenses qui m'excitèrent prodigieusement. Je pus voir sa mine dépitée lors des mesures (4x2 au repos, 9x3 en érection). Elle avait longuement discuté avec son amie Elisabeth ce jour là et celle ci lui avait dit le plus grand bien des sexes de grande taille. Ma compagne, ignorant mes dimensions, avait donc voulu vérifier si ma bite était si petite que celà.

    Le moins qu'on puisse dire, est qu'elle fut fixée. Je fus tellement excité que je me ruais sur elle et éjaculais en la pénétrant. Par la suite, elle refusa de plus en plus souvent de faire l'amour avec moi, les rares saillies se terminant à chaque fois en quelques secondes.

    Puis vint la période ou je n'eus plus le plaisir de la prendre. Pour celà elle utilisa une technique imparable qu'elle utilise toujours. Je dois la lécher jusqu'à l'orgasme, puis ensuite elle me dit que je pourrai venir en elle si je suis capable de retenir ma semence un certain temps alors qu'elle me masturbe. Au début je devais me retenir 30 secondes, elle arrivait sans peine à me faire gicler avant le délai fatidique en se moquant de mon petit sexe. A ma demande, elle a accepté de diminuer le délai. Ce furent 20 secondes, puis 10 et actuellement 5 secondes. Elle est devenue experte en masturbation et me conditionne tellement bien qu'il n'est pas rare que j'éjacule au moment ou elle saisit mon sexe pour le branler. Celà fait maintenant plus de 4 ans que je ne l'ai pas pénétrée.


    Nous sommes toujours très amoureux l'un de l'autre, elle n'envisage aucunement de me quitter, cependant elle désirait avoir du plaisir autrement qu'avec ma langue ou mes doigts. Celà a été long à venir, mais elle a fini par me cocufier. Je l'ai longtemps poussée à essayer un vrai male, j'acceptais qu'elle me trompe, mais j'y mettais une condition, elle devait me tenir au courant. Il y a un an environ, elle m'a avoué avoir franchi le pas. Ce jour là j'étais fou d'excitation, je lui ai demandé de me raconter en détails. J'ai léché longuement sa chatte qu'avait exploré le sexe d'un autre homme alors qu'elle me décrivait mon premier cocufiage.


    Abdel, un collègue de travail a eu l'insigne honneur de faire découvrir à ma compagne les joies d'une bonne pénétration. Aux dires de ma compagne, le sexe de son amant n'est pas extravagant, mais ses 18cm de long pour 5cm de diamètre sont amplements suffisants pour l'emmener au 7ème ciel ( c'est quand même le double de moi) il est très endurant et est capable de lui fournir plusieurs orgasmes avant de se vider.

    Au début il mettait évidemment un préservatif, mais face à mon insistance et la confiance venant, ma compagne accepte maintenant qu'il se vide en elle. Un bon cocufiage nécessite l'enfoutrage et aux dires de Cécile, celui ci est particulièrement copieux. Nous n'en sommes pas encore au stade ou je dois, comme tout bon cocu soumis, lécher sa chatte souillée, Cécile se lave toujours avant de quitter Abdel, mais dès qu'elle arrive, je me rue sur elle pour la lécher et je suis prodigieusement excité à l'idée que le male a envoyé de longues giclées de sperme au plus profond de son intimité.


    Nous sommes parfaitement épanouis,Cécile a toujours autant d'amour pour moi, elle voit Abdel une ou deux fois par semaine et ses besoins sexuels sont comblés. Ils n'envisagent pas pour le moment que je puisse assister aux saillies, je me branle beaucoup, Cécile ne rechigne pas à me le faire, mais il est hors de question que je la prenne et celà comble mon désir de soumission et d'humiliation.

    Comme elle dit e riant, " il est tout à fait normal que je n'aie plus droit aux saillies, pour bien faire les sous males comme moi ne devraient jamais avoir le droit de posséder une femme, nous devrions rester puceaux, notre petit engin ne servant qu'à uriner"


    30 commentaires
  • Fiona m'avait assuré, dès le début, qu'elle n'y attachait aucune importance... - On fera avec... C'est pas l'essentiel, ça, le sexe... On peut très bien s'en passer... Du moment qu'on s'aime... Ca me convenait tout à fait : j'étais doté d'une minuscule petite queue qui s'était toujours avérée incapable de procurer le moindre plaisir aux deux seules partenaires que j'avais eues avant elle... Elles s'étaient montrées tout aussi franches l'une que l'autre... - C'est vrai que c'est pas la taille ni l'épaisseur qui compte, avait conclu Sophie en me quittant, au bout de trois semaines, mais faut quand même un minimum !... Quant à Séverine elle s'étonnait chaque fois... - On sent rien... Absolument rien... On dirait que t'es pas dedans... Ca avait duré deux mois...
    Fiona n'y attachait pas d'importance... Elle le disait... Elle le répétait... Elle paraissait le croire... Sous mes doigts, sous ma langue, sous ma bouche elle approchait parfois de l'extase que je rêvais de lui donner... Quand je venais en elle jamais... Elle me laissait m'agiter, les bras serrés autour de moi, attendait que j'aie fini pour demander invariablement... - C'était bon pour toi ?... Je m'inquiétais : elle était vraiment sûre que ça avait si peu d'importance pour elle?... Elle me faisait taire d'un baiser... - Te pose pas de questions qui n'en valent pas la peine...
    Par ailleurs on s'entendait bien... On avait les mêmes goûts, les mêmes intérêts, les mêmes fréquentations... On coulait des jours paisibles, heureux, sans dissensions majeures, sans heurts... On s'en émerveillait... On n'avait, ni l'un ni l'autre, jamais connu ça... Et on a décidé de se marier, par un beau matin d'Avril, pour le meilleur et pour le pire...
    Le pire a pris - très vite - le visage de Marie-Claude dont elle a fait la connaissance, peu après, au cours d'un stage de yoga... Elle s'est aussitôt enthousiasmée pour elle... Il n'y en avait plus que pour Marie-Claude... Qui était une femme d'exception... Qui savait tout sur tout... Qui avait atteint un haut niveau de développement spirituel... Qui pouvait, dans ce domaine comme dans beaucoup d'autres d'ailleurs, rivaliser sans complexes avec les plus grands... Marie-Claude dont j'aurais eu, moi aussi, beaucoup à apprendre... Marie-Claude qui me sortait chaque jour un peu plus par les yeux...



    - Tu sais pour ton problème... - Quel problème ?... - Marie-Claude dit qu'il y a des tas de solutions... - Ah, parce que tu es aussi allé parler de ça à Marie-Claude ?... - Bien sûr !... On se dit tout toutes les deux... On est comme deux sœurs... Elle dit qu'il y a des tas de solutions, mais que le mieux c'est encore de commencer par la médecine traditionnelle... Elle connaît une infirmière qui travaille dans le service d'un professeur spécialisé là-dedans... Ils obtiennent des résultats spectaculaires... Même si c'est pas à tous les coups... Alors on va aller la voir cette infirmière... Demain... Marie-Claude a tout arrangé... Elle nous dira ce qu'elle en pense... - C'est ça... Et puis quoi encore ?...  - Bon... Eh bien je continuerai à me masturber en cachette dans la salle de bains comme quand j'avais douze ans...
    L'infirmière était une gamine d'à peine vingt-cinq ans qui a pris tout son temps pour scruter, palper, mesurer... Qui a recommencé... Qui a soupiré... Qui a fini par hocher la tête... - A ce point-là, à mon avis, il y a rien à faire... Il peut aller voir Mercoeur... Il l'examinera... C'est à lui de décider... Mais enfin, pour être franche, je crois que ça n'en vaut même pas la peine...
    Elle a patiemment attendu que je sois arrivé au bout et elle s'est redressée sur un coude... - Ca peut pas durer comme ça !... Faut vraiment faire quelque chose... Marie-Claude m'a parlé d'une magnétiseuse... Une femme exceptionnelle... - Ca va pas recommencer, écoute !... - Parce que ça te va comme ça à toi ?... T'es satisfait ?... Eh ben pas moi !... - Tu as toujours dit que ça n'avait pas d'importance pour toi, que l'essentiel c'était...   - J'ai changé d'avis... Marie-Claude m'a ouvert les yeux... Moi aussi, j'ai le droit de m'épanouir, figure-toi !... Comme toutes les femmes... A quarante ans il serait temps...  - Ce qui veut dire, en somme, si je te comprends bien, qu'il faut que j'aille montrer ma queue à tous les charlatans de France et de Navarre... - On peut pas discuter avec toi... C'est pas la peine... Et elle m'a tourné le dos... Il s'est passé une dizaine de minutes et puis les draps ont été agités comme de vagues... Il y a eu des battements de jambes... Des soubresauts... Des convulsions... Et elle a bruyamment donné libre cours à son plaisir...
    Dès le lendemain elle est revenue à la charge... - Je te comprends pas... Non, je te comprends pas... Parce que voilà un truc dont tu souffres depuis des années et des années, tu diras pas le contraire... On te propose des solutions... Efficaces... Qui ont fait leurs preuves... Et tu fais la fine bouche... Et tu veux pas en entendre parler... A croire que tu préfères te complaire là-dedans... Que ça te satisfait finalement quelque part... Mais à moi, tu y penses quelquefois à moi?... Non... C'est le dernier de tes soucis... Alors tu t'étonneras pas si, à la longue, je finis par aller voir ailleurs...
    La magnétiseuse a fait tourner son pendule au-dessus de mon bas-ventre pendant un bon quart d'heure... Et puis elle y a réuni les mains, l'air grave, inspirée, concentrée... - Bon... Le cas n'est pas désespéré... On devrait pouvoir réussir à gagner un peu, surtout en épaisseur... Je vais vous prescrire un onguent que je fais venir spécialement du Kenya... Les guerriers masaï l'utilisent depuis des générations... C'est une référence... Mais ne vous attendez pas à ce que vos attributs en deviennent pour autant comparables aux leurs... Ca ne pourra évidemment jamais être le cas... Elle a tendu deux gros pots de céramique dont Fiona s'est emparée... - Le blanc le matin... Le bleu le soir... Vous vous en enduisez largement sur toute la surface et vous laissez pénétrer... On se revoit dans six mois...
    Elle a voulu s'en occuper elle-même... - Laisse-moi faire !... Parce que je te connais... Tu vas oublier les trois quarts du temps... Si encore tu le fais pas exprès... Matin et soir, c'était donc tout un cérémonial qu'elle accomplissait avec infiniment de sérieux... Qui durait, chaque fois, une bonne demi-heure...Et qui ne donnait aucun résultat... Elle avait beau mesurer, chaque samedi, avec soin, les choses restaient désespérément en l'état... - Non... Non... Ca n'a pas bougé... Il faut qu'on soit patients... Elle a dit six mois...
    - Ils sont où ?... - Quoi donc ?... - Les pots du Kenya... - Je les ai balancés... J'en ai marre de toutes ces idioties... - Ah ben bravo !... Bravo !... Alors moi je me mets en quatre, je me décarcasse pour toi et tout ce que tu trouves à faire c'est me mettre des bâtons dans les roues à la première occasion... Et à moi tu y penses à moi de temps en temps ?... Evidemment non... Il n'y en a que pour ta petite personne... Bon, mais t'étais prévenu, tu diras pas le contraire... Tu l'auras bien cherché...
    - Tu sors ?... - Je sors, oui... - Tu vas où ?... - Si on te le demande tu diras que tu n'en sais rien... Elle n'est rentrée qu'au petit matin, a dormi jusqu'à midi... A cinq heures Marie-Claude a appelé... - Oui... Oui... Moi aussi... Il y a longtemps que je m'étais pas éclatée comme ça... Pas de problème... Même heure même endroit... Oui... Oui... A tout à l'heure... Et puis un type un peu plus tard... - Norbert !... C'est toi !... Ca me fait plaisir, tu peux pas savoir !... Et moi donc !... J'espère bien... Il manquerait plus que ça !... Oui... Oui... Je te dirai... J'arrive... Je t'embrasse...
    Elle sortait le soir... Presque tous les jours... Il y a eu une voiture verte qui est venue l'attendre en bas pendant près d'une semaine... Qui a disparu... Une autre - grise - l'a remplacée... Qui a fini par disparaître aussi... D'autres... Plus ou moins longtemps... Quand elle ne sortait pas elle se donnait son plaisir avec ses doigts... Dans le lit, à mes côtés... Ou bien, dans la journée, là où elle se trouvait... Avec la plus totale impudeur...
    - Ca te convient comme situation ?... Elle finissait de se préparer dans la salle de bains... Le grand jeu... Robe moulante rouge et maquillage de conquête... - Pas vraiment, non... - Ca... Tu n'as qu'à t'en prendre à toi-même... Il y avait des solutions... Il y en a encore... A toi de voir... C'est pour toi... Parce que moi maintenant j'ai ce qu'il me faut... Quand je veux... Comme je veux... Seulement si tu fais rien de ce côté-là, si on fait rien, s'il peut jamais rien y avoir entre nous, alors je vais finir par me demander sérieusement ce qu'on fait encore ensemble...
    - Il faut lui ouvrir les chakras... Ca vient de là, c'est évident... Là-dessus Marie-Claude et la sophrologue-sexologue-coacheuse sont tombées parfaitement d'accord après une demi-heure d'incompréhensible charabia... Mais encore fallait-il d'abord se faire une idée aussi précise que possible de mes vies antérieures... - Ca a dû être quelque chose !... - Oui... On peut supposer que son organe était déjà d'un format inhabituel, mais... dans l'autre sens... Ou bien qu'il en a fait un usage tout à fait immodéré... L'un n'excluant d'ailleurs pas forcément l'autre... Une hypothèse également plausible, c'est que c'était un chef de guerre qui avait pour habitude d'émasculer ses prisonniers en prenant un malin plaisir à les faire atrocement souffrir... Il y a toutes sortes d'autres possibilités auxquelles on ne pense pas forcément... Seules les régressions nous permettront d'y voir clair... Elles m'ont fait allonger, calé la tête avec des coussins... - Fermez les yeux !... Détendez-vous !... Ne pensez à rien... Vous entrez dans un long tunnel... Tout au bout, là-bas, il y a une lumière, une extraordinaire clarté... Vous la voyez ?... Vous êtes irrésistiblement attiré par elle... Vous accélérez le pas... Vous approchez... C'est tout près... C'est là... Vous y êtes... Le temps que vos yeux s'habituent... Là... Qu'est-ce que vous voyez ?... Hein ?... Qu'est-ce que vous voyez ?... - Je vois deux connes qui se prennent terriblement au sérieux...
    - Non, mais tu te rends compte de ce que tu as fait ?... Pour quoi je suis passée, moi ?!... Ah, t'avais bien préparé ton coup , hein ?!... Un moment que ça te démangeait... Que tu en rêvais... Que tu ne pensais plus qu'à ça : t'offrir ton petit scandale... J'aurais dû m'y attendre... Il fallait bien qu'un jour ou l'autre  tu essaies de compenser tes insuffisances physiques en t'en prenant à nous... Nous qui faisons tout ce que nous pouvons pour t'aider... Mais, mon pauvre, regarde-toi !... Tu ne leur arrives pas à la cheville !... Et t'es même pas fichu de t'en apercevoir... Non, mais ce petit air supérieur que tu as pris pour leur balancer ça !... Jamais je te le pardonnerai... Jamais... Tu me le paieras... Je te jure que tu me le paieras... Cher... Très cher...
    - Je te présente Baptiste... Il me saute... Depuis trois mois... Et il fait ça bien... Très bien même... Faut dire qu'il est équipé pour, lui !... Attends... Je vais te montrer!... Elle l'a déboutonné, déshabillé... Il s'est laissé faire, un vague sourire fiché au coin des lèvres... - Qu'est-ce t'en penses ?...Ca au moins c'en est une, non, tu trouves pas ?... Elle l'a prise dans sa main... Elle l'a fait s'élancer... - Regarde-moi ça !... Non, mais regarde-moi ça !... Comment ça donne envie... Tu peux pas savoir comment ça donne envie !... Et avec ça au moins... Tu veux voir ?... Mais si, tu vas voir !... T'auras qu'à te branler en même temps... De toute façon maintenant t'auras plus droit qu'à ça...    


    7 commentaires