• Comparaison

    Regarde mon chéri , il y a des réalités quand mêmes ! Deux fois plus long , deux fois plus large...

     


    votre commentaire
  • Par PATETWAN 

     

    Je suis la femme de patetwan

    Pour être transparente, moi c’est pat et lui c’est wan.

    Mon mari est mon soumis, il est en cage de chasteté, il est cocu et je suis enceinte de mon amant. Comment j’en suis arrivée la ?

    Partie 1 la naissance d’un soumis, d’un cocu.

    Mariée a wan depuis 2003, nous sommes en couple depuis 2000. Une vie simple et une sexualité sans reliefs. En 2005, les premiers doutes me sont apparus sur wan. Oh bien sur, il restait câlin et attentionné, mais je ne prenais plus de plaisir sexuellement parlant. J’étais frustrée.
    Il prenait son plaisir et puis....rien. Je restais sur ma faim. Plus je réfléchissais et plus je me rendais compte qu’il a toujours été comme ça mais qu’avant, trop amoureuse, je refusais de l’admettre.

    En 2006, j’ai tenté de relancer notre vie sexuelle car je l’aimais et je n’envisageais pas de le quitter. J’ai proposé de le dominer, ce qu’il a accepté. Ce jeu de couple devait nous permettre de nous retrouver et de recentrer notre relation.
    Rapidement, je l’ai mis en cage de chasteté pensant que s’il avait des moments de "branlette", il ne pourra plus le faire et il me reviendra plus amoureux. Tous les témoignages lus sur le sujet allaient dans ce sens. Pourquoi pas moi ?

    Deux petites semaines dans une cage de chasteté m’a permis de retrouver un mari ultra intentionné, très protecteur, ultra amoureux. Quand je l’ai libéré pour faire l’amour, CATASTROPHE !!! il n’a pas tenu bien longtemps. Je l’ai relancé pour qu’il continue de me faire l’amour, mais la encore, il n’a pas été performant et je me suis retrouvée bête et terriblement frustrée. De colère, je l’ai remis dans sa cage de chasteté le soir même.

    Lui n’a pas remarqué que j’étais déçue de la situation. Pour lui tout était un jeu de couple. De mon coté, par frustration, je l’ai gardé en cage pendant 2 mois et demi. Je l’ai libéré car c’est lui qui est venu me supplier en disant qu’il ne tenait plus. J’ai pensée qu’il allait enfin être un bon partenaire et que j’allais enfin retrouvé un super amant.....ERREUR. 3 petits aller-retour et basta. Il a éjaculé. Je me souviens parfaitement l’avoir poussé et l’avoir engueulé en lui disant que "c’est tout ce que tu sais faire ?" il n’a pas su me répondre. Alors oui, il est revenu une deuxième fois mais rien d’exceptionnel et je me retrouvais avec mes questions avant la domination. Je l’ai remis dans sa cage de chasteté en attendant de réfléchir.

    Plus le temps avançait et plus je me demandais si je devais partir, le quitter. Mais en parallèle, j’avais un soumis qui devenait incroyable. Il faisait tout a la maison, bien au delà de mes espérances. Le ménage, la lessive, le repassage, les courses, la cuisine, la vaisselle. J’en étais même arrivée a lui imposer un planning de taches ménagères toujours plus exigeant et malgré ça, il tenait bon. J’avais un soumis performant, ce qui m’a posé un vrai dilemme dans l’optique de partir. Car le jeu de couple a laissé place a un style de vie ou j’étais devenue une véritable maitresse pour lui et que la moindre faute était caution à sanction sans qu’il ne discute mes ordres, mes choix.

    En marge de tout ça, nous avions convenus, dès le début de notre relation, que 1 fois par mois, il avait le droit a une sortie entre potes et moi entre copines. Mais, sa mise en cage de chasteté et sa soumission l’ont peu a peu éloigné de ses sorties sans que je l’en empêche alors que pour moi, je poursuivais mes sorties sans soucis. Naturellement, j’ai finie par lui interdire son droit de sortir puisqu’il ne l’utilisait plus depuis des mois. La encore, il n’a pas omis d’objections.
    La plus part du temps, mes sorties étaient un resto puis soirée chez les copines pour des longues discussions entre filles. Mais deux fois par an, nous avions une soirée qui finissait en boite.

    Je gardais les clés de la cage de chasteté de mon mari à mon cou, comme un pendentif. Lors d’une de nos soirées, mes copines n’ont pas manqués de me questionnées sur cette clé et je ne me suis pas démontée, j’ai tout dis sans rien cacher, comme pour évacuer toute la frustration accumulée. Plusieurs fois les filles m’ont conseillée de partir, mais je n’ai jamais réussie a m’y résoudre.

    Puis vint cette soirée. Il n’était pas prévue que nous allions en boite, mais les filles m’ont entrainée avec elles. Camille m’a même incité a me trouver un bel étalon pour enfin quitter mon mari. Ça faisait 6 mois que mon mari était en cage de chasteté et que j’étais abstinente par défaut. Bien que l’idée de tromper mon mari ne m’enchantais pas, je savais que j’allais avoir du mal a résister. Mais nous rendant vers la boite, j’étais déterminée a rentrer sans avoir céder.

    Les 2 premières heures, je ne lâchais pas prise, j’en ai repoussé plus d’un. J’ai refusée toute boisson alcoolisée pour rester la plus lucide possible face a cette situation.
    Mais, un beau jeune homme est venu face à nous quatre. les copines se sont effacées sans que je m’en rende compte tant j’étais concentrée sur ce beau gosse.
    Bastien avait dix-neuf ans et moi vingt sept. Il était élégant, grand, musclé et un prestance qui a cassé ma coquille protectrice en un rien de temps. La musique a fait nous rapprochés et nous étions dans une danse indécente pour la femme mariée que je suis.
    Je sentais son bas ventre frotter contre mon ventre et sa cuisse appuyait contre mon intimité sans pour autant être clairement le but recherché. Je mouillais follement et j’ai compris que je ne réussirai pas à lui résister.

    Mes mains étaient au tour de son cou. Il manquait pas grand chose pour nous embrassés. Mais il avait beaucoup de classe, il ne s’est pas jeté sur moi. J’ai fais le premier pas, c’est moi qui l’a embrassé. Les dés étaient jetés. Ses mains sont passés de mes hanches à mes fesses, j’étais prête à aller au bout. On a fini la série de danse latino puis il m’a invité à boire un verre. J’ai pris mon premier verre alcoolisé sans pour autant que ce soit un alcool fort. Dans un petit coin tranquille, nous nous embrassions tranquillement alors que ses mains devenaient plus "baladeuses" sans que je ne le repousse. Nos verres finis, il m’a posé la question sur la clé présente a mon cou. Je lui ai tout dit sans rien lui cacher. A la fin de mon explication, il m’a demandé "Tu viens avec moi rendre ton mari cocu ?"
    Je n’ai pas réussie à lui parler. un signe oui de la tête ont scellé le sort de la soirée.

    avant de sortir, je suis passée voir mes copines pour leur dire. Camille m’a dit en me souriant, profites en ma belle, tu vas reprendre gout à la vie. Puis je suis partie avec Bastien.
    Dehors, Bastien m’a entrainée vers un coin parfaitement isolé au fin fond du site. pendue a son cou, nous nous sommes embrassé comme deux jeunes adolescents. puis il a relevé ma robe pour libérer mon intimité du sous-vêtement que je portais. posée sur une couverture qu’il a récupéré dans sa voiture, je me suis offerte à sa langue experte malgré son age.
    Excitée par tant de frustration accumulée, j’ai jouis à deux reprises très rapprochées.
    Loin d’être rassasiée, je voulais être certaine qu’il saura me donner autant de plaisir qu’il en aura. Alors, pour la première depuis plus de cinq ans, j’ai sucé un homme. Faut croire qu’inconsciemment je savais que mon mari est un éjaculateur précoce. Car en y repensant, je me redis compte que j’avais arrêté de sucer mon mari depuis des années de peur qu’il n’éjacule trop vite.
    Je mettais tout mon cœur dans cette fellation. Bastien avait un sexe bien plus épais et plus long que mon mari. Plus rien ne comptait pour moi, je le voulais. Je voulais savoir s’il allait résister et par conséquent m’offrir ce que je ne connais pas, le plaisir d’une bonne et longue pénétration. Je voulais tellement savoir que je me suis faite la réflexion : tant pis s’il me rempli la bouche, mais je veux savoir. Je me suis lâchée comme jamais. Une fellation dont je ne me savais pas capable. A la fois lente et sensuelle, puis violente en gorge profonde ou en succions. Bastien avait des paroles crus pour m’encourager, signe qu’il prenait un plaisir fou. Malgré tout, il a tenu avant de me dire qu’il voulait me pénétrer.

    Bastien a mit sa capote puis il m’a dit "prête a faire cocu ton mari ?"
    J’ai simplement répondue "Oublies-le et baise moi".

    il s’est présenté devant mon intimité. J’étais tellement trempée qu’il n’allait pas à avoir à forcer pour me pénétrer. Quand je l’ai sentie entrer, je me suis dis ça y est, wan est cocu. Quand Bastien est arrivé au fond, il m’a fait la même remarque, ce qui nous a bien fait rire. Cette fois, c’est moi qui a été précoce, j’ai jouis rapidement et un nombre de fois que je n’ai pas comptés. Je ne masquais pas mon plaisir , mon sexe si dilaté et les yeux fermés, je savourais le plaisir d’une telle qualité de pénétration. Bastien m’a faite changé de position à plusieurs reprises sans avoir éjaculé un seul instant. Puis, en levrette, Bastien change de direction et se présente devant mon petit trou.
    Seulement voila, je ne l’ai jamais fais et je lui fait savoir. Il réussira a me rassurer, me détendre, me convaincre de le laisser faire. Après des préliminaires il va me sodomiser pour la toute première fois de ma vie.
    D’abord hésitante et quelques douleurs. Puis nouvelle préparation pour enfin, réussir à me sodomiser entièrement. Une sensation incroyable et déstabilisante. Il s’est retiré entièrement à ma demande le temps de réagir à ce que je viens de vivre. Puis il est retourné par des coups de bassin lent et délicat, le temps de m’habituer à cette nouveauté.
    J’ai découvert un plaisir d’une rare violence. Une jouissance intense et profonde. Mon corps ne me répondait plus, dicté par le désir d’être pénétré et stimulé.
    Quand Bastien est arrivé au bout de ses limites, il m’a demandé si j’avalais. Cette fois, il n’a pas réussit à me faire changé d’avis et il s’est répandu sur ma poitrine. Nous nous sommes allongés sur la couverture pendant de longues minutes, moi blottie dans ses bras. Il m’a demandé si j’étais satisfaite d’avoir cédé aà ses avances, pour lui répondre, je me suis retournée, je l’ai embrassé et je lui ai dit : J’aimerai te revoir et que tu deviennes un amant. il m’a répondu avec plaisir, tu es vraiment belle et te laisser avec ton mari est un sacrilège.

    Nous sommes retournés dans la boite bras dessus, bras dessous. J’ai présenté Bastien à mes copines et Camille m’a offert une chambre de son appartement pour accueillir mon premier amant, Bastien.

    Il est resté mon amant pendant deux ans, le temps de ses études. Puis, il a du partir pour poursuivre ses études. il m’a proposé de le suivre afin de devenir plus que mon amant, mais je n’ai pas réussie a quitter mon soumis laissant Bastien a sa vie. Bien que nous ayons gardés le contact, nos échanges se sont estompés au fil du temps.

    Puis un jour, Bastien m’a apprit qu’il était papa et qu’il allait se marier. invité a son mariage, j’ai décliné non sans l’avoir félicité et lui avoir souhaité tout le bonheur possible.

    Cette première aventure extra-conjugal a été la première d’une longue série. J’ai vite fais basculer ma relation de dominante - soumis à une relation de gynarchie. J’ai compris que j’avais du respect pour mon mari mais plus les mêmes sentiments et que dorénavant, s’il n’est pas content de son sort, la porte est ouverte mais pour autant, je ne me résoudrais pas à le quitter.

    La 2eme partie sera sur mon amant actuel, père de l’enfant que je porte.


    votre commentaire
  • Juan Solé Puyal est un illustrateur Espagol qui a commencé sur des titres de romance espagnols comme Sentimental et Modelo à travers Exlusivas Gráficas Ricart dans la seconde moitié des années 1950.

    Il a ensuite travaillé pour Editorial Ferma et Bruguera sur des titres comme Blanca, El Capitan Trueno Extra (« El Jabato » avec Victor Mora, 1965), Sissi, Revista Femenina et Dalia.

     

    En 1961, il est associé à Bardon Art, l'agence d'art qui le fait travailler pour le marché britannique. Solé a passé les années 1960, 1970 et 1980 à dessiner pour des titres de filles britanniques comme Valentine, Mirabelle, Star, Boyfriend, Tina, Tammy, Tracy et bien d'autres.

     

    A la fin des années 1980, il passe à l'illustration érotique dans le genre fétichiste, qu'il signe Juan Puyal ou tout simplement Puyal. Il a depuis travaillé pour Swish Publications à Londres, l'éditeur de Madame in a World of Fantasy. Après la disparition de ce magazine, il a dessiné de nombreux livres "jupons", et autres séries de type "trans" pour Sandy Thomas aux USA.

     

    J’aime bien son dessin éprouvé et bien défini, je n’ai pas trouvé à proprement de comics mais ses illustrations de Sissy abreuvent pas mal de site sur le web. Il est à fond sur la Sissyfication et le petticoat punishment. La sissy dans le cadre du mariage occupe bien sur quelques un ses sujets mais il est dans le SM plus sur la Gynarchie que le candaulisme.

    Je n'ai pas trouvé de lien à proprement parler sur un site à lui, maintenant il y a celui de Carole Jean qui lui a fait illustrer beaucoup de ses histoire de petticoat punishment.

    https://petticoatpunishmentart.com/docs/cjart021.html

     

    PUYAL

    PUYAL

    PUYAL

    PUYAL

    PUYAL

    PUYAL

    PUYAL

    Cette dernière est terrible, étonnant au vu du contexte assez prude en général de ses dessins


    votre commentaire
  • Paolo Eleuteri Serpieri est un illustrateur iItalien vivant à Rome. Elève de Renato Guttuso il s'est consacré d’abord à la peinture. Professeur à l'institut des arts de Rome. Serpieri n'aborde le monde de la bande-dessiné qu'en 1975 en réalisant quelques histoires pour des magazines Italiens.

    Grand fan d'histoire de western, il collabore à la création de l' "Histoire du Far West" pour Larousse. Puis la saga Druuna qui l’a fait connaître, un érotisme très 70’s une héroine toujours partante.

    Ces différentes séries l'ont d'emblée imposé parmi les maîtres du réalisme. Son dessin est fouillé et remarquable, il y a du Norman Rockwell dans son style… Il s’est égaré à faire une belle série sur un moment de pur candaulisme si bien dessiné.

    Sin WIKI https://fr.wikipedia.org/wiki/Paolo_Eleuteri_Serpieri

    Un lien vers Drunna https://comicporns.com/porn-comics-author/paolo-eleuteri-serpieri/druuna-carnivora/

    SERPIERI

    SERPIERI

    SERPIERI

    SERPIERI

    SERPIERI


    4 commentaires
  • Un auteur érotique Français très connu, dessinateur de BD bien vivant et accessible en librairie et sur son site, il explore toute la sphère SM classique.

    Très proche de notre univers mais on va dire un peu plus centré SM, une domination féminine très lesbienne, avec de merveilleux albums de BD sur la transformation des messieurs, un dessin ultra érotique et puissant.

    Un contexte graphique hyperréaliste, toujours parfait avec des techniques de dessin appliquées qu’il fait évoluer vers plus de sensibilité dans le modelé et l’encrage se rapprochant de plus en plus des savoir-faire classiques mais avec le numérique.

    Des angles et des point de vues cinématographiques, laissant au lecteur tout le champs d’érotisation du récit.

    Sur son site vous pourrez voir tout son travail de graphiste dans divers domaines, des ébauches et crayonnés, accéder à des planches originales en ventes et téléchargement payant et raisonnable de certain de ses albums. Je vous recommande vivement d'aller voir et de soutenir cet auteur majeur dans le fétichisme.

    Son site  https://www.xavierduvet.com

    Sa page Wiki https://fr.wikipedia.org/wiki/Xavier_Duvet

     

    Les albums proches de notre sujet en autre :

    Chris & Betty

    Transfrancisco, une soubrette pour madame

    Féminisation 1 & 2 Astuces de maitresses

    Féminisation 3 &4

    Féminisation forcée 1 & 2

     

    Des illustrations qui viennent du Web et d’albums achetés par moi, j'adore son travail en noir et blanc bien plus intéressant pour mettre en avant le dessin et l'imaginaire.

     

    ©Xavier Duvet

    ©Xavier Duvet

    ©Xavier Duvet

    ©Xavier Duvet


    2 commentaires