• J'étais encore singulièrement bousculé lors que je rentrai chez moi. Je ne savais même plus comment j'avais pu venir à bout de ma dernière heure de cours, ni comment j'avais été capable de rejoindre l'appartement en voiture sans provoquer un accident. J'étais dans un état second, cette petite salope d'étudiante avait passé l'après midi à me provoquer, ses yeux rieurs rivés en moi les cuisses écartées le stylo à la bouche.

    Et la tension intérieure était trop forte. J'avais une irrésistible envie de me masturber, de décharger tout ce que cette Jennifer C., cette petite garce, avait fait monter en moi. Plus qu'une envie, cette masturbation s'imposait comme d'une urgente nécessité. Nicole n'était pas encore rentrée, je savais qu'elle terminerait tard ce lundi soir. C'était ma chance.

    Je me précipitai dans notre chambre après avoir jeté mon cartable dans le salon, ouvrit la penderie où Nicole pendait ses robes, pourquoi une robe, ça ne me sembla pas du tout évident sur le moment… et en choisit une, légère, bariolée de myosotis. J'avais envie de venir sur une de ses robes, sans bien comprendre pourquoi. J'avais suffisamment de lucidité pour me dire qu'il faudrait justifier pourquoi j'avais mis ensuite cette robe à laver, mais je me faisais confiance pour trouver une raison convaincante.

    Je me déshabillai rapidement devant la robe étendue sur le lit, puis m'en ressaisit pour m'en servir comme d'un gant dont je me mis à me masturber avec entrain. Mon membre ne s'était pas relâché depuis que Jennifer avait quitté la salle de cours. Non, je ne voulais pas penser à Jennifer, je ne voulais pas voir son cul, magnifique, cambré vers moi, son majeur glissant entre les grandes lèvres de son sexe, entre ses cuisses translucides. C'était mon élève, tout de même…

    Je fermai les yeux pour tenter de chasser cette vision fantasmatique, mais rien n'y faisait. Et je pressai si fort mon sexe que ma tête commençait à me faire mal. La tension, elle, ne baissait toujours pas, même après de longue minute de ce régime effréné.
    – Mais qu'est-ce que tu fais, mon chéri ?…

    Mon sang se glaça. Nicole… Elle rentra dans la chambre, elle avait quitté son manteau, mais avait gardé son sac à la main. Son visage était empreint d'un improbable mélange d'incrédulité et d'amusement.
    – Hé bien, je… je…
    – Oui, je vois, tu te masturbes. Tu te masturbes dans une de mes robes.

    J'étais là, debout au milieu de la pièce, nu, tenant encore à la main la robe, mais plus mon membre, qui avait brutalement perdu de sa raideur. Nicole s'assit sur le lit devant toi, ou plus exactement elle s'y laissa tomber, le sac toujours à la main, interloquée.
    – Ça t'arrive souvent, de faire ça en mon absence ?
    – Je te jure que non ! m'empressai-je d'affirmer avec une sincérité qui, en l'occurrence, ne pouvait sembler que suspecte.

    Elle me dévisageait de la tête au pied, comme le parfait inconnu que j'étais tout à coup devenu pour elle. Puis elle eut un petit ricanement.
    – C'est la rentrée qui te met dans cet état ? De jolies petites élèves ?
    – Mais non voyons…

    Elle marqua une pause puis se mit à sourire malicieusement.
    – Ça me plaît assez que tu fasses ça dans une de mes robes. Je dirais même que c'est assez… excitant.

    Puis elle se leva et rejoint une commode dont elle tira le premier tiroir.
    – Mais ça ne doit pas être très pratique, une robe… commenta-t-elle en cherchant quelque chose à l'intérieur du tiroir. Puis elle se retourna triomphalement avec l'une de ses culottes en soie.
    – Tiens ! Ça, ça sera beaucoup mieux !

    Elle s'approcha de moi, me tendit le sous-vêtement en reprenant de l'autre main la robe, et vint se rasseoir sur le bord du lit, jambes croisées.
    – Allez, continue… Fais comme si je n'étais pas là.
    – Voyons, chérie, je…
    – Oh, ne fais pas de manière. Si je n'étais pas rentrée plus tôt que prévue, tu serais allé jusqu'au bout, non ?
    – Je ne sais pas…
    – Tiens, regarde mon chéri, je vais te motiver un peu.

    Et elle dégrafa les premiers boutons de son chemisier, retira son soutien-gorge par les bras, dévoilant sa superbe petite poitrine.
    – Allez ! Je suis certaine que ça va m'exister, de te voir te masturber sur mes vêtements, ajouta-t-elle doucement.

    Obéissant, je fis donc de la petite culotte un nouveau gant, beaucoup plus doux que le premier, et redonnai en quelques mouvements de la consistance à mon membre. La tension était encore si forte, et le désir de jouir si impérieux, que je n'eus aucune peine à me laisser aller.

    Devant moi, Nicole commençait à passer délicatement sa main sur ses seins, avec un mouvement de tête approbateur qui ne pouvait que m'encourager.
    – Allez, petit coquin qui se branle en cachette dans les dessous de sa femme.

    Je commençai rapidement à lâcher des petits gémissements libérateurs qui semblèrent attiser son propre désir, ses propres gémissements. Je fermai les yeux, par je ne sais quel sentiment soudain de honte et d'envie poursuivre, jusqu'au bout.
    – Non, ouvre les yeux ! Regarde-moi.

    Quand je rouvris les yeux, elle avait déjà desserré ses jambes et ouvert son pantalon de flanelle. Il y glissa une main qu'elle retira aussitôt pour faire tomber son chemisier.
    – Branle-toi mieux que ça… Je veux que tu m'en mettes partout, ici… dit-elle en caressant d'un doigt l'espace ouvert entre ses seins. Je veux que tu m'éjacules dessus… comme un petit cochon que tu es.

    Un « cochon »… Venant de Nicole, cela m'étonna quand même, et eut l'effet de m'électriser tout à fait ; jamais elle ne m'avait appelé comme ça, même dans le feu des ébats.
    – N'est-ce pas que tu es un petit cochon, ajouta-t-elle, comme si elle avait deviné mes pensées.

    Je murmurais timidement un « oui » entre deux gémissements.
    – Mieux que ça, petit cochon, je n'ai pas entendu.
    – Oui… je suis un petit cochon…
    – Un petit cochon qui se masturbe en cachette dans les dessous de sa femme.

    – Oui.. dis-je dans un souffle

    – Un petit cochon qui n'assure pas au lit parce qu'il se branle trop souvent.

    – Oui..


    Elle semblait s'emballer de ses propres répliques, replongea sa main dans son pantalon en se pinçant les lèvres.

    – Repètes-le
    – Oui, je suis un cochon qui se masturbe dans les dessous de ma femme.

    – Et ? ...

    – Et  qui n'assure pas au lit parce qu'il se branle trop.

    Cette fois, ses gémissements devenaient plus précis, alors que ses doigts, au travers de la flanelle, s'agitaient entre ses cuisses alors qu'elle ne quittait pas des mieux mon sexe qui disparaissait et réapparaissait, de plus en plus vite, de la soie de son sous-vêtement.

    – J'étais enpourpré de ce que je venais d'avouer et électrisé à la fois
    – Allez cochon, branle-toi, branle-toi bien dans ma petite culotte…

    Cette vision qu'elle m'offrait finit de me rendre fou, Nicole s'était déjà masturbée devant moi, mais dans l'intimité d'un soir, d'un lit, déshabillée, jamais de cette façon, bizarrement si distante.

    Je sentis le désir monter, fulgurant, irrésistible, et je me rapprochais d'elle rapidement, pour décharger plusieurs salves d'un sperme libérateur sur ses seins redressés, qu'elle tendit vers moi, et dont la peau trahissait encore l'empreinte du haut de maillot de bain des dernières vacances à la mer. Elle lâcha en même temps que moi un long râle en ouvrant bien la bouche, en s'enfonçant, je le devinais, un ou peut-être deux doigts profondément dans le vagin.

    Elle retira brutalement la main de culotte, et vint saisir à deux mains, comme une gourde après une traversée de désert, mon membre encore dur et l'engouffra dans sa bouche. Elle le pompa comme elle ne l'avait jamais pompé, le gardant à l'intérieur, tout en libérant une main pour étaler sur toute la surface de ses seins la semence que je venais de projeter.

    Puis elle sembla se relâcher, et libéra de l'étau de ses lèvres mon membre devenu mou.

    J'étais honteux et à la fois libéré à sa merci d'être tomber en bassesse.
    – Je voudrais que tu fasses une dernière chose… demanda-t-elle après avoir retrouvé son air malicieux.
    – Oui, quoi ?
    – Comme tu es un gros cochon, n'est ce pas
    – Oui...
    – Je voudrais… que tu lèches ton sperme sur ma poitrine. Que tu me nettoies bien.

    Elle baissa le regard vers sa poitrine, luisante.
    – S'il te plaît…

    Après avoir marqué un temps d'étonnement, je lui souris, m'agenouillai entre ses cuisses habillées, et, lentement, me mit à lécher d'abord son ventre, puis le haut de sa poitrine et, consciencieusement, l'un après l'autre, ses deux petits seins que je sentais tendus de désir, et qui lui arrachait un gémissement chaque fois que j'en léchais le téton. Lécher mon propre sperme ne me procurait aucune espèce de plaisir, si ce n'est celui d'en donner à Nicole, ni aucune forme de dégoût.
    – Oui, c'est bien, continue, consciencieusement, mon petit goret.

    Je découvrais Nicole. Peut-être, comme moi, regrettait-elle en cet instant d'avoir attendu vingt-et-un an pour goûter à de tels jeux. Mais elle n'en dit rien. Elle se leva bientôt, en me repoussant doucement d'un baiser.
    – Je vais prendre une douche. Il faudra faire mieux, la prochaine fois, ajouta-t-elle avec un petit rire.

    Et, provocante, elle fit tomber d'un seul geste son pantalon et sa culotte devant moi, son cul, encore parfaitement formé malgré ses 41 ans, était superbe et se dirigea vers la salle de bains. Mais alors qu'elle allait franchir la porte, elle revint sur ses pas, ramassa la petite culotte de soie imprégné de mon sperme qui gisait sur le sol, et l'enfila avec sensualité.
    – Je vais en profiter pour nous nettoyer toutes les deux, dit-elle en passant la main sur la soie entre ses cuisses.

    Je rejoignis notre bureau où j'avais l'habitude, en temps ordinaire, d'allumer dès mon arrivée mon ordinateur pour en vérifier les mails.



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  • Elle était là, allongée à côté de moi, je passais ma main dans ses cheveux, perdu dans mes pensés. Il faut dire qu'il s'en est passé des choses aux cours des dernières 24 heures. La journée d'hier ne laissait rien présager de ce allait arriver en fin de journée. Je rentre du travail vers 18 heures, comme à mon habitude, et je retrouve ma copine assise au salon en tenue légère avec un sac en papier rudement bien rempli devant elle. Il faut que je vous décrive sa tenue, mais ça ne sera jamais aussi bandant que ce que j'ai vu, mais je vais tâcher d'y parvenir. 

    Déjà, elle mesure 1m71 pour 58kg, des jambes interminable, un petit cul bien rond et bien ferme, de très long cheveux blonds qui lui arrivent jusqu'en bas du dos et de magnifiques yeux bleus! Son visage? Effectivement, j'ai omis de vous en parler, un visage typé slave, juste magnifique et ses seins, je ne vous ai pas parlé de ses seins, deux magnifiques petit seins bien ronds et fermes avec de jolis petits tétons qui en feraient craquer plus d'un! Leur taille est parfaite, pile la taille de la main d'un homme de bonne carure, idéal pour les saisir à pleine main!

    Et ce soir là, elle était habillé dans un magnifique ensemble de lingerie noire à dentelle orné de rubans de satin violet. Son ensemble était constitué d'un corset qui marquait d'avantage sa taille et avait un effet push-up sur ses jolis seins qui me narguaient de manière arrogante ainsi mis en valeur. Un porte-jartelle, objet de lingerie féminine, très apprécié pour son lourd pouvoir érotique. Moi j'ai toujours raffolé de la belle lingerie, il n'y a rien de mieux pour rendre une femme désirable. Ce dernier masquait à peine le petit string presque transparent qui dissimulait péniblement son sexe que je devinais humide sous la fine dentelle du string.

    Ses jambes étaient gainées dans des bas à coutures noirs, ce qui mettait encore plus en valeur la perfection de son cul qui paraissait bien clair au milieu de toutes ses parures bien sombre. Et au bout de ses jambes se trouvaient une pair de joli escarpins noirs à talons aiguille de 12 centimètres. J'en avais presque le souffle coupé, mon sexe a mis moin de deux secondes à devenir dur comme la pierre.

    Elle me regardait en souriant, la situation semblait beaucoup l'amuser.

    - Je vois que ma tenue te plait! Mais bon, maintenant j'ai à te parler, je crois qu'il y a certaine chose que je dois t'emmener à comprendre en utilisant des voies différentes de la normale.

    -Tu es un macho, tu n'as pas beaucoup de respect pour la condition féminine, et tu me pourrie la vie avec tes demande sexuelles permanentes et tes performances douteuses, sais-tu que tu ne me fait pas jouir avec ta quequette d'enfant ?

    Abasourdi par ce discours humiliant, je me senti rougir jusqu'aux oreilles

    Je balbutiais - mais.. tu qu'est ce qui te prend?

    - Est ce que tu m'aimes ? rétorquât-elle en décroisant les jambes

    La vue troublé par des larmes, je baisais les yeux sur sa beauté troublante

    -Tu ne veux pas me perdre ?

    - Mais non surtout pas. Je constatais mon échec auprès de cette femme, la mascarade de mon machisme couvrant mon manque de virilité était mis a jour.

    - Alors je vais te demander le temps d'une soirée de te mettre à ma place pour qu'enfin tu te rendes compte de ce que tu me fais vivre parfois et avant que tu refuses saches que si tu refusais, tout serait fini entre nous et que ce soir je te mets dehors! Alors, qu'est ce que tu choisis?

    J'étais tellement choqué par tout ce qu'elle venait de me dire que je ne sus pas trop quoi répondre, si bien que je balbutiais un pénible oui.

    - Bien, donc maintenant mets toi à poil et viens à la salle de bain, on va pouvoir commencer par épiler tout ces poils disgrâcieux que tu as un peu partout sur le corps!

    Voilà, moi, l'homme viril j'allais me faire épiler par ma femme, j'étais vraiment tombé bien bas…

    Je n'aurais jamais imaginé que ça fasse si mal de se faire épiler, à chaque bande de cire qu'elle arrachait, je réprimais un petit cri de douleur…quand elle s'attaqua au partie intime, je voyais ses yeux devenir plus vicieux, elle me fit ensuite la raie du cul et le tour de l'anus, je remarquais qu'elle se tortillait de plaisir... Après une demi heure, me voilà épilé partout !

    Ma femme se recule et me regarde avec un air satisfait, elle semble apprécier ce qu'elle vient de faire !

    - C'est parfait, tu comprendra qu'un homme viril a des poils mais toi c'était un contresens.. maintenant va t'habiller, le sac en papier au salon contient tout ce qu'il faut pour ça et quand tu es prêts, tu reviens ici !

    Je ne savais pas trop quoi faire, mais comme je tenais à elle, je n'osais qu'accéder à sa requête, je me dit si ce n'est que cela je pouvais bien jouer à cela un soir… Quand je défis sac, j'étais un peu choqué de tout ce que j'y trouvai, tout d'abord un string en dentelle mauve, que j'enfilai, une paire de bas à motifs de dentelle, un corset à lacets mauve également, une petite robe peplum, une perruque brune et des bottines à talons aiguilles de bien 10 cm, lorsque j'eus enfilé le corset, ma femme arriva et me dit:

    - C'est un corset spécial pour créer une poitrine, viens ici que je te le lace comme ça tu pourras finir de t'habiller. Je m'approchai d'elle, et elle commença à serrer le laçage, ma taille fut ainsi bien marquée et une poitrine assez agréable avait fait son apparition, j'avais un décolleté maintenant!

    Un peu déstabilisé, j'entrepris d'enfilé la peplum, le tissus légérement élastique moulait à la perfection toutes mes formes, la sensation sur ma peau était étrange, j'étais troublé, je commençais à aimer ça. Il était maintenant tant pour moi d'enfiler les bottines, je m'assis sur une chaise pour le faire, lorsque j'essayai de me lever, j'ai manqué de peu de me tordre la cheville, c'est vraiment super compliqué de marcher avec des talons, et c'est très inconfortable comme chaussures. Il était maintenant temps d'enfiler la perruque et de rejoindre ma femme à la salle de bain pour qu'elle finisse le travail.

    Elle avait sorti tout son nécessaire à maquillage, elle avait prévu la totale ! Elle avait recouvert le miroir avec un linge, ainsi je ne pourrais contempler ma transformation avant la fin! Elle prit une bonne vingtaine de minute pour me maquiller, lorsqu'elle finit, elle me regarda de la tête aux pieds et émis un petit sifflement d'abrobation avant de retirer le linge qui masquait le miroir.

    Là, ce fut le plus gros choc de ma vie, dans le miroir il y avait ma femme et une inconnue vraiment bien foutue, si j'avais pu, je les aurais bien bourrée toute les deux à grand coup de mandrin ! ou plutôt de quequette... Sauf que cette grande brune, c'était moi !

    - T'as vu comme tu es bonne maintenant?!

    Une bosse se fit voir sous ma jupe, je ne sait si les sensation de la dentelle sur mon zizi ou la vue de cette jeune femme, me troublait à ce point ..

    Allez viens avec moi dans la chambre, c'est pas fini ! Sur le lit étaient disposées deux paires de menottes à fourrure, et quelques rubans de coton d'une bonne largeur. - Mets toi à quatre pattes sur le lit! Ce que je fit sans broncher, je ne me reconnaissais plus, j'étais dans un état second, je ne comprennais plus trop ce qui se passait.

    Elle vint et m'attacha les poignets à la tête de lit avec les menottes, m'attacha les pieds au bas du lit et me banda les yeux. - Voilà, maintenant commence le vrai jeu! Je ne répondis rien, je sentais ses mains sur mes fesses, elle me caressait délicatement la croupe, à travers le tissu de la robe, cela m'excitait vraiment beaucoup! Puis, elle souleva délicatement ma robe et commença à caresser ma peau nue, de temps en temps un doigts venait se perdre le long de ma raie couverte par le string et frôlait mon anus.

    Cela déclenchait chez moi un petit mouvement de recul. Je bandais déjà très dur, mon sexe tendu faisait rentrer le string encore plus profondément entre mes fesses, j'en bandais d'autant plus.

    -Tu en veux plus ? dit-elle

    C'est à ce moment là que ma femme écarta sur une de mes fesses la fine bande de dentelle du string afin d'avoir un accès total à ma raie. Elle s'humidifia l'index avec de la salive et vint directement me masser l'oeilliet, cette caresse contre nature à mes yeux me fit très vite beaucoup d'effet, je tendis ma croupe en arrière à la rencontre de ce doigt!

    Ma femme le remarqua tout de suite et elle dit :- Alors ma salope, tu aimes ça? - Oui,

    je n'aurais jamais pensé! À cet instant, elle retira son doigt, je sentis qu'elle descendait du lit elle parti au salon, après quelques minutes, j'entendais des pas, elle revenait, je sentis qu'elle remontait sur le lit, puis j'ai senti un liquide froid qui coulait sur mon oeillet et un doigt qui venait le masser, pour bien accentuer la chose, j'ai poussé quelques gémissements.

    Le doigt me pénétra une ou deux fois, cette sensation nouvelle me transcendat, je tendis ma croupe en direction de ce doigt afin qu'il me pénètre encore plus! À cet instant le doigt se retira de mon fondement, et je sentis quelques chose de dur et chaud appuyer contre ma rondelle à demi ouverte. Je pensais que ma femme s'était équipé d'un godemichet special, Je sentis cette chose exercer une pression contre ma rondelle, qui peu à peu s'ouvrait pour laisser ce corps étranger entrer en moi, fouiller mon intimité.

    Je poussais un son sourd accompagnant la douleur de la dilatation

    Puis, cette chose à commencer à resortir, à rentrer, à sortir et ainsi de suite, j'étais entrain de me faire enculer ! Moi le macho de ses dames à quatre pattes sur le lit conjugal en train de me faire prendre le cul par ma femme. Mais la raison céda vite à l'étonnement du plaisir.

    Sentir ce corps étranger en moi caresser ma prostate dans un sens puis dans l'autre était divin, j'en avais la tête qui tournait tellement je resentais de plaisir! Cela a bien du durer 15 minutes, lorsque cet objet de plaisir se retira, j'entendis à nouveau des bruits de pas en direction du salon, j'attendis à nouveau quelques minutes, l'anus soudain vide et en manque, avec cette sensation d'air froid sur les muqueuses rougies.

    Puis j'entendis à nouveau des pas, cette fois on me détacha les pieds, puis les mains et enfin le bandeau qui obstruait ma vue, au début j'étais un peu aveuglé par la clareté de la chambre et je discernais enfin ma femme qui me regardait avec un sourire victorieux.

    - Allez ma salope, suis moi au salon, j'ai encore une surprise pour toi !

    La TV était allumé et sur l'écran, on me voyait sur le lit à quatre patte avec... un homme derrière moi entrain de m'enculer...Ces images me firent l'effet d'un coup de poing en pleine tête!

    Mon chéri, je te présente Philipe notre amant, vous avez pu faire connaissance tout les deux,

    - tu a tant aimé cela, mon chéri  - n'est ce pas que tu as aimé ?

    Je rougis hébété - Mais je ....

    - mais bon, ça ne suffit pas,me coupa -t-elle

    j'aimerais maintenant que toi aussi tu deviennes sa petite salope, cet étalon est impossible à satisfaire, alors tu vas m'y aider !

    Je ne savais plus quoi dire, je restai bouche bée devant les images qui défilaient sur l'écran, je venais de me faire enculer par un homme, qui plus est, l'amant de ma femme, et j'avais apprécié!

    - Par contre, mon chéri il n'a pas pu se soulager, ni se lâcher dans ton petit cul de salope, alors il va revenir te reprendre, tu as le choix, soit tu restes et tu finis ton travail, soit tu pars, mais n'espère plus jamais me revoir!

    J'avais aimé me faire enculer et j'aimais ma femme plus que tout, même plus que ma fierté d'homme viril,

    -je faisait non de la tête

    - Mon chéri, c'est pour ton bien que j'ai fait cela , tu apprends enfin qui tu es et où est ta place, tu vois bien que tu es une petite femelle lubrique dans un corps d'homme enfin un homme avec un sexe d'enfant...

    -Je n'ai pas raison , regarde tu bande encore... que décides-tu ?

    Ma tête était toute embrumée, ma vérité de sous homme, mon plaisir tout à l'heure et à ce stade un seul guide me dictait sa loi " garder ma femme"... je marmonnais un oui...

    - Bien alors va dans la chambre, mets toi sur le lit, il va revenir et tu assouvieras toutes ses envies!

    Je pris donc place sur le lit, à quatre patte en attente honteux et frémissant j'entendis une discussion dans le salon, ma femme qui échangeait quelques mots avec son amant puis des bruits de pas en direction de la chambre.

    Je le vis enfin pour de vrai, grand brun musclé, très musclé, très beau en fait!

    - Alors ma salope, je crois que je dois éduquer ! Bien, commençons alors viens ici à genoux et viens sucer ma bite!

    Je venais hésitant mais quelquechose en moi voulais une fois de plus la sentir dans mon cul, je me mis donc à genoux et je commence à la sucer comme je l'ai vu tant de fois faire dans les films porno!

    Elle est magnifique, deux fois plus grande que la mienne, avec un large gland qui me regarde avec son oeil de cyclope, je comprend d'un coup ce que voulait dire ma femme par vrai homme.

    J'alterne lents mouvements ou j'aspire sa bite à fond avec des mouvements plus rapide ou je le masturbe avec ma main. Ma honte s'envole dans les bras de mon désir révélé.

    Mon étalon semble apprécier, il me prends la tête entre les mains et commence à me pistonner la bouche, son gland tape dans le fond de ma gorge, je manque de vomir à plusieurs reprises, lui ne semble pas s'en soucier. J'ai mal à la machoire, je n'arrive presque plus respirer lorsque soudain, il éjacule abondemment dans ma bouche, mon premier sperme, chaud abondant,  j'ai envie de tout recracher, il doit l'avoir remarqué puisqu'il me dit :

    - Avales tout sale chienne, si tu recraches quoi que se soit tu vas amèrement le regretter! Je me force donc à avaler, j'ai honte… Il m'intime l'ordre de continuer à la sucer pour bien tout récupérer et lui redonner de la vigueur pour qu'il puisse me démonter ma nouvelle chatte !

    Il s'impose si fort à moi, je m'applique donc à le sucer, sa bite grossit dans ma bouche, la sensation est étrange mais agréable. Soudain, il sort sa bite de ma bouche, me pousse sur le lit, me saisit fermenent les hanches et me pénètre d'un coup sec, la douleur est insoutenable, il n'en a cure, il commence à me bourrer le cul violement, ses couilles claquent contre les miennes, son bassins claque mes fesses dans un bruit sec et régulier.

     

    Je vois une ombre.. c'est ma femme qui a apparement assisté discrètement à nos ébats et la se rapproche, fasciné sans doute de voir son petit mari devenir femelle, j'ai honte, je suis fier, je ne sais plus..

    Il doit bien me pistonner depuis 10 minutes quand il intensifie ses mouvements, il claque son bassin contre mes fesses de plus en plus fort!

    Je râle ma douleur et mon plaisir mélangé à chaque coup de boutoir

    Il enfonce son sexe dans mon cul une ultime fois, de manière extremenent violente, pousse en grand râle et je sens qui vient de me remplir l'anus de sperme! Il se retire et vient me présenter son sexe à sucer.

    - Nettoies la bien salope, j'aimerais pas tâcher mon caleçon parce que tu as mal fais ton travail de chienne soumise!

    Je m'exécute, je suce du mieux que je peux, je jette un coup d'oeil à ma femmes qui le regarde alternativement ma bouche faire son office et la face sereine de son amant... Je ne suis plus rien. il se retire sans un mot, se rhabille et part. Ma femme le suit , je les entends discuter à nouveau, puis elle revient dans la chambre, me regarde avec un sourire satisfait.

    - Bon, maintenant tu as vu ce que ça fait de se faire traiter comme une salope, car tu es une salope n'est ce pas ?

    - Oui .. je suis une salope

     - En fait cet homme n'est pas mon amant, je l'ai rencontré sur le net après avoir passé une annonce pour te matter ! Mais il semble ce soir que les choses ont bien changés entre nous.. Surtout pour toi.

    - Allez, va te laver et vient te coucher ! 

    - Et tu n'oubliera pas de mettre la petite nuisette que je t'ai préparé.

     


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  • par fabien

    Cela faisait bien 2 mois que je n’avais pas touché ma femme, manquant totalement de libido au point d’être même incapable de bander. Cela m’arrive fréquemment, depuis toujours. Pourtant j’ai tout juste dépassé la trentaine, et ma femme, Hélène, a 28 ans, elle est mignonne, elle a surtout des seins fabuleux (un gros 100 bonnet D !), des hanches rondes, la taille fine, et de très TRES gros besoins sexuels. Notre relation n’a jamais reposé sur le sexe (forcément …), mais plutôt sur le fait qu’on s’entend bien et que j’ai un très bon boulot, mais là quand même elle faisait vraiment la gueule, même si on n’abordait pas le sujet. Je sais qu’elle couche avec des types mieux membrés que moi et surtout qui arrivent à bander sans problème et à être endurant au lit, et elle a déjà couché avec certains de mes copains et avec d’autres mecs qu’elle connaît. 

    Moi j’ai toujours accepté tout ça sans rien dire, vu que je ne peux m’en prendre qu’à moi-même et que je pense qu’il y a, dans la vie, d’un côté les gros queutards sans scrupules, et de l’autre les lopettes, et que ça ne sert à rien de lutter contre ça, chacun sa nature et chacun ses possibilités, moi je suis du côté des lopettes, et les autres mecs en profitent avec ma femme, c’est la vie …et en même temps je me masturbais (plus simple pour moi que de faire l'amour) souvent en l'imaginant avec d'autres.

    Dans les périodes où je n’arrive vraiment à rien, Hélène est rapidement en chaleur ; elle l’est déjà d’habitude, alors là … je la voyais se toucher les seins le soir au moment où on se couche, je l’avais surprise une fois en train de se caresser la chatte sur le lit, et je suis à peu près sûr que son jeune collègue Benjamin en avait profité pour la tringler au boulot, comme d’habitude, vu qu’un soir où je l’appelais pour lui demander pourquoi elle était en retard, c’est lui qui avait décroché et il m’avait dit qu’elle était occupée, et j’avais entendu à sa voix qu’il se marrait en me disant ça. Déjà que d’habitude il me regarde toujours d’un air narquois quand je le rencontre ... Mais bon, on restait dans le cadre habituel, ma femme est aime la queue, ses gros nibards allument tous les mecs, et moi je n’assure pas au lit et je suis donc bien obligé d’accepter d’être le cocu de service dont la femme fait le bonheur des autres mecs.

    Tout ça a pris un tour vraiment gênant quand mon frère, Bastien, est venu passer 3 mois chez nous pour une mission pour son boulot. Il est consultant informatique, et sa venue à la maison était prévue depuis un moment, je n’ai pas vu de problème. Dans la famille, les mecs sont des vrais queutards, sauf moi ; Bastien a 3 ans de plus que moi, et mon autre frère, Richard, a 18 mois de plus que moi. Bastien et Richard sont vraiment des mecs qui pensent avec leur queue, Richard est marié mais Bastien est toujours célibataire et il passe son temps à coucher avec toutes les filles qui passent. Ils font du sport tous les deux, ça leur sculpte le torse et les épaules, alors que moi je n’en fait pas du tout. Je savais bien que tous les deux mataient les seins et les cuisses d’Hélène à chaque repas de famille, et qu’Hélène n’était pas insensible, mais ils ont toujours été super corrects, à la différence de mon groupe d’amis. Ils avaient entendu un jour un de mes amis, Christophe, me traiter en rigolant de « cocu de service », mais ils avaient fait semblant de croire mes explications (j’avais expliqué que c’était juste une vanne entre potes). Cela dit, ils se moquent tout de même de moi depuis l’adolescence à propos du fait que j’ai eu peu de copines et qu’elles me quittaient toujours très vite pour un autre, alors qu’eux en avaient parfois plusieurs en même temps, et ils ont été assez surpris que j’épouse une bombe avec des seins de rêve.

    Quand Bastien est arrivé, j’étais super content d’accueillir mon grand frère ; je l’admire depuis toujours, et on s’entend vraiment bien. Je n’avais pas trop fait attention au fait qu’Hélène portait une mini-jupe vraiment très courte, vu qu’elle s’habille toujours plus ou moins comme ça ; son chemisier blanc était normal, donc tout allait bien. J’ai informé Bastien qu’il dormirait sur le lit pliant, dans notre chambre, puis on a commencé à dîner. Pendant le dîner je me suis quand même rendu compte que Bastien louchait carrément sur les seins d’Hélène ; ça m’a surpris, car d’ordinaire je le vois faire ça plutôt en douce, mais j’ai compris quand j’ai vu qu’Hélène avait dégrafé deux boutons de son chemisier : la vue était plongeante sur son superbe décolleté, on voyait très bien presque toute la moitié supérieure de ses deux gros seins !!

    A la vue de ces deux gros nibards, mon queutard de frère oubliait complètement les convenances et ma présence, et son regard ne quittait plus les seins de ma femme ! Hélène arborait un petit sourire coquin, elle semblait fière de se sentir désirée par un mec. La conversation s’est un peu éteinte, et Bastien et Hélène ont échangé un long regard, regard interrogateur du côté de Bastien et regard « allumeur » d’Hélène, tout ça sans un mot, sans que je puisse me plaindre de quoi que ce soit d’objectif.

    Quand on s’est levés, Bastien arborait à travers son jean une énorme érection (mais vraiment énorme !); des trois frères, c’est lui qui a de loin la plus grosse queue, je n’ai jamais compris, mais ça l’a toujours fait rigoler, il a toujours parlé de « son gros zob » avec beaucoup de fierté devant Richard et moi, dans nos conversations entre frangins. Hélène a évidemment caressé sa braguette des yeux, je l’ai vu et lui aussi, on avait l’impression que la queue remontait jusque sous la chemise !! Il avait un peu l’air gêné, mais il faisait semblant de rien, et ça s’est calmé petit à petit.

    On a pris un café sur le canapé, puis, comme il se faisait tard, j’ai proposé qu’on aille se coucher. L’ambiance était bizarre, je faisais la gueule mais sans oser dire pourquoi je la faisais, vu qu'il ne s'était rien passé de grave. J'ai donc dit "je vais me coucher, Hélène a dit qu’elle me rejoignait, mais j’ai insisté en lui rappelant qu’elle devait bosser le lendemain, et que pour Bastien c’était le premier jour de sa mission chez son nouveau client. Je pense qu’elle a compris que je la soupçonnais de vouloir allumer mon propre frère sous mon toit, pour pouvoir enfin se faire sauter, et donc elle n’a pas insisté ; Bastien n’a rien dit, il nous a suivi en faisant comme s’il ne se rendait pas compte que l’atmosphère devenait lourde entre Hélène et moi. 

    J’ai toujours laissé Hélène se faire baiser par d’autres gars (pas par plaisir, mais parce que je pense que je n’ai pas les moyens de lutter contre eux), mais là, avec mon frère, c’était trop, je ne suis quand même pas un paillasson. Dans mon groupe de copains, il se refilent le numéro de portable d’Hélène et se vantent devant moi qu’elle est bonne et pas farouche et que c’est génial d’avoir un copain comme moi, et elle a même été la meuf « officielle » de mon ami Vincent pendant une période de deux mois où il n’avait pas de copine (alors qu’Hélène et moi étions mariés depuis 2 ans). Alors à un moment, il faut quand même savoir poser des limites.

    Bastien s’est mis en caleçon, Hélène est allée dans la salle de bains pour se changer, pendant ce temps Bastien m’a juste demandé, d’un air ironique : « ça va ? », j’ai répondu « oui » d’une voix un peu chevrotante, et Hélène et revenue dans la chambre : elle portait un tee-shirt très court et un string !! J’ai levé les yeux au ciel et je me suis couché, en pyjama, en faisant clairement la gueule, pour lui faire comprendre que je la trouvais ridicule et qu’elle dépassait les bornes. Bastien, torse nu et en caleçon, avait les yeux écarquillés et il essayait visiblement de se contenir.

    Moi je pensais déjà à l’engueulade que j’allais passer à Hélène le lendemain pendant que mon frère prendrait sa douche. Hélène s’est couchée à côté de moi, dans notre super lit « king size » et mon frère s’est couché dans le lit pliant, et Hélène a éteint la lumière. Cinq minutes plus tard, Bastien a dit tout haut : « putain il est super dur, ce lit ! » et j’ai répondu d'un ton sec « c’est tout ce qu’on a ». Un silence, puis il a repris : « déjà que je vais voir un kiné, parce que je me suis fait mal au dos en faisant du sport, ça va pas s’arranger avec ce lit … ». J’ai répondu « ben oui mais je ne peux pas t’inviter à dormir dans notre lit, même s’il est grand, vu qu’Hélène est en string, ça craint ». Hélène, se sentant attaquée, a répondu, d’une voix amusée « tu es ridicule Fabien, … » et Bastien a ajouté « t’exagère, je suis ton frère, Hélène c’est ma belle-sœur, je vous adore tous les deux, vas pas te faire des idées ». Je devenais apparemment ridicule …

    J’ai donc cédé en disant : « bon, ok, c’est vrai je me comporte comme un con ». Bastien s’est levé et il nous a rejoins dans le lit. Comme j’étais couché du côté du mur, comme toutes les nuits, il est entré dans le lit du côté d’Hélène, et elle s’est retrouvée entre Bastien et moi. Je ne voulais pas avoir l’air du mari jaloux (ça aurait bien été la première fois), mais je voulais quand même veiller au grain. J’ai donc décidé de ne pas m’endormir, au cas où … Je n’ai pas fait semblant de ronfler, je suis resté immobile, l’oreille en éveil. Eux sont restés très sages, et au bout d’un moment j’ai entendu leurs respirations, régulières, m’indiquant qu’ils étaient tous les deux endormis. Je me suis donc laissé aller moi aussi, et je me suis endormi, rassuré.

    En général j’ai le sommeil très lourd, mais là je devais être un peu inquiet tout de même, car j’ai été réveillé peu après par un bruit léger, à la fois un bruit de frôlements et de chuchotements. La première chose que j’ai entendue, c’est mon frère qui murmurait « et là, ça te fais du bien ? » et Hélène qui chuchotait « oui, j’aime bien sur le ventre … t’as la main chaude … ». Apparemment, Bastien lui caressait doucement le ventre, sous son tee-shirt ; j’ai légèrement entre-ouvert les paupières, et dans la pénombre j’ai vu qu’il était relevé sur un coude, penché vers elle. Puis sa main est remontée, et il a murmuré « et là … ? » et Hélène, après un silence, a répondu tout bas « c’est mes seins … t'exagères ... mais j’adore … » et Bastien lui a dit « ils sont énormes … putain, vraiment énormes ... j’ai la gaule ! ». 

    Mon frère paluchait les gros nibards de ma femme, nus sous son tee-shirt, à côté de moi ! Je croyais avoir tout subi, mais là c’était une première. Il avait l’air d’adorer ça, car ils ne parlaient plus et sa main restait sur ses seins, en passant de l’un à l’autre. 100 D, il y a de quoi se régaler, pour un mec. Soudain j’ai vu, à travers mes paupières toujours mi-closes, mon frère pencher sa tête vers Hélène, et il a commencé à l’embrasser dans le cou, de façon très langoureuse, avec des bruits de langue, même. Puis ses lèvres sont remontées sur les lèvres d’Hélène, et il a commencé à lui rouler une pelle qui m’a semblé durer un temps infini ; en même temps qu’il l’embrassait, il s’est déplacé pour s’installer sur elle, entre ses cuisses, en position du missionnaire, pendant qu’Hélène remontait doucement ses cuisses autour des hanches de mon frère. A ce moment, elle a murmuré « et Fabien … ? » et Bastien a répondu « il dort, ça va … et tu vas pas me faire croire que je suis le premier mec à te sauter dans votre lit ! » ; Hélène a répondu par un petit rire ; il lui a alors dit d’enlever son tee-shirt, ce qu’elle a fait immédiatement, libérant ses gros seins pour qu’il en profite pleinement.

    Ce salaud ne s’est pas gêné et il s’est carrément jeté sur ses seins, il s’est mis à les lécher consciencieusement, à les bouffer, sans faire trop de bruit mais en s’appliquant bien !! En même temps, je sentais qu’il faisait des mouvements de bassin, sans doute pour faire sentir à Hélène à quel point sa queue devenait grosse et raide, en se frottant contre elle. Ca a duré un long moment, elle lui caressait les cheveux, les épaules, et je sentais bien qu’ils commençaient tous les deux à même oublier que j’étais sensé dormir à 20 centimètres d’eux. La langue et les lèvres de mon frère ont continué à parcourir soigneusement les deux seins de ma femme, les tétons et toute leur surface, pendant que je me mordais les lèvres pour ne pas hurler de douleur et de jalousie.

    Et là je ne sais ce qui m'a pris mais je me suis mis a attendre la suite à la souhaiter, ma bite à demie bandé.

    Pour un queutard comme Bastien, la suite était évidente ; il a commencé à baisser le string d’Hélène, elle a relevé les cuisses pour qu’il puisse le lui enlever complètement, et il a glissé ses doigts sur les lèvres du vagin d’Hélène ; elle s’est mise à gémir doucement, et Bastien a dit, presque à voix haute : « mhhh en plus tu t’es épilée la chatte … ohhh t’es toute mouillée, salope … » puis il s’est replacé sur elle pour lui rouler une pelle de nouveau, et les mains de ma femme ont fait descendre le caleçon de mon frère, j’ai senti qu’il se plaçait bien entre ses cuisses de nouveau, et il a commencé à la pénétrer, à faire entrer sa grosse bite dans la chatte de ma femme, comme si c’était tout naturel.

    Apparemment ça n’était pas si facile, car J’ai senti que Bastien arrêtait son mouvement, avec une partie de sa queue seulement enfoncée dans la chatte d’Hélène, et il lui a demandé « ça va ? je te fais pas mal ? » et Hélène a répondu « non, c’est délicieux, mais je ne sais pas si tu pourras l’enfoncer plus, elle est tellement énorme … ». Bastien a donné quelques petits coups de reins, tout doucement, en lui chuchotant « détends toi, écartes … » et apparemment il a pu continuer à la pénétrer encore plus, sa queue rentrait mieux finalement (je me suis souvenu à ce moment d’une douche que j’avais prise avec lui, il y a longtemps, et j’avais trouvé sa bite énorme, même au repos, un vrai monstre, et se couilles aussi m’avaient semblé deux fois plus grosses que les miennes ; la nature est injuste). Là, Bastien a arrêté de nouveau son mouvement, et il a dit à Hélène, sur un ton un peu étonné : « quand même … tu te rends compte ? » et Hélène a répondu « oui, je sais … baise moi, j’ai trop envie … »pendant qu'elle s'accrochait à ses épaules musclées. Mon sort était scellé.

    Ils ont fait l’amour un long moment ; en regardant le réveil matin qui était sur la table de nuit, j’ai pu calculer que Bastien a limé ma femme pendant plus de 35 minutes, toujours en position du missionnaire. Je pense que pour son premier coup avec elle, il voulait lui montrer qu’il est endurant. A certains moments, le plaisir d’Hélène était si intense qu’elle poussait des cris, en oubliant totalement de faire attention à moi.

    Dans ces moments-là, je sentais que Bastien se mettait à la pistonner encore plus vite et encore plus fort. Je sentais chacun de leurs mouvements qui faisait bouger le matelas, cela me faisait bouger aussi, j’avais l’impression d’être sur un bateau qui tangue, parfois. Ma bite en totale érection me faisait mal.

    A plusieurs reprises, j’ai été heurté par le coude de Bastien, ou par son pied, et je continuais à faire semblant de dormir. Après avoir ramoné la chatte de ma femme 35 minutes environ donc, et lui avoir donné deux orgasmes d’après ce que j’ai supposé des cris qu’elle a poussé, Bastien a éjaculé, très longuement et très fort, en poussant un énorme râle de plaisir. Moi j’étais dans un état second, j'éjaculais sur moi en même temps puis j’avais presque physiquement l’impression de ne plus exister, d’être juste un fantôme à côté de ce couple d’amants passionnés, en tout cas d’avoir une existence moins réelle que la leur. 

    Bastien a retiré sa queue de la chatte d’Hélène, après quelques instants de repos, et Hélène s’est levée, tout doucement, comme si, après avoir baisé comme des fous à côté de moi, il était encore temps de prendre des précautions ! Elle est sortie du lit et est allée vers la salle de bains.

    Bastien l’a laissée s’éloigner, puis il a dit « alors frangin, tu vas continuer à faire semblant de dormir pendant que je m’envoi ta femme ? ». Je suis resté silencieux puis, me rendant compte que c’était ridicule, j’ai répondu, tout bas « qu’est-ce que tu veux que je fasse d’autre ? » et Bastien a dit « ben rien, t’as raison, là y’a plus rien à faire pour toi, j’ai honte pour toi, mon pauvre ! Tu te rends compte ? J’arrive même pas à y croire, t’es trop naze. ». J’ai murmuré « tu vas pas te plaindre, en plus … » et il a répondu « non, ça c’est sûr, quand un mec est nul comme toi et que sa femme est une bombasse sexy en chaleur, moi je suis un vrai mec, alors j’en profite, et tant pis pour ta gueule si t’es trop nul et que tu me laisse la baiser dans ton lit ! purée j’y crois pas, quel pied … je vais la tirer sans arrêt, cette salope, elle aime trop ça, et savoir qu’en plus c’est ma belle-sœur, là rien que de le dire, ça me fous la trique à nouveau … je vais la démonter toute la nuit !! tu vas chialer, frangin, t’as pas fini de m’entendre l’enfiler !! si t’aimes l’entendre gémir, ouvre les oreilles, je vais lui mettre tout ce que j’ai !! ».

    Sans rien répondre, je me suis levé et je suis allé me coucher sur le lit pliant, dans le coin de la chambre. Bastien a murmuré « quelle nul … j’y crois pas … » et Hélène est revenue de la salle de bains quelques secondes après, toujours totalement nue. Elle a vu immédiatement que j’avais changé de lit, elle s’est assise à côté de Bastien, en regardant dans ma direction dans la pénombre, Bastien a posé une main sur un des seins de ma femme, et il l’a attirée vers lui, elle s’est rallongée et Bastien lui a dit « on va être plus à l’aise, j’ai super envie de te faire l’amour toute la nuit ! ». Il a ajouté « tu vas voir, je vais te sauter au moins 7 ou 8 fois cette nuit » et Hélène a rit en disant « vous êtes très différents, dans la famille ! ». Bastien lui a demandé « alors tu veux te la prendre encore ? » et elle a répondu « oui, j'ai envie de te sentir en moi … viens ! ».


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  • Pour couper court aux langues de vipère, sachez que j'aime profondément mon mari malgré ce que vous allez lire. Il est le soleil de ma vie même si le mode de vie de notre couple n'est pas très orthodoxe.

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    Six mois après l'explosion de mon couple, je surfais sur "Comment dresser mon mari" à la recherche de textes sympa pour me changer les idées (et m'amuser un peu) quand j'ai lu la phrase ci-dessus qui m'a perturbée.

    « Le moyen le plus rapide de contrôler le coeur d'un homme est de contrôler sa queue. Une fois que vous possédez sa bite vous pouvez facilement devenir le centre de son univers ».

    Les hommes ont vraiment une bite à la place du cerveau, pour tirer un coup, ils sont prêts à faire des folies et des conneries monumentales comme mon mari qui s'est barré pour une fille avec un beau cul. Elle lui a promis la lune et du SM, en guise de « lune » et de SM il s'est pris une raclé par le cocu. Quel con !

    De fil en aiguille, de surf en surf, les « clics » m'ont conduite à lire sur fessestivite les textes où les hommes soumis semblaient aduler leur femme. J'y ai lu qu'ils faisaient le ménage, les courses, le repassage et surtout les faisaient jouir en devenant des amants très attentionnés. Pendant des années j'ai souvent eu l'impression de servir de « réceptacle » alors pensez donc si cela m'a interpellée et a motivé mes lectures car ne l'oubliez pas, je cherchais des réponses à mes questions sur notre couple qui venait d'exploser.

    Le point commun de ces hommes, ou des posts sur le site et les forums que j'ai visité étaient les dispositifs de chasteté, les humiliations aussi multiples que diverses voire même surprenante et la féminisation. Sur un blog j'ai trouvé les réponses à mes interrogations sur ce besoin qu'ont les hommes de se féminiser. Nous savons tous que nous avons une part de féminité et de masculinité. La féminité des hommes existe bel et bien, s'ils fantasment d'être une femme dans leurs délires, le fait qu'ils soient sous cage de chasteté décuple leurs envies d'être comme une femme.

    L'idée de dominer mon mari ne m'était jamais venue, ni celle de lui faire porter une cage de chasteté 24 heures sur 24 et encore moins celle de le féminiser. Cela ne comptait pas de mes fantasmes.

    J'ai sauté le pas pour essayer de sauver notre couple !

    Maintenant je suis ce que l'on appelle une Maîtresse !

    Nous avons arrêté la procédure de divorce.

    Mon mari est revenu à la maison avec la queue entre mes pattes.

    Il assure toutes les taches ménagères.

    Il est doux, tendre affectueux, attentionné.

    Il aime me masser et me faire jouir de sa langue ce dont je ne m'en prive pas.

    Il me dit des mots d'Amour et m'offre des fleurs.

    Quel changement allez-vous penser !

    OUI MAIS mon mari est sous cage de chasteté 24 heures sur 24 sur des périodes allant jusqu'à un mois sans libération. Je lui ai même offert un gode ceinture pour qu'il me prenne, comble de l'humiliation pour un ancien macho mais cela l'a rendu fou d'amour.

    Au début, cela n'a pas été facile comme l'on peut s'en douter, mais j'ai tenu bon en « payant » un peu de ma personne. Mais s'il voulait me baiser et avoir le droit de jouir, il devait faire la totalité des tâches ménagères avant. (Ménage à fond, repassage, courses, cuisine,...) Le plus étonnant c'est qu'il le faisait avec conviction et non pas comme une obligation ! ! !

    Un jour, je me suis amusée à le traiter de « petite femelle » pendant qu'il faisait le ménage en me collant contre lui pour une étreinte affective mais quand par provocation je lui ai dit qu'il faudrait lui acheter une tenue de soubrette, il s'est mis à bander dans sa cage de chasteté à s'en arracher les testicules.

    Mon s a n g n'a fait qu'un tour, j'avais zappé la féminité des mecs encagés. Je l'ai foutu à poil, puis lui ai prêté une de mes culottes et un vieux tablier. Il bandait même en faisant les vitres je n'aurais pu croire ça si je ne l'avais pas vu et constaté par moi-même. Le soir même, il m'a câlinée avec une fougue et une tendresse que je ne lui connaissais pas. Depuis, je lui ai fait une petite garde robe et il a obligation de se travestir dès qu'il arrive à la maison.

    Un jour, j'ai vu sur son ordi qu'il fantasmait sur les femmes mettant un gode-ceinture pour sauter leur mari. J'ai donc exploité son fantasme pour lui faire plaisir, mais surtout pour obtenir encore plus de lui parce que je voulais un amant. La cage ayant développé sa féminité et sa bisexualité, cela m'a permis de lui faire accepter l'idée que j'ai un autre soumis avec qui je pourrai jouer. De fil en aiguille (et en conards de fantasmiens menteurs) je suis arrivée à le faire sucer un homme et à le faire sauter. Quel pied ! J'étais si excitée que je me suis branlée devant eux alors que je ne suis absolument pas portée sur l'exhibition. Ce n'est pas que je sois pudique mais l'exhibition n'est pas mon trip.

    Comme il avait eu un amant, il n'y avait pas de raison que je n'en ai pas un par contre, pour faire passer l'idée, il m'a fallu du temps et surtout agir finement en utilisant son masochisme et sa soumission. J'ai commencé par l'entraver sur une chaise aux pieds du lit avec un gode dans les fesses, je l'ai un peu martyrisé avant de me goder sous ses yeux. Comme cela l'excitait et le rendait fou, j'en ai profité pour le faire fantasmer sur l'idée d'un amant qui me baiserait sous ses yeux et qui peut-être pourrait le baiser aussi. Après avoir mimé une jouissance monstrueuse, (je n'y arrivais pas) je l'ai à nouveau martyrisé. Assise sur ses genoux, (ce qui enfonçait son gode) je suis parvenue à le faire accepter que je prenne un amant en agitant sa cage de chasteté qui coulait tant il était excité. Comme quoi, il ont bien une bite à la place du cerveau.

    Aujourd'hui, il accepte que j'ai un autre soumis et un amant fort comme un dieu qui me rend folle. Quand il vient me sauter, mon mari n'est dans la chambre que si le ménage a été bien fait.

    Si je ne suis pas contente de lui, nous l'entravons dans la salle de bain. Si je suis contente de lui, je reproduits le coup de la chaise aux pieds du lit mais nous lui bandons les yeux car son regard me gêne. Par contre, une fois que mon amant est parti, je lui accorde le droit de me lécher en se branlant sous condition qu'il lèche le sperme de mon amant. Ce jeux est assez dégueulasse et cela ne m'amuse pas vraiment, mais comme je me suis rendu compte que cela l'excitait c'est un peu ma récompense d'Amour.

    Je me sens bien dans mon rôle de Maîtresse, je surfe maintenant sur des sites SM, mon couple va très bien et mon mari est ultra attentionné que demander de mieux ?

    Rien, mais tant pour lui que pour moi, le travail psychologique à faire a été long.

    Je l'aime et j'ai pardonné son escapade.

    Vive la cage de chasteté, vive la gynarchie.

    Maryse


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