• Ma femme a été fidèle pendant des années, sage, sérieuse... jusqu'au jour où j'ai parlé à mon meilleur ami médecin de mon fantasme de la voir me cocufier. 
    Au début, il m'a dit que j'étais débile, que c'était stupide... 
    Mais régulièrement, je remettais l'histoire sur le tapis. 
    - être fidèle, c'est de la possession. Ma femme n'est pas un objet. Et si ça se trouve, elle a envie d'un autre homme, mais elle craint de ne plus être assez séduisante. 
    - Ça va pas! Elle est superbe, elle a un charme fou. 
    - Elle croit que non. Tu devrais lui dire, toi, mon meilleur ami. 
    - je ne me vois pas faire ça. 
    - Alors, c'est que tu n'es pas sincère, tu dis ça pour me faire plaisir 
    - Mais non ! 
    - Elle te plait ? Tu la draguerais ? 
    - Si elle n'était pas ta femme, oui. 
    - Encore une excuse bidon. Si elle te plait, essaie de la séduire. 
    - T'es givré ! Et si elle craque ? 
    - Tu sais depuis 30 ans que nous sommes ensemble, elle n'a jamais été voir ailleurs. 
    - C'est qu'elle n'en ressent pas le besoin. 
    Je le sentais troublé... après un silence je lui ai dit : 
    - et si je te le demandais ? Si je te proposais de tenter de la séduire, pour voir ? 
    - C'est risqué. Si ça marche, tu seras fâché après moi. 
    - Non. J'y pense très souvent ; tous les jours je t'imagine avec elle, la faisant jouir, en me masturbant. 
    - c'est une situation bizarre. 
    - Tu sais ce que c'est que le candaulisme ?
    - Non !
    - Renseigne toi…
    Quelques jours plus tard, c'est lui qui a repris la conversation :
    - Je me suis renseigné sur le candaulisme. Je ne ressens pas ça, mais j'admets que ça puisse exister.
    - Est-ce à dire que tu es prêt à tenter de séduire ma femme ?
    - Ça me fait un peu peur, mais si tu y trouves du plaisir, pourquoi pas ?
    - Oui, ça me fait plaisir. Et même, j'espère que tu réussiras, que tu me feras cocu.
    - Bon. D'accord, j'essaie.
    Etant absent tout une journée, j'en ai averti mon ami. Comme par hasard, il est passé à la maison, juste avant midi. Comme nous le connaissons depuis des années, ma femme l'a invité à l'apéro, puis à déjeuner. Il l'a fait boire, elle qui ne supporte pas 2 verres. Puis il lui a dit 
    - Je plongerais bien dans la piscine.
    - Vas-y, elle est à 27°
    - Je n'ai pas mon maillot de bain.
    - Bof. Avec Philippe, on se baigne nus.
    Il a aussitôt quitté ses vêtements, la bite déjà mi-raide, bel organe (12/14 cm au repos, la mienne en érection)
    - tu ne viens pas ?
    - C'est gênant, nus tous les deux.
    - Bof, on se connait depuis si longtemps.
    Elle a fini par se mettre toute nue et ils se sont baignés, se frolant…
    Puis, il est sorti, là, il bandait dur, superbe membre.
    - Je préfère sortir, tu vois l'effet que tu me fais ?
    Elle ne disait rien. Il restait là, debout à la regarder nager.
    - Tu es vraiment très elle.
    -Allons, dis pas de bêtise, je suis vieille, toute dégradée.
    - Mais non, regarde comme je suis excité.
    - Monsieur, je suis mariée.
    - Madame, j'ai l'autorisation de votre mari.
    - Qu'est-ce que tu racontes ?
    - il m'a dit qu'il rêvait de te voir prise par un autre homme.
    Elle semblait gênée
    - tu ne me crois pas ?
    - Si, il m'a déjà dit ça en faisant l'amour.
    Mon ami est retourné dans la piscine, s'est approché de ma femme
    - Faisons-lui plaisir.
    Puis il a tenté de l'embrasser, elle se débattait mollement.
    - J'ai tellement envie de toi. Offrons-lui ce cadeau…
    Elle a cessé de se débattre, offrant sa bouche au baisers torrides de notre ami.
    Tout est allé très vite, pelotage intense, caresses de fesses. Elle a fini par répondre à ses caresses, fesses, bite. Il l'a soulevée et l'a empalée sur sa bite. Elle ne luttait plus, au contraire, elle avait envie
    - Prends-moi. Faisons-lui plaisir. Viens
    Il était tellement excité qu'il a éjaculé très rapidement, bien au fond… elle a joui en même temps que lui… ils sont restés collés un moment, s'embrassant, se caressant…
    - Merci, ma chérie. Excuse-moi, j'étais tellement excité. Allons nous reposer un peu, on sera moins nerveux la prochaine fois.
    - Tu crois ? J'ai un peu honte. On devrait en rester là
    - Chut ! Tu as joui, moi aussi, nous avons réalisé son rêve.
    - Il faut que je te dise : je ne prends aucune contraception…
    Ils son allés s'allonger à l'ombre, toujours nus.
    Assez rapidement, il a retrouvé une belle érection et a recommencé à la caresser.
    - non, mon chéri, il ne faut pas. 
    - Chut ! tu n'es pas crédible.
    Il l'a prise à nouveau, en missionnaire, faisant durer le plaisir, retardant sa jouissance. Elle a connu 3 orgasmes Au troisième, il a tout lâché. 
    - Maire, je t'aime.
    - Allons, pas de grand mot.
    - Tu n'as pas joui ?
    - Oh si, mon chéri. Comme jamais. Tu es juste à la bonne dimension. J'ai adoré.
    - Alors, nous allons devenir amants officiellement.
    - Comment ça, officiellement, on va publier une annonce dans la presse ?
    - On va commencer par annoncer la grande nouvelle à ton cocu.
    - C'est aussi ton cocu, à toi aussi. 
    - Oui, c'est notre cocu ! On devrait peut-être lui téléphoner pour lui annoncer la bonne nouvelle.
    - tu es fou 
    - Fou de toi, mon amour.
    - Non mais, tu ne vas pas remettre ça !
    - Non. Nous allons lui faire la surprise, attendre le bruit de la voiture pour le cocufier pour la 3ème fois.
    - Tu exagères.
    - Je t'aime
    - Ça tu l'as déjà dit.
    - Et je le redirai encore.
    Ils se sont caressés toute la fin d'après-midi, résistant au désir.
    Quand je suis arrivé, j'ai eu la surprise de voir mon ami en action sur le dos de ma femme. Une superbe levrette qui permettait aux deux amants de me regarder en jouissant.
    - Bonsoir, mon cocu, tu vois, on te fait plaisir
    - Je t'avais dit, Philippe que j'avais envie d'elle. Tu es cocu. Cocu et content ?
    - Oui, cocu et content.
    J'ai baissé mon pantalon et mon slip pour me masturber en regardant mon cocufiage,mon rêve enfin réalisé.
    Ils ont joui ensemble, se sont encore embrassés et caressés. J'ai éjaculé.
    Puis, nous avons parlé, eux toujours nus, enlacés, face au cocu :
    - Merci, mon ami pour ce cadeau. J'aime ta femme. Je vais la faire jouir souvent.
    - Merci à vous. Je voulais être cocu, je le suis.
    - Tu sais mon cocu chéri, j'aime vraiment faire l'amour avec Alain. Il me comble.
    - Nous allons devenir amants officiels, avec la bénédiction du cocu.
    - Ah !
    - Ça te gêne, mon cocu ?
    - Euh… je ne sais pas, je n'avais pas envisagé ça.
    - Fallait y penser avant. Alain me baise si bien, que je n'ai plus besoin de toi. C'est lui mon homme, maintenant.
    - Tu veux me quitter ?
    - Pas du tout Tu es mon mari, cocu, mais mari. Tu seras mon cocu chéri.
    - Mais tu ne feras plus l'amour avec ta femme.
    - Ah bon ?
    - Oui, nous en avons parlé. Alain me baisera et lui seul. Toi, tu pourras regarder, te branler, me caresser, mais jamais me pénétrer. Nous en avons parlé cet après-midi.
    - Ah !
    - J'aime ta femme, elle m'aime, mais elle reste avec toi. Je viendrais la prendre quand elle aura envie ou moi. Souviens-toi, elle ne t'appartient pas…
    Depuis, il vient la prendre quasiment tous les jours et je n'ai que le droit de la caresser. Parfois elle me branle et c'est tout.
    Mais un jour, j'ai tenté de la pénétrer… elle s'est débattue
    - Ah non ! Le cocu n'as pas le droit ! Arrête ou je le dis à Alain.
    J'ai été un peu brutal, aussi, quand Alain est arrivé ce soir là il a été très sévère :
    - Dis donc, cocu, tu connaissais la règle du jeu. C'est ma femme, cocu ! Tu ne dois plus la pénétrer. D'autant plus qu'elle est enceinte.
    - Enceinte, de toi ?
    - Évidemment, cocu ! Tu ne la baises plus depuis 6 mois.
    - Alors ?
    - Ce sera notre secret, mon enfant aura deux pères.
    - C'est ca, tu vas élever mon fils avec ton argent.
    - Si elle est enceinte pourquoi je ne peux pas la pénétrer ?
    - Tu n'as rien compris, cocu. Marie, amène le matériel

    - Que vas-tu faire ?

    - je vais te couper les couilles, cocu. Comme ça, je suis sûr que tu ne me feras pas cocu.

    Elle : - C'est peut-être un peu excessif.
    - Ecoute, ma chérie, on en avait parlé, tu étais d'accord… C'est le seul moyen pour qu'il te laisse définitivement tranquille avec sa petite bite... allez, cocu, amène tes couilles.
     

    Il s'est jeté sur moi,m'a mis un coup de poing magistral qui m'a fait m'assoir à demi inconscient,il m'a immobilisé, bâillonné, elle, complice m'a lié les mains dans le dos de la chaise puis les chevilles.
    Je reprenais conscience doucement quand une douleur horrible me prenait le scrotum.
     

    Il faisait une boucle avec un fil métallique, me l'a passé autour de la couille gauche, un autre autour de la droite. Elle regardait intensément la scène en se touchant la vulve, un sourire vicieux au coin des lèvres.
    - oh mon dieu dit elle je jouie... un spasme la secouait
    - Vas-y ma chérie, serre fort le fil, moi, je prends l'autre. Un, deux trois.
    Les amants ont serré d'un coup sec. Douleur fulgurante… je suis tombé dans les pommes.
    Comme il est médecin, il a soigné, suturé et mis mes balles perdues dans un bocal de formol avec mon nom et le sobriqué cocu à jamais sur l'étiquette.
     

    Puis ils ont fait l'amour devant moi, en levrette, me regardant ironiquement :

    - Regarde mon cocu comme il me baise bien -un éclair de furie dans les yeux
    - Merci cocu, de m'avoir donner ta femme, je vais bien la remplir, tous les jours que Dieu fera.
    Je pleurnichais dans mon coin, de l'invraisemblance de cette situation et de leur affront.
    - Tu vois, tu l'as voulu, tu l'as eu mon cocu, tu ne seras plus un homme à jamais , mais tu seras un cocu pour toujours.


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  • Ecrit par Cedric

    Une vie sexuelle plutôt ordinaire et classique. C’est ainsi que j’aurais pu définir la sexualité de mon couple, du haut de mes 38 ans. Ma femme aimait le sexe, moi aussi, mais nous manquions de variété et de fantaisie, malgré quelques jeux occasionnels avec quelques accessoires pour elle…

    C’est ainsi que j’ai commencé à passer beaucoup de temps sur Internet, à écumer différents sites afin de satisfaire des besoins que je considérais comme un peu pervers : discussions en ligne très sexe avec des femmes, exhibition en webcam… Jusqu’à ce que je tombe sur Hélène.


    Hélène était une femme plantureuse de 45 ans, et nos premiers échanges par chat ont démarré suite à une rencontre sur un salon de discussion un peu orienté domination et soumission. Hélène était dominante, et moi j’étais… simplement curieux. Nous fîmes connaissance, et rapidement elle exigea de me voir en cam tous les jours, quand ma femme était au travail. Nous discutions au début, puis elle me demanda chaque jour de porter une tenue différente… Elle me voulait souvent en costume/cravate ; j’aimais lui faire plaisir, alors cela ne me dérangeait pas. Évidemment, elle exigea au bout d’un moment que je me déshabille… Elle me faisait faire des choses : elle me faisait danser, elle m’obligeait à me caresser devant elle (elle se montrait aussi), elle me faisait enrouler des lacets autour des couilles et de la queue, elle me demandait de bien lui montrer mes fesses et ma rondelle. Bref, elle jouait avec moi de façon progressive…


    Un cap fut franchi lorsqu’elle me demanda de mettre un string de ma femme sous mon costume, ainsi que des bas. Cela l’excitait beaucoup ; et encore une fois, pourquoi ne pas lui faire plaisir ? Je découvris donc le plaisir très sensuel de porter de la lingerie féminine. Contrairement à ce que je pensais, c’était très agréable et très bandant. Elle me fit porter cette lingerie tous les jours et continuait de jouer avec moi, avec mon corps… Au plus fort de l’excitation, elle me traitait de petite salope, de pute, et curieusement cela m’excitait davantage.


    Un autre cap fut franchi lorsqu’elle me demanda de trouver un objet à me glisser dans l’anus. J’optai pour une bougie pas très large, autour de laquelle je glissai un préservatif. Je découvris ainsi diverses positions d’exhibition, cette bougie plantée dans mon petit trou, ce qui nous excitait bien tous les deux. J’eus l’impression que mes orgasmes étaient décuplés lorsque je jouissais sur son autorisation après m’être branlé furieusement pour elle, la bougie bien calée dans mon fondement.


    Il fallait bien me rendre compte de l’évidence : je devenais totalement soumis à cette femme virtuelle, elle aurait pu me faire faire à peu près n’importe quoi.


    Toute cette routine agréable fut brisée un jour alors que, comme tous les jours, j’étais dans la chambre en train d’enfiler un string de ma femme après avoir mis des bas noirs. J’avais mis de la musique et je n’entendis pas la porte de l’entrée, ni la porte de la chambre s’ouvrir… Ma femme me découvrit donc ainsi, debout à côté de son armoire, ne portant qu’une paire de bas et un string, la queue déjà dressée.


    • — Qu’est-ce-que…

    Ce fut tout ce qu’elle trouva à dire, alors que je me retournai et qu’aucun mot ne put sortir de ma bouche. Elle quitta la pièce, la maison, et ne revint qu’une heure plus tard. J’étais très gêné, mais elle ne dit rien et se mit à me parler de sa journée comme si rien ne s’était passé. Je laissai la situation ainsi, et je pensais que l’affaire était classée jusqu’à ce qu’elle m’en reparle, une semaine plus tard.


    • — Chéri… J’ai été très surprise, l’autre jour, alors j’ai cherché à comprendre. Et pour ça, j’ai demandé à un collègue de regarder ce qu’il y avait sur ton disque dur. Il est venu pendant que tu étais parti chez ton frère, hier, et il m’a montré tout ce que tu avais dessus, tous les sites sur lesquels tu navigues… J’ai été surprise, très surprise, mais je ne te jette pas la pierre. Je n’ai rien fait pour que nos relations sexuelles soient plus pimentées, et je ne t’imaginais certes pas aussi… soumis, si c’est le bon mot. Je me suis bien renseignée ; j’ai lu toutes les histoires érotiques que tu avais mises dans tes favoris, et… j’ai décidé que j’allais devenir ta Maîtresse.
    • — Mais chérie, tu… Quoi ? Tu te rends compte de ce que tu dis ?
    • — Oui bien sûr, je m’en rends compte. Nous aurons des moments où tu seras mon soumis, et d’autres où tu redeviendras mon mari, comme tu l’as toujours été. Ta sexualité va m’appartenir, et nous commençons maintenant.
    • — Je suis très étonné mais… tu crois que tu vas aimer ça ?
    • — Commence donc par arrêter de me poser des questions et appelle-moi « Maîtresse ». Tu me vouvoies à partir de maintenant.
    • — Oui… Maîtresse.
    • — Retourne dans la chambre, et va remettre ces bas, ce porte-jarretelles et ce string que tu portais l’autre jour.
    • — Oui… Maîtresse.

    Ce fut le début de ma soumission avec Séverine.


    Je retournai donc dans la chambre pour enfiler cette tenue et revins, rouge de honte, vers elle dans le salon. Ma tenue la fit rire, et de cette humiliation je tirai une curieuse excitation, qu’elle vit d’ailleurs. Cela la fit rire encore plus, alors que ma queue prenait des proportions importantes et sortait du string. Elle s’installa sur une chaise, écartant les jambes, retirant sa petite culotte, me montrant sa jolie chatte légèrement poilue. Elle se mit à se caresser en me demandant de prendre des poses humiliantes, notamment à quatre pattes, mes mains écartant mes fesses, string sur le côté, pour bien lui montrer mon anus. Au bout d’un moment, elle me fit m’approcher d’elle et me demanda de me branler devant elle, ce que je fis avec délice alors que mes yeux dévoraient sa chatte du regard, sa chatte qu’elle masturbait sans complexe devant moi…


    • — Cette chatte, tu ne l’auras que quand je le déciderai… si je décide de te la redonner un jour, petite pute !
    • — Oui, Maîtresse…
    • — Viens. Frotte ta queue contre mon clito. Fais-moi jouir comme ça.

    Je me frottai à elle, ma bite contre les lèvres de son sexe et contre son clito, avec une énorme envie de plonger ma queue dans sa chatte, mais cela m’était interdit. Cela l’excitait drôlement, et elle jouit soudainement de ces frottements, ce qui me fit jouir à mon tour, sans prévenir. Nous jouissions tous les deux, mais elle me fit revenir à la réalité brusquement en m’administrant une gifle magistrale :


    • — Petite pute, qui t’as autorisé à jouir ? Sur ma chatte en plus !

    Sans plus de cérémonie, elle m’agrippa par les cheveux et me fit me baisser jusqu’à ce que mon visage soit contre sa chatte gluante de mon sperme. Elle s’essuya avec mes joues, mon nez, ma bouche, et acheva en me faisant manger mon sperme.


    Les jours suivants, ce type de scénario se répéta. Je passais le plus clair de mon temps à la maison dans une tenue de femme sexy, toujours en bas, porte-jarretelles, string… Je n’avais plus accès à la chatte de ma femme, hormis quand elle me faisait se frotter à elle ou lorsqu’elle me demandait de longs cunnilingus et anulingus. Oh, ça oui ! Elle adorait que je lui lèche longuement son petit trou ; cela lui faisait un effet dingue…


    Cela dura plusieurs mois. J’avais quand même le droit, de temps en temps, de la baiser, d’enfin glisser ma bite au fond de sa chatte ; mais quand je le faisais, elle m’humiliait, me disait que finalement elle ne sentait pas grand-chose. Parfois elle riait, parfois elle m’obligeait à jouir en elle en moins d’une minute sous peine de punition. Et finalement, elle se mit régulièrement à évoquer le fait qu’elle devrait peut-être aller voir ailleurs, qu’elle avait le droit de se faire enfin bien baiser, qu’elle méritait une grosse bite en elle, plus grosse en tout cas que la mienne… Cela m’excitait beaucoup, et je jouissais beaucoup lorsqu’elle en parlait.


    Bref, j’avais à domicile une Maîtresse qui m’humiliait, me forçait à me vêtir comme une salope, me baisait régulièrement le cul avec un gode en me traitant de tous les noms, m’autorisait de moins en moins à glisser ma queue dans sa chatte, me frustrait de plus en plus, me faisait jouir en nettoyant mon sperme, et se mettait à me parler d’autres hommes qu’elle aimerait bien mettre dans son lit ou ailleurs… Ce qui se fit progressivement.


    Séverine se mit à sortir de plus en plus souvent avec ses amies alors que je restais à la maison. Les premiers temps, elle me racontait qu’elle se laissait draguer gentiment mais n’allait pas plus loin. Une nuit, en rentrant, elle me parla d’un mec qui l’avait draguée dans la soirée, tout en me caressant la queue distraitement :


    • — Si tu avais vu comme il avait envie de moi… Ça se sentait, ça se voyait. À un moment, nous étions dans un coin sombre, à discuter ; tu crois que j’aurais dû toucher sa bite, pour voir s’il bandait pour moi ?
    • — Séverine… tu…
    • — Tu crois que j’aurais dû l’emmener dans les toilettes, me mettre à genoux devant lui et lui sucer la bite ?
    • — Je crois que… Tu… tu en as envie ?
    • — Tu crois que j’aurais dû le déshabiller et m’asseoir sur sa grosse bite pour qu’il me ramone comme tu ne l’as jamais fait ?
    • — Je…
    • — Je crois que tu veux être cocu. Je crois que tu veux que d’autres hommes me baisent comme une chienne. Je crois que tu veux que des hommes membrés comme des ânes mettent leur grosse bite tout au fond de la petite chatte de ta femme. Je crois que… Ooooh ! Mais qu’est-ce que c’est que ça ?

    J’étais en train de jouir dans sa main, alors que pourtant elle ne m’avait pas branlé longtemps, révélant ainsi à ma femme à quel point ses mots m’excitaient.


    • — Eh bien, si c’est comme ça, nous verrons bien ce que les jours prochains nous réservent… dit-elle en allant dans la salle de bain pour se démaquiller et se préparer à dormir.

    J’avoue qu’après cet échange, j’eus bien du mal à trouver le sommeil… Excité… Honteux… Inquiet…


    La semaine suivante, alors qu’elle était de sortie un soir, elle m’envoya un MMS me disant « Tu as vu ce morceau ? » et me montrant une queue imposante, posée sur une main, celle de ma femme à en juger par la bague de mariage que je reconnus. J’en bandais comme un fou, mais étais également inquiet.


    Elle rentra avec un grand sourire, en m’embrassant longuement, en jouant de sa langue avec la mienne beaucoup plus longtemps que d’habitude. Ce baiser fut conclu par ces mots :


    • — Tu aimes le goût de sa bite dans ma bouche ? Il y a joui, tu sais… Alors, tu es content, mon cocu ? Content que ta femme ait sucé une grosse bite dans les toilettes d’une boîte jusqu’à ce qu’il décharge son foutre dans ma bouche ?

    Pour toute réponse, je me remis à l’embrasser, la queue en feu, très excité. Elle me raconta alors sa soirée en détail, comment elle l’avait laissé la draguer, et comment… elle lui avait dit qu’elle allait envoyer une photo de sa bite à son mari, pour qu’il comprenne à quel point il allait être cocu. Comment cela avait excité cet inconnu, qui avait utilisé la bouche de ma femme comme un trou à bite.


    Elle m’autorisa à me branler tout en lui faisant un long cunni ce soir-là. Elle me raconta encore et encore comment elle avait adoré cette bite, me disant qu’elle aurait bien aimé l’avoir dans la chatte… Se faire pomper par ce gros dard… Et moi, je jouissais en l’écoutant et en la léchant.


    Le jour suivant, elle décida de sortir sans ses copines, sans me dire où elle allait, mais en s’habillant très, très sexy, voire vulgaire : une mini-jupe très limite, des bas, des talons hauts, un chemisier à moitié transparent et une petite veste. Je distinguai néanmoins lorsqu’elle se baissa pour ramasser son sac la présence d’un petit tanga en dentelle. Elle m’abandonna ainsi en me disant juste :


    • — Ce soir, tu seras vraiment cocu, mon chéri…

    Inutile de vous dire que j’attendais son retour avec impatience.

    Elle revint au milieu de la nuit, visiblement fatiguée, épuisée, les cheveux un peu en pagaille ; une odeur de sexe et de luxure flottait dans l’air. Elle ne me dit rien, s’approcha de moi, m’embrassa à pleine bouche. Y avait-il un goût de sperme ? Je crus en déceler, en tout cas. Elle m’allongea sur le lit et me retira mon string. Je bandais déjà alors qu’elle retirait son tanga. Elle se jeta sur moi, s’installa, et très vite glissa ma bite en elle, dans sa chatte, en se mettant à gémir. Elle semblait dans un état second, ce que je compris alors qu’elle murmurait :


    • — Oh oui, je sens bien la différence… Je sens pourquoi sa bite me fait bien plus d’effet… Mais tu sais… ça m’excite que… que tu passes après lui. Il m’a bien bourrée, et maintenant tu glisses dans son sperme, dans ma chatte… ohhhhhh ouiiiiiiiiiiiiii !

    Je jouis en même temps qu’elle, alors que je sentais mon sperme se mêler à celui de son amant dans sa chatte. Elle jouit intensément, puis laissa tout ce sperme couler sur ma queue, sur mes couilles, sur mon ventre, avant d’aller se rafraîchir et s’endormir pendant que je m’essuyais.


    Le lendemain matin elle me raconta tous les détails, alors qu’elle me faisait lécher sa rondelle après m’avoir mis un plug anal dans le cul. Elle me raconta qu’il l’avait baisée trois fois, avait joui dans sa chatte à chaque fois, mais au fond, contrairement à moi qui ne pouvais pas l’atteindre. Elle l’avait sucé aussi, et il semblait que la prochaine fois il voudrait son cul. Elle y pensait, alors qu’elle ne me l’avait jamais donné… Je bandais encore, et lorsqu’elle partit après cette séance de léchage d’anus, je courus chercher son tanga sale de la veille, le reniflant, l’imaginant plein de sperme et de mouille, et jouissant dedans en me masturbant.


    Ma femme était changée. Elle devenait de plus en plus humiliante, cruelle, et me rappelait sans cesse que je n’étais qu’un cocu, une petite salope, une bonne à rien… Mais de temps en temps nous vivions des moments normaux et tout allait bien.


    Elle revit cet amant plusieurs fois. À chaque fois elle revenait très excitée et chaude, et me racontait tout. Jusqu’au jour où elle me demanda si je voulais voir de mes propres yeux comment il la prenait. J’acceptai, bien qu’elle me l’ait demandé juste pour la forme : elle avait déjà son idée.


    Elle l’invita donc un soir et m’expliqua qu’il était au courant de tout pour moi, et que cela l’amusait beaucoup. Elle me demanda de me mettre en tenue de soubrette et elle se vêtit très « pute », comme souvent lorsqu’elle allait le voir : bas, porte-jarretelles, mini-jupe, blouse transparente, pas de soutien-gorge, et ce coup-ci pas de culotte. Elle ne sortait pas et « jouait à domicile » comme elle disait ; donc, pas besoin.


    Lorsqu’il arriva, elle l’accueillit en lui roulant une pelle d’enfer. Puis il me vit et se mit à rire en voyant ma tenue, tout en précisant que j’avais l’air d’une bonne pute.


    Je servis l’apéritif, puis le repas tandis qu’ils discutaient, riaient, se touchaient… Il avait bien vite remarqué qu’elle ne portait pas de culotte et jouait de temps en temps à lui caresser la chatte. Elle écartait alors les jambes, et ainsi exposée impudiquement, elle le laissait lui doigter la chatte ou lui caresser le clito en me regardant droit dans les yeux. Parfois elle me demandait :


    • — Tu aimes le spectacle, cocu ?

    Et je répondais :


    • — Oui…

    Une fois le repas passé, de retour sur le sofa, il lui enleva sa blouse, et elle lui retira ses fringues. Je vis sa bite pour la première fois : longue, un gros diamètre, bien dressée ; elle semblait très dure alors que ma femme la caressait doucement en me souriant.


    • — Tu as vu sa bite ?
    • — Oui.
    • — Et ?
    • — Elle est… grosse.
    • — Plus grosse que la tienne, cocu !
    • — Oui, bien plus grosse…
    • — Et dure avec ça : il ne bande pas mou comme toi !
    • — Oui, elle a l’air dure.
    • — Viens toucher à quel point elle est dure !

    Je marquai un temps d’arrêt, mais elle me regarda sévèrement et je dois bien dire que, quelque part, l’idée m’excitait. Je m’approchai donc, et ma femme prit ma main dans la sienne pour ensuite venir la poser sur sa bite. Je tenais une bite en main, avec la main de ma femme sur la mienne, et elle commença à me faire branler cette queue si bandée.


    • — Alors, elle est dure ?
    • — Oh oui, elle est dure…
    • — Continue ! Branle-la, cette grosse bite !

    Elle relâcha la pression sur ma main et je me mis à branler cet homme, à genoux devant lui, sous leurs regards à tous les deux… Lui, il continuait de branler la chatte de ma femme, qui vint poser ses mains sur ma tête et me poussa doucement vers cette bite. Je compris qu’il n’y avait pas le choix…


    • — Tu vas le sucer un peu ; je suis sûre que tu vas adorer ça, et moi ça va beaucoup m’exciter.

    Elle me força ainsi, sans vraiment forcer finalement, et ma bouche s’ouvrit pour prendre ce gland. Je le suçai doucement, puis m’enhardis et me mit à sucer sa bite plus goulûment, en alternance avec des moments où je la léchais sur toute la longueur et me frottais un peu le visage avec. Lui, il soupirait d’aise ; quant à elle, elle me regardait avec de grands yeux pétillants d’excitation tout en me répétant des mots cochons : « Suce bien, salope… Tu es faite pour ça : sucer des bites. Je t’en donnerai d’autres. Allez, suce ! Prends-le bien en bouche… On dirait que tu as fait ça toute ta vie, petite pute ! Branle-le en même temps… oui, comme ça… Mange bien sa bite, salope ! »


    Après quelques minutes, ma femme se mit à branler rapidement la bite de son amant tandis que ma bouche restait sur son gland pour le pomper. J’eus juste le temps de retirer ma bouche quand je sentis sa queue se mettre à exploser et arroser mon ventre : il jouissait abondamment, grâce à ma bouche, tandis que ma femme en riait et me traitait de « bonne pompeuse de queue ».


    Elle l’emmena alors dans notre chambre et ferma la porte devant moi. Je restai ainsi derrière la porte pour les écouter rire et se remettre à se caresser. Puis, plus tard, j’écoutai les cris de ma femme en train de se faire baiser, et je la vis même par le trou de serrure. Elle criait, jouissait, criait encore, des « Ooooh, quelle grosse bite ! Ramone-moi bien, défonce-moi la chatte… » Je savais qu’elle se doutait que je voyais et entendais, alors elle en rajoutait pour moi : « Ta bite est si grosse… Jamais mon mari ne me baiserait comme ça… Fais-le bien cocu, ce suceur de bites ! »


    Lorsqu’ils furent calmés, j’allai me coucher dans le salon, sur le canapé, pour laisser le lit à ma femme et son amant.


    Le lendemain matin, elle m’appela de la chambre. Lorsque j’arrivai, elle était allongée sur le dos, sous les draps, alors que lui était sous la douche.


    • — Bien dormi, mon cocu ?
    • — Difficilement, chérie ; j’étais très excité…
    • — Je m’en doute… Tu as entendu comme il me baisait bien ?
    • — Oui, entendu et vu. Pardon…
    • — Je m’en doutais. Mais ce n’est pas grave : ça me fait plaisir. Viens sous les draps, viens me bouffer la chatte.

    Je ne me fis pas prier. Je me glissai sous les couvertures, un peu à quatre pattes, pour aller déguster sa chatte. Ma femme avait bien écarté ses jambes, et cela sentait le sexe sous les draps. Je ne voyais rien mais me mis au travail, et tout de suite je constatai une abondance de liquide poisseux… Je m’arrêtai, mais elle me plaqua la tête entre ses jambes, contre sa chatte.


    • — Allez, nettoie-moi bien la chatte, cocu ! Nettoie cette chatte qui s’est fait mettre, nettoie tout ce foutre, mets ta langue partout où il a mis sa bite !

    Ce que je fis. Je léchais sa chatte lorsque je sentis derrière moi une main sur mes fesses… Puis les draps se relevèrent derrière moi, et j’entendis Jean (son amant) rire :


    • — Mais elle a un beau cul bien exposé, la petite salope !

    Ma femme continuait à me plaquer le visage sur sa chatte alors que son mec caressait mes fesses. Bien vite, je sentis quelque chose de froid et liquide couler sur mon anus. Allait-il… Se pouvait-il qu’il… soit en train d’huiler mon anus ?


    Rapidement, je sentis son gland contre mon anus. Ma femme me demanda solennellement :


    • — Chéri, tu veux bien que Jean t’encule ? Tu peux refuser ; mais à ce moment-là, il a dit qu’il prendrait mon cul à la place. Ce n’est pas ce que tu veux, ce que nous voulons, non ?
    • — Non, chérie. Mais bon ; pour toi, alors…

    Après cette approbation, je sentis son gland pousser et m’ouvrir les fesses. Il se glissa profondément en moi, lentement, avec de petits aller et retours pour m’habituer. Ça y était : j’étais la dernière des putes, léchant le sperme de l’amant de ma femme à même sa chatte tandis que l’amant en question m’enculait et allait et venait dans mon petit cul…

    Cela les excita beaucoup tous les deux ; ils m’insultaient, me traitèrent encore de pute, de salope, de chienne, de garce, de trou à bites, de suceuse, de gouffre à queues… Et tout ça m’excitait.

    Il jouit soudain au fond de mon cul ; je sentis les flots de sperme me remplir alors que je léchais de plus belle ma femme et qu’elle jouissait aussi.

    C'était fait, j'étais au bout du chemin, j'étais devenue à jamais la lope de mes fantasmes.

     

     

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  • Ecrit par cerebrox modifié par jgiorca

    Cathy est une très belle créature élancée, aux longs cheveux sauvages, de 35 ans qui n'a jamais voulu entendre parler d'enfant. Je n'aurais jamais cru possible avoir une telle femme dans ma vie, vu mon physique très ordinaire et mon métier impropre. Très prise par ses responsabilités professionnelles, elle est aussi belle qu'arrogante et salope cruelle. Sportive par souci de ses lignes corporelles, mais toujours vêtu d'un tailleur très chic et parée de bijoux précieux, elle porte bien, dans ses démarches félines élégantes, ses talons qui la grandissent encore à mes yeux.
    Ma femme est une dame de caractère dont je suis très épris. Gynarchique et très indépendante, elle a su de suite qui j'étais et, dès les premiers jours de notre vie commune, imposer ses exigences et me mettre les points sur les i.
    A la ville comme à demeure, c'est elle qui commande et j'obéis. Je n'ai pas mon mot à dire et dois céder sur tout ou je suis impitoyablement chassé de chez elle. N'ayant jamais osé prendre un tel risque, j'ai donc dû, très rapidement, accepter de perdre mon emploi minable pour tenir et entretenir sa grande baraque bourgeoise, lustrer, laver, repasser, faire la cuisine et les courses comme le parfait petit employé modèle, l'autre "femelle au foyer" qu'elle a voulu que je sois pour elle.
    Je connais ses besoins, ses habitudes et ses préférences par cœur. Je m'empresse toujours de les satisfaire, servilement. Massage de ma reine dans son bain moussant, elle sirote son whisky favori on the rocks, appréciant plus que tout ce moment de détente absolu.
    Une fois rentrée, après de longues heures passées au bureau. Face-sitting au-dessus du bidet de la salle de bains qui va jusqu'à l'orgasme, ensuite. Cathy se laisse souvent aller à m'uriner en bouche lorsque ses sensations sont très intenses, quand elle s'oublie totalement sur moi. J'adore déguster son odeur intime forte et son champagne doré! J'aime ce rituel et me savoir son objet humain à disposition.
    Mes relations sexuelles avec elle sont devenues très rares, je porte, jour et nuit, une cage et dois souvent la supplier de me permettre de l'ôter afin de soulager de masculins besoins trop longtemps réprimés. Mais, c'est elle qui contrôle ma sexualité et qui se plait à me branler comme le vilain garçon aux sales pensées que je suis. Je dois tout lui dire des fantasmes les moins avouables qui me passent alors par la tête.
    Du coup, Cathy connaît mes penchants bisexuels et mon jouissif bonheur à me savoir soumis presque toujours cocu. Cette superbe marâtre ne se gêne plus pour faire venir à domicile et me présenter ses nombreux et très virils amants, pour un soir ou pour plusieurs mois qui, la plupart du temps, sont au courant du masochiste du cocu de mari consentant.
    J'aime écouter aux portes. L'entendre prendre son pied, la regarder rouler des pelles baveuses à l'homme qui l'enlace sans paraître se rendre compte de ma présence en lui murmurant des mots doux afin d'éveiller ma jalousie.

    Certains d'entre eux trouvent amusant de m'humilier, de m'insulter. On m'oblige à venir sucer leurs queues encore imprégnées des senteurs intimes de mon épouse, de leur lécher le cul, de faire des langues aux coïts extra-conjugaux, de laper leur jus au sortir de la vulve repue de ma femme. De leur de leur tenir la chandelle ou de servir le petit-déjeuner au lit, les weekends en tenue de soubrette aux ordres et plug au cul.

    Je sais combien la cérébralité perverse de ma femme s'en trouve décuplée et tout ceci m'excite grandement aussi. Elle adore faire l'amour à ses amants, longuement, dans notre chambre à coucher en regardant la photo de notre mariage, cadre toujours posé bien en évidence sur la table de chevet.

    Quant à moi, je dors souvent sur le canapé du salon. Le sommeil étant toujours très long à venir du fait des bruits incongrus et des paroles échangées, des râles, des rires qui me parviennent distinctement de la chambre ou des wc. Je souffre d'être aussi à l'étroit dans ma cage de chasteté dont elle seule à la clé. Cela, cette vicieuse le sait également ! Et, cela s'entend lorsqu'elle batifole à la maison avec des hommes charmants et d'une condition sociale et intellectuelle supérieure à la mienne.

    Le plus avilissant pour moi, c'est de devoir accepter sans discuter de me faire sauvagement enculer, à grand renfort d'insultes et de vigoureuses claques sur le fessier, par quelques uns des habitués qui ont toute licence pour m'humilier en sa présence. Cela l'excite au plus au point et elle me traite de "petite lope de la maison" "Bonne à tout faire".

    Certains vont jusqu'à m'utiliser aux chiottes comme wc humain. J'accepte, le ventre rempli de pisse, le martyr qu'elle jouit de me faire endurer et que son vice pousse toujours plus loin.

    Par amour infini pour Cathy. J'espère, plus encore qu'avant, à défaut d'être l'homme être "la lope de sa vie". Ma fidélité et mon esprit de sacrifice peuvent, chaque jour que Dieu fait, en témoigner. 

     


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  • Je suis un mari interdit de pénétration.
    "J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour toi biquet! Je commence par la mauvaise, ça nous fera finir sur une note d'optimisme hein ! ahahah !"

    C'est comme ça que mon Adorée m'a appris, il y a peu, que jamais plus je ne la pénétrerai... et par voie de conséquence, que la pénétration serait désormais pour moi un simple souvenir ...

    Elle était assise sur moi, près du lit d'où son amant, "son chéri" Eddy .nous regardais.. j'étais entre ses cuisses puissantes, en train de laper le foutre crémeux de l'homme qui lui donne "tant de bonheur" comme elle dit - et que je dois remercier régulièrement pour ça .. " pour ce que (je) ne suis pas capable de faire " -

    Elle a continué rigolarde, son ventre tressautait sous mes doigts:

    - Alors ... la mauvaise ! ... c'est quoi déjà Amour ? (en jetant un regard complice à Eddy) Ah oui ! ...il est clair et ça ne t'aura pas échappé !... que je n'ai pas besoin de toi ... pas besoin de ta nouille, pour jouir de la pénétration !... j'ai donc décidé, et mon chéri est tout à fait d'accord avec ça , de te prévenir qu'il ne faudrait plus rien espérer de ce côté ... "

    - " Ni de l'autre d'ailleurs ! "

    trouva-t-il malin de l'interrompre et d'ajouter, le chéri ... et ils éclatèrent de rire tous les deux ... . et le rire de ma beauté fit échapper un vent mou de sa rosette crémeuse.

    ... " avec ta CB , que tu supportes de mieux en mieux ... - au passage... tu vois qu'il ne fallait pas en faire une maladie !! -... ce sera facile de te laisser encagé pour de longues périodes ... et ton zèle à me servir et m'aduler n'en sera que plus grand...

    Comme il n'est évidemment pas question que tu ailles voir ailleurs.... d'ailleurs qui voudrait de ton vermicelle ? ahahhah !... autant te faire à l'idée que la pénétration que je t'ai accordé cet été aura été la dernière ... enfin si on peut parler de pénétration ... ahahha !... mais là tu n'as à t'en prendre qu'à toi !... j'imagine que si tu avais su que c'était la dernière fois, tu aurais quand même fait un effort ... ahahah !... te retenir plus d'une minute au moins.

    Tu trouves peut être ça dur ... mais comme ma soeur et Eddy me l'ont dit tous les deux quand on en a discuté - au passage tu vois que ton sort ne nous laisse pas indifférent... ahaha ! ... ce qui était dur ces temps ci, c'était plutôt de te laisser espérer en vain autre chose... D'autant que j'ai une bonne nouvelle ... et j'y viens !...

    Comme tu lèches vraiment de mieux en mieux...- même ma soeur en convient et personnellement je n'avais jamais connu un lèche-cul de ce niveau ! - ahahah !... tu conserves le privilège de me faire jouir ... de NOUS faire jouir avec ta langue et même de rafraichir nos petits trous en fin de journées ou après usage...

    Tu sais soeurette ne va pas se priver de te mettre à contribution, à partir du moment où Eddy et moi sommes d'accord ... Tu vois , j'ai bien fait de t'apprendre à faire tout ce que j'aime avec ta langue ... c'est vrai que tu étais déjà pas mal... et qu'on sentais que tu aimais ça ... mais je t'assure que tu as un bien meilleur niveau depuis que je t'ai pris en main ... ahhahahha !! "

    Voilà comment j'ai appris que désormais la pénétration c'est vraiment fini pour moi, et surtout que sa soeur entrait dans le jeu.

    Savoir que ma piteuse prestation de l'été dernier était bel et bien la dernière, c'est encore une chose que je ne parviens pas à aborder sereinement.

    Plus jamais je ne connaitrais la pénétration d'un vagin, je suis désormais à ma place.

    Rien que raconter l'épisode ici, vient de raviver toute sa cruauté, mon petit penis tressaute dans sa cage.

    La seule compensation, bien cruelle, il est vrai! c'est que le nombre des face-sitting et rimmings que je prodigue est en constante augmentation ! Je léche les trois culs et chattes à tour de langue, elle est devenue d'ailleurs mon principal organe sexuel.

     


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  • Tu as commencé à te masturber dés ton plus jeune âge, sur tout ce qui te tombait sous la main, les catalogues de la Redoute, le souvenir de tes rencontres avec les copines de ta sœur, tes cousines, tes tantes, les revues érotique...

    Plus tard ce fut en regardant du porno sur tes écrans, à chaque occasion où tu le pouvais tu jouais avec ton petit pénis.

    Et toujours pour atteindre ton plaisir très vite, l'essentiel étant la jouissance.

    Quand tu es devenu plus grand toujours puceau, tu as continué bien sur. Tu te masturbais toujours plusieurs fois par jours et le soir dans ton lit en repensant à toutes ces filles que tu n'osais aborder.

    Tu n'as pas compris que durant toutes ces jeunes années tu as conditionné ton pénis et ton désir.

    Tu l'as conditionné à être stimulé par le toucher de ta main.

    Après tant d'années et de masturbation, tu as créé un scénario ou tu peux même jouir sans atteindre une complète érection.

    Tu as créé une situation ou tu peux te masturber et jouir en très peu de minutes.

    Tu croises un beau cul dans la rue, tu parles avec une jolie jeune fille qui ne te calcule pas, tu vois ton meilleur ami serrer de près sa copine et hop tu rentres vite te masturber la dessus.

    Tu as honte, tu te sens à chaque fois inférieur aux autres garçons, tu es anormal, et cela traverse ton cerveau des milliers de fois, mais tu ne peux t'empécher.

    Tu le fait même dans les toilettes partout ou tu vas, car maintenant, tu sais te faire jouir le temps d'une pisse.

    C'est ce que tu sais faire de mieux te faire jouir très vite atteindre ce plaisir avec ce petit nuage de culpabilité juste après.

    Ta libido, ton pénis sont maintenant parfaitement formatés à ta masturbation minute frénétique.

    Puis vint le jour ou tu rencontres une fille sans doute alcoolisée ou très moche qui veux bien écarter les cuisses pour toi, tu t'aperçois que tu as besoin de ta main pour devenir dur...Tu arrives finalement à être en érection et tu sens bien que tout cela est bien plus compliqué que ta main, mais comme tu es complètement conditionné à ton plaisir minute, à peine pénétré dans cette sublime caverne, tu jouis dans l'instant...

    Tu n'as pas de raison d'être honteux… tu vois là une sorte d'accomplissement de ton conditionnement…

    Tu t'es bâti ainsi au fil de tes masturbations, et l'on peux dire que tu t'es bien entrainé n'est ce pas ?, des milliers de fois..., beaucoup de gens échouent dans leur objectif mais toi tu y es arrivé.

    Tu es devenu un masturbateur loser,

    Une chose que tu doit comprendre c'est que les actes ont des conséquences. Tu comprends que les femmes aient des besoins sexuels bien sur, mais tu t'es rendu toi même incapable de les satisfaire sexuellement.

    Si tu es aujourd'hui avec ta petite amie ou ta femme, c'est qu'elles n'ont pas eu d'expérience avant toi, tu as de la chance "loser" mais tu vois que ton comportement qui dure encore jusqu'a ce jour fait que tu as une dette envers elle...

    Explique lui gentiment que tu ne pourras jamais la satisfaire et pris la d'aller voir d'autres hommes, achètes-lui des bons godemichés pour la préparer et compenser ton infirmité maintenant chronique.

    Habitues-la à recevoir de vraie bites longtemps et encourages-la à ne plus te laisser la pénétrer, donnes lui du plaisir avec ta langue car elle dure plus longtemps que ton pénis, ta masturbation te suffit n'est ce pas ?

    Sers la à la maison, travail dur, devient sa boniche, préserve lui tous son temps pour voir d'autres hommes.

    Elle pourrait même te poser une cage de chasteté pour te contenir car tu es malade tu le sais bien !  et elle peut te priver à son tour de plaisir sexuel, comme tu l’as privé tout ce temps.

    Tu es un sous homme et tu seras tellement heureux de lui prouver par ta chasteté que tu veux lui rendre ce que tu ne lui à pas donné, sers-la avec ses amants, demandes leur gentiment de le faire devant toi pour bien te faire comprendre ta place.

    Deviens plus féminin, car n'étant plus un homme que te restes-il comme choix ?

    Tu pourras enfin devenir complice avec elle comme sa bonne amie et partager ses amants.

    Et n'oublies pas que c'est toi qui t'es conditionné ainsi, tu es devenu un sous homme incapable de la combler.

    Ton plaisir sera désormais de la regarder avec ses amants être pleinement satisfaite, et toi tu subviendras à ses besoins matériels, à son confort, à son nettoyage intime et ta bite n'étant plus qu'un clito frileux encagé, tu pourras aussi servir de défouloir aux vrais hommes qui s'occuperont d'elle et de toi en toute complicité.

    Tu t'es forgé ton destin avec ta main... 

     

     

     


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