• J'ai trente ans, mon époux trente-deux. Nous sommes mariés depuis dix ans. Un soir, invités par un couple d'amis, après avoir éclusé pas mal de bouteilles, le maître de maison nous proposa de visionner une cassette porno.

    Aussitôt dit, aussitôt fait. Le film racontait l'histoire d'un couple dont le mari surprenait sa femme avec un homme et une femme.
    II se mit en colère contre ce couple inconnu. Mal lui en prit, car aidé parles deux femmes, l'amant immobilisa le mari. II fut attaché et dut subir une correction de la part des deux femmes, puis fut contraint d'assister, impuissant, à une longue séance de baise à trois. Mais cela l'excita tellement qu'il se mit à bander.

    Une fois rentrés à notre domicile et couchés tous les deux, je vis que mon mari bandait. Je lui fis la remarque que nous devrions voir plus souvent ce genre de film, vu l'état dans lequel celui-là l'avait mis. Après avoir fait l'amour, nous avons reparlé du film. Moi aussi, il m'avait excitée. Je lui demandai s'il aimerait se retrouver dans la situation du mari. Rien qu'en entendant cela, il se remit à bander. Nous avons fait encore l'amour, mais je savais ce que je voulais savoir.

    Je connaissais un couple d'amis, rencontrés dans le cadre de mon travail, dont la femme était bisexuelle, et ils m'avaient déjà proposé de faire une partie à trois. Des partouzeurs, des obsédés, et tous les deux dominateurs, uniquement avec les hommes. Leur proposition me tentait, mais j'hésitais encore à cause de mon mari. -
    Je leur téléphonai le lendemain pour aller dîner seule chez eux.
    Quand mon époux me demanda où j'allais passer la soirée, je me mis en colère, disant que ça ne le regardait pas. Je pris même un malin plaisir à me préparer devant lui, slip en dentelle, porte-jarretelles, soutien-gorge pigeonnant... II se contenta de prendre un air humble et soumis qui me parut du meilleur augure.

    Ce soir-là, je fis l'amour avec le couple en question. Le mari s'appelle Vincent et la jeune femme Géraldine.
    C'est une jolie blonde pulpeuse, attirante malgré ses traits durs. Je leur fis part de mon projet : nous faire surprendre ensemble par Yvon, mon mari, et lui infliger la même chose que dans le film, ou pire encore... Ils furent tout de suite d'accord !
    Quand je revins à la maison, très tard dans la soirée, j'ordonnai à mon mari de me lécher le sexe. II obéit, un peu surpris, mais je vis aussi que ça l'excitait. En me léchant, il ne pouvait pas manquer de remarquer que ma vulve débordait de sperme, pourtant il n'osa rien me dire. J'éprouvai un plaisir secret à lui faire sucer ainsi le sperme de mon amant, à lui faire caresser de la langue ce sexe que des doigts féminins et masculins venaient de titiller...
    Une fois bien sucée, bien léchée, je lui agaçai le trou du cul avec un doigt, puis je lui annonçai : "Je vais te mettre un doigt au cul en signe de ta soumission. Tu vas écarter toi-même tes fesses. Un homme qui se fait enculer par sa femme montre qu'il est prêt à tout accepter de sa part."
    Je m'attendais à ce qu'il proteste, au lieu de quoi il se mit à quatre pattes et s'écarta les fesses, attendant l'intromission de mon doigt. Mes ongles, toujours vernis de rouge, sont longs et légèrement pointus. Je griffai les plis de sa rosette avant de m'introduire. Tandis que je fouillais son conduit, je comprenais définitivement que j'en ferais ce que je voudrais...

    La suite eut lieu le samedi suivant. J'avais invité Géraldine et Vincent à la maison avant son retour. Vite, nous nous sommes déshabillés. Lorsque Yvon est rentré, j'étais à genoux devant Vincent, en train de lui faire une pipe goulue, pendant que Géraldine me suçait le cul, à quatre pattes derrière moi.
    Elle portait en tout et pour tout une paire de cuissardes en cuir noir, avec de longs talons aiguille... En découvrant cela, Yvon ne put s'empêcher de me traiter de salope. Je retirai alors la bite de Vincent de ma bouche, mais sans cesser de la branler.


    À genoux, Géraldine observait Yvon d'un air hautain et goguenard. Narquoise, moi aussi, je dis à mon couple d'amants : "Je vous présente le cocu. L'autre jour, il m'a fait cadeau de son anus, pour que je puisse m'en servir à ma guise. Sa pine et son cul m'appartiennent, aussi je vais vous les offrir !"
    Sur ces mots, nous nous sommes jetés tous les trois sur Yvon. En deux temps, trois mouvements, nous l'avions mis à poil et attaché, les mains dans le dos. "Voilà, dis-je à mes invités. Maintenant, on va pouvoir en faire ce qu'on voudra. Et pour commencer, la fessée." Vincent a installé Yvon sur les cuisses de Géraldine. "Si on regardait sa raie des fesses ?" a-t-elle proposé. "D'accord, ma petite chérie, mais n'oublie pas la correction !" "Pas de problème, il va déguster sur ses fesses, mais avant je veux regarder à quoi ressemble son trou du cul."
    Nous l'avons bien examiné à cet endroit, sans tenir compte de ses jambes qui gigotaient et de ses supplications. "Non, ne me regardez pas l'anus, je vous en supplie, j'ai trop honte !" II a fallu le bâillonner. Vincent a immobilisé ses jambes pendant que Géraldine fessait. Elle lui a mis la lune en feu. On sentait qu'elle y allait de bon cœur. "C'est super, ce petit salaud est en train de bander sur mes cuisses ! Que c'est bon de fesser un cocu, et de sentir que ça lui plaît !"

    Une fois la fessée terminée, nous l'avons retourné sur le dos pour jouer avec ses couilles et sa tige qui bandait. Géraldine m'a demandé la permission de le sucer. Après quelques succions gourmandes, je lui ai demandé d'arrêter. Je ne voulais pas que Yvon jouisse avant d'avoir maté la suite !
    Nous avons installé Yvon à genoux sur une règle en métal, dans un coin de la pièce, la tête coiffée du mini-slip de Géraldine. Après nous être bien moqués de lui, nous sommes retournés sur le lit. "Taille-moi une pipe, m'a dit Vincent. C'est encore meilleur de se faire pomper devant un cochon de cocu." Je me suis empressée de lui emboucher la pine. Géraldine me pelotait les fesses et les seins, sans quitter du regard la tête que faisait Yvon.
    C'est difficile à expliquer, il avait l'air de vraiment souffrir de me voir sucer un autre homme, surtout dans cette posture grotesque, avec son petit slip sur la tête et son fessier porté au rouge, et en même temps il écarquillait les yeux pour ne pas en perdre une miette.
    Sa verge n'avait rien perdu de sa raideur, au contraire, il me semblait qu'elle gonflait encore pendant que je pompais Vincent. J'en rajoutais
    "Oh, la bonne queue, qu'elle est bonne à sucer, tu vas me la fourrer dans la moule, tu vas me pilonner à fond..." Et lui : "Ah, salope, tu es la reine des pipes, sors bien ta langue en me pourléchant pour que ton cocu la voie bien... Tu vois bien ça, cocu, comment ta femme me suce le nœud ?"
    Pour terminer, il nous baisa l'une après l'autre en levrette devant mon mari. Nous avions eu notre plaisir ; il était temps de s'occuper de celui d'Yvon. " On le pompe ?" proposa Géraldine. "Non, ce serait trop facile ! N'oublie pas qu'il est en pénitence... Tu peux le sucer si tu veux, mais pendant ce temps je l'enculerai avec un gros concombre, et Vincent regardera comment je fais, pour qu'il ait honte un maximum."
    Ça se déroula donc comme ça. Le visage d'Yvon était aussi rouge que ses fesses, la honte de se faire enculer devant un homme qui regardait... Mais il bandait quand même dans la bouche de Géraldine, et malgré ses efforts pour se retenir d'éjaculer, il se déversa en grognant derrière son bâillon dans la bouche de mon amante...
    Elle avala, se pourlécha et lui tapota les deux joues en se relevant. "Bon petit cocu, ça, hein ? Ça aime bien la fessée, pas vrai ?" "Un peu trop, dis-je, mécontente. Ce n'est plus vraiment une punition ! Avant de recommencer à baiser devant lui, nous allons lui donner du martinet à tour de rôle. Cette fois, il va comprendre sa douleur !"
    Nous nous sommes amusés de lui jusqu'à épuisement complet. II a bandé tout au long de cette longue séance de baise, d'humiliations et de punitions. Ça a duré au moins quatre heures. Avant de raccompagner mes amis, j'ai dit devant eux à Yvon "Voilà, j'espère que tu as compris maintenant que je baise avec qui je veux, quand je veux, et que tu n'as rien à y redire. Je ne t'enlèverai ton bâillon que quand ils seront sortis. Tu as eu l'air de prendre ton plaisir ; mais sache que même si ce n'était pas le cas, tu subirais le même traitement."
    Malgré tout, après le départ du couple, j'ai détaché Yvon, et je lui ai demandé avec cette complicité qui ne nous a jamais quittée si cette soirée lui avait plu. II m'a avoué qu'il en rêvait depuis des années sans avoir osé me le dire.
    Je lui ai promis que nous recommencerions, mais pas trop souvent quand même, pour que ça ne reste qu'un piment dans notre vie sexuelle, par ailleurs tout à fait normale. Aussi, nous recommençons la même séance, avec quelques variantes, environ une fois par mois. Et nous ne regrettons qu'une chose : de ne pas nous y être mis plus tôt !



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  • Je m'appelle Olivier, et c'est ma femme Isabelle qui m'a demandé de vous écrire, pour vous faire état de ce que je suis devenu, un cocu soumis.

    Notre vie sexuelle, après 14 ans de mariage était plutôt conventionnelle, voire ennuyante surtout au lit, nos rapports étaient plus que rapide et peu inventifs, je me sentais peu performant ce qui je le voyais bien laissait ma femme dans un état de dépit et de frustration permanent.

    Pourtant, j'avais pas mal de fantasmes inassouvis. Ce soir de Novembre, je ne pensais pas que réaliser certains de ceux-ci allait bouleverser ma vie.

    De retour d'une soirée vers une heure du matin, alors que je me couchais, Isabelle, ma femme me dit qu'elle n'avait pas sommeil et qu'elle souhaitait ressortir. Elle me proposa même de réaliser un de mes fantasmes (nous en avions déjà parlé ensemble) en draguant un mec et en me racontant à
     son retour.

    Je lui ai donné mon accord avec un frisson dans le dos et elle est allée se rafraichir dans la salle de bain. A son retour dans la chambre elle s'est changée et a mis ce qu'elle avait de plus sexy (guêpière noire et rouge transparente, bas noirs, string assortis, petit top et jupe très courte).

    Vers 1H30 elle est sortie de la maison, puis est immédiatement re-rentrée et face à
     moi a retiré sa culotte en me disant qu'elle n'en avait pas besoin. La je compris qu'elle irait sans doute plus loin que je pensait mais il était trop tard la porte se referma sur mon angoisse et un début d'érection incontrôlée.

    L'attente fut très longue et terriblement excitante. Vers 6H elle m'appela de son portable, sans parler. Je l'entendais gémir et encourager celui qui était en train de la baiser. Je ne pouvais qu'écouter, c'était fascinant, cela dura une bonne heure , le téléphone plaqué à l'oreille, je me mis à me masturber; la frustration ajoutait à l'excitation de la situation.

    Finalement elle est rentrée à 8H du matin, l'air ravie, épanouie et heureuse. Elle s'approcha de moi, allongé sur notre lit, souleva sa jupe et posa sa chatte trempée sur mon visage en disant :

    « Lèche petite bite ! C'est le sperme de mon amant qui dégouline ! Il avait une bite énorme, comparé à ton ridicule petit bout de peau molle ! Tu aimes minable ? Profites en car c'est tout ce dont tu as droit pour l'instant !»
    En effet mon sexe ne fait que 12 cm en Érection. Je n'y croyais pas, mon fantasme de cocu soumis se réalisait enfin. Et de quelle manière !
    Après l'avoir nettoyé avec ma langue et consciencieusement avaler mon cocufiage, le sexe bandé au maximum, je lui demandais de me raconter.

    Elle m'expliqua que l’amant qu'elle avait eu pendant la nuit, l'avait pénétré recto verso, et avait jouis dans sa bouche, chose qu'elle m'a toujours refusée, tout comme la sodomie d'ailleurs. J'étais frustré et excité comme un fou.

    Pour compléter mon bonheur, elle refusa de faire l'amour avec moi, et m'interdit de me masturber. Je devais rester ainsi frustré jusqu'à
     ce qu'elle m'autorise à me caresser.
    J'ai du attendre ainsi le soir pour pouvoir jouir de ses aventures qu'elle prit un malin plaisir à
     me raconter de nouveau.

    Nous n'en reparlâmes plus de la semaine. Ce n'est que le Samedi suivant qu'elle me dit dans l'après-midi : «Ce soir, je mets les enfants chez ma mère, je te prépare une surprise...».
    Craignant le pire, mais étant très excité, je lui donnais mon accord.

    Après le dîner, elle alla se préparer, et se para des ses plus beaux dessous sexy ; une guêpière transparente rose seins nus et des bas noirs, et encore une fois pas de culotte. Par-dessus, elle mit un caraco noir très sexy, laissant deviner la pointe de ses seins, et un mini kilt, qui permettait, lorsqu'elle se penchait un peu de voir le haut de ses bas et surtout l'absence de toute culotte et une partie de son importante toison. Mais je n'étais pas au bout de mes surprises.

    Lorsqu'elle fut prête, elle m'ordonna de m'allonger nu sur le lit de la chambre d'amis, et m'attacha celui-ci avec des bas, bras et jambes écartées. Puis elle m'enjamba et frotta son sexe sur mon visage en me disant : « C'est tout ce dont tu as droit, petite bite, le reste sera pour mes camarades de jeux de la soirée ! » Puis elle m'abandonna là, impuissant, avec mon érection, ne pouvant rien faire d'autre qu'attendre.

    L'attente fut longue, car partie vers 22H30, elle revint un peu après 3H du matin, et au bruit, je compris vite qu'elle n'était pas seule ! Elle avait ramené un homme à la maison ! Très vite ils sont passé dans notre chambre, et je ne pu qu'imaginer ce qui se passait en écoutant, j'étais, attaché sur un lit, je ne pouvais rien voir. J'avais en fin compris pourquoi elle avait laissé la porte de la chambre d'amis entrouverte. Ainsi, je l'ai entendu crier de plaisir pendant plus de deux heures. Je tendais l'oreille pour tout deviner avec frustration et délectation,tout y est passé, et elle prenait un malin plaisir à commenter bruyamment les exploits de son amant d'un soir. Elle le suça, il la lécha, puis la pénétra longuement recto verso, avant finalement de se vider une fois dans sa chatte et une fois dans son cul. Elle criait de plaisir comme jamais auparavant.

    Lorsque sa conquête fut partie, elle vint dans la chambre d'amis, et une nouvelle fois enjamba mon visage en me disant : « Alors sous-homme, t'as aimé, parce que moi j'ai adoré ! Ce soir, c'est deux mecs qui m'ont baisé comme une putain, et ils ont Ejaculé dans ma chatte et mon cul et un que j'ai sucé jusqu'à  la dernière goutte ! Maintenant à  ton tour, nettoie bien mes deux trous, et applique toi à  me faire jouir si tu veux que je t'autorise à
     te branler ! »

    C'est donc avec application que je léchais ses deux trous. Le sperme de ces inconnus me coulait dans la bouche, dégouté et heureux, mais je n'avais pas le choix, je devais lécher et avaler ses semences de vrais hommes. 

    "Dit donc tu aimes cela le sperme des vrais mâles, je vais faire de toi une vraie lope à force de te nourrir à ça"

    Finalement, c'est elle qui décida de me branler. A peine avait elle pris ma petite queue en main que je jouissais tant mon excitation était grande. « Eh ben mon salaud, dit-elle, on peut dire que ça t'excite ! Tu es une vraiment minable … Lèche mes doigts que tu as osé souiller avec ton sperme ridicule ! »

    Depuis ces deux soirs, elle a eut d'autres amants, dont un régulier maintenant, et que je dois sucer avant et après qu'il la prenne. Pendant qu'ils s'amusent ensemble, je dois retourner dans la chambre d'amis et attendre que l'on m'appelle. Je n'ai plus jamais eu de rapports avec Isabelle, qui se refuse systématiquement à moi pour ce réserver pour des grosses bites et qui entretien ma frustration avec un plaisir sadique !

    Je suis aujourd'hui un cocu soumis et heureux.
        


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  • Il vous aimera encore et toujours plus fort, cela ne détruit en rien vos rapports et les renforce, votre vie sociale est inchangée seule votre vie intime (une foi les enfants éventuels couchés) est profondément modifiée.

    Vous avez un sous-homme qui ne vous contraint plus en rien, notamment en matière sexuelle il n'aura plus de demande, il sera à vos ordres, vous pourrez même si vous le voulez, le sevrer de tout rapports physiques avec vous. 

    Vous allez vous découvrir une nouvelle personnalité au fur et à mesure que vous prendrez le pas sur lui vous aller prendre de plus en plus confiance en vous et vous révéler comme vous auriez toujours due être...Libre et forte.

    Vous avez un esclave qui peut vous éviter toutes les taches ménagères, une foi révéler sa soumission passera par vous servir en tout point, fini pour vous les contraintes de la vie de famille, il devra les assumer toutes et en plus cela fera son bonheur...(De nombreux hommes sont en érection en étendant le linge ou en repassant par le seul fait d'être contraint à le faire).

    Enfin vous pouvez éventuellement suivant les accords que vous avez le spolier tous ses biens financiers et matériel dans la mesure d'un consentement de sa part et le mettre ainsi complètement à votre merci financière, c'est vous qui posséderez tout et qui pouvez le répudier s'il n'obéi pas...et vous mettre vous même et votre déscendance à l'abri définitivement de toute mésaventure en cas de séparation.

    Enfin si vous en  avez envie vous pourrez collectionner les amants en sachant que de vous savoir heureuse rendra votre mari heureux également, vous pourrez jouir de la diversité des hommes en toute liberté sans ou devant votre mari (ce sera pour lui une récompense)...




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  • Quelle drôle d'idée de vouloir dresser son mari... Mais si vous êtes là aujourd'hui c'est que le sujet vous intéresse, en tout cas qu'il vous rend curieuse, vous sentez sans doute chez lui des tendances à aimer la soumission, pour vous alors je vais vous dresser les avantages d'un mari soumis a vos pieds...
    Tout cela par de l'idée que votre mari vous aime et qu'il est prédisposé ou disposé à devenir pour vous une ombre à votre service...Mais pourquoi cela me direz-vous, mais pour donner à votre couple une nouvelle corrélation avec les forces qui l'animent, le rendre plus fort plus épanoui, mettre enfin vous-même et chacun à
     sa place pour le plus grand bonheur des deux époux.
    Ne craignez pas que l'humiliation la soumission et la bassesse dans laquelle vous entraînerez votre mari (ou dans laquelle il tombera de lui-même) ne détruisent votre couple, au contraire, l'image de votre mari à votre botte renforcera vos liens car il fera cela par amour pour vous et par nature pour lui, vous laissant vous épanouir comme une femme solaire rayonnante, libérée de toute contrainte, assumée et plus forte, disponible pour de vrais hommes.




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