• Je vais me présenter avant tous. J'ai 34 ans je mesure 1,78m pèses 84kg plutôt bel homme, je suis en couple avec une femme de trente ans super mignonne (comme dirait certains une petite bombe) 1,58m 50kg 90c. Ça fait onze ans que l'on est ensemble on à deux enfants. Avant elle, j'ai eu une copine qui m'a trompé avec soit disant un pote, elle m'a fait une réputation de cocu.

    Quelques mois après j'ai rencontré ma femme, très aimante mais aussi très informée car elle faisait partie de ce groupe d’amis. Beau parti et bel homme j’avais presque tout pour moi. Presque...

     

    Un soir, après le mariage, j'ai organisé une soirée à la maison pour La présenter à mes potes, à 3h du matin complètement soûl les invités sont partis sauf le frère d'un pote Greg. J'avais 23 ans à cette époque-là et ma femme 19. Le frère de mon pote avait 17 ans, il est resté pour aider à ranger la maison. Moi affalé sur le canapé je somnolais, en les entendant discuter dans la cuisine. Quelques minutes après j'entendais des soupirs, je me suis levé sans faire de bruit, arrivé devant la cuisine je vis ma femme accroupi le sexe de ce jeune dans la bouche.

    Quand j'ai vu ça j'étais en état de choc, impossible de bouger, de dire ou de faire quoi que ce soit. Un frisson me parcourra l'échine, j'étais tétanisé. Je me cachais derrière le montant de la porte.

    Son sexe était bien deux fois plus gros que le miens, je la regardais manger se sexe avec gourmandise.

    Ce frisson se transforma en sensation étrange de mélange de vexation et de désir voyeuriste.

    Au bout d'un moment il l'a mise debout, a relevé sa robe et l’a fais s'asseoir sur le plan de travail où il l'a commencé à frotter son sexe sur le sien pour enfin la pénétrer, lentement, irrémédiablement.

    Moi j'étais toujours tétanisé à les regarder sans rien faire. Je me suis mis a bander dans mon slip.

    Il était en train de la limer avec force et rigueur. Elle était en train de gémir, de prendre du plaisir comme jamais je ne l'avais entendu. Il l'a prise longtemps bien en profondeur, puis de plus en plus violemment. Jusqu'au moment il se cambre et où il jouit en elle. Je me suis mis à jouir dans mon slip sans me toucher. Troublé et penaud, c'est à ce moment-là que je suis retourné discrètement dans le canapé pour faire semblant de dormir, je les écoutais discuter. Elle lui a dit « ça fait du bien de se faire baiser y avait longtemps que j’avais envie d’une vraie bite ».

    De retour dans le salon, elle s'est approché de moi et elle lui a dit « il dort bien, il a trop bu je penses qu'il va finir sa nuit-là », il ricana et elle l'a pris par la main l’emmenant dans notre chambre. Ce mec de dix sept ans était en train de baiser ma femme dans mon lit pendant que j'étais en bas sur le canapé. Ils ont baisé une bonne partie de la nuit, je remontais penaud les écouter l'oreille collée à la porte, j'entendais ma femme exprimer un plaisir que je ne lui connaissais pas. Elle me faisait cocu avec un mec plus jeune que moi sans vergogne. Je jouie à nouveau dans mon slip, puis je redescendis à ma place, l'alcool, la tension dans mon sexe, tout cela embrouillait ma tête dans un semi cauchemar, puis je sombrais.

    Le matin au réveil ils sont descendus tous les deux, le bruit dans l’escalier me réveilla mais je faisais semblant de dormir. Sans faire de bruit il s’est éclipsé. Une fois partis elle est venue se coller à moi avec douceur elle me caressait . Ses caresses m'excitaient, j'étais en train de bander sous ses caresses pourtant je faisais tous pour esquiver, mais plus je repensais à ses gémissements et je la revoyais en train de jouer avec ce mec plus je bandais. Ensuite elle a glissé sur moi pour me faire une fellation, après quelques aller-retour avec sa bouche je lui ai dit stop car j'allais venir, elle est donc venu s'empaler sur moi. Sa chatte était bien ouverte et gluante (je flottais dedans). Pendant qu'elle bougeait sur moi je lui révélais ce que j'avais vu et entendu. Tout en lui racontant, les yeux fermés, elle continuait à s'empaler sur moi sans un mot jusque je jouisse en elle, j’imaginais mon sperme se mêler à celui du jeune homme, elle se mit à jouir à son tour, une fois fini elle me dit " tu sais je t'aime , tu es l'homme de ma vie. Excuses-moi, pardonne moi de ce que j'ai fait stp, j'avais trop bu"

     

    Pendant au moins dix minutes plus un mot que ce soit moi ou elle. Au bout d'un moment, elle me demande " Mais pourquoi tu n'as pas tout arrêté dès le début si tu m'as vu?" Je lui ai répondu " j'étais trop honteux, choqué je ne pouvais pas, je n'arrivais pas à intervenir. Pourquoi toi tu t'es laissé allé ? Dis moi franchement s'il te plait?"

    C'est à ce moment là qu'elle s'est lâchée elle a tous avoué. Qu'elle m'aimait comme elle a jamais aimé personne, que niveau sexe j'étais doux et que j'assurais avec ma langue et mes doigts. Mais qu'une fois arrivé à la pénétration elle ressentait pas grand-chose et que j'étais pas endurant. C'est pour ça que hier soir avec l'alcool , ses avances, et sa frustration chronique, elle s'est laissé aller.

    "Au départ je pensais juste lui faire une fellation, il a sorti son sexe j’étais scotchée par sa taille, je l’ai pris en bouche, ensuite tout a dérapé, il m'a relevé pour me pénétrer jusqu'à me faire jouir à un point que j'ai jamais eu avec toi. Et sache que je t'ai aperçu nous regarder dans la cuisine mais que tu as préféré me regarder me faire baiser par un autre que d'intervenir et tout stopper, et quand je suis venu te voir dans le canapé, tu as préféré faire semblant de dormir et de me laisser monter avec lui, j’ai pris ça comme un accord tacite, vu la tâche sur ton pantalon."

     

    Elle venait de m'humilier rien qu'avec ces paroles, elle est monté prendre sa douche sans que je lâche un seul mot, j'étais toujours sur le canapé où je venais de jouir dans ma femme qui avait déjà été remplis par un autre.

     

    Après cette première fois nous n'en avons jamais reparlé. Mais à chaque fois que l'on faisait l'amour je repensais à ce qu'il s'était passé, plus on faisait l'amour, plus j'étais nul , plus je me sentais humilié. Plus je la sentais insatisfaite, plus je prenais du plaisir à confirmer ce qu’elle pensait de moi. Ça a duré 3 mois, quand nous avons refait une soirée chez un de nos pote et Greg (le frère de mon pote ) était présent. Je suis arrivé après elle, quand j’ai su que Greg était là et ne les voyant ni l’un ni l’autre, je n’ai pu m’empêcher d’envoyer un texto à ma petite femme lui disant " mon amour il l'est là j'espère que tu ne vas faire de bêtises "

     

    Elle m'a répondu cinq minutes après, " désolé - pas vu ton message - trop tard amour quand je l'ai vu je ne pensais plus qu'à ça. On est sorti fumer une cigarette -  je l'ai sucé" je lui répondu " y a eu Que ça ?" Elle : " oui pour le moment " moi: "pour le moment ? " elle: "oui -  je compte pas en rester là ". Puis ils réapparurent en provenance du balcon.

     

    Nous étions dans le salon chez mon ami en train de boire, nous étions tous bien souls quand un moment, je me lève pour aller au toilette ma femme me suis, arrivé dans les toilettes elle s’empare de mon sexe pendant que j'urine et me dis "quelle petite bite, puis elle ricane...  , tu sais tu vas être cocu se soir devant tous tes potes! Me dit elle éméchée mais souriante (et là je me mis à bander) … Mmmh je vois que ça te plaît en plus".. J'étais rouge de honte et je baissais les yeux sur mon petit pénis dérisoirement tendu.

     

    Ensuite, je suis retourné m'installer au salon avec tout le monde, ma femme et sorti avec lui, apparement pour fumer une clope. Quand ils sont rentrés elle était décoiffée et le visage épuisée. Je lui envoie un sms " il s'est passé quelques choses ?" Elle me répond "oui - désolé sarcasticmais j'en avais trop envie ça me manquais trop " moi "explique moi stp j'ai besoin de savoir ?" Elle : " mdr tu as besoin de savoir Quoi? Que tu es cocu?" Moi: " oui je veux savoir comment ça s'est passé - Stp " elle : "ça s'est passé dehors je l'ai sucer encore et il m'a prise contre le mur -  j'ai juste relevé ma robe, je me sentais bien remplie ça été rapide et fort -  je me sent comme une chienne - zen et comblée^^."

    Je la regardais m'envoyer ses messages debout dans l'encadrement du balcon, sans aucun trouble elle souriait en tapotant ses textos.

     

    Je venais d'être cocu pour la deuxième fois par un mec de 17 ans pendant que j'étais avec mes amis. Elle est rentrez à nouveau dans le salon, elle s'est assise sur mes genoux style de rien, tout le monde avait remarqué qu'elle était décoiffée, tous mes amis se doutaient de ce qu'il s'était passé Mais personnes ne dit rien.

    Rouge de honte mais bandant, je n'osais croiser aucun regard, j'étais en train de me faire passer pour un cocu, chose qui était lamentablement vrai, et plus j'y pensais plus cette honte se transformait en désir, en plaisir malgré moi.

     

    Depuis cette époque ma femme me trompe régulièrement parfois en public sans beaucoup de discrétion, parfois chez nous quand un régulier vient prendre ses aises dans mon lit. Je fais la place, je ne suis pas à la hauteur de ses besoins, c’est comme cela.

    Tout me monde sait que je suis cocu, certain de mes copains on prit ma femme déjà, et en rient entre eux, je le sais. Quand je suis avec elle et ses copines c'est pire, elle se font des messe basses à mon approche suite sans doute au commentaire gossip des ses dernières aventures. je vois après leurs regards plein de sourires moqueur se poser sur moi. 

    Moi je passe toujours après ses amants, c’est sa règle tacite et je ne la touche qu’à cette occasion, alors je souhaites toujours ardemment que ses aventures se multiplies.

     

    Quand elle m'accorde "mon moment" comme elle dit, elle est toujours sur moi, je n’ai jamais pu lui faire l’amour autrement, mon petit sexe plongé dans les restes des autres, elle me traite maintenant toujours de petit cocu, me dit que j’aime ça, que j’ai de la chance qu’elle m’aime malgré mon petit défaut, pendant qu’elle me chevauche, elle me raconte ses aventures en insistant toujours sur la tailles de leurs bites, leur performance leur endurance et je joui toujours très vite à ces comparaisons.

     

    Pour les enfants je ne sais pas si ils sont de moi, quand j’ai voulu aborder le sujet, elle m’a dit sèchement qu’il vaut mieux pas savoir et qu’elle-même ne le sait pas. Ils ne me ressemble pas beaucoup, et cela me trouble au quotidien, j’y pense chaque jour, comme un rappel bandant et à jamais de mon infériorité.


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