• J’avoue que je fantasmais depuis un certain temps déjà à l’idée que ma femme me fasse cocu sous mes yeux mais, évidemment, avec une grosse appréhension !

    Nous avions déjà un peu abordé le sujet ensemble mais juste après quelques soirées arrosées et sans jamais aller vraiment plus loin.

    Jusqu’à ce soir-là où nous étions en vacances dans un Club au Senegal… Toute la soirée dans la boite de nuit, ma femme s’était faite mater par pas mal de vacanciers mais surtout par un serveur black ultra-baraqué. Je dois avouer que je suis plutôt du genre à la pousser à s’habiller sexy : elle portait cette nuit-là une robe de soirée bustier très courte et très moulante et des escarpins à bride très haut et couleur or (ceux de notre mariage pour la petite histoire !). Le type est même allé lui parler plusieurs fois puis l’a invité à danser. Hésitante et un peu gênée, elle m’a interrogé du regard ; je discutais avec des amis, je lui ai fait signe, pourquoi pas, comme tu veux, d’un air détaché. Quelques minutes plus tard, mes yeux étaient rivés sur eux : ce black massif et musclé, en t-shirt moulant, dansait de façon… comment dire, très entreprenante avec ma femme : il glissait sa cuisse entre les siennes, lui enserrait la taille avec son bras, riait… Je ne pouvais m’empêcher de les fixer : ma femme, fine, blonde, sexy dans les bras de ce black… J’étais… troublé. En fait : terriblement excité. Mais aussi : totalement paniqué. Jaloux. Ma femme a du s’en rendre compte je pense. Elle est revenue vers moi quelques instants après.

    - Ça va mon amour ?

    - Oui, euh, non, je sais pas… on rentre ?

    De retour dans notre chambre nous nous sommes douchés puis couchés. J’ai commencé à lui parler de la soirée et, surtout, de ce mec qui l’avait draguée, enlacée, entreprise… Ce mec qui faisait à peu près 2 fois ma corpulence et dont je n’osais imaginer la taille de sa bite… tout cela me rendait malade… Je me suis mis à lui faire des reproches injustes sur sa tenue, son comportement, à la provoquer en la harcelant de questions du genre :

    - il a essayé de te peloter ? tu aimes ce genre de mec ? tu le trouvais pas mal ? est-ce qu’il bandait en dansant contre toi ? tu te le serais tapé si on était pas ensemble ??.....

    - Pfff c’est franchement nul ce genre de questions… C’est toi que j’aime !

    - Ce n’est pas la question, je te demande, est-ce que tu te le serais tapé ? Je veux dire : si je n’étais pas contre, est-ce que tu l’aurais fait ?

    En se retournant dans le lit pour me répondre elle s’aperçut que j’avais une érection énorme.

    - Je… ah d’accord, ça m’étonne pas de toi… ça t’excite de penser que j’aurais voulu me taper ce mec ! elle a dit d’un air amusé…

    J’étais dans un état d’excitation tel que je me suis prêté immédiatement au jeu.

    - Oui, je t’imaginais dans ses bras, j’imaginais sa queue plaquée contre ta petite robe…

    Joueuse, elle commença à me branler tout en poursuivant dans mon sens :

    - Moui, sa grosse de bite de black dans ma petite chatte… mes seins triturés par ses grosses mains musclées… oh oui imagine-le me baiser comme une petite pute…….

    Il n’en fallut pas beaucoup plus, je jouis très vite et très abondamment.

    Après m’être remis, je dis à ma femme, un peu fébrilement :

    - Tu sais, je crois que j’ai vraiment envie d’essayer…

    - Tu veux dire : que je couche avec un autre mec ??

    Elle était pensive… je passais tendrement ma main sur son sexe et…je m’aperçus alors qu’elle était mouillée, très mouillée même.

    - Tu vois je ne suis pas le seul que ça excite ma petite salope chérie !

    Je lui branlais le clito en lui disant que demain soir j’inviterais le serveur black dans notre chambre, qu’il la baiserait, qu’il lui mettrait sa bonne grosse queue dans la bouche et dans son con… Elle a joui très vite puis nous nous sommes endormis.

    Le lendemain soir, alors que nous nous apprêtions à sortir je lui dit : écoute, c’est notre dernier jour de vacances, fais toi belle, je vais retourner dans la boite et demander au serveur s’il veut te baiser devant moi.

    - Tu es sûr ? me demanda-t-elle. Vraiment ?

    Je lui ai souri et je suis sorti.

    - Fais-toi belle mon amour…

    A peine arrivé dans la boite, je suis allé droit vers le serveur. J’ai commandé un verre et engagé la conversation avec lui. Je lui parlé de ma femme, oui, il s’en souvenait, oui il la trouvait très belle et très sexy… J’avais malgré tout un peu de mal à lui dire que je voulais qu’il baise ma femme ! Je me suis finalement lancé. Il m’a regardé un peu surpris et d’un air mi-amusé mi-condescendant. Je me sentais humilié, j’imaginais ce qu’il pensait de moi, il devait rire intérieurement, me mépriser, me considérer comme un pauvre petit cocu, une petite bite ou un impuissant, qui en est réduit à faire baiser sa femme par d’autres…

    - Hum… Ok ! Je vais m’arranger pour me faire remplacer une petite heure. Attends-moi là.

    Cette fois, c’était la bonne. J’avais une boule au ventre mais aussi une érection dans mon pantalon. Je repensais à toutes les fois où j’avais imaginé cette scène en me branlant. Mais là ça allait vraiment se produire.

    Nous avons marché en silence jusqu’à notre chambre. Ma femme était dans la salle de bain, je dis au type de s’installer, que ma femme se préparait.

    Je suis entré dans la salle de bain.

    - Il… Il est là chérie…

    J’étais ultra-fébrile, d’autant plus qu’Anne était toujours aussi sublime. Elle portait une robe-tunique blanche, assez transparente, un string blanc, des escarpins ouverts à talons hauts… Je l’embrassais fougueusement, en lui disant : ne t’inquiète pas, ça va bien se passer, et de toutes façons je suis là, s’il y a un problème ou si tu veux qu’on arrête, tu me fais signe…

    Le black était étendu sur le lit, en slip ! Il se leva sans un regard pour moi et enlaça ma femme. Elle avait l’air d’une petite chose fragile dans les bras de ce mec qui devait faire au moins 100 kilos de muscles et 20 bons centimètres de plus qu’elle. Il n’y alla pas par 4 chemins : il avait déjà une mains qui pelotait ses seins et l’autre qui se glissait dans sa petite culotte, sans ménagement. Puis il prit sa main à elle et la dirigea vers son slip. La main fine de ma femme sortit la queue – déjà impressionnante – du black. Elle commença à la branler. J’étais déjà comme hypnotisé par la scène. Mais ce n’était rien, hélas, comparé à ce qui allait suivre. Il lui regroupa ensuite les cheveux en queue de cheval, l’empoigna et la fit se mettre à genoux. Elle s’exécuta. Il lui fourra aussi sec sa bite dans la bouche. Elle eut un haut-le-cœur puis se mit à le sucer et à le lécher, les yeux mi-clos. Sa bouche allait et venait sur cet énorme membre noir comme l’ébène. Le mec me regarda un sourire ironique aux lèvres puis il la releva et la souleva comme une plume pour qu’elle enlace ses jambes autour de sa taille. Elle se laissait totalement faire. Il l’embrassa alors à pleine bouche. J’avoue que paradoxalement je n’avais pas envisagé ça, le fait qu’ils s’embrassent aussi passionnément m’a fait tressaillir intérieurement. Toujours collé à elle, il l’allongea sur le lit, glissa 2 doigts dans sa chatte, les ressortit et lui mit dans sa bouche à elle. Il se tourna vers moi : putain, elle mouille ta salope de femme… J’étais dans tous mes états, tétanisé, j’hésitais à sortir ma bite pour me branler. Ou tout arrêter. J’essayais de croiser le regard de ma femme mais elle semblait ne plus vouloir me voir. Il l’obligea à nouveau à le sucer en lui maintenant la tête plaquée contre son ventre. Ses mains à elle se mirent à caresser ses abdos, ses pectoraux massifs, ses cuisses qui devaient faire 3 fois les miennes !… Ses ongles s’enfonçaient par instants dans la peau dure et noire de cet inconnu. Il la rallongea sur le lit, sur le dos, lui leva les jambes puis les écarta totalement vers le haut, en les tenant par les chevilles. Il enfila une capote XXL puis la pénétra. Elle se mordait les lèvres, poussait des gémissements de plaisir, toujours sans un regard pour moi. Je matais la queue raide du black qui allait et venait dans la petite chatte rasée de ma femme. Assis sur un fauteuil, je me mis enfin à caresser ma queue, comme dans un état second. Excité mais aussi avec le sentiment de n’être qu’un « petit branleur » minable… Je me sentais aussi blessé que ma femme ne m’accorde plus la moindre attention, qu’elle se laisse totalement aller, qu’elle soit si passive et soumise, alors qu’elle ne s’était jamais gênée pour me rembarrer lorsque je voulais lui

    faire l’amour de façon plus « brutale » ou essayer des choses nouvelles ; elle n’avait jamais trop aimé la sodomie par exemple et là, je voyais ce black la retourner comme une crêpe, la positionner désormais en levrette, lui écartant le cul et y enfonçant un doigt pendant qu’il se remettait à la baiser par derrière, telle une chienne totalement docile. Un instant je crus qu’elle allait lui signifier qu’elle voulait arrêter, qu’il fallait y aller plus doucement, elle mit d’ailleurs ses mains en opposition sur ses fesses ; il se contenta de la pénétrer plus fort encore, enfonçant maintenant 2 doigts dans son trou du cul, puis il se saisit de ses poignets et lui bloqua derrière-elle en bas du dos d’une main ferme ; il retira ses doigts et lui claqua le cul, une fois, 2 fois, 3 fois puis il attrapa à nouveau ses cheveux par la nuque et lui tira la tête en arrière brutalement. Ma femme jeta un regard vers moi, enfin, elle semblait avoir les larmes aux yeux, gémissait douloureusement, je crus y voir un signe, me levai et m’approchait avant de m’adresser au black :

    - On… on va peut-être arrêter, ça nous paraît un peu… violent…

    Le black m’a regardé d’un air dédaigneux puis a éclaté de rire ; il a pris le visage de ma femme par les joues et l’a tourné vers moi ; elle haletait, les yeux vagues et embués de ce que je prenais pour de la douleur…

    Il a dit :

    - regarde ton cocu de mari, salope ha ha ha ! alors tu veux arrêter ou tu lui dis que tu aimes ça !!!

    Je regardais ma femme en l’implorant du regard.

    Il continuait, serrant plus fort le visage de ma femme :

    - dis-lui petite pute que tu prends ton pied, dis-lui ou je me casse !

    Je m’approchais de ma femme pour lui murmurer :

    - s’il te plait Anne, viens, on arrête… Elle ne me répondait pas et continuait de faire bourrer et tirer les cheveux, les mains toujours bloquées dans son dos…

    - Anne ! j’ai dit. S’il te plait dis quelque chose, dis quelque chose mon amour…

    Elle entrouvrit les yeux, toujours au bord des larmes et secouée de spasmes, me regarda d’un air un peu désespéré :

    - Je… je suis désolée… mais… Mais… Tu vois pas que je prends mon pied ?!

    Puis elle enfouit sa tête dans l’oreiller. Tu vois pas que je prends mon pied. Cette phrase m’avait fait l ‘effet d’un K.O, je devais être livide, figé. Tu vois pas que je prends mon pied. Tu vois pas que je prends mon pied. Putain, cette phrase me résonnait dans la tête et me faisait l’effet d’un coup de poignard dans le ventre. Pire que tout j’entendais le rire du black, qui se foutait de ma gueule ouvertement, m’humiliait devant ma propre femme qui elle-même venait de me désavouer publiquement ! Je crois que j’étais tout près de l’évanouissement lorsque le gros black, encore plus en confiance, se mit à défoncer ma femme de plus belle et lui demander de répéter ce qu’il disait :

    - Vas-y salope, gueule-le que tu aimes ça ! je veux que tout le monde t’entendes et surtout ton cocu ! regarde ta pute comme elle aime se faire démonter la chatte et le cul par une grosse bite ! putain mais dis-le salope que t’aimes ça ! hurlait-il en fessant le cul de ma femme qui se tortillait…

    - … Hmmmfff… oui… j’aime ça…. Vas-y, oui… lâcha ma femme dans un râle

    Encore un coup de poignard qui me tordait le ventre. Machinalement, comme dans un rêve (ou un cauchemar !), ou comme pour oublier la douleur et l’humiliation, je me mis à genoux et recommençais à me branler.

    - ha ha et regarde le, putain, regarde-le, ça le fait bander ce connard ! il se branle sa petite bite de blanc ! même pas capable de tenir sa femme ! dis-lui que t’es qu’une pute à blacks, une traînée !

    Et ma femme, d’une soumission écœurante, de répéter, en haletant de plaisir :

    - Oui, oui, oui, je suis une pute à blacks ! défonce moi avec ta grosse bite, défonce-moi par tous les trous !..... mais vas-y

    Et moi, je me branlais frénétiquement, comme pour m’empêcher de fondre en larmes, les yeux rivés sur leurs 2 corps qui s’entrechoquaient, sur cette femme, MA femme, que je n’avais jamais vu dans un état d’excitation aussi intense, qui se faisait malmener, qui acceptait TOUT, se lâchait totalement, se rabaissait verbalement de façon aussi spontanée

    (même si nous avions souvent pratiqué ce genre de dialogue crû, c’était différent là, ça me rendait malade)…

    Le black sortit enfin sa queue de ma femme, il lui tira les jambes pour la faire glisser vers le bord du lit, elle s’affala sur le sol, assise jambes écartées, totalement en sueur, haletante ; lui, était maintenant debout devant elle, masturbant sa grosse queue pile face au visage de femme…

    - Ouvre ta bouche, tire ta langue de pute, je vais te mettre une bonne giclée de foutre sur ta gueule de petite bourgeoise ! allez salope !

    Evidemment, une fois de plus, elle s’exécuta, elle ouvrit sa bouche, langue tendue, en le regardant dans les yeux par en-dessous, servile comme une chienne réclamant sa récompense… Je l’entendis murmurer : « allez, oui, souille-moi comme une catin… » Je crois que son sperme a giclé presque en même temps que le mien. A part que lui jutait sur le visage de ma femme et que je me répandais, seul, sur la moquette de la chambre, comme le cocu que j’étais désormais….

    - Nettoie-moi la bite pouffiasse, je veux pas qu’il en reste une goutte ! Ma femme passait sa langue autour de sa bouche, léchait l’énorme gland d’où s’écoulait encore sa semence ; il en avait aussi sur la main alors il lui fourra ses doigts dans la bouche : elle les suça encore, les yeux mi-clos, frissonnante de plaisir et des orgasmes qu’il lui avait donné… Il se rhabilla, me jeta un regard méprisant qui ne me surpris même pas : j’étais à genoux, ma bite désormais molle et ridicule dans la main, une tâche de mon foutre devant moi… Il se dirigea à nouveau vers ma femme, lui pris la bouche et lui roula une énorme pelle puis parti…

    Un long silence s’ensuivit. Nous étions immobiles, elle au pied du lit, encore un peu de jute sur le front et les cheveux, les yeux perdus dans le vague ; moi, à l’autre bout de la chambre, mon sexe ridicule pendouillant entre mes jambes, respirant avec peine tellement je me sentais oppressé, en pleine confusion…

    Ma femme est finalement partie prendre une douche. Pendant que j’entendais la douche couler, les images de la scène que je venais de vivre se succédaient à toute allure dans ma tête. J’étais abattu mais… c’était plus fort que moi, plus fort que la honte, plus fort que la douleur, un début d’érection me reprenait… Ma femme sortit de la douche en peignoir et s’étendit sur le lit, un sourire qui se voulait compatissant sur son joli visage… Je partis à mon tour prendre une douche, avec l’envie de lui faire l’amour juste après, de la posséder à nouveau, de sentir qu’elle m’aimait toujours…

    J’avais fait vite, pourtant, à mon retour, elle semblait déjà endormie. Je me collai à elle, toujours en silence, passai ma main tendrement et délicatement sur sa peau mais elle grogna et me repoussa.

    - J’ai… j’ai envie de toi mon amour… s’il te plait… lui ai-je murmuré.

    Elle ne répondait pas, l’angoisse montait en moi, j’insistais. Elle se retourna vers moi, lasse et visiblement agacée :

    - Ecoute, je… je suis claquée… demain… laisse-moi…

    Je restai sans voix. Je me sentais trahi, fou de rage et de désir. Je restai ainsi de longues minutes à regarder le plafond dans l’obscurité. Ma femme s’était complètement endormie, je tentais à nouveau de la toucher, mais elle était comme un corps sans vie. Je me mis alors sous les draps, approchant machinalement mon visage de son cul, de sa chatte… je me mis à humer son sexe, sans doute à la recherche malsaine de l’odeur du sexe, de sa mouille mêlée au foutre de ce black… elle ne sentait que le savon et je crois que je fus déçu. Mais mon imagination reprit le dessus, je commençais à lui lécher la chatte en douceur, à la renifler, en pensant à l’énorme bite de ce black qui continuait de la pilonner. Elle ne bougeait pas. Je me remis à me branler sans faire de bruit, le nez à quelques centimètres de son cul, me repassant en boucle la soirée… J’éjaculai sur moi, espérant enfin trouver le sommeil juste après. Mais à vrai dire je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. Je suis même allé plusieurs fois dans la nuit aux toilettes, pour me branler encore et encore, seul et misérable…

    Nous partions le lendemain. Tous les 2 gênés, nous n’avons pas reparlé de la journée de cette « soirée ». Je me souviens juste, dans le hall du club, avoir revu le black, qui ricanait avec 3-4 autres types et nous montrait du doigt. Je suis parti récupérer les bagages et à mon

    retour, le black discutait avec ma femme ; elle riait ! lorsque je m’approchais d’eux, il partit avec un petit sourire narquois à mon attention

    - Il te disait quoi ? j’ai fait, fou de rage, en saisissant Anne par les épaules

    Elle m’a repoussé assez vigoureusement.

    - Oh, ça va pas non ?

    - Qu’est ce qu’il t’a dit ! réponds-moi ! j’ai dit en tremblant

    Elle a levé les yeux aux ciels.

    - Pfff… Arrête ta parano à 2 balles s’il te plait, tu es franchement pitoyable…

    - Anne… mais merde…. pourquoi tu me fais ça, je lui ai dit, désemparé

    - franchement tu me saoules… Elle m’a regardé droit dans les yeux : - c’est toi qui a voulu tout ça non ?! Il m’a donner son 06 car il vient souvent à Paris.

     

    - Putain Anne, je te reconnais plus !! tu me débectes… t’es qu’une, une… je criais presque, des sanglots noués dans la gorge.

     

    - Parce que tu crois que tu me dégoûtes pas toi ? tu crois que je t’ai pas vu l’autre soir pendant que je dormais, hein ? tu me reniflais le cul espèce de pauvre pervers… en te tripotant ta petite bite… pfffff…Et arrête cette scène tout le monde nous regarde…

    Je sentais l’humiliation et la colère monter en moi, je perdais mes moyens, je saisis à nouveau ma femme comme pour la secouer… A cet instant, une main m’attrapa et me projeta en arrière. C’était le serveur black.

    -Y’a un problème ? il m’a dit en me toisant du haut de son bon mètre 90 et de ses 100 kilos de muscles. Présente tes excuses à madame, espèce de petit roquet cocu !

    J’avais envie de me jeter sur lui, de lui sauter à la gorge… mais je me suis entendu dire d’une voix chétive :

    - Je… je suis désolé… je baissais les yeux.

    Il m’a relâché comme une chiffe molle. Ma femme secouait la tête, me regardait d’un air dépité, dans lequel je sentais une certaine tristesse ou peut-être même du dégoût.

     

    Je sus à cet instant que plus rien ne sera jamais comme avant. Et en effet, rien ne fut plus jamais comme avant.


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