• En lectrice ponctuelle du site, c’est aujourd’hui moi qui viens vous raconter un truc dont j’ai un peu honte mais dont je ne crois plus que je pourrais me passer.

    Pour me présenter un peu, j’ai 28 ans et je suis infirmière libérale dans un petit village de province. Je vis maritalement avec Arnaud depuis 3 ans et nous avons une vie bien remplie. J’ai des horaires de folie mais j’aime beaucoup mon métier. Nous avons une vie un peu atypique car mon copain est barman dans une boite de nuit et du coup nous faisons souvent que nous croiser. Lui vit la nuit et moi le jour. Pour l’instant nous le vivons très bien mais c’est clair que les weekends en amoureux sont très rares.

    Je suis grande (1m70), les cheveux mi-longs châtain foncé, les yeux bleus et une silhouette normale. Agréable à regarder, je n’ai jamais eu de souci pour séduire mais maintenant que je suis maquée, ce n’est plus trop mon trip. J’en ai profité plus jeune mais depuis mon entrée dans la vie active et surtout depuis que j’ai rencontré Arnaud, j’ai une vie rangée.

    J’ai rencontré Arnaud grâce à des amis communs et ça l’a fait de suite entre nous. Il est vrai qu’il est très séducteur et j’ai craqué dès notre rencontre mais son métier doit y être pour quelque chose. Il savait y faire avec les filles. Je ne suis pas du tout jalouse. Peut-être le serais-je davantage si je côtoyais le monde de la nuit et que je le voyais faire, mais je vis très bien cette différence d’univers. Je suis profondément amoureuse de mon copain mais depuis quelques temps j’avoue que j’avais un manque de plus en plus grandissant. Un manque ou un besoin non satisfait…

    Quand nous avons fait l’amour la première fois avec Arnaud, je me suis vite rendue compte qu’il avait un petit sexe. J’avais bien sûr eu d’autres expériences avant lui et je pouvais faire la comparaison. J’ai d’ailleurs été surprise au départ car un bel homme baraqué comme lui, ne me laissait pas présager qu’il pouvait avoir une « petite bite ». Comme quoi, il ne faut pas se fier aux apparences.


    Dans un premier temps cela ne m’a pas dérangé plus que ça. Il arrivait à me faire jouir parfois, mais il venais en plus souvent bien avant moi. Nous nous sommes accommodés de la chose par des petits aménagements dans notre sexualité. Des préliminaires assez longs avec des pénétrations tardives. L’utilisation, à mon initiative, de sex toys quand nous avons été suffisamment à l’aise l’un avec l’autre. Je suis une femme libérée, bien dans son corps, et nous en sommes arrivés assez naturellement à l’utilisation de ces petits joujous bien utiles pour me satisfaire.

    Mais cela fait maintenant trois ans que nous sommes ensemble et depuis un an à peu près, quand je me caressais toute seule, je fantasmais sur de grosses queues bien épaisses et bien longues. Je m’imaginais être prise violemment par un mec indéfini sans visage réel, tellement bien membrée que je jouissais très rapidement. On a beau dire que la taille ne fait pas la qualité, moi j’aurais bien aimé qu’il l’ait plus grosse.

    Et puis au mois de septembre, je lui ai fait un petit cadeau. C’est un fana de sensations fortes et il rêvait de faire un saut en parachute. Mais cela coute cher. Et en surfant sur mes sites préférés, j’ai trouvé un baptême de l’air à prix cassé (sur Groupon pour ceux qui connaissent). Vu le prix je n’ai pas hésité. J’ai quand même appelé deux de ses potes pour savoir s’ils voudraient tenter l’aventure avec lui et surtout savoir si l’offre leur paraissait bien, vu que je n’y connaissais rien. Rapidement convaincus, ils ont accepté sans problème. Et donc le saut était programmé pour le 17 septembre, je m’en souviens encore. On avait choisi en semaine d’une part parce-que Arnaud aurait eu du mal à trouver un créneau le weekend et puis la boite nous a dit qu’il y aurait moins d’attente pour sauter en semaine.

    Le jour J nous nous sommes présentés à l’aérodrome avec ses deux potes. Je les ai accompagnés, c’était l’occasion de partager un moment avec Arnaud.
    Sous le hangar je peux vous dire que mon Arnaud, il n’en menait pas large. Il avait beau faire le guerrier et rigolé avec ses copains, je sentais bien qu’il était tendu. Mais on l’aurait été à moins n’est-ce pas ? C’était un saut en tandem qu’ils allaient faire car, seul, c’était plus cher et puis il fallait se former quelques heures avant de sauter. L’avantage du tandem c’est qu’ils ont eu juste un petit brief de quinze minutes et moi j’étais quand même plus rassurée car il est un peu foufou mon chéri. Ils avaient enfilé les harnais sur leur jean, il n’y avait plus qu’à attendre.

    Et là sous ce hangar, j’ai eu une putain de vision : Aurélien, un de ses potes en train de faire le con avec son harnais, en attendant le décollage. Les harnais étaient serrés et ça leur moulait les parties, je vous dis pas.
    Mais Aurélien, toujours en train de faire le pitre, accentuait la chose en tirant bien sur les sangles pour que ça lui remonte encore plus le paquet. Et il avait une bosse énorme dans son pantalon! Incomparable avec celle de mon mari, Il dandinait du cul, du bassin faisant rire l’assemblée. Et moi, je ne pouvais pas détacher mon regard de son entrecuisse. Pourquoi lui ? Pourquoi à ce moment-là ? Je n’en sais rien mais d’un coup j’ai des bouffées de chaleur qui me sont montées au visage.
    Je me suis dit « waouahh, il a l’air d’avoir une queue de black » et je l’ai regardé de façon toute à fait différente.

    Aurélien, c’est ce que l’on appelle un beau gosse, il fait de la muscu, un corps d’athlète, il plait aux filles et il en profite. Mais j’étais déjà avec Arnaud quand je l’ai connu et même si je l’ai trouvé séduisant, c’était le pote de mon chéri, point barre. Je n’aurais rien imaginé de plus. Bien sûr il est toujours dans la séduction, même avec moi, mais ni plus ni moins qu’avec une autre. C’est sa personnalité, il a toujours été comme ça. Mais là, de le voir gesticuler de la sorte, tirant sur les sangles pour bien mouler son paquet et mimer des coups de reins, ça m’a excité à un point, vous imaginez même pas.
    Enfin, ils ont décollé, ont sauté et tout c’est bien passé. Un super souvenir pour eux et ils aimeraient bien recommencer.

    Le problème c’est que les jours suivants, je revoyais Aurélien faire le con à l’aérodrome et j’imaginais une queue énorme, chaude, bien raide sous son pantalon et un soir j’ai fini par me caresser en mettant un visage sur mon fantasme. Et les jours suivants aussi. Je me masturbais en imaginant la queue d’Aurélien dans ma bouche ou me défonçant brutalement la chatte.

    Au final, tout bêtement mais sans doute avec quelques arrière-pensées inavouables j’ai fini par le demander en ami sur Facebook et tout doucement on s’est mis à tchatter.
    Je sais que je n’aurais pas dû, on sait bien comment ça finit ce genre de plan foireux. Mais on délirait, il me faisait du bien, me racontant des bêtises mais comme il le faisait d’habitude. Et moi, de plus en plus j’attendais ses messages sur mon I Phone, au boulot comme à la maison.
    Et toujours aussi régulièrement je me caressais en imaginant son gros engin.

    Quand j’ai commencé à imaginer que c’était lui qui me faisait l’amour alors que j’avais Aurélien sur moi qui me besognait comme il le pouvait, je me suis vraiment dit que j’avais un problème. J’ai essayé de me raisonner en me disant qu’il ne l’avait peut-être pas si grosse que ça et que ce devait être un effet d’optique ce jour-là, dû au harnais qui avait amplifié la bosse dans son jean. Mais rien à faire.

    Alors vendredi dernier, Arnaud étant au boulot, je suis passée chez lui. J’ai pris l’excuse que j’étais dans les parages et que je devais récupérer les DVD qu’Aurélien lui avait prêtés quinze jours avant alors qu’ils appartenaient à ma sœur.
    Il a été surpris de me voir mais j’ai essayé de paraître le plus naturel possible. Il m’a faite entrer et m’a proposé un verre. Moi qui ne picole pas plus que ça, j’ai accepté immédiatement. Un peu trop vite d’ailleurs ! Il a senti que je n’étais pas comme d’habitude, que j’étais mal à l’aise. Il m’a regardé bizarrement mais n’a rien dit. On a papoté un moment, parlant de choses et d’autres. Il a une façon de raconter, je l’aurais écouté parler des heures, avec beaucoup d’humour, et toujours en exagérant les traits. Il a un côté un peu théâtral que j’adore.

    En curieuse mais en passant pour la bonne vieille copine, je lui ai alors posé des questions sur sa dernière conquête. Il ne s’est jamais caché d’être un dragueur invétéré. J’avais une folle envie d’en savoir un peu plus sur son intimité. Arnaud m’a toujours dit qu’il leur racontait toujours ses plans cul et que c’était de vrais sketches.
    Un peu gêné au départ car il ne racontait ça qu’entre mecs il m’a expliqué qu’il s’était levé une jolie petite caille et qu’il l’avait baisée dans la voiture. A l’entendre, elle gueulait presque tellement elle avait pris son pied. J’étais toute excitée de ses paroles et je me suis dit que j’aurais bien aimé être à la place de la fille.
    Avec Arnaud, c’est devenu un peu routinier au fil du temps, sans parler de son problème de taille. En me racontant, il nous a servi un autre verre et au fur et à mesure qu’il me donnait des détails, je sentais mon string se mouillait de plus en plus. Il en rajoutait sans doute mais je buvais ses paroles. L’alcool produisait son effet et j’étais un peu euphorique, je me sentais plus sure de moi. N’en revenant pas de mon culot j’ai osé lui dire :

    « - Et tu les fais toutes gueuler comme ça, à chaque fois ? »

    Dans l’ambiance ainsi détendue, il a cru sans doute parler à un pote et il m’a répondu machinalement :

    « - Je veux ouais, un mec monté comme un cheval, elles en redemandent les salopes ! »

    Il s’est rendu compte un peu tard que c’était à moi, Lorette, qu’il parlait. Il s’est tu gêné . Mais moi je ne voulais pas qu’il se taise. J’étais déjà en transe. Alors pour éviter que l’ambiance ne retombe, je l’ai poussé à continuer, en rigolant.

    « - Arrête, tu te la joues là. Je crois pas qu’elle soit aussi grosse que tu le dis ! »

    A nouveau il m’a regardait bizarrement.

    « - Tu serais pas la cops de mon pote, je jurerais que tu me cherches ! »

    J’étais un peu paniquée de sa remarque mais je ne me suis pas démontée.

    « - Non, non, je suis juste curieuse. A t’écouter t’as une queue énorme ! Tous les mecs se vantent d’être super bien équipé, je suis sure que tu en rajoutes… »
    Piqué au vif, il me répond sans réfléchir :
    « - Tu voudrais pas que je te le prouve quand même ?"

    J’aurais dû faire machine arrière, mais j’avais tellement fantasmé sur sa queue que je ne pouvais pas revenir en arrière. J’ai rassemblé mes dernières forces et d’un air de défi, je lui ai dit :

    "Pourquoi pas ? »

    « - Ok, tu vas être servie alors ma cocotte ! »

    Il s’est levé, a déboutonné son jean et a sorti sa queue de son boxer.

     "Et encore là elle est au repos ! »

    Waouahh mon dieu mais quel engin ! Effectivement elle était au repos mais même au repos elle devait bien mesurer vingt cm à vue de nez et elle était bien large comme je l’avais imaginé. Un vrai tronc d’arbre ! Il aurait pu jouer dans des films X.
    Humm;;; un trouble grandissant m’a submergeait. J’avais chaud partout. J’avais une folle envie de la prendre dans ma bouche pour voir ce que cela allait donner en érection.
    Mais Aurélien a réalisé l’ambiguïté de la situation et a voulu ranger sa queue.

    Sans pouvoir me retenir, j’ai presque crié « Non ! » en tendant la main ... comme pour ne pas laisser échapper l'objet de tous mes désirs.

    Il m’a regardé surpris, et moi je restais bêtement bloquée sur son membre surdimensionné, une lueur d’envie dans le regard. Je n’osais pas bouger, je savourais juste cette vision fantastique. Et tout doucement sa queue a commencé à se redresser. Il commençait à bander.
    Son regard a changé. Il a compris que j’avais envie de sa queue. Alors il s’est approché de moi. J’avais son chibre à quelques centimètres.

    « - Vas-y, fait toi plaisir. »

    Je n’attendais que ça. Alors je n’ai pas hésité une minute. J’ai pris sa queue entre mais mains et j’ai commencé à le branler. C’était bon de sentir que mes mains avaient du mal à en faire le tour de tube de chair chaud. C’était tellement nouveau pour moi. Quelles sensations ! Ma petite chatte bouillonnait de plaisir et elle était trempée.
    Après quelques minutes d’astiquage intense, j’ai rapidement pris en bouche cet engin démesuré et je me suis mise à le sucer avec gourmandise. Comme un bâton de sucre d’orge sauf que la taille n’avait rien à voir !
    Je jouais avec son gland, je le léchais, plantant ma langue dans son méat, ressortant, gobant à nouveau l’engin. Mais elle était tellement énorme que je ne pouvais pas la rentrer entièrement dans ma bouche. Je n’avais jamais eu dans ma bouche une queue aussi grosse.

    Et puis ses couilles elles aussi en proportion, énormes, une seule d'Aurélien était aussi grosse que tout le paquet d'Arnaud... Quel pied ! J’avais tellement fantasmé sur cette situation. Je l’ai sucé, gobé, léché frénétiquement, montant et descendant sur sa hampe qui n’en finissait pas, un bon moment, mais j’avais aussi envie qu’il m’emplisse ma petite chatte liquéfiée, qu’il me meurtrisse de son dard puissant. Alors n’écoutant que mon désir, je me suis levé, j’ai relevé ma robe je me suis assise, jambes écartées, sur la table dans sa longueur, et droit dans les yeux, très gravement, je lui ai dit : "Baises moi, j'ai trop envie maintenant"

    Alors il écarté mon string et a enfoncé tout doucement son gland à l’entrée de mon vagin, c'était incroyable et centimètre après centimètre l’engin disparaissait dans mon intimité, me dilatant comme jamais..
    Je me disais « mais il va aller jusqu’où comme ça ? ». Quand il a senti qu’il butait au fond de mon vagin, il a commencé à me prendre doucement d’abord puis de plus en plus fort. Ma chatte était pleine de cette queue énorme et si au début, parce qu’il y allait avec douceur, je ne ressentais pas de douleur, quand il a commencé à accélérer la cadence de plus en plus vite, là j’ai vraiment senti qu’il me déchirait la chatte.
    Mais la douleur a vite laisser place à l’excitation et son diamètre qui écartait mes bords, me dilatait au maximum me rendaient folle. Je voulais maintenant qu’il me défonce encore plus. Je me suis allongée sur la table et j’ai posé mes jambes sur ses épaules pour qu’il me laboure encore plus profondément. Je gémissais, je criais presque sous les secousses brutales qu’il m’assénait.
    J’allais jouir comme jamais. Il me pilonnait, me défonçait la chatte à grands coup de boutoir, avec bestialité. Il grognait de plaisir et ça m’excitait sauvagement.

    De plus en plus fort, de plus en plus vite, il m’a bourré comme un dieu et j’ai joui en gueulant, oui, en gueulant, ca n'en finissait pas. Je rejoignais son tableau de chasse de filles qui avaient pris un pied phénoménal. Il m’a labouré la chatte encore un peu et il a joui bruyamment lui aussi.
    Il est resté dans ma fente quelques secondes, je ressentais ses spasmes à chaque trait de foutre, qui remplissaient ma chatte meurtrie mais repue. Puis il s’est retiré, dans un flop trivial, un filet de sperme a  dégouliné le long de mes cuisses.
    Moi pantelante, j’avais du mal à me remettre de cet orgasme fulgurant et je gisais piteusement sur la table, son sperme dégoulinant de ma chatte sur la table, les cuisses encore écartées, la chatte ouverte à l'air frais qui laissait un vide immense.

    On a quand même repris nos esprits. Nous étions maintenant mal à l’aise.


    Il m’a fait jurer de ne rien dire à Arnaud. Je le lui ai promis.


    Il m’a dit aussi que cela devait être la seule et unique fois. Mais ça, pas question, même si je ne lui ai pas dit. Cette queue surdimensionnée, je la veux encore dans ma chatte et hors de question que je m’en prive. Il m’a fait trop de bien et j’en redemanderai encore.

    Si ce ne sera plus lui ce sera un autre, dommage pour Arnaud mais je ne peux imaginer maintenant ma sexualité et ma vie sans ca : une belle grosse bite.


    3 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique