• Elle était là, allongée à côté de moi, je passais ma main dans ses cheveux, perdu dans mes pensés. Il faut dire qu'il s'en est passé des choses aux cours des dernières 24 heures. La journée d'hier ne laissait rien présager de ce allait arriver en fin de journée. Je rentre du travail vers 18 heures, comme à mon habitude, et je retrouve ma copine assise au salon en tenue légère avec un sac en papier rudement bien rempli devant elle. Il faut que je vous décrive sa tenue, mais ça ne sera jamais aussi bandant que ce que j'ai vu, mais je vais tâcher d'y parvenir. 

    Déjà, elle mesure 1m71 pour 58kg, des jambes interminable, un petit cul bien rond et bien ferme, de très long cheveux blonds qui lui arrivent jusqu'en bas du dos et de magnifiques yeux bleus! Son visage? Effectivement, j'ai omis de vous en parler, un visage typé slave, juste magnifique et ses seins, je ne vous ai pas parlé de ses seins, deux magnifiques petit seins bien ronds et fermes avec de jolis petits tétons qui en feraient craquer plus d'un! Leur taille est parfaite, pile la taille de la main d'un homme de bonne carure, idéal pour les saisir à pleine main!

    Et ce soir là, elle était habillé dans un magnifique ensemble de lingerie noire à dentelle orné de rubans de satin violet. Son ensemble était constitué d'un corset qui marquait d'avantage sa taille et avait un effet push-up sur ses jolis seins qui me narguaient de manière arrogante ainsi mis en valeur. Un porte-jartelle, objet de lingerie féminine, très apprécié pour son lourd pouvoir érotique. Moi j'ai toujours raffolé de la belle lingerie, il n'y a rien de mieux pour rendre une femme désirable. Ce dernier masquait à peine le petit string presque transparent qui dissimulait péniblement son sexe que je devinais humide sous la fine dentelle du string.

    Ses jambes étaient gainées dans des bas à coutures noirs, ce qui mettait encore plus en valeur la perfection de son cul qui paraissait bien clair au milieu de toutes ses parures bien sombre. Et au bout de ses jambes se trouvaient une pair de joli escarpins noirs à talons aiguille de 12 centimètres. J'en avais presque le souffle coupé, mon sexe a mis moin de deux secondes à devenir dur comme la pierre.

    Elle me regardait en souriant, la situation semblait beaucoup l'amuser.

    - Je vois que ma tenue te plait! Mais bon, maintenant j'ai à te parler, je crois qu'il y a certaine chose que je dois t'emmener à comprendre en utilisant des voies différentes de la normale.

    -Tu es un macho, tu n'as pas beaucoup de respect pour la condition féminine, et tu me pourrie la vie avec tes demande sexuelles permanentes et tes performances douteuses, sais-tu que tu ne me fait pas jouir avec ta quequette d'enfant ?

    Abasourdi par ce discours humiliant, je me senti rougir jusqu'aux oreilles

    Je balbutiais - mais.. tu qu'est ce qui te prend?

    - Est ce que tu m'aimes ? rétorquât-elle en décroisant les jambes

    La vue troublé par des larmes, je baisais les yeux sur sa beauté troublante

    -Tu ne veux pas me perdre ?

    - Mais non surtout pas. Je constatais mon échec auprès de cette femme, la mascarade de mon machisme couvrant mon manque de virilité était mis a jour.

    - Alors je vais te demander le temps d'une soirée de te mettre à ma place pour qu'enfin tu te rendes compte de ce que tu me fais vivre parfois et avant que tu refuses saches que si tu refusais, tout serait fini entre nous et que ce soir je te mets dehors! Alors, qu'est ce que tu choisis?

    J'étais tellement choqué par tout ce qu'elle venait de me dire que je ne sus pas trop quoi répondre, si bien que je balbutiais un pénible oui.

    - Bien, donc maintenant mets toi à poil et viens à la salle de bain, on va pouvoir commencer par épiler tout ces poils disgrâcieux que tu as un peu partout sur le corps!

    Voilà, moi, l'homme viril j'allais me faire épiler par ma femme, j'étais vraiment tombé bien bas…

    Je n'aurais jamais imaginé que ça fasse si mal de se faire épiler, à chaque bande de cire qu'elle arrachait, je réprimais un petit cri de douleur…quand elle s'attaqua au partie intime, je voyais ses yeux devenir plus vicieux, elle me fit ensuite la raie du cul et le tour de l'anus, je remarquais qu'elle se tortillait de plaisir... Après une demi heure, me voilà épilé partout !

    Ma femme se recule et me regarde avec un air satisfait, elle semble apprécier ce qu'elle vient de faire !

    - C'est parfait, tu comprendra qu'un homme viril a des poils mais toi c'était un contresens.. maintenant va t'habiller, le sac en papier au salon contient tout ce qu'il faut pour ça et quand tu es prêts, tu reviens ici !

    Je ne savais pas trop quoi faire, mais comme je tenais à elle, je n'osais qu'accéder à sa requête, je me dit si ce n'est que cela je pouvais bien jouer à cela un soir… Quand je défis sac, j'étais un peu choqué de tout ce que j'y trouvai, tout d'abord un string en dentelle mauve, que j'enfilai, une paire de bas à motifs de dentelle, un corset à lacets mauve également, une petite robe peplum, une perruque brune et des bottines à talons aiguilles de bien 10 cm, lorsque j'eus enfilé le corset, ma femme arriva et me dit:

    - C'est un corset spécial pour créer une poitrine, viens ici que je te le lace comme ça tu pourras finir de t'habiller. Je m'approchai d'elle, et elle commença à serrer le laçage, ma taille fut ainsi bien marquée et une poitrine assez agréable avait fait son apparition, j'avais un décolleté maintenant!

    Un peu déstabilisé, j'entrepris d'enfilé la peplum, le tissus légérement élastique moulait à la perfection toutes mes formes, la sensation sur ma peau était étrange, j'étais troublé, je commençais à aimer ça. Il était maintenant tant pour moi d'enfiler les bottines, je m'assis sur une chaise pour le faire, lorsque j'essayai de me lever, j'ai manqué de peu de me tordre la cheville, c'est vraiment super compliqué de marcher avec des talons, et c'est très inconfortable comme chaussures. Il était maintenant temps d'enfiler la perruque et de rejoindre ma femme à la salle de bain pour qu'elle finisse le travail.

    Elle avait sorti tout son nécessaire à maquillage, elle avait prévu la totale ! Elle avait recouvert le miroir avec un linge, ainsi je ne pourrais contempler ma transformation avant la fin! Elle prit une bonne vingtaine de minute pour me maquiller, lorsqu'elle finit, elle me regarda de la tête aux pieds et émis un petit sifflement d'abrobation avant de retirer le linge qui masquait le miroir.

    Là, ce fut le plus gros choc de ma vie, dans le miroir il y avait ma femme et une inconnue vraiment bien foutue, si j'avais pu, je les aurais bien bourrée toute les deux à grand coup de mandrin ! ou plutôt de quequette... Sauf que cette grande brune, c'était moi !

    - T'as vu comme tu es bonne maintenant?!

    Une bosse se fit voir sous ma jupe, je ne sait si les sensation de la dentelle sur mon zizi ou la vue de cette jeune femme, me troublait à ce point ..

    Allez viens avec moi dans la chambre, c'est pas fini ! Sur le lit étaient disposées deux paires de menottes à fourrure, et quelques rubans de coton d'une bonne largeur. - Mets toi à quatre pattes sur le lit! Ce que je fit sans broncher, je ne me reconnaissais plus, j'étais dans un état second, je ne comprennais plus trop ce qui se passait.

    Elle vint et m'attacha les poignets à la tête de lit avec les menottes, m'attacha les pieds au bas du lit et me banda les yeux. - Voilà, maintenant commence le vrai jeu! Je ne répondis rien, je sentais ses mains sur mes fesses, elle me caressait délicatement la croupe, à travers le tissu de la robe, cela m'excitait vraiment beaucoup! Puis, elle souleva délicatement ma robe et commença à caresser ma peau nue, de temps en temps un doigts venait se perdre le long de ma raie couverte par le string et frôlait mon anus.

    Cela déclenchait chez moi un petit mouvement de recul. Je bandais déjà très dur, mon sexe tendu faisait rentrer le string encore plus profondément entre mes fesses, j'en bandais d'autant plus.

    -Tu en veux plus ? dit-elle

    C'est à ce moment là que ma femme écarta sur une de mes fesses la fine bande de dentelle du string afin d'avoir un accès total à ma raie. Elle s'humidifia l'index avec de la salive et vint directement me masser l'oeilliet, cette caresse contre nature à mes yeux me fit très vite beaucoup d'effet, je tendis ma croupe en arrière à la rencontre de ce doigt!

    Ma femme le remarqua tout de suite et elle dit :- Alors ma salope, tu aimes ça? - Oui,

    je n'aurais jamais pensé! À cet instant, elle retira son doigt, je sentis qu'elle descendait du lit elle parti au salon, après quelques minutes, j'entendais des pas, elle revenait, je sentis qu'elle remontait sur le lit, puis j'ai senti un liquide froid qui coulait sur mon oeillet et un doigt qui venait le masser, pour bien accentuer la chose, j'ai poussé quelques gémissements.

    Le doigt me pénétra une ou deux fois, cette sensation nouvelle me transcendat, je tendis ma croupe en direction de ce doigt afin qu'il me pénètre encore plus! À cet instant le doigt se retira de mon fondement, et je sentis quelques chose de dur et chaud appuyer contre ma rondelle à demi ouverte. Je pensais que ma femme s'était équipé d'un godemichet special, Je sentis cette chose exercer une pression contre ma rondelle, qui peu à peu s'ouvrait pour laisser ce corps étranger entrer en moi, fouiller mon intimité.

    Je poussais un son sourd accompagnant la douleur de la dilatation

    Puis, cette chose à commencer à resortir, à rentrer, à sortir et ainsi de suite, j'étais entrain de me faire enculer ! Moi le macho de ses dames à quatre pattes sur le lit conjugal en train de me faire prendre le cul par ma femme. Mais la raison céda vite à l'étonnement du plaisir.

    Sentir ce corps étranger en moi caresser ma prostate dans un sens puis dans l'autre était divin, j'en avais la tête qui tournait tellement je resentais de plaisir! Cela a bien du durer 15 minutes, lorsque cet objet de plaisir se retira, j'entendis à nouveau des bruits de pas en direction du salon, j'attendis à nouveau quelques minutes, l'anus soudain vide et en manque, avec cette sensation d'air froid sur les muqueuses rougies.

    Puis j'entendis à nouveau des pas, cette fois on me détacha les pieds, puis les mains et enfin le bandeau qui obstruait ma vue, au début j'étais un peu aveuglé par la clareté de la chambre et je discernais enfin ma femme qui me regardait avec un sourire victorieux.

    - Allez ma salope, suis moi au salon, j'ai encore une surprise pour toi !

    La TV était allumé et sur l'écran, on me voyait sur le lit à quatre patte avec... un homme derrière moi entrain de m'enculer...Ces images me firent l'effet d'un coup de poing en pleine tête!

    Mon chéri, je te présente Philipe notre amant, vous avez pu faire connaissance tout les deux,

    - tu a tant aimé cela, mon chéri  - n'est ce pas que tu as aimé ?

    Je rougis hébété - Mais je ....

    - mais bon, ça ne suffit pas,me coupa -t-elle

    j'aimerais maintenant que toi aussi tu deviennes sa petite salope, cet étalon est impossible à satisfaire, alors tu vas m'y aider !

    Je ne savais plus quoi dire, je restai bouche bée devant les images qui défilaient sur l'écran, je venais de me faire enculer par un homme, qui plus est, l'amant de ma femme, et j'avais apprécié!

    - Par contre, mon chéri il n'a pas pu se soulager, ni se lâcher dans ton petit cul de salope, alors il va revenir te reprendre, tu as le choix, soit tu restes et tu finis ton travail, soit tu pars, mais n'espère plus jamais me revoir!

    J'avais aimé me faire enculer et j'aimais ma femme plus que tout, même plus que ma fierté d'homme viril,

    -je faisait non de la tête

    - Mon chéri, c'est pour ton bien que j'ai fait cela , tu apprends enfin qui tu es et où est ta place, tu vois bien que tu es une petite femelle lubrique dans un corps d'homme enfin un homme avec un sexe d'enfant...

    -Je n'ai pas raison , regarde tu bande encore... que décides-tu ?

    Ma tête était toute embrumée, ma vérité de sous homme, mon plaisir tout à l'heure et à ce stade un seul guide me dictait sa loi " garder ma femme"... je marmonnais un oui...

    - Bien alors va dans la chambre, mets toi sur le lit, il va revenir et tu assouvieras toutes ses envies!

    Je pris donc place sur le lit, à quatre patte en attente honteux et frémissant j'entendis une discussion dans le salon, ma femme qui échangeait quelques mots avec son amant puis des bruits de pas en direction de la chambre.

    Je le vis enfin pour de vrai, grand brun musclé, très musclé, très beau en fait!

    - Alors ma salope, je crois que je dois éduquer ! Bien, commençons alors viens ici à genoux et viens sucer ma bite!

    Je venais hésitant mais quelquechose en moi voulais une fois de plus la sentir dans mon cul, je me mis donc à genoux et je commence à la sucer comme je l'ai vu tant de fois faire dans les films porno!

    Elle est magnifique, deux fois plus grande que la mienne, avec un large gland qui me regarde avec son oeil de cyclope, je comprend d'un coup ce que voulait dire ma femme par vrai homme.

    J'alterne lents mouvements ou j'aspire sa bite à fond avec des mouvements plus rapide ou je le masturbe avec ma main. Ma honte s'envole dans les bras de mon désir révélé.

    Mon étalon semble apprécier, il me prends la tête entre les mains et commence à me pistonner la bouche, son gland tape dans le fond de ma gorge, je manque de vomir à plusieurs reprises, lui ne semble pas s'en soucier. J'ai mal à la machoire, je n'arrive presque plus respirer lorsque soudain, il éjacule abondemment dans ma bouche, mon premier sperme, chaud abondant,  j'ai envie de tout recracher, il doit l'avoir remarqué puisqu'il me dit :

    - Avales tout sale chienne, si tu recraches quoi que se soit tu vas amèrement le regretter! Je me force donc à avaler, j'ai honte… Il m'intime l'ordre de continuer à la sucer pour bien tout récupérer et lui redonner de la vigueur pour qu'il puisse me démonter ma nouvelle chatte !

    Il s'impose si fort à moi, je m'applique donc à le sucer, sa bite grossit dans ma bouche, la sensation est étrange mais agréable. Soudain, il sort sa bite de ma bouche, me pousse sur le lit, me saisit fermenent les hanches et me pénètre d'un coup sec, la douleur est insoutenable, il n'en a cure, il commence à me bourrer le cul violement, ses couilles claquent contre les miennes, son bassins claque mes fesses dans un bruit sec et régulier.

     

    Je vois une ombre.. c'est ma femme qui a apparement assisté discrètement à nos ébats et la se rapproche, fasciné sans doute de voir son petit mari devenir femelle, j'ai honte, je suis fier, je ne sais plus..

    Il doit bien me pistonner depuis 10 minutes quand il intensifie ses mouvements, il claque son bassin contre mes fesses de plus en plus fort!

    Je râle ma douleur et mon plaisir mélangé à chaque coup de boutoir

    Il enfonce son sexe dans mon cul une ultime fois, de manière extremenent violente, pousse en grand râle et je sens qui vient de me remplir l'anus de sperme! Il se retire et vient me présenter son sexe à sucer.

    - Nettoies la bien salope, j'aimerais pas tâcher mon caleçon parce que tu as mal fais ton travail de chienne soumise!

    Je m'exécute, je suce du mieux que je peux, je jette un coup d'oeil à ma femmes qui le regarde alternativement ma bouche faire son office et la face sereine de son amant... Je ne suis plus rien. il se retire sans un mot, se rhabille et part. Ma femme le suit , je les entends discuter à nouveau, puis elle revient dans la chambre, me regarde avec un sourire satisfait.

    - Bon, maintenant tu as vu ce que ça fait de se faire traiter comme une salope, car tu es une salope n'est ce pas ?

    - Oui .. je suis une salope

     - En fait cet homme n'est pas mon amant, je l'ai rencontré sur le net après avoir passé une annonce pour te matter ! Mais il semble ce soir que les choses ont bien changés entre nous.. Surtout pour toi.

    - Allez, va te laver et vient te coucher ! 

    - Et tu n'oubliera pas de mettre la petite nuisette que je t'ai préparé.

     


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