• par Jean-Pierre 40 ans

     

    Je m'appelle Jean-Pierre et j'ai 40 ans. Marié avec Sophie 36 ans depuis 15ans, nous avons 2 enfants. Je suis l'un de ces'"cadres supérieurs'" qui délaissent un peu trop leur femme au profit de leur travail. Sophie n'a jamais travaillé, élégante et désirable elle a toujours été sensible à la beauté des hommes. 

    Notre existence fut "plate et paisible" jusqu'à ce jour de juin 1999 où j'ai appris qu'elle me trompait. Ma femme fantasmant en secret depuis longtemps sur une relation extraconjugale, le hasard l'a fait rencontrer un homme noir de 37 ans, très beau paraît-il. L'attirance fut immédiate et elle a découvert rapidement que cet amant lui accordait des plaisirs merveilleux qu'elle n'avait jamais connus auparavant. J'ai eu droit à des comparaisons, je la cite. Au "petit sexe" du mari, le plus souvent "non disponible et non inventif à la baise", la laissant insatisfaite, a succédé un amant au pénis corpulent, "7 cm plus long et diamètre en conséquence", inventif quant aux jeux de l'amour !

    Cette situation paradoxalement m’excitait au plus haut point, je me masturbais régulièrement en imaginant ma femme dans ces autres bras, bien plus viril et bien plus entreprenant.
    Elle m'a parlé de sa surprise lors de leur première rencontre lorsque ce pénis inattendu a "jailli" de son slip qu'il lui avait laissé enlever. Ils se sont offerts tous les plaisirs et elle m'en a fourni des détails avec délectation ; ainsi cet épisode intervenu lors de leur deuxième rencontre.
    Tournant le dos à son amant après avoir retiré elle-même sa culotte, elle fut surprise, la jupe précipitamment retroussée découvrant ses fesses blanches. Elle aurait été sodomisée sans préliminaires dans cette posture. Elle lui aurait déclaré qu'après 2 ou 3 tentatives infructueuses au début du mariage, j'avais effectivement renoncé, impuissant et laissé ce passage inviolé. Cette façon de se "sentir soudainement emplie d'une telle manière" lui aurait procuré des"sensations inoubliables", en particulier elle m'a parlé de son orgasme violent où son anus"s'est aggripé" à ce pénis qui l'empalait. Quant à son amant noir, il lui aurait déclaré que l'idée de déflorer son "cul encore vierge au nez et à la barbe du mari" l'avait terriblement excité, je la cite toujours!

    Après cette découverte, nos relations ont été difficiles mais un "étrange" équilibre s'est progressivement rétabli entre nous. Elle n'a en rien interrompu ses relations extraconjugales et rencontre depuis son amant 1 à 2 fois par semaine. Elle sortait le soir et rentrait au petit matin, épuisée et assouvie. Dans le meilleur des cas, avant de sombrer dans le sommeil elle me racontait ses exploits en me masturbant lentement, s'amusant du fait que, malgré ma jalousie, il suffit de peu de temps pour que j'éjacule à longs traits entre ses doigts. Je me sentais minable et humilié mais totalement excité.

    J'ai voulu moi aussi tenter de profiter de son cul splendide mais elle se refusa à moi, arguant du fait que je ne saurais lui donner du plaisir (ni par derrière, ni par-devant, d'ailleurs, elle se refusait totalement à moi, et mis à part ces séances de masturbation nocturnes où elle se délectait de me raconter ses plaisirs je ne la touchais plus.)

    Les nuits que nous passions ensemble il arrivait qu'elle se branle sans retenue à côté de moi, je faisais semblant de dormir mais devant le peu de discrétion qu'elle manifeste dans ce cas-là, elle devait bien savoir que je l'observe et je suis sûr que ça l'excitait. Je l'ai surprise, une fois où elle me déclara "aller faire une sieste"­ après une de ses nuits de sortie d'où elle rentre crevée en train de se masturber comme une folle sur notre lit. J'étais monté sans faire de bruit afin de ne pas la déranger et j'ai entendu des soupirs. Comme la porte n'était pas bien fermée, je l'ai observée, avec une forte érection, sans toutefois oser rentrer. A plat ventre sur le lit, elle se frottait sur un oreiller qu'elle avait coincé entre ses jambes. Au moment où elle allait arriver à l'orgasme, elle a eu un geste des plus érotiques : elle s'est sucé un doigt longuement puis elle se l'est introduit dans l'anus. Ça lui a procuré un plaisir intense et elle a fait aller et venir à toute vitesse son doigt dans son cul pendant qu'elle se frottait contre l'oreiller de plus en plus vite, ses fesses dodues bougeaient en cadence. Elle a poussé un cri rauque en jouissant, puis s'est endormie comme ça, sa croupe interdite offerte à mon regard.
    Le plus étonnant c'est que je pourrais mettre fin à cette situation en la quittant, mais bien que n'étant pas du tout maso, je trouvais cela extraordinairement bandant. Il s'est développé entre nous une relation très intense et perverse: elle était très excitée par cette situation et elle savait que moi aussi, malgré des passages intenses de mauvaise humeur de ma part. Lorsqu'elle se préparait à sortir pour le rejoindre, elle passait devant moi en essayant diverses tenues des plus sexy. Elle s'est même un jour pavanée devant moi, vêtue uniquement d'un soutien-gorge qui maintenait difficilement sa lourde poitrine, cul nu avec une paire de bottes montantes, me demandant si je trouvais cette tenue excitante. Elle a vraiment une croupe splendide, majestueuse, et tout en enrageant d'être le "cocu par le beau mâle noir" je sentais mon sexe tendu à l'extrême en pensant: dans moins d'une heure elle l'aura rejoint et il va la sodomiser.

    La relation avec Sophie en devenant parfois orageuse, elle m'a déclaré avoir obtenu qu'il la prenne un jour "sous mon nez" afin de m'exposer le plaisir qu'il lui procurait. Son amant était paraît-il très excité à cette idée. Aussi surprenant que cela puisse paraître, le désir de les voir ainsi m'excita plus que l'humiliation cuisante d'un cocuage aussi magistral. Les enfants étant partis en vacances, quelques semaines plus tard, elle m'annonça un jour avec un grand sourire "c'est pour ce soir". J'aurais pu faire une colère terrible, m'en aller. Je suis resté la gorge sèche, attendant avec impatience la soirée. Lorsqu'il a sonné, je suis resté dans le salon à attendre. Il est arrivé, assez à l'aise et m'ignorant le plus possible. Elle l'a accueilli en l'embrassant tendrement, ce qui m'a fait un curieux effet.
    Ils ont bu un verre, en discutant de choses anodines, mais en se dévorant des yeux. Elle avait mis une tenue hyper sexy, porte-jarretelles, bas noirs à coutures, jupe moulante et un pull noir super ajusté qui moulait ses gros seins. Curieusement, malgré l'extrême perversité de la situation j'étais heureux de cet érotisme très particulier que m'offrait Sophie. Tout en parlant avec lui, elle lui effleurait l'entrejambe très souvent, me regardant de temps en temps avec une espèce de fierté et de complicité, d'une certaine manière. Ils étaient assis sur un canapé, et moi en face. 

    N'y tenant plus, il l'embrassa à pleine bouche et se mit à lui caresser la poitrine. Très vite, elle se pencha et lui ouvrit la braguette, dégageant un pénis impressionnant. Elle le masturba un moment, puis entreprit de le sucer avec application. Il souleva sa jupe et commença à lui caresser les fesses. Elle en tremblait de joie. Ils s'arrêtèrent un instant, le temps de lui ôter son pull, sa jupe et sa culotte. Elle était magnifique, en soutien-gorge et en bas'. Il se déshabilla à son tour, puis lui abaissa au maximum les bretelles de son soutien-gorge pour faire sortir ses seins. Elle se coucha sur le ventre et lui dit: "Caresse-moi le dos" elle ondulait tandis qu'il la massait habilement. Il s'attardait beaucoup sur les rondeurs de ses fesses. Puis, je vis son doigt s'immiscer dans son anus. Elle tendit sa tête en avant et cria: "Ah! C'est bon, vas-y, fouille-moi le cul, j'aime ça" "amène-moi dans votre chambre" lui répondit-il, je veux te baiser dans ton lit. 

    Ils avancèrent en titubant de désir vers notre chambre. Elle se rua sur le lit. "Et ton mari, où va-t-il?" Elle me regarda un instant, fixant avec ironie mon sexe tendu à l'extrême (je m'étais également déshabillé) et dit avec suavité: "Il peut se mettre au pied du lit. Comme ça il verra tout, et entendra tout". J'obéissais', comme hypnotisé. Il se coucha sur le dos et elle s'empala doucement sur lui, avec un râle de bonheur. Elle se trémoussait sur sa hampe, ses gros seins ballottant au rythme de leur copulation, en poussant des gémissements. Elle se conduisait comme une salope intégrale. Je me masturbais en les regardant, je savais que c'était pervers et ça m'excitait totalement. Il la sodomisa avec un doigt et commença un profond mouvement de va-et-vient dans son cul offert pendant qu'elle se tordait de plaisir. Quand il suça en même temps le bout de ses seins, elle jouit intensément, ses fesses recouvertes de chair de poule sous l'intensité de l'orgasme. Je n'ai pas résisté et j'ai éjaculé à longs traits dans ma main. Il la repoussa et la mit sur le ventre. Il n'avait pas encore joui et son sexe était vraiment gros. Pour la première fois il m'adressa la parole: "Regarde bien comme ta femme aime quand on l'encule" "Aujourd'hui tu es très gros lui dit-elle, il faudrait me préparer" "Tu veux que ton mari te prépare?"Demanda-t-il avec une certaine malice. "Oh oui, quelle bonne idée mon chéri!"

    Puis, se tournant vers moi elle me dit suavement: "viens-me lécher, comme ça il pourra mieux me sodomiser." Il se positionna face à elle et elle le prit dans sa bouche, me tournant le dos. Je m¹'approchai doucement et, tremblant de désir, mon érection étant totalement revenue, je commençais à lui lécher l'anus. Elle était trempée de son premier orgasme. Je commençais d'abord doucement, puis, me prenant au jeu j'enfonçai ma langue dans son oeillet en malaxant ses fesses que je n'avais pas touchées depuis des semaines. 

    Elle se tordait de plaisir, suçant avec frénésie le sexe de son amant. Lorsque je voulus lui toucher le clitoris, elle repoussa ma main et ce sont ses doigts à elle qui vinrent masser son bourgeon d'amour. De dépit je précisai ma caresse, enfonçant ma langue à fond pour la première fois dans ses fesses. 

    Elle ouvrit la bouche, lâchant la hampe de son amant et cria: "Ah! Je jouis! Je jouis!" Quand elle reprit son souffle il se dégagea et dit: "Ca suffit, je vais venir dans ton cul. Sophie me repoussa et me fit signe de m'écarter. Si je pensais participer, c'était raté. Je n'avais eu le plaisir de lui lécher le cul que pour agrémenter leurs jeux érotiques. Le plus dingue était à venir: elle me dit: "Ce qui serait excitant, ce serait que tu aies les mains liées, comme ça tu ne pourrais pas te toucher" Et moi, je me laissais faire. Elle me lia (avec douceur et sans me serrer, il est vrai) les mains derrière le dos avec un foulard et posa devant moi un oreiller ("si tu veux te frotter, mon chéri") 

    Puis elle s'allongea sur le ventre, lui présentant les fesses. Tétanisé, le sexe dur comme de la pierre je regardais son sexe s'approcher de l'anus de Sophie, qui écartait ses deux fesses pour se préparer à l'intromission. Elle haletait, comme une femelle en chaleur. Il posa son gland à l'entrée de son oeillet et poussa. Son gland fut comme aspiré et Sophie se mit à gémir d¹une manière dingue. Je ne l'avais jamais vue comme ça. A chaque coup de reins qu'il donnait, elle répondait en tendant ses fesses en arrière, jusqu'à ce qu'il soit enfoncé dans ses reins jusqu'à la garde. Parfois il ressortait presque entièrement, puis je voyais sa hampe disparaître dans la croupe de Sophie. Il s'arrêta et lui demanda: "ça t'excite de faire ça devant ton mari? " Elle tremblait, tentant de reprendre son souffle, puis elle dit: "oui, oui, ça m'excite que tu me sodomises devant lui, que tu me fasses jouir devant lui" Au fur et à mesure qu'elle parlait, il commença un profond mouvement de va-et-vient dans son cul, qu'il accéléra bientôt. Il prit ses fesses à pleines mains et les malaxa. "Je vais jouir, je vais gicler dans ton gros cul magnifique" cria-t-il, puis il poussa un râle formidable et éjacula dans son fondement pendant qu'elle criai: "Je te sens, c'est chaud dans mon cul, je jouis, aaaah.". J'ai arrosé, inondé de sperme le petit oreiller sans même me toucher.
    Pendant quelques temps nous avons repris notre vie bizarre. Elle sortait le soir de temps en temps et en revenant elle me branlait en me racontant. Puis un soir elle m'a pris dans ses bras et elle m'a dit "Je suis à toi, pour toujours." Nous avons fait l'amour comme des dingues, elle ne m'a rien refusé, j'ai goûté à chaque parcelle de son corps­ et nous vivons comme de jeunes amoureux. Nous n'avons plus parlé de son "coup de folie".


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique