Par
jgiorca le
31 Août 2006 à 12:43
Je les observe sur la terrasse de ce café depuis maintenant une demi-heure, caché là comme un gamin derrière un gros platane. Complètement anéanti par la confirmation de mes soupçons.
En revanche, eux ont l'air parfaitement heureux, ils rient, se tiennent la main, s'embrassent, comme un couple ordinaire. Par eux, j'entends ma femme et son amant, bien sûr.
Cela fait 3 jours que des soupçons me tenaillent, depuis la découverte par hasard sur son portable d'un texto laconique, "vendredi comme d'habitude à 12h30, Éric".
D'abord intrigué, je tapote sur le portable de ma femme pour connaître l'auteur de ce message, un certain Éric G..... Ne connaissant ni l'un ni l'autre un Éric dans
notre entourage, je me mets immédiatement à douterde la présence d'un tel message sur le portable de ma femme.
Sophie ne me ferait quand même pas un coup pareil, me dis-je.
Nous sommes mariés depuis 10 ans, c'est impossible.
Sophie rentre 2 heures plus tard, et là ma résolution de lui en parler s'effondre aussitôt comme un château de cartes. C'est qu'elle est belle, ma Sophie, avec son 1m75, ses longs cheveux noirs et sa plastique irréprochable.
Elle me sourit, puis fronce les sourcils.
-Tu as une drôle de mine, me lance-t-elle
-Ce n'est rien, juste un peu fatigué, lui répondis-je
La soirée se passe et, une fois au lit et sur mon insistance, nous faisons l'amour. Je la prends en missionnaire mais, de mon côté, le cœur n'y est pas, et du sien encore
moins. J'éjacule au bout de 5 minutes, puis je me retire.
Elle me sourit, m'embrasse et reprend son livre. Je me tourne de mon côté, dans ma tête il y a une tempête, avec une question qui m'obsède :
-Me trompe-t-elle ?
Je remarque que depuis six mois nos rapports se sont espacés et surtout terriblement banalisés. Le travail, la fatigue, la routine.
- Je dois savoir, me dis-je. Vendredi, je prendrai ma journéeet la suivrai pour connaître le fin mot de cette histoire.
Trop lâche pour lui demander ouvertement, c'est le seul moyen de savoir.
Les trois jours qui suivirent furent un calvaire ; prétextant une surcharge de travail au boulot et un mal de tête récurrent, je lui parle à peine. Arrive ce vendredi, son jour de congé. Je pars comme d'habitude après ma douche et mon petit déjeuner,
elle dort encore. Comme tous les vendredis, je l'embrasse en lui disant "À ce soir". Elle se réveille à peine, je sors de notre pavillon. Je prends ma voiture, fais le tour du quartier et range à nouveau mon véhicule
à un endroit discret me permettant d'observer les allées et venues près de notre maison. J'attends un temps infini puis, vers 11h30, la voiture de ma femme sort de notre garage et se dirige vers le centre ville. Je suis déjà un peu soulagé.
- Au moins, si elle me trompe, elle respecte notre intimité
en le faisant ailleurs que dans notre lit.
La suivre ne fut pas facile ; comme nous habitons une grosse ville de province, la circulation et les feux rouges faillirent être fatals à ma filature. Finalement, elle se gare à proximité de la place des Lys, et moi, ne trouvant pas de place, je panique à l'idée de la perdre, ce qui finit par arriver. C'est la météo qui me permet de la retrouver... et le destin aussi certainement. Il fait très chaud en ce vendredi, et les terrasses ne manquant pas dans notre ville, elle choisit de s'y installer en attendant son rendez-vous. Je me cache, je l'épie, pas vraiment fier de moi. Puis mon cœur se serre lorsqu'un grand brun à la peau mate s'assied près d'elle après lui avoir
délicatement posé ses lèvres sur les siennes. Il est 12h25, l'univers entier s'écroule autour de moi.
- Salope, salope, salope !
Vers 13h00, ils se décident enfin à bouger, il la raccompagne
jusqu'à sa voiture et ils se séparent. Certain que
mon épouse va rentrer à la maison, je décide
de la suivre et, dès son arrivée, de la questionner
sur son emploi du temps. Or, quelle n'est pas ma surprise de la
voir s'orienter vers le quartier des affaires en périphérie
et se garer sur le parking vide d'un hôtel bon marché.
Je décide de faire un détour pour ne pas me faire
remarquer, cela me prend 5 minutes, puis je trouve à me
garer un peu plus loin et me rends discrètement vers le
parking de l'hôtel. À côté de la voiture
de ma femme, une autre voiture, vide elle aussi. Résolu
à découvrir le pire, je me dirige vers la réception.
Je prends une chambre, et j'apprends par le gérant qu'à
part le couple du 1er étage, je ne serai pas dérangé.
Je prends ma clef, monte au premier et ne tarde pas à repérer
la provenance de voix et d' éclats de rire. Porte 101.
Le cœur battant la chamade, je m'assieds en face, puis attends.
Les gémissements commencent à peine quelques minutes
plus tard. Sophie exprime son plaisirs par de petits halètements
continus, ponctués par des "oh oui" et des "plus
fort". Puis ses gémissements deviennent vite des cris.
Hypnotisé, l'oreille plaquée contre la porte, les
jambes flageolantes, je remarque soudain que ma main droite s'active
sur mon sexe tendu à l'extrême. Ma main suit frénétiquement
la cadence des cris de jouissance de Sophie, et, misérable,
le souffle court, je me lâche sur la moquette de ce petit
hôtel. L'inconnu continue à emmener ma femme vers
des sommets. Jamais elle n'a manifesté avec moi autant
de plaisir. L'envie de défoncer la porte me prend soudain,
puis je me ravise. Ecoeuré, je décide de retourner
vers mon véhicule et d'attendre. D'attendre que l'inconnu sorte et de lui dire 2 mots.
Ils sortent 2 heures plus tard, s'embrassent et se quittent. Chacun
rentre visiblement de son côté. À distance raisonnable, j'entreprends alors de suivre la voiture du mec.
Il s'arrête devant une résidence chic de la banlieue ; à peine a-t-il eu le temps de serrer son frein à main, que je sors de ma voiture et me précipite vers lui.
Je tambourine sur les vitres.
- Sors de là, enculé !
Il sort, le sourire aux lèvres.
- Tu es le mari de Sophie, pas vrai ? Hé, minable, tu sais
que je viens de la mettre y' a pas plus tard que 10 minutes ?
Ma vue se brouille, je me jette sur lui. Il n'a aucun mal à m'envoyer valser.
- Du calme petit, pas de scandale ici !
- Je te tuerai, lui dis-je, le cul par terre.
- Mais oui, mais oui... rétorque-t-il, sûr de lui.
Faut que tu saches que ta femme est une chiennasse, tu ne la fais plus jouir, je lui rends juste service.
Je suis humilié, il n'est même pas beau, sa peau est
granuleuse et son nez de travers. Il vient de baiser ma femme
et de me ridiculiser en me repoussant comme un gamin. Il continue
néanmoins son speech.
- Tu ne peux pas satisfaire une femme comme elle, c'est pas ta faute,
c'est comme ça. On s'est rencontrés sur un chat
de rencontre, elle écrivait qu'elle cherchait un mâle
pour la défoncer.
Je n'en crois pas mes oreilles, ma Sophie, si douce, si réservée,
si pudique même dans nos rapports. Comment avait-elle pu
en arriver là ?
- Tu la forces à le faire ! lui dis-je sans trop de conviction.
- Écoute, petit, on se revoit la semaine prochaine, ne lui dis rien, pour une fois je l'emmènerai chez moi et je nous filmerai, tu pourras constater par toi-même que ta femme est une belle pute. Je t'enverrai la K7 par colissimo, tu la recevras
lundi. J' te rends service petit, maintenant dégage.
Ne sachant que dire et que faire, je reste un moment sur le sol puis,
baissant les yeux, je reprends ma voiture et décide de rentrer à la maison. Sophie est rentrée, elle est encore sous sa douche. Ses vêtements sont étalés
sur notre lit. Je vois son string et, dans un état second, le prends pour l'examiner. Des tâches de foutre sont visibles. J'ai de nouveau une érection.
- C'est toi, Pierre ?
Je lance rapidement le bout de tissu et réponds :
- Oui, c'est moi, je suis rentré plus tôt, toujours
mes maux de crâne.
Elle sort de la douche, je la dévore des yeux. Elle est superbe
avec ses seins fermes, ses fesses rebondies et son petit minou
parfaitement taillé en ticket de métro. N'y tenant
plus, je l'enlace.
-Pierre, je croyais que tu avais mal à la tête ?
- Oui, mais tu me fais trop envie.
L'idée de passer après son amant du jour m'excite au plus haut
point. Elle, visiblement pas rassasiée, se laisse faire.
Je l'allonge sur le lit et entreprends de la lécher. J'écarte ses lèvres, elles sont terriblement gonflées et sentent le savon, le propre. Je me surprends à le regretter,
j'aurais préféré sentir le mélange des jus d'amour de l'autre et de ma femme. Je lui broute la fente avec vigueur, je lui glisse deux puis trois doigts, et j'y mets
une rage qui la surprend. Elle gémit doucement puis, se positionnant à quatre pattes, me dit :
- Prends moi !
Son ton autoritaire me plaît, sa fente scintille sous l'effet
de sa mouille. Je m'enfonce en elle sans ménagement, je
la pistonne, y mettant tout ce que j'ai de meilleur, mais je constate
amèrement qu'elle halète à peine. Au bout de quelques instants je me vide en elle.
Epuisé, je m'affale sur le côté, elle me sourit, m'embrasse et s'en retourne
vers la douche. Après sa folle journée, ma performance ne l'a visiblement pas enthousiasmée. Mais que faire ? Accepter la proposition de ce type ? Je m'endors, rêvant de ma femme dans des situations lubriques.
Une semaine infernale passe ; volontairement, je ne la touche pas.
Vendredi passe. Je rentre le soir et remarque que ma femme a les
yeux cernés.
-Elle y est allée, me dis-je.
Je lui refais l'amour le soir même, toujours excité
par le fait qu'un inconnu vient de la faire jouir, de la souiller.
Lundi arrive, ma femme est au travail, j'ai pris encore une journée de vacances. J'attends fébrilement le colis. Il arrive finalement vers 11h00. Il est là, sur la table. Je n'ose l'ouvrir. Puis je me décide. SOPHIE est marqué au feutre rouge sur la tranche. J'enclenche le magnétoscope, lecture, l'inconnu apparaît. "Dans 10 minutes ta femme arrive, tu vas bientôt comprendre, et au fait, je m'appelle
Éric". L'image se coupe un instant puis réapparaît. Cette fois ma femme est là. Elle embrasse ce salaud à pleine bouche. Celui-ci la déshabille. Sa petite robe noire
tombe, révélant un string noir que je ne connais pas. Le baiser et les caresses durent 5 minutes, puis Eric lance
:
- Maintenant, tu vas me sucer.
Hypnotisé, je regarde ma douce Sophie baisser le caleçon puis prendre
en bouche le sexe semi-rigide d'Éric. Je constate qu'il
est bien plus gros que le mien. Très vite le méat
d'Éric prend des proportions impressionnantes. Sophie s'active
goulûment, suçant la tige et les couilles. Puis,
avec stupeur, j'observe sa langue glisser lentement vers l'intimité
de son amant. Elle lui lèche maintenant l'anus tout en
continuant de le branler d'une main. Éric grogne comme
une bête. Finalement il annonce "je viens". Sophie
remonte vers la tige et la pompe ardemment. Il jouit, lâchant
sa semence sur le visage et dans la bouche de Sophie. Elle continue
sa fellation un instant puis se pourlèche les lèvres,
ramenant avec ses doigts le sperme étalé vers sa
bouche. Éric a l'air satisfait. Il demande alors à
ma femme " de se mettre en position ". Visiblement elle
sait ce que cela veut dire, puisque je la vois se placer aussitôt
mains et genoux sur le lit, les fesses bien cambrées, offrant sa magnifique croupe à Éric et à l'objectif de la caméra. Il lui introduit alors un doigt puis bientôt
deux dans le vagin. Il imprime sans ménagement un mouvement
de va-et-vient. Sophie ondule du bassin. Son souffle s'alourdit,
et je l'entends murmurer :
-Oui, c'est bon...continue !
Après plusieurs minutes de ce traitement, Éric retire ses doigts.
Il renifle, puis donne son majeur à sucer à Sophie.
Il lui dit alors :
- Et celui-là, tu le veux où, maintenant ?
- Dans le cul, fourre-le moi dans le cul, lui répond-elle.
Je suis interloqué, mes tentatives d'approche de son petit
anneau s'étaient toujours soldées par des refus fermes de sa part. Et voilà qu'elle demande à ce sagouin de lui perforer le cul avec ses doigts. Dans un état
second, je regarde Éric lui enfoncer deux doigts dans le rectum. Elle se tortille comme jamais. Elle pousse maintenant des petits cris. Éric en rajoute, lui dit que c'est une putain, qu'il va la défoncer. Ma femme lui répond
que oui, qu'elle est une grosse pute qui aime se faire déchirer le cul. Il la doigte de plus en plus fort, elle hurle des insanités, puis vient le moment où elle le supplie de lui enfoncer sa grosse queue dans le cul. Je me branle alors comme un fou.
La vision de la croupe de Sophie offerte à ce salaud me rend dingue. Je me dégoûte, mais l'excitation l'emporte malgré tout. Le regard fixé sur l'écran, je vois alors Éric se tourner face à la caméra et me faire un clin d'œil, puis, d'un coup, enfoncer son chibre jusqu'à la garde dans le cul de Sophie. Il la pistonne puissamment. Elle hurle maintenant, je devine qu'elle jouit au moins deux fois. Je me branle de plus en plus fort, sentant venir la jouissance. Les mouvements d'Éric deviennent alors plus
saccadés, puis il se répand sur les fesses de ma femme. Il s'écroule alors sur elle, restant un instant
immobile. Mes mains sont poisseuses, j'ai répandu ma semence un peu partout. L'oeil toujours fixé sur l'écran, je vois Éric se lever, s'approcher de la caméra
puis chuchoter doucement avant de l'éteindre :
- C'est pas fini, mais tu t'en contenteras. Tu vois que c'est une
belle chiennasse, ta femme !
L'écran est noir depuis une heure, je suis KO. Comment en est-elle arrivée
là ? Je sors alors la K7 du magnétoscope et la pose
en évidence sur la table du salon. J'attends. Sophie rentre
vers 17h30, j'entends son bonjour depuis le vestibule d'entrée. Elle arrive dans le salon. Elle me sourit. Puis son regard se porte sur la K7 où son nom apparaît clairement. Je la sens se tendre.
-Je présume que tu sais ce que c'est ?
Auteur: Seulecos
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