• Avoir une petite bite prédestine effectivement les sous males à être cocus.

    La nature ou la génétique a doté les hommes comme moi de sexes bien trop petits pour combler une femme. Ma première épouse, lassée par ma toute petite queue (9cm en érection) m'a souvent cocufié, puis a fini par me plaquer, non sans m'avoir auparavant bien convaincu de mon infériorité.

    C'est donc conscient de cela que j'ai connu ma compagne actuelle. J'avais 40 ans, elle 22, mignonne, vierge et très innocente, elle n'avait aucune idée de la taille normale d'un sexe. J'aurai pu ne rien dire, mais ma première épouse m'avait bien conditionné. J'ai donc très rapidement avoué à Cécile que le peu de sensations qu'elle éprouvait lors de mes saillies était du à la petitesse de mon sexe.

    Très amoureuse de moi, elle prit cela avec amusement, disant ne pas y accorder d'importance. Elle disait il est vrai, regretter de ne pas me sentir en elle et trouvait mes prestations bien trop brèves (je suis éjaculateur précoce), mais se contentait de jouir sous ma langue.

    Un soir cependant, alors que j'étais déjà au lit, elle arriva munie d'un mètre de couturière et voulut mesurer mon sexe au repos et en érection. Je ressentis une humiliation et une honte intenses qui m'excitèrent prodigieusement. Je pus voir sa mine dépitée lors des mesures (4x2 au repos, 9x3 en érection). Elle avait longuement discuté avec son amie Elisabeth ce jour là et celle ci lui avait dit le plus grand bien des sexes de grande taille. Ma compagne, ignorant mes dimensions, avait donc voulu vérifier si ma bite était si petite que celà.

    Le moins qu'on puisse dire, est qu'elle fut fixée. Je fus tellement excité que je me ruais sur elle et éjaculais en la pénétrant. Par la suite, elle refusa de plus en plus souvent de faire l'amour avec moi, les rares saillies se terminant à chaque fois en quelques secondes.

    Puis vint la période ou je n'eus plus le plaisir de la prendre. Pour celà elle utilisa une technique imparable qu'elle utilise toujours. Je dois la lécher jusqu'à l'orgasme, puis ensuite elle me dit que je pourrai venir en elle si je suis capable de retenir ma semence un certain temps alors qu'elle me masturbe. Au début je devais me retenir 30 secondes, elle arrivait sans peine à me faire gicler avant le délai fatidique en se moquant de mon petit sexe. A ma demande, elle a accepté de diminuer le délai. Ce furent 20 secondes, puis 10 et actuellement 5 secondes. Elle est devenue experte en masturbation et me conditionne tellement bien qu'il n'est pas rare que j'éjacule au moment ou elle saisit mon sexe pour le branler. Celà fait maintenant plus de 4 ans que je ne l'ai pas pénétrée.


    Nous sommes toujours très amoureux l'un de l'autre, elle n'envisage aucunement de me quitter, cependant elle désirait avoir du plaisir autrement qu'avec ma langue ou mes doigts. Celà a été long à venir, mais elle a fini par me cocufier. Je l'ai longtemps poussée à essayer un vrai male, j'acceptais qu'elle me trompe, mais j'y mettais une condition, elle devait me tenir au courant. Il y a un an environ, elle m'a avoué avoir franchi le pas. Ce jour là j'étais fou d'excitation, je lui ai demandé de me raconter en détails. J'ai léché longuement sa chatte qu'avait exploré le sexe d'un autre homme alors qu'elle me décrivait mon premier cocufiage.


    Abdel, un collègue de travail a eu l'insigne honneur de faire découvrir à ma compagne les joies d'une bonne pénétration. Aux dires de ma compagne, le sexe de son amant n'est pas extravagant, mais ses 18cm de long pour 5cm de diamètre sont amplements suffisants pour l'emmener au 7ème ciel ( c'est quand même le double de moi) il est très endurant et est capable de lui fournir plusieurs orgasmes avant de se vider.

    Au début il mettait évidemment un préservatif, mais face à mon insistance et la confiance venant, ma compagne accepte maintenant qu'il se vide en elle. Un bon cocufiage nécessite l'enfoutrage et aux dires de Cécile, celui ci est particulièrement copieux. Nous n'en sommes pas encore au stade ou je dois, comme tout bon cocu soumis, lécher sa chatte souillée, Cécile se lave toujours avant de quitter Abdel, mais dès qu'elle arrive, je me rue sur elle pour la lécher et je suis prodigieusement excité à l'idée que le male a envoyé de longues giclées de sperme au plus profond de son intimité.


    Nous sommes parfaitement épanouis,Cécile a toujours autant d'amour pour moi, elle voit Abdel une ou deux fois par semaine et ses besoins sexuels sont comblés. Ils n'envisagent pas pour le moment que je puisse assister aux saillies, je me branle beaucoup, Cécile ne rechigne pas à me le faire, mais il est hors de question que je la prenne et celà comble mon désir de soumission et d'humiliation.

    Comme elle dit e riant, " il est tout à fait normal que je n'aie plus droit aux saillies, pour bien faire les sous males comme moi ne devraient jamais avoir le droit de posséder une femme, nous devrions rester puceaux, notre petit engin ne servant qu'à uriner"


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