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Par jgiorca le 7 Mars 2006 à 21:54
Je vous écris ici suite à la découverte de votre site qui correspond en de nombreux points à la situation que je connais depuis maintenant plus d'un an et demi avec ma femme. J'ai toujours eu des attirances pour la relation domination-soumission, pour diverses pratiques légèrement en décalage avec ce qui est communément admis par la majorité des gens, mais à chaque fois c'était moi qui avait le contrôle de la situation, qui décidais, qui commençais ou mettais un terme aux débats. Avec ma femme, il en a donc été naturellement ainsi au départ. Certaines choses avaient toutefois évolué depuis ma vie avec elle, puisque elle aimait passer des jeux de soumise au rôle de maîtresse plus directive. Ses tendances de domination-soumission, mélangées aux miennes, nous faisaient naviguer donc dans un certain esprit versatile, nous échangions les rôles, même si dans la plupart des cas, c'est encore moi qui décidais de tout. Quant au fait de me tromper, de vouloir l'être, il n'en était aucunement question pour moi.
Je la provoquais quelques fois, lui disant que nous pouvions aller plus loin, qu'elle pourrait être plus curieuse dans les domaines sexuels qui m'attiraient, qu'elle pourrait aller sur le net pour voir ce qui se faisait, ce qui m'excitait, pour apprendre de certains sites et de certaines pratiques. Aussi, je fus agréablement surpris au départ lorsqu'elle se mit à surfer un peu plus qu'à son habitude, surtout que je pouvais de temps à autre constater le bon choix des sites qu'elle fréquentait, et qui ne la laissaient pas indifférente. Mais son comportement a changé petit à petit, sans vraiment que je m'en rende compte, disons simplement par toutes petites touches. Je mettais tout ceci sur le compte des soucis de travail, sur quelques énervements, etc... au bout d'un certain moment pourtant, plusieurs éléments venaient me rappeler qu'elle prenait de plus en plus de poids, d'importance, d'initiative dans nos relations sexuelles et dans la pratique consistant à me soumettre à elle. Un soir je compris un peu mieux l'évolution de la situation, suite à son aveu : elle discutait depuis un mois avec une maîtresse sur Internet, qui avait pour spécialité de mater les maris, de les retourner de macho en petite soubrette aimante à domicile. Je ne voyais pas où tout cela pouvait mener et c'est sans doute la raison pour laquelle je fus assez excité de cette réalité. Devant mes bonnes prédispositions, elle me demanda alors de mettre un contrat au point entre nous, pour continuer cette évolution, pour aller plus loin, pour accentuer les plaisirs et les fantasmes. Je n'y étais pas opposé ne sachant pas les aboutissants et les arrières pensées de cette proposition. Je ne voyais qu'un jeu.
Sur idée de sa correspondante, elle avait élaboré un programme et un contrat, qui stipulait tout ce dont je devais être au courant pour la prochaine année à venir de nos relations sexuelles. Je perdais toute initiative, je devenais soumis, je devais porter en permanence une sorte de ceinture de chasteté masculine qui emprisonnait mon sexe, c'est elle qui décidait de nos relations, de ses jouissances, des miennes. Il y avait des gages, des punitions pour les manquements, et des récompenses etc. sur le coup, je trouvais cela un peu plus compliqué, organisé, et contraignant que ce que j'avais pu imaginer, mais devant sa détermination, devant ses avances, devant ses menaces sous entendues de l'équilibre de notre relation j'ai accepté.
Très rapidement, j'ai compris que la dépendance sexuelle devenait la base de cette éducation. La ceinture que je portais (et que je porte toujours) correspond à une sorte de cage, avec mécanisme de fermeture et d'enlacement qui m'enserre le sexe, les reins, et qui empêche toute érection normale, et ne permet pas de pouvoir jouir. Elle seule possède la clé, et non seulement il est beaucoup plus difficile qu'il n'y paraît de s'en débarrasser, mais en plus c'est on ne peut plus douloureux vue le mécanisme d'enlacement spécialement conçu qui déchire la chair si on force la serrure ou la structure métallique (il faut trois mains pour pouvoir tout enlever à un moment donner sans rien enfoncer dans le gland, et si j'assiste ma femme à chaque fois ma femme lorsqu'elle le fait je me vois mal demander de l'aide à quelqu'un). Le premier mois, je n'eu pas le droit de jouir. Pour une entrée en matière cela était difficile mais aussi très excitant. Mais insidieusement c'est tout un contrôle qui s'installait que je n'arrivais pas à saisir, que je ne voulais peut être pas, dans le fond, au départ. Lorsque c'est l'autre qui décide de la jouissance, on s'attache à la satisfaire, on essaye de la contenter, on accepte plus volontiers ses réprimandes ou au contraire ses douceurs et fantasmes. Surtout que j'ai un appétit sexuel qui me fait me transformer en quelqu'un d'assez docile pour parvenir à jouir, ce que je ne savais pas. Aussi, quand elle m'a expliqué au premier jour du deuxième mois que l'on allait passer à l'étape suivante, je n'ai pas forcément pris mes gardes là non plus, pensant qu'elle se lasserait, qu'elle me ferait plus souvent jouir. Et de fait, alors que je portais tout le temps et continuellement la ceinture, elle m'ouvrirait parois cette cage pour me permettre de jouir. A condition que je me masturbe dans un temps imparti bien précis. Il fallait que je parvienne à chaque séance de liberté, à jouir devant elle en 3 minutes, montre en main. Si je n'y parvenais pas, elle refermerait la cage jusqu'à la prochaine fois. Les premiers temps, ce ne fut pas évident, et la première semaine je ne parvins pas à jouir. La deuxième semaine, n'y tenant plus, je me répandais sur le sol. En effet, à chaque fois, je devais être à genoux, elle assise devant moi en train de se masturber, de me raconter des choses très sexuelles, me permettant même de la toucher. Deux mois plus tard, je parvenais à jouir à chaque fois en moins de trois minutes.
J'avais développé mon sens tactile, mon sens visuel pour pouvoir être très rapidement excité et jouir à chaque séance, ce qui me satisfaisait pleinement. C'est alors qu'elle enchaîna l'enseignement, en baissant le nombre de minutes dont je disposais. Je vous épargne le comptage des mois, et des minutes, mais au bout de 2 autres mois j'étais passé de 3 minutes, 2 minutes 30 secondes puis 2 minutes. Ce qui n'est pas si évident vous pouvez me croire. Toujours les séances se passaient de la même façon, elles étaient espacées normalement de quatre jours, parois une semaine. Ensuite, j'ai eu le droit à une fois tous les deux jours, et bien entendu, c'était plus difficile, parce que le manque favorisait auparavant l'excitation et la jouissance. De jouir à chaque fois, en 2 minutes prit deux mois. Le mois suivant, je devais toujours jouir en 1 minute 30 secondes, mais surtout sans avoir à la toucher, à la regarder, à pouvoir écouter ses fantasmes, me raconter des histoires. J'échouais souvent, elle me renfermait souvent sans jouir. Je développais le plus possible des choses qui me permettaient d'être excité, qui me permettait de jouir rapidement, j'accélérais mes mouvements de mains, je m'excitais de tout ce que je sentais ou voyais d'elle pendant les séances. Cela prit un peu plus d'un mois. Tombé à une minutes, puis réussissant ce challenge, elle me déclara quand je pus le faire non pas une fois mais à chaque fois, que je pouvais la pénétrer. Ce grand jour vint, elle se déshabilla, me masturba, me demanda de la pénétrer. Ce que je fis. Au bout de 30 secondes seulement, à mon étonnement le plus complet, alors que cela ne m'était jamais arrivé, j'ai jouis. Le sourire aux lèvres, elle me déclara que ce n'était pas grave, que l'on remettrait cela dans deux semaines. Je m'appliquais à la satisfaire, à jouir rapidement tout le restant des jours qui me séparaient de cette nouvelle pénétration. Je tins seulement une dizaine de coups en elle. Nouveau sourire. Elle me dit qu'on le ferait le lendemain. Le lendemain, elle me masturba pour me la rendre très dure, et au moment où elle me parla de façon très sexuelle et crue, au dernier moment avant de la pénétrer, je me déversais sur elle, sur sa peau, avant de parvenir à entrer en elle. Elle éclata de rire, à gorge déployée. De m'être ainsi conditionné à jouir rapidement, sans rien d'excitant autre que mes rapides images pour faire monter le plaisir, j'avais tout fait pour être relaché le plus possible, et ne mettre aucune barrière à la montée de la jouissance. Je n'arrivais (n'arrive) plus à me contrôler.
Je n'étais pas au bout de mes surprises, puisque encore sous le choc de cette révélation, elle se leva et téléphona à son amie d'internet. Je ne pensais plus qu'elles se parlaient puisque ma femme ne m'en avait plus jamais rien dit. Alors de savoir qu'elles se téléphonaient maintenant, et certainement depuis longtemps vu leur manière de se parler, j'en restais abasourdi.
Elle parlait de moi en des termes très injurieux, comme si je n'étais pas là, comme si tout allait de soi.
- Ca y est, il est devenu précoce.
- Ce n'est plus un petit mâle, c'est une petite merde...
La conversation qui s'en suivit, je ne la retins même pas par cœur. Seulement des bribes me sont restées. A la fin de la conversation, elle se mit devant moi, j'avais eu pour ordre de me mettre à genoux, elle me fit lui lacer ses chaussures. Pendant ce temps elle me racontait ce qu'allait être la prochaine étape.
- Tu te rends compte que tu ne peux plus me satisfaire sexuellement désormais. En même temps, il faut bien que je continue ton éducation de bon petit mari, et que pour autant je jouisse moi aussi. Bon il est vrai que durant tout ce temps, tu as du te douter que parfois je devais sauter le pas, parce que tes séances de masturbations ne remplaçaient pas une bonne queue... Ne fais pas cette tête, jusque là cela n'est pas arrivé souvent. Mais il va falloir t'y habituer. Désormais, je jouis, et tu jouis. Donnant donnant. Et comme toi tu ne peux plus, il va falloir que tu apprennes à vouloir et désirer qu'un autre me prenne et me fasse jouir pour avoir le droit toi aussi ensuite d'en profiter.
Ensuite, elle est partie le soir, ne rentrant que le lendemain matin.
Depuis elle sort très souvent, j'ai même rencontré l'autre maîtresse qui est venue constater mon état de précoce, et pour me montrer qu'elle était responsable en partie de tout ceci.
Quand me femme rentre de ses sorties, elle me fait mettre nu, à genoux, s'assoit face à moi ou alors n'importe ou dans la pièce, et me raconte ce qu'il s'est passé. J'ai toujours droit à quelques minutes d'histoire, puis le droit de me masturber pendant moins de 2 minutes. Je n'ai plus aucune autre excitation que celle des histoires réelles que ma femme me raconte. Elle me trompe ouvertement, et c'est à cela que je dois de pouvoir jouir ! Parfois, elle se met jambes écartées, face à moi, me fais sentir son odeur et celle des autres males sur elle et je dois me masturber. Son amie lui a dit que du fait que je ne pouvais plus l'honorer et qu'il n'y avait pas de raison qu'elle s'abaisse à se nettoyer elle même le sexe, elle pourrait tirer profit de la situation en me faisant lécher sa chatte à ses retours et à la laver. Puisqu'il ne peut plus y avoir de contamination de mst pour les autres du fait de ma fidélité plus que concrète qui m'empêche de contaminer ma femme ou ses amants qui sont des connaissances sûres et certaines de cette même amie, et puisque ma femme a toujours aimé sentir du sperme chaud la remplir ce que je ne peux plus lui apporter, elles m'ont dit qu'il n'y avait pas de raison que ma femme ne se fasse pas prendre queue nue. Et comme elle n'a pas à s'avilir à nettoyer du jus de mâle, elle me fais lécher et avaler le sperme encore chaud en elle dès son retour, faisant coïncider ce moment avec celui de ma masturbation pour que je jouisse tout en buvant le sperme de ses amants.
Je dois dire que maintenant j'attends avec impatience qu'elle revienne souillée par un autre, c'est devenu pour moi un vrai besoin d'avaler leurs sperme, humilié mais heureux de ça, je ne jouie plus que dans ces moments là, et toujours en moins de 2 minutes.
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