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Par jgiorca le 8 Juin 2017 à 15:40
Devenir le mari de Nadia, c'est devenir soumis et cocu
Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de "Being Nadia's Husband", de "The English Cuckold" paru dans "Miscellaneous Three". Et aussi dans The Walkyrie.com bien sur ! Un texte magnifique a peine amélioré, qui illustre bien la soumission initiale d’un jeune mari soumis "pour la vie".
J'étais bien naïf quand j'étais jeune. Alors ma future femme me refusait tout rapport sexuel avant le mariage, je supposais que c'était normal, et que c'était là une attitude tout à fait respectable de sa part, la réaction naturelle d'une gentille fille bien élevée et fidèle à son éducation. Ce ne fut que plus tard je découvris que Nadia n'était pas si "respectable" que ça ! Mais pour le moment j'étais aveuglé par les courbes douces de ses larges seins, fermement tenus par de fins soutiens-gorge, ou par les merveilleuses rondeurs de ses fesses attirantes.
Nadia adorait que je joue avec ses seins, et m'y encourageait même.
Elle riait devant mes nerveuses et tremblantes tentatives de toucher ses tétons, dignes d'un adolescent, mais elle permettait presque toujours à mes mains baladeuses de trouver leur chemin sous son pull de laine. Comme c'était agréable de sentir le poids de ses globes dans la paume de mes mains ! Toucher et caresser le nylon tendu de son soutien-gorge me mettait l'estomac sans dessus dessous ! Même maintenant cela me fait de l'effet de repenser à ces moments où mes doigts en mouvement approchaient petit à petit de ses petits tétons compressés sous le tissu soyeux. Nadia appréciait lorsque je les malaxais, les faisant rouler entre mes doigts.
Bien sûr, tout ceci me donnait une érection terrible, mais je n'étais jamais autorisé à me soulager devant elle, de quelque manière que ce soit : alors évidemment, cela ne me venait même pas à l'esprit que je puisse la baiser...
"Attends que nous soyons mariés, chéri, et tu verras je te rendrai heureux", me répétait-elle régulièrement. Elle me laissait faire ainsi des heures, lui caressant ses superbes seins, mes testicules comprimés par le désir, et mes débuts d'éjaculation tâchant régulièrement mes sous-vêtements : cependant je n'osais jamais prendre le risque de déplaire à cette déesse en tentant de lui suggérer d'aller plus loin.
Chaque nuit dans mon lit je me masturbais comme un fou, en pensant à elle. Le simple fait de m'imaginer être autorisé à sucer ses énormes tétons était suffisant pour me faire éjaculer à grands coups de sperme inutile dans ma main.
Enfin vint le jour où Nadia consentit à se marier avec moi, j’étais il faut dire l’héritier d’une bonne famille bourgeoise très fortunée. Je marchais vers l'autel avec un pénis dur comme du bois dans mon pantalon, pensant au moment où je me retrouverai enfin au lit avec Nadia pendant notre nuit de noces : heureusement j'arrivais à arranger mon allure pour que mon érection ne se remarque pas trop. De toute manière, tout le monde avait les yeux fixés sur Nadia, resplendissante dans sa tenue blanche, plutôt que sur moi. La première nuit de notre lune de miel ne se passa pas trop mal : bien sûr je jouis trop vite, en fait avant même que je réussisse à déshabiller entièrement Nadia. Hé oui, le seul fait de sucer ses merveilleux seins m'avait amené à l'éjaculation ! Heureusement Nadia fut compréhensive, et en peu de temps elle fit en sorte que mon érection revienne : bientôt notre mariage fut consommé avec succès.
J’enfonçais dans sa chatte poilue et pulpeuse mon petit membre turgescent et fébrile qui ne tarda pas, en pas plus de trois minute et quelques aller retour rageur de se répandre cette fois dans ce temple sacré, chaud, humide et bien large, qui à ma réflexion était loin d’être vierge comme moi.
Ce qui, même à l'époque, me sembla plutôt incroyable, était que pendant tout le reste de notre lune de miel je ne fut pas autorisé à rééditer les ébats de cette première nuit. Nadia me maintenait éloigné avec ses bras, déclarant qu'il n'était pas normal qu'un mari veuille importuner sa femme trop souvent, en tout cas pas s'il la respectait réellement. Du respect, j'en avais certainement pour elle, et elle le savais bien. Avoir eu ma première nuit d'amour avec elle m'avait rendu complètement dingue d'elle. Elle était devenue ma déesse, j'étais tombé fou amoureux d'elle. J'aurais fait n'importe quoi pour elle. Bien sûr, elle était toujours douce et gentille avec moi, et à chaque fois que l'on se retrouvait seul, elle baissait la fermeture éclair de mon pantalon, glissant sa main à l'intérieur pour me caresser et me mettait ainsi dans un état d'excitation intense... Mais pour me laisser tomber ensuite, frustré, en allant chercher un verre ou prendre un bain dans la piscine.
Je la suivais partout comme un chien obéissant, à l'écoute de chacun de ses désirs, hypnotisé pas les courbes sveltes de ses hanches et les doux globes de ses irrésistibles seins. Avant longtemps je me retrouvai à me masturber moi-même pour soulager cette tension sexuelle. Je ne pouvais y croire : c'était mon voyage de noces avec la plus magnifique des femmes, et pourtant je devais me masturber comme un adolescent pour m'empêcher de devenir fou de désir.
Incapable de posséder Nadia, j'en étais réduit à lui dérober ses petites culottes sexy en soie. Je gâchai ainsi des quantités incalculables de sperme dans ses culottes satinées, m'imaginant poussant mon sexe en elle, comme la première et unique fois où elle me l'avait permis. Ensuite je cachais les slips tâchés dans la pile de linge sale, espérant que personne n'irait y regarder de trop près !
Quand Nadia m'expliqua un soir qu'elle voulait, après le dîner, danser avec moi mais également avec d'autres hommes, je le pris très calmement. J'avais confiance en elle, et j'étais décidé à afficher une attitude ouverte et libérale face à son désir. Ainsi elle se mit à danser à côté d'autres touristes, mais sans aucun contact physique avec ses autres partenaires. Mais alors que les deux semaines de notre lune de miel s'écoulaient, et qu'il était devenu évident que je n'insisterai plus, ni sur mes "droits" conjugaux, ni sur son envie de danser avec d'autres hommes, Nadia commença à rester sur la piste de danse même durant les séries de slows. Cela me bouleversa complètement.
J'étais obligé de regarder ma nouvelle femme se frotter à d'autres hommes souvent plus beaux que moi, et qui de plus semblaient être plus confiants et expérimentés. Je m'assis à une table, surveillant le verre de Nadia, pendant qu'elle se blottissait contre d'autres types. Je regardais avec horreur les mains de ces hommes qui se posaient sur son dos pour attirer son corps doux contre eux.
C'était maintenant l'avant-dernière nuit avant la fin de notre séjour. Comme chaque soir je m'assis à ma table pendant que ma femme dansait et remarquai alors qu'un nouvel étranger, de type latin (et qui, je dois le reconnaître, était vraiment beau, grand et sombre), était avec elle et lui caressait son dos dénudé, pressant ses divins seins contre sa large poitrine. Puis je m'aperçus qu'il s'arrangeait pour entraîner petit à petit Nadia vers la partie la moins éclairée de la boîte de nuit. Je plissai mes yeux pour mieux suivre leurs mouvements. J'avais du mal à les distinguer à travers la foule des danseurs, mais je crus les apercevoir avec horreur s'embrasser sur la bouche.
J'étais au désespoir. Je n'étais pas sûr de ce que j'avais vu, et j'essayai de me persuader que j'avais tout imaginé, ou bien que Nadia était complètement saoûle. Je pensai un instant me battre avec cet homme... Mais décidai que ce n'était pas possible. Il avait l'air grand et musclé, et si je tentais de m'interposer entre lui et "sa conquête", il aurait peut-être été capable de sortir un couteau ou pire encore. J'étais terrifié par la tournure que prenait notre mariage, et effrayé par une éventuelle confrontation.
Enfin je décidai de m'avancer seul vers la piste de danse, et me mis à me trémousser de façon pathétique au rythme de la musique, en essayant de me diriger dans leur direction, avec des gestes nerveux et saccadés. Mes pires craintes furent confirmées. J'étais tout proche d'eux maintenant, et même dans la demie-obscurité je pouvais voir la main droite de l'homme se faufiler à l'intérieur de la mini-jupe de Nadia, caressant les merveilleux globes de ses fesses. En frottant le derrière de Nadia il attira ses hanches contre les siennes, et avec une horreur croissante je vis soudain la bosse de ce qui ne pouvait être qu'un énorme phallus sous son pantalon.
Bientôt l'entrejambes de Nadia se frotta contre son pénis maintenant clairement excité, alors qu'ils ondulaient au rythme de la musique. Elle devait bien être capable de sentir le sexe de cet homme se frotter contre elle ! Alors que diable était-elle en train de faire ? Pourquoi ne s'arrêtait-elle pas là ?
Comment devais-je réagir ?
J'étais comme pétrifié par l'indécision. Puis le visage de l'homme puissant s'approcha de celui de Nadia à nouveau, et il commencèrent à échanger long et profond baiser. Oh mon dieu, pensai-je, il lui met la langue dans sa bouche ! Si c'est ce qu'il faisait, il était évident que Nadia ne lui cherchait pas lui résister. Ce baiser passionné dura encore et encore. Je pouvais clairement maintenant voir l'homme passant sa main à l'intérieur de la culotte de Nadia, et avec une tension grandissante je réalisai qu'il poussait ses doigts entre ses jambes de l'arrière vers l'avant, pressant la motte de ma femme contre son sexe congestionné, tout en gardant sa bouche rivée à celle de Nadia.
Ma femme était en train de se faire prendre par une espèce d'italien sous mes propres yeux ! Je sentis mon corps se contracter sous le choc, mais en même temps je notai que mon sexe était en train de grossir... Je regardais sans réagir Nadia se faire pratiquement baiser sur la piste de danse, mais je pensai à mon propre désir de lui faire l'amour. C'en était trop. J'étais déboussolé. Je voulais désespérément baiser ma femme, mais si je ne pouvais le faire, la voirse faire prendre par un autre m'apparaissait presque comme une compensation. L'idée de ma femme ouvrant ses jambes pour cet homme,pour être ensuite remplie de sa puissante semence après l'avoir transformée en femme soumise et "baisable" donnait lieu à des sentiments tellement contradictoires en moi qu'ils devenaient presque impossibles à supporter.
Nadia ne m'avait pas encore vu, mais soudain son partenaire m'aperçut. Il me regarda sans paraître troublé, et sa seule réaction fut de dire, avec une voix forte, à ma femme : "Je vais te mettre maintenant un doigt dans ton cul, et ensuite tu me suivras dans ma chambre !" Je vis dans la pénombre son index faire de lents mouvements dans sa culotte. Nadia émit un gémissement profond, lourd de désir sexuel. Il attira le corps de ma femme vers lui alors qu'elle remuait ses fesses, empalée sur son doigt. Les lèvres de Nadia dessinèrent un rond, épais et sensuel, comme elle projetait sa tête en arrière, en pleine extase.
Qu'elle soit en train de jouir ou non n'était pas sûr, par contre à ma grande honte *moi* je me mis à jouir ! Je sentais que je venais d'avoir la plus belle érection de ma vie, avec une impression très sensuelle procurée par le contact du bout de mon sexe contre le haut de mon pantalon. Puis je me mis à éjaculer inutilement.
Mon sperme jaillissait, tâchant mon pantalon lamentablement. Je me sentais bien, j'avais presque perdu conscience avec le plaisir de la jouissance. Même après mon éjaculation, alors que mon sexe reprenait doucement sa taille à travers mon sperme répandu dans le pantalon, je me sentais satisfait.
Cependant, c'était la tempête sous mon crâne. Ma femme se dirigeait maintenant vers la chambre de son amant, n'ayant même pas remarqué ma présence. J'étais en lutte avec des sentiments de jalousie, mais je ressentais également une plénitude sexuelle et physique après cette scène.
Si c'était ce qu'on ressentait lorsque l'on était trompé... Alors j'étais intéressé d'en savoir plus !
Voir ainsi ma femme, après seulement deux semaines de mariage, quitter la boîte avec un amant me laissait abasourdi. J'avais conscience, avec embarras, de mon pantalon souillé par mon sperme, et bien que j'étais pratiquement sûr que personne n'avait pu remarquer quoi que ce soit dans la faible lumière de la discothèque, je rentrai vers notre chambre avec les genoux tremblants, à la fois troublé et excité par cette nouvelle expérience que je venais de vivre. Pendant je me nettoyais et me préparais pour aller me coucher, je pensais à ce que cet étranger pouvait être en train de faire en ce moment avec ma femme, Nadia. Je ne pouvais retirer de mon esprit la vision de son sexe énorme en train de la pénétrer. Je l'imaginais au-dessus d'elle, titillant ses seins merveilleux avec sa bouche, et poussant sa virilité lentement à l'intérieur de sa douce intimité. Je le voyais presser ses lèvres rudes sur celles de Nadia, faisant disparaître son rouge à lèvres avec voracité, sa langue forçant le passage dans sa bouche.
Puis je pensais à son sperme jaillissant de son sexe, faisant ainsi irruption dans l'intimité de sa femme, qui savourait chaque minute de cette pénétration. Comment allait-elle réagir lorsqu'elle rentrerait cette nuit (en supposant qu'elle rentre !), et qu'elle me retrouverait encore éveillé dans le lit ? Ferait-elle comme si rien ne s'était passé, se promenant dans la chambre remplie de la semence de cet homme ? Je ne pouvais m'endormir et l'attendit ainsi des heures, avec un sexe excité que je n'osais calmer.
Enfin, aux environs de cinq heures du matin, j'entendis une clé tourner dans la serrure de la porte d'entrée de la chambre d'hôtel. Je ne prononçai pas un mot, mais écoutai avec attention alors que Nadia se dirigeait silencieusement vers son côté de notre lit nuptial. Elle essayait visiblement de ne pas me réveiller, mais j'avais besoin de lui parler et de voir dans quel état d'esprit elle était. Je me sentais tout à la fois nerveux, en colère, apitoyé sur mon propre sort et attiré par le corps de Nadia. Me décidant à la confrontation, j'allumai ma lampe de chevet.
Nadia s'immobilisa. Elle se préparait juste à se coucher à côté de moi, et eut l'air étonné. Cependant, à part la surprise son visage ne semblait pas exprimer de culpabilité. Elle avait apparemment prit le temps de se remettre après avoir été comblée par le sexe de cet autre homme.
C'était quand même la première fois que je voyais Nadia sembler manquer un tant soit peu d'assurance, et enhardi par son visage surpris, j'eus le courage de lui faire la scène du mari trompé.
"Qu'est-ce que tu foutais ?" lui criai-je dessus. Une grimace de colère déforma fugitivement son beau visage. Avant que je n'ai pu ajouter quoi que ce soit, la paume ouverte de sa main me gifla lourdement la joue, ses longs ongles rouges lacérant ma peau comme des griffes.
"Ne me parle plus jamais sur ce ton !" prononça ma femme en gardant difficilement son calme, contrôlant tant bien que mal un tremblement de colère dans sa voix. C'est à ce moment précis que changea ma vie. Même à cet instant je le savais. Allai-je essayer de battre Nadia ? Allai-je lui montrer qui étais le patron dans notre couple ? Ou alors allai-je simplement abandonner et partir ?
J'hésitai un instant, mais au fond de moi je savais ce que j'avais à faire. Je me mis à ramper vers elle, Nadia ma déesse. Je lui implorai son pardon, et pleurnichai en lui disant que je devais apprendre à contrôler ma jalousie stupide de mâle. Si seulement elle acceptait de me pardonner et de me garder à ses côtés ! Je lui dis que j'étais prêt à la servir docilement jour après jour, que je travaillerai dur pour qu'elle ait ma paye sur son compte chaque mois. Je ferai n'importe quoi, mais, par pitié Nadia, permets-moi de rester auprès de toi !
Comme je multipliais mes excuses, j'avais de plus en plus peur qu'elle me quitte réellement, elle la seule femme avec qui j'aie fait l'amour !
Pour prouver ma soumission, je me mis à ramper littéralement vers elle, puis m'agenouillai devant elle. Comme elle ne disait rien je fus effrayé au début, mais son silence persistant m'encouragea dans cette voie...
Elle m'écoutait ! J'essayais de mon mieux de mesurer l'impact de chacun de mes mots sur elle, regardant à la dérobée son corps magnifique depuis ma position à ses pieds. Il était clair qu'elle m'écoutait maintenant, et qu'elle était intéressée. Après quelques minutes je pus apercevoir du coin de l'oeil l'expression de colère intense qu'elle avait montrée quitter son visage, pour laisser place à quelque chose proche de la satisfaction et même du triomphe. Elle avait gagné, et elle le savait.
Encore quelques minutes et elle se retrouvait au lit avec moi, me fixant dans les yeux, son humeur étant devenue maintenant beaucoup plus douce. "continue" dit-elle. A présent je lui disais que je savais que je n'avais pas le droit de la questionner sur ses faits et gestes. Je devais avoir confiance en ma femme, et si elle désirait danser avec d'autres hommes, bien sûr je n'y verrai aucune objection. Si elle voulait laisser un autre homme la draguer, hé bien, j'étais d'accord. Si elle voulait discuter avec d'autres hommes dans leur chambre, qui étais-je pour oser protester ?
Elle sourit. J'étais heureux ! J'adorais cette femme qui étais capable de me pardonner après que j'eusse osé lever le ton sur elle.
S'allongeant sur le dos, Nadia écarta ses jambes et attira ma tête entre ses cuisses. Je ne résistai pas, rampant vers elle et me glissant sous les draps. Nadia prit mes cheveux dans ses mains et poussa ma tête vers son pubis garni de poils châtain clair. Puis elle poussa mon nez entre les lèvres de son sexe et me maintint ainsi. L'odeur de son intimité était très forte. J'inspirai fortement, et mon petit sexe ratatiné commença à se relaxer et à grossir à nouveau. Nadia me maintint ainsi dans cette position pendant plusieurs minutes. Elle ne disait rien, mais elle parut satisfaite que je ne cherche pas à bouger, aussi lâcha-t-elle mes cheveux et commença à caresser doucement ma tête, tout en promenant ses exquis ongles pointus sur mon dos nu.
Comme les minutes passaient, le rythme de mon coeur s'apaisa. J'étais aux anges. Nadia m'aimait, même si c'était d'une manière étrange, et nous allions trouver une façon de vivre ensemble. J'essayai de montrer mon acceptation de cette situation en commençant à lécher les lèvres humides du sexe de Nadia, mais elle me donna un petit coup sur la tête pour me faire comprendre d'arrêter. Encore quelques minutes passèrent, puis elle recommença à me parler, et j'appris comment les choses allaient se passer entre nous à partir de cet instant.
"Tu n'as pas à t'en faire au sujet de Frederico," me dit-elle fermement.
"Tu es mon mari, et aussi longtemps que tu m'es soumis, obéissant et dévoué, je resterai avec toi. Mais tu dois savoir également que je ne t'ai pas choisi pour ton corps ! Je t'ai choisi pour ta qualité principale : la soumission. Je me réserve le droit de baiser qui je veux. Par contre toi tu ne baiseras personne sans mon accord. Je pourrai également décider de te faire l'amour à l'occasion. Ou bien non... De n'importe quelle manière,
il faudra que tu apprennes à contrôler cette sale habitude que tu as de te masturber. Et ne crois pas que je ne sois pas au courant !"
Durant tout ce temps pendant lequel elle m'édictait ces règles, Nadia tapotait ma tête et mes épaules. Elle me maintenait fermement entre ses magnifiques cuisses, et poussait régulièrement mon nez de plus en plus fort sur l'entrée douce et humide de son intimité. "Je vais te donner beaucoup de règles à suivre," continuait-elle, "et tu devras prendre du plaisir à obéir si tu veux rester avec moi."
"Maintenant cela va être ton premier test. Tu dois bien avoir deviné que Frederico et mois avons couché ensemble." Comme si je ne le savais pas déjà ! "Nous avons fait l'amour, plusieurs fois, et j'ai beaucoup apprécié. Frederico est apparemment un amant très expérimenté, et sait vraiment comment satisfaire une femme. Il le fait mieux que tu ne sauras jamais le faire ! En plus, il est vraiment bien monté. Son magnifique sexe de mâle est tellement plus gros que le tien, chéri ; tu ne pourras jamais arriver à sa hauteur. Il a un torse superbe, large et plat, des yeux sombres, puissants et fascinants, et ses couilles ont la taille d'un oeuf de poule. Sa bite doit être au moins deux fois plus longue et plus large que la tienne. Quand il m'a pénétrée, j'ai presque failli jouir de suite, je le sentais qui m'étirait.
A chaque fois qu'il faisait monter et descendre en moi son puissant engin, j'étais au paradis. Il m'a fait jouir et rejouir et rejouir. J'étais à lui. Il a attendu que je sois épuisée par mes orgasmes, et seulement alors il a envoyé la sauce. C'était fantastique, chéri. Je pouvais sentir ses couilles énormes pendre entre mes jambes, pour se raidir au moment où il a commencé à me remplir avec sa semence. Alors qu'il éjaculait, j'étais trop épuisée pour jouir à nouveau, mais il me fixa dans les yeux au moment où son sperme me remplissait en jaillissant de son sexe énorme, en me dit que je lui appartenais, et je savais que c'était la vérité.
Après qu'il eut fini de jouir, il me fit lécher son adorable tige pour la nettoyer. Pendant que j'avais la bouche remplie par sa bite, il me fit promettre de ne pas t'autoriser à utiliser ton sexe sans sa permission, mais je sais que tu m'aimes, et je sais que tu adoreras m'obéir sur ce point, chéri.
"Maintenant, prouve-moi que tu acceptes tout ça en me léchant. Bien sûr, ma chatte est remplie du sperme de Frederico, mais je veux que tu me suces à fond quand même, et sans te masturber !"
Disant cela, Nadia prit mon menton et glissa légèrement sur le lit.
Avant que j'ai le temps de réaliser quoi que ce soit, j'avais son pubis pressé contre ma bouche. Presque malgré moi, je m'aperçus que ma langue commençais son travail, ouvrant le passage liquoreux. Inexpérimenté, je cherchai à respirer tout en essayant de satisfaire de mon mieux ma femme dominatrice. Puis je sentis le sperme. C'était vrai, il l'avait littéralement remplie ! Elle était pleine de son jus. D'épaisses et filandreuses gouttes de semence envahirent mes lèvres, et je dus les avaler. Le goût n'était pas si désagréable, mais la pensée que c'était le jus d'un autre homme que j'étais en train de sucer dans le vagin de ma propre femme me rendait le sexe dur.
Comme j'aurais voulu me mettre sur Nadia et plonger mon propre engin dans son trou, joignant mon propre liquide à celui de son amant. Je pensais à mon pénis, apparemment trop petit et inadéquat, glissant à travers le vagin humide et rempli de sperme de Nadia, mais je devais accepter que cela ne me serait pas autorisé.
Enfin Nadia se mit à jouir, et s'estima satisfaite de la soumission que je venais de lui prouver. "Mais ce n'est qu'un début," se dépêcha-t-elle d'expliquer. "J'ai des idées pour aider mon petit mari à rester un homme chaste, propre et respectable, et je suis sûre qu'il adorera ! Il existe un tas de trucs pour aider les femmes à garder leur mari cocu docile et heureux, ce qui me permettra de respecter la promesse que j'ai faite à Fréderico. Cela te semblera peut-être un peu étrange au début, mais je suis sûre que tu finiras par me remercier de te laisser dans un état permanent de désir sexuel.
Toi et moi nous
irons faire quelques courses demain, alors n'oublie pas ta carte de
crédit, chéri. Je vais dépenser un peu d'argent pour te rendre
heureux !"
Après avoir dit ça, Nadia m'ordonna de dormir. Mais pendant que je
l'entendais respirer paisiblement sans son sommeil, et bien que je fus
complètement épuisé par la tension nerveuse de ces dernières heures et
par le manque de repos, mon désir brûlant pour elle m'empêchait de
dormir. Ca, plus la question qui me turlupinait de savoir ce que Nadia
m'achèterait le lendemain ! Une chose était claire pour moi maintenant :
je venais d'accepter que Nadia prenne le contrôle de ma vie, qu'elle
m'humilie d'une manière que la plupart des hommes n'accepteraient
jamais, et pourtant ce que je ressentais était un bonheur profond,
presque béat, balayant tout ce qui pouvait rester de ma jalousie
puérile. Nadia avait promis de me garder à son service pour toujours
si je lui obéissais, et c'était tout ce qui comptait pour moi !
Le matin suivant Nadia et moi dormîmes tard. Nous étions tous deux
fatigués après les événements de la nuit passée, et Nadia ne se réveilla
pas avant onze heures. Je m'étais réveillé avec une superbe érection vers
neuf heures et demie, mais je ne m'étais pas soulagé, me rappelant ce que
Nadia avait dit à propos de l'interdiction de me masturber : je ne
voulais pas risquer de la mettre en colère. Ainsi je restai allongé dans
le lit, à côté de ma femme et Maîtresse pendant plus d'une heure,
m'empreignant de la chaleur douce de son corps si féminin, et pensant à
elle et Frederico, son amant de la veille. J'avais décidé qu'il m'était
agréable d'obéir à Nadia, même quand elle m'interdisait le sexe, mais
j'avais beaucoup moins de certitudes à propos du rôle de Frederico dans
cette nouvelle situation. *Il* avait dit à Nadia qu'il ne me permettrait
pas d'avoir du plaisir sexuel sans *sa* permission ? Qui était-il pour
dire une telle chose ? Il était évident que Nadia était très attirée par
son corps, mais j'étais toujours son mari, me disais-je. C'était une
chose que d'attendre une période indéterminée avant d'être autorisé par
sa femme à avoir du plaisir sexuel, mais c'était une chose bien
différente quand c'était dicté, même de façon indirecte, par son amant.
De toutes manières que pouvais-je y faire ? Rien ! Cependant le temps
était de mon côté, pensais-je. Notre voyage de noces allait toucher à sa
fin d'ici quelques jours, et nous devrions rentrer en France pour
retrouver le ciel triste et gris de Valenciennes avec sa vie routinière.
Au moins laisserions-nous ce Frederico loin derrière nous ! Nadia
continuerait sans aucun doute à affirmer son droit maintenant établi de
baiser de temps en temps avec les personnes de son choix, mais je me
serai habitué à cette idée à ce moment, et peut-être réussirai-je
même à trouver des trucs pour mieux supporter cette situation.
Quand Nadia s'éveilla, elle me rappela sa proposition de courses.
Puis elle me donna une chiquenaude sur le bout de mon membre turgescent
avec ses longs ongles vernis, ce qui la fit éclater de rire. "Laisse
donc Popaul tranquille," me dit-elle. "D'ailleurs à ce sujet je ne
voudrais que quelqu'un apprenne que mon mari a un sexe d'une taille
insuffisante !" Je grimaçai sous l'insulte, mais je pensai qu'il valait
mieux pour moi rester silencieux. "Ne t'inquiète pas," me
rassura-t-elle. "Bien sûr, tu n'as pas le droit de te tripoter, mais
nous allons faire en sorte aujourd'hui que cette chasteté temporaire
soit un peu plus supportable pour toi". Je n'en sus pas plus : Nadia
a toujours adoré rester mystérieuse !
Après un petit déjeuner tardif, nous prîmes le chemin du centre
commercial local. "Les boutiques ne sont vraiment pas terribles ici chéri,"
me dit Nadia en faisant la moue, "mais je suis quasiment sûre que nous
trouverons ce que j'ai en tête pour commencer ton dressage." J'avais été
trop occupé à admirer les lèvres parfaitement maquillées de Nadia pour
bien me concentrer sur ce qu'elle disait, mais ce mot "dressage" attira
mon attention. "Maintenant marche juste un pas derrière moi, et ne prends
la parole que si on s'adresse à toi, à moins que ce ne soit vraiment
nécessaire." J'entendis ces mots, mais j'avais du mal à croire qu'elle
me parlait ainsi, et en public en plus ! Une partie de moi ressentit de
la colère, mais ce traitement provoquait également chez moi un début
d'érection, aussi je me contentai d'approuver de la tête avec soumission.
Après quelques minutes nous arrivâmes devant une boutique de lingerie
et de vêtements de mariage pour femmes. Après un bref coup d'oeil à la
vitrine, Nadia m'entraina à l'intérieur. J'adorais regarder les dessous
féminins, comme la plupart des hommes, et mes yeux se baladaient sur les
délicates petites culottes et soutiens-gorges ornant les mannequins du
magasin. La plupart de ces mannequins avaient des perruques, et
quelques-uns avaient même le visage maquillé, ce qui les rendaient
presque réels. Alors que mon regard vagabondait sur l'un d'eux, avec
de longues jambes fines gainées de bas résille et d'une culotte de satin
noir, Nadia attira l'attention d'une vendeuse. "Je recherche une gaine
de maintien, de taille standard," l'entendis-je dire. "Je voudrais un
modèle couvrant une large partie du corps, mais dans une petite taille,
du 38 ou peut-être du 36." La vendeuse disparut rapidement derrière le
comptoir et revint après quelques secondes avec plusieurs paquets.
"Voici la Berlei, Madame," expliqua-t-elle. "Elle a une bande
extra-ferme sur le devant. 79 % nylon polyamide, 21 % elastane,
disponible en noir ou blanc uniquement." Je ressentis un grand froid
dans l'estomac. Nadia avait l'intention de contrôler mon sexe en le
maintenant comprimé, me semblait-il ! Ceci dit, je préfèrais la noire.
"La blanche sera parfaite," décida Nadia. "Je vais en prendre deux,
une de taille 36 et une de taille 38." Je restais silencieux, n'osant pas
me manifester. Nadia m'ordonna ensuite de payer, et une demie-heure après
nous étions rentrés à l'hôtel.
"Très bien," me félicita ma femme lorsque nous eûmes regagné notre
chambre. "Tu n'as pas protesté, ce qui était préférable pour toi,
parce que sinon j'avais l'intention de dire à la vendeuse à qui était
destiné ces deux gaines !" Tout de suite elle me les fit essayer,
par-dessus mon slip de coton. Je réussis à enfiler la première, avec
beaucoup de difficultés dues à son étroitesse. A ma grande surprise
Nadia mit alors sa main entre mes jambes, empoigna mon pénis en
demi-érection, et le poussa rudement vers l'arrière, de façon à ce que
le bout de mon sexe se retrouve tout près de mon anus. Puis elle tira ma
gaine vers le haut encore de quelques centimètres : mes testicules
semblaient avoir disparus à l'intérieur de mon corps. C'était très
inconfortable, jusqu'à ce que mon début d'érection disparaisse. Vu de
devant, mes hanches avaient pris maintenant un aspect féminin.
"Tu devras toujours porter une de ces deux gaines sur toi à partir de
maintenant," m'indiqua-t-elle. "Porter ainsi une gaine en-dessous de ton
pantalon devrait de faire passer toute idée de draguer d'autres femmes,
n'est-ce-pas chéri ? Et de même, je pense que cela devrait t'aider à
combattre toute velléité de défier un de mes amants en cherchant à te
battre avec lui, où une idiotie de ce genre, n'est-ce-pas ? Maintenant
tu ne pourras plus pisser debout, et tu devras utiliser des toilettes
fermées pour ça. Et attention, je vérifierai à tout instant que cette
jolie gaine est bien en place, et que ton sexe est bien sous contrôle,
alors ne triche pas, sinon je ne te ferai plus jamais l'amour, compris ?
Plus tard tu pourras peut-être t'acheter toute une panoplie de
lingerie, mais ces gaines feront l'affaire pour l'instant. Même au
lit tu devras en porter une, que je sois là ou non. Cela t'aidera à
résister contre tes envies dégoûtantes de te tripoter sans arrêt. Mon
petit mari se doit de réserver pour sa femme toute sa production de
sperme, n'est-ce pas chéri ?" conclua-t-elle en m'embrassant voracement
sur les lèvres, avec sensualité. Mon sexe comprimé était douloureux,
alors que je ressentai une poussée de désir envers le corps de Nadia.
Le reste de la journée se passa relativement normalement. Quand la
soirée arriva, ma femme m'annonça qu'elle avait un dîner avec Frederico,
et que je n'étais pas invité, mais que si je me comportais bien, un jour
je le serai peut-être ! Une bouffée de jalousie serra mon coeur, mais je
pensai tout à coup que si Nadia quittait la chambre, je pourrai au moins
me masturber comme je voudrai. Je pouvais toujours ensuite remettre en
position ma gaine moi-même, et Nadia ne serait pas au courant... Hélas
Nadia devait avoir eu la même idée ! Après qu'elle m'ait fait avaler un
sandwich que je m'étais commandé, Nadia m'attacha les poignets avec ma
propre ceinture de cuir, avant de me quitter pour son rendez-vous avec
Frederico. Ce n'était pas vraiment inconfortable, sauf que je devais
régulièrement bouger mes poignets afin de permettre au sang de circuler
dans mes mains, et éviter ainsi des fourmillements très désagréables.
Comme mes mains étaient emprisonnés devant moi, et que mon sexe était
fermement maintenu vers l'arrière, même en étirant mes doigts au
maximum je ne pouvais l'atteindre pour me masturber. Elle m'avait bien
eu ! C'était comme si j'avais réellement une ceinture de chasteté.
C'était efficace à 100 %, et j'étais entièrement dépendant du bon
vouloir de ma femme pour ma libération. Je supposais qu'en cas
d'urgence je pouvais bien essayer de couper le cuir de ma ceinture avec
un couteau, mais si je le faisais Nadia aurait alors découvert ma
désobéissance... J'étais pris au piège !
Alors que les heures passaient, je ne pouvais m'empêcher d'imaginer
la soirée romantique que devait passer Nadia. Parfois je me retrouvais
excité en repensant aux approches de séduction de Frederico qu'il
renouvellerait certainement ce soir, et je me retrouvais alors au bord
de l'éjaculation, mais sans pouvoir aller jusqu'à la délivrance, avec
mon pénis comprimé : il était emprisonné dans la gaine, et tout ce que
je pouvais obtenir était une pathétique demie-érection. J'essayai bien
de frotter mon membre frustré sur le coin d'une table ou d'un autre
objet, à travers la gaine, mais je n'obtins pas assez de sensation pour
que cela me procure vraiment du plaisir. Je me sentais triste auparavant
d'en être réduit à me masturber dans les petites culottes de ma femme
pendant ma propre lune de miel, mais maintenant je ne pouvais même plus
le faire ! Je savais que Frederico allait baiser Nadia avant peu de
temps, bourrant ainsi la femme d'un autre à sa volonté, la faisant jouir
encore et encore avec son membre énorme, alors que moi je ne pouvais
même pas me permettre la moindre masturbation ! Je pleurai pendant
quelques instants, mais l'instant d'après je me mis à me sentir plus
amoureux que jamais de Nadia : finalement elle m'avait bien laissé
entrevoir qu'elle me redonnerait un jour un peu de satisfaction
sexuelle, n'est-ce pas ?
Aux alentours de minuit j'eus la surprise d'entendre la clé tourner
dans la porte de la chambre. Je n'attendais pas Nadia si tôt ! Ma gaine
et ma ceinture étaient bien en place, donc tout était en ordre.
J'espérais juste que Nadia allait bien. C'était le cas... Mais aussi
Frederico ! Je ne pouvais y croire ! Elle l'avait invité dans notre
chambre ! Embarrassé par mes mains emprisonnées je cherchai à les
cacher, mais Nadia avait déjà allumé et me présentait. "Voici mon mari,"
expliqua-t-elle. "Tu me disais que tu voulais le rencontrer Fredi... Et
bien le voilà, ligoté exactement comme tu voulais." Je sentis une vague
de détresse me submerger, et je tombai à genoux, mes bras emprisonnés se
balançant inutilement devant moi. "Debout chéri," entendis-je au loin la
voix de ma femme flotter dans l'air. "Ne t'inquiète pas. Fredi ne va pas
te faire de mal. J'ai sa promesse. Et je veux retirer ton pantalon de
façon à ce que l'on puisse admirer ta belle gaine."
Disant cela Nadia me souleva pour me remettre sur pieds, détacha le
bouton de mon pantalon, descendit sa fermeture éclair et le laissa ainsi
glisser à terre. Bien sûr la gaine était toujours en place, me donnant
l'apparence d'un travesti. Je ne pouvais croire que ma gentille, douce,
bien éduquée Nadia pouvait me faire ça ! "Maintenant assois-toi sur la
chaise, chéri," continua-t-elle. "Fredi veut me baiser dans notre lit
nuptial, et que tu regardes." J'obéis avec rage, et je vis Nadia tomber
sur le lit avec "Fredi". Il se mit à l'ouvrage sans tarder, une main sur
les superbes seins de Nadia à travers sa chemise et son soutien-gorge,
l'autre lui tenant fermement la tête alors qu'il l'embrassait
fougueusement avec sa langue. Puis, maintenant que c'était parti, Fredi
souhaitait apparemment prendre les choses plus calmement. Sous mes yeux
il retira un à un les vêtements de ma femme, avec une extrème douceur,
jusqu'à ce qu'elle se retrouve nue devant lui. Il retira d'abord sa
chemise fine, presque transparente, puis il défit la fermeture éclair
sur le côté de la jupe étroite de Nadia, qui tomba à terre. Nadia
portait en-dessous des portes-jaretelles ainsi que des bas résilles
qui m'avaient coûtés les yeux de la tête. Sa petite culotte resta en
place encore un moment, pendant que le bel italien frottait deux doigts
puissants dans son entrejambes de Nadia. Elle se laissa ainsi masturber.
Puis il se mit à sucet les seins de ma femme à travers le tissu de son
soutien-gorge, faisant sortir les tètons de leur écrin de soie. Les
hanches de Nadia allaient et venaient sur sa main, alors que leurs deux
bouches impatientes se scellaient.
Ensuite Fredi retira sa petite culotte, puis changea de côté sur le
lit afin de faire un cunnilingus entre les jambes de ma femme pendant
quelques minutes. Je regardai avec horreur le sexe de ma femme se poser
délicatement sur le visage de son amant. Puis vint le tour des bas
résille et des portes-jaretelles. Les bas furent lancés dans ma
direction, et je réussis à les rattraper sur ma tête : je pus ainsi
au moins m'imprégner des délicieuses essences féminines de Nadia, alors
que son amant viril continuait à la préparer pour recevoir sa semence.
Enfin le soutien-gorge de Nadia disparut, laissant ma femme entièrement
nue devant Frederico, qui lui était resté habillé. Puis Nadia s'assit
pour défaire la fermeture éclair de l'homme. Je suivis chacun de ses
mouvements alors qu'elle glissait sa main dans le pantalon, puis elle
fit sortir le sexe gigantesque et gonflé de son amant. Je pouvais
deviner ses testicules maintenant, ronds et énormes, gonflant son
pantalon. Nadia présenta son visage devant le pieu dressé devant elle,
et commença à le sucer en le rentrant dans sa bouche, du moins le plus
qu'elle pouvait vue sa dimension. Ses lèvres maquillées de rose
s'affairèrent de haut en bas le long de l'immense tige, le plus
profondément possible.
J'avais maintenant une envie désespérée d'éjaculer, mais je ne
pouvais rien faire, à part regarder, fasciné malgré moi. Au bout de
quelques minutes Fredi se retrouva nu également, et je savais
maintenant que j'allais assister à la pénétration de ma femme par le
sexe d'un autre homme. L'énorme pieu de Fredi était dressé au milieu
de son corps tel un dard. Je ne pouvais m'empêcher de fixer ce membre
long et épais, en estimant qu'il devait avoir une taille au moins
double de la mienne. Je commençai à me sentir vraiment désarmé face à
un tel engin. Ce n'était pas la peine de me demander pourquoi Nadia
préférait aller voir d'autres hommes ! Je ne pouvais probablement pas
lui en vouloir de devoir chercher de vrais mecs avec un vrai sexe.
Comment pouvais-je espérer la satisfaire correctement après qu'elle
eut été distendue par un phallus monstrueux comme celui-là ? Je me dis
que si j'avais été une femme, j'aurais probablement eu envie, comme
Nadia, d'une vraie bite de mâle !
Nadia empoignait maintenant le pénis de l'homme, et le guida à
nouveau vers ses lèvres. Ses lèvres magnifiquement maquillées, sexy
et féminines s'arrondirent autour du prépuce. Puis elle le lècha, de
bas en haut, encore et encore, tout en caressant doucement les
testicules de son amant avec sa main. Puis les testicules disparurent
dans la bouche de Nadia, l'un après l'autre, alors qu'elle les suçait
avec voracité. Fredi était aux anges, grognant sauvagement alors que
Nadia s'occupait de ses boules. Après plusieurs minutes de cette
scène, durant laquelle, à ma stupéfaction, le sexe de Frederico parut
encore s'allonger de quelques centimètres, Nadia s'allongea sur le lit,
ouvrit ses jambes et guida son amant vers l'intérieur son corps.
J'observai, paralysé par l'envie, le membre gigantesque de l'homme
pousser à travers le sexe de ma femme, et commencer à disparaitre à
l'intérieur. Soudain Frederico sembla perdre tout contrôle : il
commença à s'agiter d'avant en arrière tel un animal, poussant son
membre encore et encore à travers le trou humide de Nadia. Il la
baisait de plus en plus vite. Nadia semblait être en extase; "Oui,
oui. Vas-y. Baise-moi. Fais-moi jouir. Remplis-moi, Fredi, je te
veux," gémissait-elle. Quelques secondes après Fredi fit ce qu'elle
lui demandait, et éjacula dans ma femme. Il trembla avec force sur
Nadia quand il se mit à jouir, appuyant sur les épaules de ma femme
alors qu'il la remplissait de sa semence, ses seins ballotant et
claquant à chaque secousse de son orgasme de mâle. D'un certain point
de vue cela devait être une scène magnifique, mais pour moi c'était
une tempête d'émotions, et je pouvais sentir mon pauvre petit sexe
emprisonné essayant avec impuissance de gagner un ou deux centimètres
à l'intérieur de la gaine.
Quelque part au plus profond de moi, une petite part de ma fierté
était encore vivante et me demandait de me battre pour Nadia, mais en
fait je me sentais vaincu et écrasé. Fredi avait baisé Nadia, mais
Nadia avait baisé mon esprit, mon âme. Elle venait de me démontrer
qu'elle pouvait me faire ce qu'elle voulait, m'humilier de la façon
qu'il lui plaisait, me dépouiller de ma virilté, et pourtant je
continuerai à l'aimer, la servir, ramper pour elle. C'était comme si
elle m'avait castré, et que j'étais fier d'avoir accepté qu'elle me le
fasse. Quelle femme, quelle déesse ! Je lui avais vendu mon âme et j'en
étais heureux. J'étais juste maintenant curieux de découvrir ce que me
réservait la vie avec cette femme merveilleuse. Qu'allait-elle encore
imaginer pour notre couple ? Quoi que ce soit j'étais prêt à essayer !
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= 4ème partie =
===============
J'étais littéralement en état de choc. Je venais juste d'être forcé
à regarder ma femme se faire prendre par son puissant amant italien.
Frederico en avait fini avec elle à présent. Presque paresseusement,
dégageant une confiance en lui toute masculine, il retira de ma femme
son pénis encore gonflé et luisant. Malgré moi j'avais l'oeil attiré par
cette scène, observant les épaisses gouttes de sperme sur son prépuce
humide, alors qu'il ressortait du corps superbe de Nadia. Quand il se
leva, laissant ma femme allongée sur notre lit nuptial, son membre se
balança en l'air devant lui, encore aux trois-quarts en érection. Il
savourait visiblement la liberté de son sexe, qui à moi m'était refusée,
mon pénis étant étroitement serré dans son étroite gaine. J'eus soudain
la pensée terrifiante que cette gaine avait peut-être été une idée de
Fredi, et probablement la ceinture également, qui emprisonnait mes
poignets devant moi. J'étais ligoté comme du saucisson, et j'avais le
sentiment d'être destiné à l'abattoir. Chaque muscle de mon corps était
tétanisé sous le choc. Je sentais ma tête légère, comme si j'allais
m'évanouir à tout moment.
Nadia émit un petit gémissement de satisfaction, épuisée. Ce bruit
me fit détourner mes yeux du phallus de Frederico pour porter mon regard
vers le corps de cette femme qui était légalement la mienne, mais dont
j'étais devenu maintenant l'esclave. Elle était allongée sur le dos, avec
ses superbes cuisses satinées écartées sans aucune pudeur. Comme je la
regardai elle bougea légèrement, et une trainée de semence coula doucement
en sortant de son intimité, glissant des lèvres de son sexe vers le lit.
Le regard de Fredi avait suivi le mien et il éclata bruyamment de rire.
Alors, pour la première fois il s'adressa à moi au lieu de Nadia. "Il me
semble que tu es parfaitement à ta place, n'est-ce-pas ?" me dit-il en
souriant avec ostentation. "J'ai toujours rêvé de baiser la femme d'un
jeune marié, et maintenant c'est fait ! Je n'ai jamais compris pourquoi
les femmes s'embêtent à se marier avec des tapettes comme toi. Ce doit
être pour l'argent, ou la sécurité je suppose. Hé bien, elle ne sera plus
jamais satisfaite par une petite bite comme la tienne, maintenant, tu
comprends ? Je lui ai montré ce que c'est d'être réellement prise par un
homme, un vrai. Elle ne voudra plus jamais de tes efforts pathétiques !"
Je n'osais prononcer un mot. Fredi était large d'épaules, et semblait
fort et musclé. J'avais mes poignets entravés. Il venait juste de baiser
ma femme sous mes yeux, et je n'avais pas réagi. Je n'étais pas près de
tenter quelque chose à la légère maintenant. J'étais toujours hébété,
quand cet homme puissant, totalement nu, s'approcha vers moi et me souleva
de la chaise, me tirant à lui, et m'embrassa avec force sur les lèvres.
Je tentai de lutter pour m'échapper, mais toute résistance était inutile.
Un seul bras avait suffi à Fredi pour me porter dans son étreinte d'acier.
Ce que je ressentis lorsque ses lèvres se rivèrent aux miennes, n'était
ni de l'excitation ni du dégoût, mais seulement de la peur à l'état pur !
Au même instant je sentis sa main libre se promener entre mes jambes, sur
ma gaine, tâtant la petite bosse que formait mon pénis comprimé. Il
caressa vigoureusement mon sexe emprisonné pendant quelques secondes,
puis me lâcha. Je tombai à genoux. J'avais l'impression que le monde
s'était écroulé autour de moi.
A la limite de la conscience, j'entendis Nadia dire : "laisse-le
tranquille, Fredi. Tu m'as promis que tu ne lui ferais pas de mal.'
"Je ne suis pas en train de te faire mal, n'est-ce pas ma petite
chienne ?" roucoula Fredi. "Ne t'inquiète pas, je ne suis pas homosexuel,
et je ne vais pas te violer, mais tu dois me montrer que tu acceptes le
droit que j'ai de baiser ta femme quand j'en ai envie. Tu sais, le mâle
dominant, ce genre de choses. Non... Peut-être que tu ne connais pas,
mais tu apprendras vite !"
En disant cela, Fredi me rapprocha de lui à nouveau. Son pénis s'était
détendu à la moitié de sa taille maximum à présent. Il pendait devant ce
qu'une femme qualifierait sans aucun doute de testicules bien fournies.
Avec horreur je m'aperçus qu'en étant tombé à genoux, ma bouche était
maintenant à 5 centimètres de son sexe. "Suce-moi," ordonna Fredi. "Prends
ma bite dans ta mignonne petite bouche et suce-moi. C'est ton devoir, en
tant que mari de Nadia, tu sais ! Tu vas devoir apprendre à nettoyer et à
astiquer la bite de son amant pour elle. Lèche mon pénis, et quand il sera
dur à nouveau, nous verrons ce que Nadia voudra faire avec, d'accord ?"
Je commençai à trembler. J'étais à bout de nerf. "Attention Fredi,"
dit doucement Nadia.
"Ecoute mon petit," répondit Fredi, "je ne vais pas te faire du mal.
Je ne vais pas te forcer à faire quoi que ce soit que tu ne veuilles pas.
Regarde, je te laisse même partir si tu veux." Disant cela, il se pencha
en avant et, avec un geste sec, défit la boucle de la ceinture
emprisonnnant mes poignets. J'étais libre !
"Merci Fredi," remercia Nadia. Elle se leva, et, après avoir fouillé
dans un tiroir un moment, enfila une petite culotte de dentelle rouge
et un soutien-gorge assorti. J'osais difficilement la regarder à présent.
J'avais l'impression d'avoir perdu même le droit de voir le corps de ma
propre femme. "Tu es toujours mon mari," l'entendis-je dire.
"Regarde-moi !" J'obéis. J'avais les larmes aux yeux, mais j'étais
tellement épuisé nerveusement que je ne pouvais plus réellement pleurer.
"Dis-moi que tu m'aimes" commanda-t-elle. Je le fis, avec une voix
étranglée et haut perchée que je ne reconnus même pas. "Encore !"
"Je t'aime Nadia," parvins-je à articuler. "Je t'aimerai et
t'adorerai toujours, et je te servirai toujours."
"Voilà qui est mieux," dit-elle. Puis elle vint vers moi et
s'agenouilla à côté de moi. Doucement elle pressa un de ses seins sur
ma bouche. "Suce-le," ordonna-t-elle. "Mets tes bras autour de moi.
Tiens-moi, et lèche mon sein." Sans trop me rendre compte de ce que
j'étais en train de faire, et tout en sachant que chaque moment qui
passait me rendait à chaque fois plus dépendant d'elle, j'obéis. Je
passai mes bras autour des épaules de Nadia, et elle me fit glisser
sur mon dos comme un bébé, comme si elle allait m'allaiter. Me
maintenant sur ses cuisses, elle me permit de lui lècher le sein à
travers son soutien-gorge. Puis elle fit glisser le téton pour le
sortir et le poussa dans ma bouche. Pendant cinq bonnes minutes je
la suçais ainsi doucement. Petit à petit je reprenais mes esprits.
Je me sentais toujours perturbé, mais maintenant au lieu d'être
effrayé je commençais à ressentir un sentiment de réconfort et de
sécurité. Un poids énorme venait de libérer mon esprit : Nadia
m'aimait réellement.
Ensuite, avec sa main libre, Nadia commença à caresser doucement mon
entre-jambes, ce qui me calma encore plus. Bien sûr, je n'avais aucune
possibilité de jouir si elle ne me retirait pas ma gaine, mais le désir
commença à m'envahir. Durant tout ce temps Fredi était resté debout à
côté de Nadia. Puis elle me fit m'asseoir à nouveau et se mit à caresser
le pénis de Fredi. Je faisais maintenant face à Nadia, qui était assise
les jambes croisées sur mes genoux, avec Frederico debout au-dessus de
nous. Une fois de plus Nadia me poussa en avant et mit son superbe sein
entre mes lèvres, de nouveau à travers son soutien-gorge. Après à peine
une vingtaine de secondes Nadia empoigna de sa main le sexe pendant de
Fredi. J'observais les yeux grand ouverts la façon dont elle manipulait
son prépuce d'avant en arrière, à seulement quelques centimètres de moi.
Petit à petit son pénis commença à retrouver de la vigueur. Pendant ce
temps Nadia me maintenait la tête afin que je continue à sucer son sein.
Avant que la tige de Fredi ne se redresse trop, avec son autre main elle
commença à la rapprocher de moi. Lentement elle frotta le pénis de haut
en bas sur le tissu doux de son soutien-gorge, d'abord sur le sein le
plus éloigné, puis faisant passer le membre grandissant sur le même sein
que celui que j'étais en train de sucer. Maintenant son sexe n'était
plus qu'à deux centimètres de mes lèvres, posant son empreinte sur le
sein.
"Souviens-toi," me dit Nadia. "Fredi ne mentait pas. Nous ne voulons
pas te forcer à faire quoi que ce soit que tu ne veuilles pas. Mais tu
m'aimes, et je veux que tu suces la bite de Fredi pour me prouver
combien tu m'aimes ! Cela sera pour moi un spectacle incroyablement
érotique si tu le fais. Je veux te voir sucer Fredi pour moi. Mais je
veux que tu ais envie de le faire, chéri. Tu verras, c'est vraiment
extrèmement agréable de faire ça. Tu peux me croire, j'ai essayé
moi-même. Je vais maintenant mettre la bite de Fredi dans ta bouche.
Si tu continues à lècher mon sein cela signifie que tu es d'accord pour
le sucer, d'accord ?"
J'étais réduit à l'impuissance. Je ne pouvais rejeter la demande de
Nadia car je ne pouvais m'arrêter de téter ses seins. Je pus voir le
pouce et les ongles vernis des doigts de Nadia s'emparer du sexe de
Fredi. Des secondes passèrent, et je ne pouvais m'arrêter de sucer. Elle
amena le pénis de son amant juste sur ma bouche. Puis il le fit
s'éloigner du sein, et je me retrouvai en train de lécher un phallus en
érection. Nadia bougea légèrement et prit ma tête dans ses mains.
J'avais maintenant un membre épais et lourd, humide de ma propre salive,
qui allait et venait entre mes lèvres. "C'est bien mon garçon," dit
Nadia pour m'encourager. Fredi commençait à prendre du plaisir. Ses
mouvements allaient plus profond à présent, jusqu'à ce que sa hampe
vienne pénétrer le haut de ma gorge à chaque fois qu'il poussait plus
fort. J'étais hébété, mais Nadia me rappela à l'ordre en m'ordonnant de
sucer et lécher le sexe de son amant, ce que je continuai de faire.
Avant que je ne me rende compte ce qui était en train d'arriver, Fredi
fut prêt à jouir. Ses poussées profondes amenaient ses testicules jusque
sur mes lèvres à présent. Nadia maintenait ma tête fermement. Puis Fredi
se mit à crier : "oui, Nadia oui ! Tiens-le, je vais me le faire !"
Encore trois coups forts et rapides, puis Fredi maintint son sexe en
position. Ma mâchoire était douloureuse après avoir été forcée si
longtemps, et je frémis de peur quand son phallus puissant commença à
trembler dans ma bouche. Son sexe bloquait ma gorge et je pouvais
difficilement respirer, et je me rendis vaguement compte qu'il était
en train d'éjaculer. Au début je ne sentis rien, mais quand après une
minute il se retira, le goût salé et acre de son sperme atteignit ma
langue. Il venait réellement de me baiser par la bouche. Nadia relâcha
ma tête et tourna autour de moi pour me regarder dans les yeux. Je venais
d'être rempli par la semence d'un autre homme pour elle. Doucement, elle
m'embrassa sur les lèvres, sa langue s'agitant pour savourer le jus d'un
vrai mâle. Je notai que ses tétons étaient durs comme du bois comme elle
joignait sa langue à la mienne, goûtant avec moi la semence de Fredi.
Quand elle se retira je vis une lueur de triomphe dans ses yeux. Elle
me récompensa pour ma soumission à ses désirs par la permission d'enlever
enfin ma gaine. Nadia m'expliqua que ce serait une faveur très rare pour
moi, mais vu les circonstances elle était sûre que cela ne poserait pas
de problème à Fredi. Elle me donna sa petite culotte et me demanda de la
mettre dans ma bouche et la sucer. Puis elle m'ordonna de me masturber
devant elle et Fredi. J'obéis, et rapidement une grosse giclée de sperme
jaillit dans ma main. J'aurais aimé pouvoir utiliser le soutien-gorge de
Nadia pour me masturber avec, mais ce plaisir me fut refusé. Bien sûr,
du liquide commença à couler de ma main, et Nadia m'ordonna alors de la
frotter contre moi, puis d'aller prendre une douche, avant de remettre
une gaine propre.
Durant le reste de la nuit je dormis sur le sol, à côté du lit de
Nadia et Fredi. Fredi ligota à nouveau mes mains pour m'empêcher de me
masturber pendant la nuit. Il avait raison, car au matin quand je
m'éveillai ce fut pour entendre les bruits d'un Frederico de nouveau en
rut, pénètrant Nadia profondément et longuement. Je ne pouvais rien
faire d'autre que de rester allongé là, à écouter, et imaginer cet
homme faisant jouir ma femme avec son sexe. Je ne cherchais même plus
à imaginer d'essayer de l'arrêter. Après tout j'étais devenu sa chose
il m'avait pris par la bouche, répandu son sperme le long de ma gorge,
et il restait probablement des restes de sa semence dans mon estomac !
Je lui appartenais, de la même manière que Nadia était en son pouvoir.
Quand enfin il partit pour regagner sa chambre, j'étais presque triste
de voir l'amant de Nadia nous quitter. Elle était de si bonne humeur
d'avoir été comblée ainsi par cet homme, qu'elle m'autorisa à libérer
mes poignets, puis à venir me pelotonner contre elle dans le lit pendant
une heure, avant un petit déjeuner très tardif. Bien sûr je dus garder
la gaine, mais Nadia caressa mon sexe emprisonné à travers le tissu, et
cela me combla. Je venais d'être mis à l'épreuve pour prouver mon amour
à cette femme, et j'avais réussi. Maintenant elle pourrait faire de moi
ce qu'elle voudrait, j'étais sûr que je le supporterai. Qu'est-ce qui
ce passerait après notre retour en France ? Est-ce qu'elle raconterait
à nos amis la façon dont s'était passé notre voyage de noces ? Je me
blottis contre les seins tièdes de Nadia et me mis à rêver à la longue
vie de soumission qui m'attendait maintenant.
FIN
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