• Tout a commencé dans mon couple par une belle dégradation progressive, cela faisait neuf ans que nous étions ensemble Marisa et moi, après de long mois sans aucun rapport sexuel, elle m’apprenait qu’elle était enceinte.....

    Je l’avais connu à vingt ans et elle en avait dix huit, toujours vierge, je l’avais initié en lui laissant croire que j’avais eu une vie sexuelle épanouie avant alors que j’étais moi-même puceau et gauche avec les filles.

    Mais en plus j'étais muni d'un accessoire assez petit et avec une tendance à jouir trés rapidement à peine en elle, après quelques aller-retour.. Je lui présentais tout cela comme bien normal dans les règles de la reproduction, en lui expliquant que l'homme éjacule vite, car dans la nature, pour la survie de l'espèce, il faut que la femelle ne s'écarte pas de la copulation satisfaite, avant que le mâle eu fait son affaire. Quand à la taille de mon pénis elle ne savait pas vraiment que j'étais petit, n'ayant jamais eu d'occasion de comparer, nous n'avons jamais abordé le sujet à ma grande satisfaction.

    Ces faibles performances sexuelles, je pensais les avoir cachées dans son ignorance et sa naïveté du début, elles allaient prendre une réalité bien visible le jour ou nous avons été consulter pour notre difficulté à avoir un enfant.

    Car oui, depuis quatre ans, malgré nos rapports unilatéral bi hebdomadaire, Marisa ne tombait pas enceinte, à son grand désespoir car son horloge biologique marquait vingt huit ans et elle avait un intangible besoin d'être mère.

    La gynécologue spécialisée en fertilité des couples après avoir fait toute sorte d’examens à ma femme, nous convoqua ensemble pour aborder ma fonctionnalité de mâle et notre sexualité.

    Très autoritaire et froide, elle m’examina devant ma femme sur la chaise de gynécologie, mal à l’aise je la voyait me tripoter les couilles une à une les faire rouler dans ses doigts gantés pour voir si tout allait bien de ce côté et puis elle me décalotta mon petit pénis, un sourire un peu narquois au coin de la bouche, elle lançait à chaque étapes des « mouais mouais.. » peu convaincue ;

    -Bon tout à l’air a peu prêt normal de ce côté là… dit-elle à ma femme.

    qui me fit en retour un sourire de chien battu.

     

    Elle me dit en me tendant un gobelet gradué en plastique d’aller masturber dans une petite pièce à part pour me prélever mon sperme.

    La révélation

    Je me relevais de la chaise nu devant les deux femmes qui me regardaient, le feu au joues, j’allais m’enfermer dans la petit cabine, j’entendais à travers la porte la conversation qu’elle avait pendant ce temps avec ma femme,

     

    -Vous savez la taille du sexe importe peu quand il s’agit des enfants

    Ah bon pour quoi vous me dites cela ?

    -Parce que votre mari à un tout petit sexe vous vous en rendez compte ?

    Ah bon.. ah oui - dit-elle rougissante

    -Oui, il ne doit pas vous donnez beaucoup de plaisir avec ça !,

    Euh… oui c’est vrai  - après un temps d’hésitation -  je crois que je n’ai jamais eu d’orgasme pendant nos rapports en fait docteur.

    -C’est bien ce que je pensais , mais vous avez eu déjà des orgasmes toutes seules ?

    Oui bien-sur et il me donne du plaisir parfois… autrement.

    -Bon vous me rassurez, nous les femmes avons le droit au plaisir aussi..

    Enfin après 9 ans ensemble …

    Euh …oui Docteur

    -Mais bon cela n’a pas trop de lien avec votre problème de fécondation, 

    Dans vos rapports jouit-il en vous ?

    Oui, assez souvent parfois très vite à peine entré,

    -Oui je vois le problème… bon de toute façon nous allons analyser son sperme déjà, pour voir si le soucis ne vient pas en fait de sa semence. 

     

    J’étais électrisé, en entendant ma femme se confier sous les questions un peu perverses de la gynéco qui lui faisait réaliser que j’étais un sous homme. Mon trouble se transforma en érection, mentalement je tombais si bas que cette effondrement de mon image me fit jouir minablement dans le verre en plastique gradué… 

     

    Au lit, même si je débordais de désirs, je sentais bien que je ne la satisfaisait pas vraiment, et si l’amour du début compense tout, au bout d’un moment cette frustration associé à notre manque de fertilité allait finir par détruire l’image de mâle que j’avais bâti sur son innocence.

     

    Il est vrai que mon sexe était pas dans les normes .. du moins ou juste au-dessous. Dans les vestiaires en garçons, je me cachais souvent, comme je pouvais, en voyant que je n’étais pas très bien développé de ce côté-là. Cela m’avait fait abandonner bien des sports collectifs. 

    Il mesurait 5 cm au repos et 12 en érection, un peu petit, comme dirait certaine, mais c’est surtout aussi son diamètre assez fin (2,8 cm en érection), qui me mettait bien en dessous des normes. Les normes… comme on dit « l’homme qui mesure son sexe, en a un petit », celui qui ne le fait pas c’est parce qu’il est sûr de lui.

     

    La gynéco nous donna rendez-vous une semaine après pour les résultats.

     

    Rentré à la maison ma femme aborda le problème à nouveau.

     

    -Tu sais Philippe, elle m’a dit que ton petit sexe n’avait rien à voir avec notre infertilité

    Comment ça ? j’ai pas un petit sexe ! rétorquais-je rougissant

    Mais si mon chéri la nature ne t’as pas fait de cadeau de ce côté d’après elle, mais tu sais je t’aime et ça n’a pas d’importance -  Lançât-elle le regard dans le vague.

    Une érection immédiate me pris à ses propos 

    Qu’est ce qui va pas chez moi ? je me dit intérieurement Je suis vraiment un minable ? Toutes ces années ou j'avais réussis à masquer mon petit problème arrivaient à leur termes. 

     

    Quelque jours plus tard nous faisions l'amour ou plutôt moi et elle en réceptacle concilient, elle me dit une fois en elle   - C'est vrai que je ne te sent pas tellement en moi....  - Je claquais d'autant plus fort des coups de boutoir désespérés, dans cette caverne ou j'écartais avec peine les cloisons, puis je jouissais immédiatement n'ayant pas tenue à la remarque, désespéré que cette certitude l'envahisse en même temps que mes gouttes de spermes misérables.

     

    Oui, je suis désolé ma chérie -  Dis-je en pleurnichant

    C'est pas grave mon amour tu as joui, alors pour le Bébé c'est bon !

    Oui ma chérie, et toi ? - Sachant pertinemment qu'elle n'avait rien ressenti

    Oui c'était bon ...mais court  - Il parait qu'avec cinq centimètre on peut faire des Bébés, t'en fait pas...

    Je glissais mon visage entre ses cuisses bien décider à lui donner du plaisir.

    - Oh mon chéri que fait tu ?

    T'inquiétes, je m'occupe de toi

    - Mais je suis sale.. enfin  ohh oohh, n'aspire pas tout mon chéri, gardes-en pour le bébé

    Je lapais sa chatte poilue et souillée, ma langue fouillant le vagin remontant au clito que j'aspirais fort

    - OOh Mon chéri que c'est bon continu;

    Je me déchainais dans un bruit glauque de sucions, je me disait que là j'étais bon au moins

    Elle eu un orgasme puissant - m'appuyant violemment la tête contre sa chatte les cuisses serrées et tremblantes.

     

    Ce petit cinéma reprit la fois suivante, mais là elle me dit qu'il fallait mieux la faire jouir avant avec ma langue pour ne pas compromettre la fécondation du bébé. Je la prenais donc ainsi, après son orgasme la bouche barbouillé de sa mouille, je jouissais en quelque aller-retours minablement, comme une conclusion, alors que ça aurait du être le plat principal.

     

    Mon égo était à sa place, je me retrouvais ridicule à chaque fois, mais cela me plaisait paradoxalement, si bien que je commençais à surfer sur les site d'humiliation du petit pénis, de plus en plus, et bien sur à regarder des vidéos de cocufiage, de chasteté... je m'engouffrais avec toute la perdition que cela suppose dans ce fétichisme pour l'humiliation puis la domination féminine, la féminisation des fiottes, le candaulisme, l'interracial, auto convaincu que je ne la méritais pas...ma queue en main.

     

    Elle de son côté (je l'appris plus tard) alla se renseigner sur internet, et surtout auprès de sa copine Karine, sa grande copine à laquelle elle disait tout et qui avait une grand influence sur elle...

     

    Vint le jour du second rendez-vous chez la gynécologue, que j'appréhendait beaucoup.

    Elle nous reçu dans son cabinet avec une grand sourire pour elle de compassion et une poignée de main froide à mon sujet sans regard.

    Ce fut très étrange car durant la conversation, elles firent toutes deux comme si je n'étais pas là.

     

    -Alors voilà dit elle comme je vous l'ai dit la dernière fois la taille du sexe de votre mari importe peu dans votre problème de fertilité.

    Ma femme se retourna vers moi avec un regard compatissant,

    En fait, il y a un autre problème, le sperme de votre mari est très peu fertile, 

    -Ah oh... mince, en plus ! - dit ma femme

    Oui, il éjacule en petite quantité et en plus le sperme est peu concentré,

    Cloué sur ma chaise de stupeur, je baissais les yeux.

    Ma femme se retourna vers moi cette fois avec un regard sombre

    -Décidément la nature l'a peu gâté

    La gynéco éclata de rire.

    Oui ! oh oh ! mon Dieu mieux vaut en rire... que pleurer

    Une érection fulgurante saisie mon pénis.

    Je bredouillait un truc inintelligible

    Oui bon Monsieur pourriez -vous nous laisser quelque instant que je parle à votre femme.

    Je ne pouvais me lever, elle insista, je fini par le faire masquant comme je pouvais mon émoi, mais cela n'échappa à cette professionnelle qui fit une moue moqueuse à mon égard.

    Je me retrouvais dans le couloir sur la chaise d'attente les mains sur mon visage, me disant que vraiment là je touchais le fond et que mon mariage était foutu, le coeur même des désirs les plus profond de ma femme, enfanter, était remis en cause par mes disfonctions.

    Je tentais d'écouter mais seule des bribes me parvenaient.

    Ça va être dur... bla bla sous membré.....stimulation difficile...

     

    Dans la voiture du retour ma femme me dit 

    -Il ne manquait plus que ça...

    Je m'excusais, de ce que la nature m'avait donné,

    Elle me dit sèchement que si elle avait su, ma quasi infertilité, malgré son amour,  elle ne se serait peu être pas mise avec moi.. Que faire des enfants c'était son but principal dans la vie...Me reprochant de l'avoir mener en bateau avec ma soi-disant normalité.

    Une grande émotion m'envahi et je me mis à pleurer à chaude larmes, bredouillant des excuses -je ne voulais pas te mentir; mais tu sais, snif c'est dur pour moi d'être comme cela snif.

    Je pensais que là , elle s'apitoierais...

    -Pas si dur dit elle, la gynéco m'a dit que tu bandais au sortir du cabinet,    tu te rend compte tu bandes à l'idée d'être incapable! à l'idée qu'on ne pourra peut-être pas faire d'enfant! mais c'est quoi ton problème ?

    Je redoublais dans les sanglots

    ..Je suis un minable en fait chérie, heuu heuuu....sniff ... j'aime être humilié en fait je crois, sniff .... c'est en dehors de ma volonté,

    - Humilié à bravo, voilà que je suis avec une chiffe molle, une tapette en fait, mon Dieu comment veux tu maintenant que je te considère, tu es vraiment bizarre.

    La conversation s'arrêta là... la semaine passait vite et ma femme me parlait à peine que pour l'essentiel, je manifestais bien un soir l'envie d'un câlin.. Mais elle me repoussa en disant que ça n'était ni le moment, ni clair dans son esprit.

    Puis un soir elle m'attendait assise à mon retour du travail, l'air furieuse

    Ça va ? lui demandais-je penaud 

    -Non ca va pas, me dit -elle, à genoux devant moi s'il te plait ..

    Je du faire une tête ébahie, d'ailleurs ces mots n'avaient pas encore construit une réponse chez moi , que je reçu une gifle très violentes, qui conjuguée à la conscience de la situation me fit monter les larmes aux yeux, et fléchir ma posture, pour enfin tomber à genoux devant elle.

    -Dit donc mon salaud, non seulement je suis avec un sous homme à petite bite, éjaculateur précoce qui ne peux pas faire d'enfant mais en plus un vrai pervers...

    -Co...; Comment ça ? balbutiège

     

    -Tu me mens depuis toujours à me faire croire que tu es normal... mon dieu mais pourquoi je suis tombé sur toi (dit elle levant les yeux au ciel), tu ne me fait pas jouir, tu pleurniches maintenant tout le temps et en plus ... EN plus j'ai été voir tes historiques sur ton ordi... ! Mon dieu mais c'est quoi tout ca t'es anormal, toutes ces perversités ! C'est ca qui te plait ...?

    Je baissais les yeux n'osant plus la regarder, en imaginant cette fille si propre, si saine et prude, en train de découvrir toutes les horreurs auxquelles je m'adonnais, toute cette saleté que..;

    - Répond !

    -...... J'ouvrais la bouche mais rien ne sortait...

    Je ne savais quoi lui dire et  comment justifier toutes cette sombre part de moi. Je comprenais d'un coup que je ne la méritait pas, qu'une fille comme elle se trouvait dans une impasse avec moi, sordide...

     

    Puis je reçu une gifle..;  puis une autre  -

    - Salaud, salaud, lopette, minable, !

    Les coups pleuvaient, poing claques,  elle devenait hystérique, j'entrevoyais son regard noir et déterminé à me faire mal, puis dans ce tourment et dans ses insultes criées à ma face - Tapette, sous-homme, salaud

    Et ce fut des coups de pieds, elle continuait à me taper en visant maintenant mon entre jambe, je criais sous les coups, elle fit mouche à deux reprises, je me roulais par terre, en chien de fusil, la douleur fulgurante dans mes parties me remontait à la gorge.

    Puis ce fut le calme après la tempête, elle essoufflée, s'était écroulée dans le fauteuil, les jambes écartées, l'expression de colère de son visage prit une allure plus étrange, teintée de perversité. Là dans mon regard trouble de larmes, lové à ses pieds, je vis que sa main était sous sa jupe, compressé sur son pubis.. l'autre main mordue par sa bouche pour taire ce que je pris pour de la rage contenue et qui se révélait être un orgasme qui secoua tout son corps.

    Je n'osais bouger ni même la regarder, ainsi passa un temps.... je l'entendais bouger ,

    Puis elle me dit - viens faire ton devoir, j'ouvrais les yeux et me redressais sur mes mains et je la vis, jambe ouvertes sans culotte, un doigt visant sa motte poilue,

    -T'es bon qu'a ca.. n'est ce pas ?

    EUh ; je ..

    -Tais-toi 

    Je fourrais ma tête entre ses cuisses chaudes comme heureux d'être en communication à nouveau, ma langue trouva une chattes poilue, chargée de mouille et parfumé de sa journée de travail. Je la lapais et m'appliquais entre son clito et les grandes lèvres puis le puits ou j'enfonçais de temps en temps au plus profond ma langue, j'aspirais ses sécrétions, mon nez aussi s'engluait de tous son désir et participait aux ébats, elle gloussait au dessus de moi me maintenant fermement la tête.  

    Puis elle m'attrapa par les oreilles et me compressa la bouche sur sa vulve, agitant ma tête comme un vulgaire objet de jouissance je suivais le rythme au mieux pour soulager ma douleur ,, je n'étais plus maitre de son plaisir, elle reprenait les rennes, faisant de moi un pur objet sexuel. Elle cria cette fois son orgasme et ses cuisses me compressèrent la tête violemment le nez dans sa chatte, elle croisa les genoux autour de ma tête comprimant ma respiration.

    MmmHh MMhhh;

    Elle me libéra à la limite de l'étouffement, je me renversais en arrière demi inconscient.

    -C'est fini entre nous

    Oh non non s'il te plait je t'aime, tout allait bien jusqu'a présent... Je t'offre une belle vie , tu n'as pas à travailler..On a une maison.

    - Oui mais maintenant je veux des enfants.. et tu es incapable de m'en donner..

    Non mais on va y arriver et puis on peux essayer les FIV je me suis renseigné...

    -Moi aussi, je me suis renseigné auprès de Karine et de la gynéco figure toi..

    Tu es un amant misérable et tes perversions font de toi un sous-homme maintenant à mes yeux.

    Ecoute moi bien.. Jamais je ne donnerais à mes enfants tes gènes de pervert et de petite bite.. Tu imagines un fils avec tes attributs et ta perversité ? Tu imagines ?

    euh.; aff oui je vois ce que tu veux dire..

    -Ya rien a voir plutôt ou pas assez ! Dit-elle dans un éclat de rire nerveux.

    Ecoute d'après Karine, je peux te laisser vivre à mes côté mais à la condition que tu te soumettes à moi, c'est après tout une part de tes fantasmes?

    - Est-tu d'accord ?

    oui... oui bien sur Marisa, je ferais tout ce que tu veux.

    - Oui ... un sourire de ravissement envahie sa face - c'est bien mon chéri

    - A partir de maintenant tout va changer 

    - D'abord tu vas mettre ça....

    Elle me jeta une boite  sur laquelle je vi une photo de cage de chasteté en métal,

    va la mettre et revient à poil te mettre à genoux devant moi ...

     

    Je pris la boite avec curiosité et un peu crainte et de désespoir, je partais dans la salle de bain mettre avec difficulté la cage, ca me prit un certain temps surtout pour rassembler l'étui pénien à l'anneaux des bourses ,  la situation stimulant mon érection je me passais sous l'eau froide, je clippais enfin le cadenas et prenais la clef.

    je revenais penaud devant elle les yeux baissés n'osant la regarder, je me mis à genoux

    du bout du pied, elle titilla ma petite bite prisonnière, faisant teinter le métal du bout de son escarpin.

    - A voilà ! elle est à sa place, trop mignon, 

    - Donnes moi la clef . Je vais de dire ce qui t'attends si tu veux que l'on reste ensemble,

    - D'abord tu m'appelles Madame, en privé, toujours, pour les autres en dehors on est un couple normal, Je ne te libèrerais qu'une fois par mois si tu as été sérieux et je te laisserais jouir à ta convenance, mais jamais en moi tu entends .. Tu ne me pénètreras jamais plus.

    -Tu me donneras du plaisir avec ta langue uniquement, 

    Je me permettrais de prendre des amants et c'est eux qui me feront des enfants, toi tu les élèveras comme un bon père cocu et pervers. Si tu restes avec moi, tu seras en chasteté permanente, tu dormiras dans la chambre d'amis et tu n'auras plus jamais de ta vie de rapport sexuel avec moi, ni avec aucune autre une femme. Et tu seras la nounous des enfants de mes amants, mais t'inquiètes pas pour la plupart des gens ils penseront que tu es le père.  

    La révélation

    C'est ainsi que fut faite la révélation qui devait à jamais changer mon sort...quelques semaines après, lors d'un des léchages journaliers maintenant de sa chatte, je constatais l'épaisseur d'un liquide crémeux dans sa chatte souillée et trés dilatée. "tu peux voir que j'ai un amant  - ou plutôt le goûter , hein mon chéri" Levant les yeux d'un regard désespéré , je ne bronchais pas et je jouissais sous moi dans ma cage, accompagné du rire de ma femme.

    Quelques semaines plus tard, Marisa m'apprit sa grossesse...

    - Réjouis toi mon chéri, tu vas être bientôt le papa cocu de tes rêves.... imagine... tu vas dorénavant pourvoir tous les jours de ta vie, en regardant ton enfant,  t'exciter dans la cage de ton humiliation mon sous-homme !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Tout a commencé dans mon couple par une belle dégradation progressive, cela faisait neuf ans que nous étions ensemble Marisa et moi, après de long mois sans aucun rapport sexuel, elle m’apprenait qu’elle était enceinte.....

    Je l’avais connu à vingt ans et elle en avait dix huit, toujours vierge, je l’avais initié en lui laissant croire que j’avais eu une vie sexuelle épanouie avant alors que j’étais moi-même puceau et gauche avec les filles.

    Mais en plus j'étais muni d'un accessoire assez petit et avec une tendance à jouir trés rapidement à peine en elle, après quelques aller-retour.. Je lui présentais tout cela comme bien normal dans les règles de la reproduction, en lui expliquant que l'homme éjacule vite, car dans la nature, pour la survie de l'espèce, il faut que la femelle ne s'écarte pas de la copulation satisfaite, avant que le mâle eu fait son affaire. Quand à la taille de mon pénis elle ne savait pas vraiment que j'étais petit, n'ayant jamais eu d'occasion de comparer, nous n'avons jamais abordé le sujet à ma grande satisfaction.

    Ces faibles performances sexuelles, je pensais les avoir cachées dans son ignorance et sa naïveté du début, elles allaient prendre une réalité bien visible le jour ou nous avons été consulter pour notre difficulté à avoir un enfant.

    Car oui, depuis quatre ans, malgré nos rapports unilatéral bi hebdomadaire, Marisa ne tombait pas enceinte, à son grand désespoir car son horloge biologique marquait vingt huit ans et elle avait un intangible besoin d'être mère.

    La gynécologue spécialisée en fertilité des couples après avoir fait toute sorte d’examens à ma femme, nous convoqua ensemble pour aborder ma fonctionnalité de mâle et notre sexualité.

    Très autoritaire et froide, elle m’examina devant ma femme sur la chaise de gynécologie, mal à l’aise je la voyait me tripoter les couilles une à une les faire rouler dans ses doigts gantés pour voir si tout allait bien de ce côté et puis elle me décalotta mon petit pénis, un sourire un peu narquois au coin de la bouche, elle lançait à chaque étapes des « mouais mouais.. » peu convaincue ;

    -Bon tout à l’air a peu prêt normal de ce côté là… dit-elle à ma femme.

    qui me fit en retour un sourire de chien battu.

     

    Elle me dit en me tendant un gobelet gradué en plastique d’aller masturber dans une petite pièce à part pour me prélever mon sperme.

    La révélation

    Je me relevais de la chaise nu devant les deux femmes qui me regardaient, le feu au joues, j’allais m’enfermer dans la petit cabine, j’entendais à travers la porte la conversation qu’elle avait pendant ce temps avec ma femme,

     

    -Vous savez la taille du sexe importe peu quand il s’agit des enfants

    Ah bon pour quoi vous me dites cela ?

    -Parce que votre  mari à un petit sexe vous vous en rendez compte ?

    Ah bon.. ah oui - dit-elle rougissante

    -Oui, il ne doit pas vous donnez beaucoup de plaisir avec ça !,

    Euh… oui c’est vrai  - après un temps d’hésitation -  je crois que je n’ai jamais eu d’orgasme pendant nos rapports en fait docteur.

    -C’est bien ce que je pensais , mais vous avez eu déjà des orgasmes toutes seules ?

    Oui bien-sur et il me donne du plaisir parfois… autrement.

    -Bon vous me rassurez, nous les femmes avons le droit au plaisir aussi..

    Enfin après 9 ans ensemble …

    Euh …oui Docteur

    -Mais bon cela n’as pas trop de lien avec votre problème de fécondation, 

    Dans vos rapports jouit-il en vous ?

    Oui, assez souvent parfois très vite à peine entré,

    -Oui je vois le problème… bon de toute façon nous allons analyser son sperme déjà, pour voir si le soucis ne vient pas en fait de sa semence. 

     

    J’étais électrisé, en entendant ma femme se confier sous les questions un peu perverses de la gynéco qui lui faisait réaliser que j’étais un sous homme. Mon trouble se transforma en érection, mentalement je tombais si bas que cette effondrement de mon image me fit jouir minablement dans le verre en plastique gradué… 

     

    Au lit, même si je débordais de désirs, je sentais bien que je ne la satisfaisait pas vraiment, et si l’amour du début compense tout, au bout d’un moment cette frustration associé à notre manque de fertilité allait finir par détruire l’image de mâle que j’avais bâti sur son innocence.

     

    Il est vrai que mon sexe était pas dans les normes .. du moins ou juste au-dessous. Dans les vestiaires en garçons, je me cachais souvent, comme je pouvais, en voyant que je n’étais pas très bien développé de ce côté-là. Cela m’avait fait abandonner bien des sports collectifs. 

    Il mesurait 6 cm au repos et 12 en érection, un peu petit, comme dirait certaine, mais c’est surtout aussi son diamètre assez fin (2,8 cm en érection), qui me mettait bien en dessous des normes. Les normes… comme on dit « l’homme qui mesure son sexe, en a un petit », celui qui ne le fait pas c’est parce qu’il est sûr de lui.

     

    La gynéco nous donna rendez-vous une semaine après pour les résultats.

     

    Rentré à la maison ma femme aborda le problème à nouveau.

     

    -Tu sais Philippe, elle m’a dit que ton petit sexe n’avait rien à voir avec notre infertilité

    Comment ça ? j’ai pas un petit sexe ! rétorquais-je rougissant

    Mais si mon chéri la nature ne t’as pas fait de cadeau de ce côté d’après elle, mais tu sais je t’aime et ça n’a pas d’importance -  Lançât-elle le regard dans le vague.

    Une érection immédiate me pris à ses propos 

    Qu’est ce qui va pas chez moi ? je me dit intérieurement Je suis vraiment un minable ? Toutes ces années ou j'avais réussis à masquer mon petit problème arrivaient à leur termes. 

     

    Quelque jours plus tard nous faisions l'amour ou plutôt moi et elle en réceptacle concilient, elle me dit une fois en elle   - C'est vrai que je ne te sent pas tellement en moi....  - Je claquais d'autant plus fort des coups de boutoir désespérés, dans cette caverne ou j'écartais avec peine les cloisons, puis je jouissais immédiatement n'ayant pas tenue à la remarque, désespéré que cette certitude l'envahisse en même temps que mes gouttes de spermes misérables.

     

    Oui, je suis désolé ma chérie -  Dis-je en pleurnichant

    C'est pas grave mon amour tu as joui, alors pour le Bébé c'est bon !

    Oui ma chérie, et toi ? - Sachant pertinemment qu'elle n'avait rien ressenti

    Oui c'était bon ...mais court  - Il parait qu'avec cinq centimètre on peut faire des Bébés, t'en fait pas...

    Je glissais mon visage entre ses cuisses bien décider à lui donner du plaisir.

    - Oh mon chéri que fait tu ?

    T'inquiétes, je m'occupe de toi

    - Mais je suis sale.. enfin  ohh oohh, n'aspire pas tout mon chéri, gardes-en pour le bébé

    Je lapais sa chatte poilue et souillée, ma langue fouillant le vagin remontant au clito que j'aspirais fort

    - OOh Mon chéri que c'est bon continu;

    Je me déchainais dans un bruit glauque de sucions, je me disait que là j'étais bon au moins

    Elle eu un orgasme puissant - m'appuyant violemment la tête contre sa chatte les cuisses serrées et tremblantes.

     

    Ce petit cinéma reprit la fois suivante, mais là elle me dit qu'il fallait mieux la faire jouir avant avec ma langue pour ne pas compromettre la fécondation du bébé. Je la prenais donc ainsi, après son orgasme la bouche barbouillé de sa mouille, je jouissais en quelque aller-retours minablement, comme une conclusion, alors que ça aurait du être le plat principal.

     

    Mon égo était à sa place, je me retrouvais ridicule à chaque fois, mais cela me plaisait paradoxalement, si bien que je commençais à surfer sur les site d'humiliation du petit pénis, de plus en plus, et bien sur à regarder des vidéos de cocufiage, de chasteté... je m'engouffrais avec toute la perdition que cela suppose dans ce fétichisme pour l'humiliation puis la domination féminine, la féminisation des fiottes, le candaulisme, l'interracial, auto convaincu que je ne la méritais pas...ma queue en main.

     

    Elle de son côté (je l'appris plus tard) alla se renseigner sur internet, et surtout auprès de sa copine Karine, sa grande copine à laquelle elle disait tout et qui avait une grand influence sur elle...

     

    Vint le jour du second rendez-vous chez la gynécologue, que j'appréhendait beaucoup.

    Elle nous reçu dans son cabinet avec une grand sourire pour elle de compassion et une poignée de main froide à mon sujet sans regard.

    Ce fut très étrange car durant la conversation, elles firent toutes deux comme si je n'étais pas là.

     

    -Alors voilà dit elle comme je vous l'ai dit la dernière fois la taille du sexe de votre mari importe peu dans votre problème de fertilité.

    Ma femme se retourna vers moi avec un regard compatissant,

    En fait, il y a un autre problème, le sperme de votre mari est très peu fertile, 

    -Ah oh... mince, en plus ! - dit ma femme

    Oui, il éjacule en petite quantité et en plus le sperme est peu concentré,

    Cloué sur ma chaise de stupeur, je baissais les yeux.

    Ma femme se retourna vers moi cette fois avec un regard sombre

    -Décidément la nature l'a peu gâté

    La gynéco éclata de rire.

    Oui ! oh oh ! mon Dieu mieux vaut en rire... que pleurer

    Une érection fulgurante saisie mon pénis.

    Je bredouillait un truc inintelligible

    Oui bon Monsieur pourriez -vous nous laisser quelque instant que je parle à votre femme.

    Je ne pouvais me lever, elle insista, je fini par le faire masquant comme je pouvais mon émoi, mais cela n'échappa à cette professionnelle qui fit une moue moqueuse à mon égard.

    Je me retrouvais dans le couloir sur la chaise d'attente les mains sur mon visage, me disant que vraiment là je touchais le fond et que mon mariage était foutu, le coeur même des désirs les plus profond de ma femme, enfanter, était remis en cause par mes disfonctions.

    Je tentais d'écouter mais seule des bribes me parvenaient.

    Ça va être dur... bla bla sous membré.....stimulation difficile...

     

    Dans la voiture du retour ma femme me dit 

    -Il ne manquait plus que ça...

    Je m'excusais, de ce que la nature m'avait donné,

    Elle me dit sèchement que si elle avait su, ma quasi infertilité, malgré son amour,  elle ne se serait peu être pas mise avec moi.. Que faire des enfants c'était son but principal dans la vie...Me reprochant de l'avoir mener en bateau avec ma soi-disant normalité.

    Une grande émotion m'envahi et je me mis à pleurer à chaude larmes, bredouillant des excuses -je ne voulais pas te mentir; mais tu sais, snif c'est dur pour moi d'être comme cela snif.

    Je pensais que là , elle s'apitoierais...

    -Pas si dur dit elle, la gynéco m'a dit que tu bandais au sortir du cabinet,    tu te rend compte tu bandes à l'idée d'être incapable! à l'idée qu'on ne pourra peut-être pas faire d'enfant! mais c'est quoi ton problème ?

    Je redoublais dans les sanglots

    ..Je suis un minable en fait chérie, heuu heuuu....sniff ... j'aime être humilié en fait je crois, sniff .... c'est en dehors de ma volonté,

    - Humilié à bravo, voilà que je suis avec une chiffe molle, une tapette en fait, mon Dieu comment veux tu maintenant que je te considère, tu es vraiment bizarre.

    La conversation s'arrêta là... la semaine passait vite et ma femme me parlait à peine que pour l'essentiel, je manifestais bien un soir l'envie d'un câlin.. Mais elle me repoussa en disant que ça n'était ni le moment, ni clair dans son esprit.

    Puis un soir elle m'attendait assise à mon retour du travail, l'air furieuse

    Ça va ? lui demandais-je penaud 

    -Non ca va pas, me dit -elle, à genoux devant moi s'il te plait ..

    Je du faire une tête ébahie, d'ailleurs ces mots n'avaient pas encore construit une réponse chez moi , que je reçu une gifle très violentes, qui conjuguée à la conscience de la situation me fit monter les larmes aux yeux, et fléchir ma posture, pour enfin tomber à genoux devant elle.

    -Dit donc mon salaud, non seulement je suis avec un sous homme à petite bite, éjaculateur précoce qui ne peux pas faire d'enfant mais en plus un vrai pervers...

    -Co...; Comment ça ? balbutiège

     

    -Tu me mens depuis toujours à me faire croire que tu es normal... mon dieu mais pourquoi je suis tombé sur toi (dit elle levant les yeux au ciel), tu ne me fait pas jouir, tu pleurniches maintenant tout le temps et en plus ... EN plus j'ai été voir tes historiques sur ton ordi... ! Mon dieu mais c'est quoi tout ca t'es anormal, toutes ces perversités ! C'est ca qui te plait ...?

    Je baissais les yeux n'osant plus la regarder, en imaginant cette fille si propre, si saine et prude, en train de découvrir toutes les horreurs auxquelles je m'adonnais, toute cette saleté que..;

    - Répond !

    -...... J'ouvrais la bouche mais rien ne sortait...

    Je ne savais quoi lui dire et  comment justifier toutes cette sombre part de moi. Je comprenais d'un coup que je ne la méritait pas, qu'une fille comme elle se trouvait dans une impasse avec moi, sordide...

     

    Puis je reçu une gifle..;  puis une autre  -

    - Salaud, salaud, lopette, minable, !

    Les coups pleuvaient, poing claques,  elle devenait hystérique, j'entrevoyais son regard noir et déterminé à me faire mal, puis dans ce tourment et dans ses insultes criées à ma face - Tapette, sous-homme, salaud

    Et ce fut des coups de pieds, elle continuait à me taper en visant maintenant mon entre jambe, je criais sous les coups, elle fit mouche à deux reprises, je me roulais par terre, en chien de fusil, la douleur fulgurante dans mes parties me remontait à la gorge.

    Puis ce fut le calme après la tempête, elle essoufflée, s'était écroulée dans le fauteuil, les jambes écartées, l'expression de colère de son visage prit une allure plus étrange, teintée de perversité. Là dans mon regard trouble de larmes, lové à ses pieds, je vis que sa main était sous sa jupe, compressé sur son pubis.. l'autre main mordue par sa bouche pour taire ce que je pris pour de la rage contenue et qui se révélait être un orgasme qui secoua tout son corps.

    Je n'osais bouger ni même la regarder, ainsi passa un temps.... je l'entendais bouger ,

    Puis elle me dit - viens faire ton devoir, j'ouvrais les yeux et me redressais sur mes mains et je la vis, jambe ouvertes sans culotte, un doigt visant sa motte poilue,

    -T'es bon qu'a ca.. n'est ce pas ?

    EUh ; je ..

    -Tais-toi 

    Je fourrais ma tête entre ses cuisses chaudes comme heureux d'être en communication à nouveau, ma langue trouva une chattes poilue, chargée de mouille et parfumé de sa journée de travail. Je la lapais et m'appliquais entre son clito et les grandes lèvres puis le puits ou j'enfonçais de temps en temps au plus profond ma langue, j'aspirais ses sécrétions, mon nez aussi s'engluait de tous son désir et participait aux ébats, elle gloussait au dessus de moi me maintenant fermement la tête.  

    Puis elle m'attrapa par les oreilles et me compressais la bouche sur elle, agitant ma tête comme un vulgaire objet de jouissance je suivais le rythme au mieux pour soulager ma douleur ,, je n'étais plus maitre de son plaisir elle reprenait les rennes, faisant de moi un pur objet sexuel. Elle cria cette fois son orgasme et ses cuisses me compressèrent la tête violemment le nez dans sa chatte, elle croisa les genoux autour de ma tête comprimant ma respiration.

    MmmHh MMhhh;

    Elle me libéra à la limite de l'étouffement, je me renversais en arrière demi inconscient.

    -C'est fini entre nous

    Oh non non s'il te plait je t'aime, tout allait bien jusqu'a présent... Je t'offre une belle vie , tu n'as pas à travailler..On a une maison.

    - Oui mais maintenant je veux des enfants.. et tu es incapable de m'en donner..

    Non mais on va y arriver et puis on peux essayer les FIV je me suis renseigné...

    -Moi aussi, je me suis renseigné auprès de Karine et de la gynéco figure toi..

    Tu es un amant misérable et tes perversions font de toi un sous-homme maintenant à mes yeux.

    Ecoute moi bien.. Jamais je ne donnerais à mes enfants tes gènes de pervert et de petite bite.. Tu imagines un fils avec tes attributs et ta perversité ? Tu imagines ?

    euh.; aff oui je vois ce que tu veux dire..

    -Ya rien a voir plutôt ou pas assez ! Dit-elle dans un éclat de rire nerveux.

    Ecoute d'après Karine, je peux te laisser vivre à mes côté mais à la condition que tu te soumettes à moi, c'est après tout une part de tes fantasmes?

    - Est-tu d'accord ?

    oui... oui bien sur Karine je ferais tout ce que tu veux.

    - Oui ... un sourire de ravissement envahie sa face - c'est bien mon chéri

    - A partir de maintenant tout va changer 

    - D'abord tu vas mettre ca....

    Elle me jeta une boite  sur laquelle je vi une photo de cage de chasteté en métal,

    va la mettre et revient à poil te mettre à genoux devant moi ...

     

    Je pris la boite avec curiosité et un peu crainte et de désespoir, je partais dans la salle de bain mettre avec difficulté la cage, ca me prit un certain temps surtout pour rassembler l'étui pénien à l'anneaux des bourses ,  la situation stimulant mon érection je me passais sous l'eau froide, je clippais enfin le cadenas et prenais la clef.

    je revenais penaud devant elle les yeux baissés n'osant la regarder, je me mis à genoux

    du bout du pied, elle titilla ma petite bite prisonnière, faisant teinter le métal du bout de son escarpin.

    - A voilà ! elle est à sa place, trop mignon, 

    - Donnes moi la clef . Je vais de dire ce qui t'attends si tu veux que l'on reste ensemble,

    - D'abord tu m'appelles Madame, en privé, toujours, pour les autres en dehors on est un couple normal, Je ne te libèrerais qu'une fois par mois si tu as été sérieux et je te laisserais jouir à ta convenance, mais jamais en moi tu entends .. Tu ne me pénètreras jamais plus.

    -Tu me donneras du plaisir avec ta langue uniquement, 

    Je me permettrais de prendre des amants et c'est eux qui me feront des enfants, toi tu les élèveras comme un bon père cocu et pervers. Si tu restes avec moi, tu seras en chasteté permanente, tu dormiras dans la chambre d'amis et tu n'auras plus jamais de ta vie de rapport sexuel avec moi, ni avec aucune autre une femme. Et tu seras la nounous des enfants de mes amants, mais t'inquiètes pas pour la plupart des gens ils penseront que tu es le père.  

    La révélation

    C'est ainsi que fut faite la révélation qui devait à jamais changer mon sort...quelques semaines après, lors d'un des léchages journaliers maintenant de sa chatte, je constatais l'épaisseur d'un liquide crémeux dans sa chatte souillée et trés dilatée. "tu peux voir que j'ai un amant  - ou plutôt le goûter , hein mon chéri" Levant les yeux d'un regard désespéré , je ne bronchais pas et je jouissais sous moi dans ma cage, accompagné du rire de ma femme.

    Quelques semaines plus tard, elle m'apprit sa grossesse...

    - Réjouis toi mon chéri, tu vas être bientôt le papa cocu de tes rêves.... imagine... tu vas dorénavant pourvoir tous les jours de ta vie, en regardant ton enfant,  t'exciter dans la cage de ton humiliation mon sous-homme !

     

     

     

     

     

     Tout a commencé dans mon couple par une belle dégradation progressive, cela faisait neuf ans que nous étions ensemble Marisa et moi, après de long mois sans aucun rapport sexuel, elle m’apprenait qu’elle était enceinte.....

    Je l’avais connu à vingt ans et elle en avait dix huit, toujours vierge, je l’avais initié en lui laissant croire que j’avais eu une vie sexuelle épanouie avant alors que j’étais moi-même puceau et gauche avec les filles.

    Mais en plus j'étais muni d'un accessoire assez petit et avec une tendance à jouir trés rapidement à peine en elle, après quelques aller-retour.. Je lui présentais tout cela comme bien normal dans les règles de la reproduction, en lui expliquant que l'homme éjacule vite, car dans la nature, pour la survie de l'espèce, il faut que la femelle ne s'écarte pas de la copulation satisfaite, avant que le mâle eu fait son affaire. Quand à la taille de mon pénis elle ne savait pas vraiment que j'étais petit, n'ayant jamais eu d'occasion de comparer, nous n'avons jamais abordé le sujet à ma grande satisfaction.

    Ces faibles performances sexuelles, je pensais les avoir cachées dans son ignorance et sa naïveté du début, elles allaient prendre une réalité bien visible le jour ou nous avons été consulter pour notre difficulté à avoir un enfant.

    Car oui, depuis quatre ans, malgré nos rapports unilatéral bi hebdomadaire, Marisa ne tombait pas enceinte, à son grand désespoir car son horloge biologique marquait vingt huit ans et elle avait un intangible besoin d'être mère.

    La gynécologue spécialisée en fertilité des couples après avoir fait toute sorte d’examens à ma femme, nous convoqua ensemble pour aborder ma fonctionnalité de mâle et notre sexualité.

    Très autoritaire et froide, elle m’examina devant ma femme sur la chaise de gynécologie, mal à l’aise je la voyait me tripoter les couilles une à une les faire rouler dans ses doigts gantés pour voir si tout allait bien de ce côté et puis elle me décalotta mon petit pénis, un sourire un peu narquois au coin de la bouche, elle lançait à chaque étapes des « mouais mouais.. » peu convaincue ;

    -Bon tout à l’air a peu prêt normal de ce côté là… dit-elle à ma femme.

    qui me fit en retour un sourire de chien battu.

     

    Elle me dit en me tendant un gobelet gradué en plastique d’aller masturber dans une petite pièce à part pour me prélever mon sperme.

    La révélation

    Je me relevais de la chaise nu devant les deux femmes qui me regardaient, le feu au joues, j’allais m’enfermer dans la petit cabine, j’entendais à travers la porte la conversation qu’elle avait pendant ce temps avec ma femme,

     

    -Vous savez la taille du sexe importe peu quand il s’agit des enfants

    Ah bon pour quoi vous me dites cela ?

    -Parce que votre  mari à un petit sexe vous vous en rendez compte ?

    Ah bon.. ah oui - dit-elle rougissante

    -Oui, il ne doit pas vous donnez beaucoup de plaisir avec ça !,

    Euh… oui c’est vrai  - après un temps d’hésitation -  je crois que je n’ai jamais eu d’orgasme pendant nos rapports en fait docteur.

    -C’est bien ce que je pensais , mais vous avez eu déjà des orgasmes toutes seules ?

    Oui bien-sur et il me donne du plaisir parfois… autrement.

    -Bon vous me rassurez, nous les femmes avons le droit au plaisir aussi..

    Enfin après 9 ans ensemble …

    Euh …oui Docteur

    -Mais bon cela n’as pas trop de lien avec votre problème de fécondation, 

    Dans vos rapports jouit-il en vous ?

    Oui, assez souvent parfois très vite à peine entré,

    -Oui je vois le problème… bon de toute façon nous allons analyser son sperme déjà, pour voir si le soucis ne vient pas en fait de sa semence. 

     

    J’étais électrisé, en entendant ma femme se confier sous les questions un peu perverses de la gynéco qui lui faisait réaliser que j’étais un sous homme. Mon trouble se transforma en érection, mentalement je tombais si bas que cette effondrement de mon image me fit jouir minablement dans le verre en plastique gradué… 

     

    Au lit, même si je débordais de désirs, je sentais bien que je ne la satisfaisait pas vraiment, et si l’amour du début compense tout, au bout d’un moment cette frustration associé à notre manque de fertilité allait finir par détruire l’image de mâle que j’avais bâti sur son innocence.

     

    Il est vrai que mon sexe était pas dans les normes .. du moins ou juste au-dessous. Dans les vestiaires en garçons, je me cachais souvent, comme je pouvais, en voyant que je n’étais pas très bien développé de ce côté-là. Cela m’avait fait abandonner bien des sports collectifs. 

    Il mesurait 6 cm au repos et 12 en érection, un peu petit, comme dirait certaine, mais c’est surtout aussi son diamètre assez fin (2,8 cm en érection), qui me mettait bien en dessous des normes. Les normes… comme on dit « l’homme qui mesure son sexe, en a un petit », celui qui ne le fait pas c’est parce qu’il est sûr de lui.

     

    La gynéco nous donna rendez-vous une semaine après pour les résultats.

     

    Rentré à la maison ma femme aborda le problème à nouveau.

     

    -Tu sais Philippe, elle m’a dit que ton petit sexe n’avait rien à voir avec notre infertilité

    Comment ça ? j’ai pas un petit sexe ! rétorquais-je rougissant

    Mais si mon chéri la nature ne t’as pas fait de cadeau de ce côté d’après elle, mais tu sais je t’aime et ça n’a pas d’importance -  Lançât-elle le regard dans le vague.

    Une érection immédiate me pris à ses propos 

    Qu’est ce qui va pas chez moi ? je me dit intérieurement Je suis vraiment un minable ? Toutes ces années ou j'avais réussis à masquer mon petit problème arrivaient à leur termes. 

     

    Quelque jours plus tard nous faisions l'amour ou plutôt moi et elle en réceptacle concilient, elle me dit une fois en elle   - C'est vrai que je ne te sent pas tellement en moi....  - Je claquais d'autant plus fort des coups de boutoir désespérés, dans cette caverne ou j'écartais avec peine les cloisons, puis je jouissais immédiatement n'ayant pas tenue à la remarque, désespéré que cette certitude l'envahisse en même temps que mes gouttes de spermes misérables.

     

    Oui, je suis désolé ma chérie -  Dis-je en pleurnichant

    C'est pas grave mon amour tu as joui, alors pour le Bébé c'est bon !

    Oui ma chérie, et toi ? - Sachant pertinemment qu'elle n'avait rien ressenti

    Oui c'était bon ...mais court  - Il parait qu'avec cinq centimètre on peut faire des Bébés, t'en fait pas...

    Je glissais mon visage entre ses cuisses bien décider à lui donner du plaisir.

    - Oh mon chéri que fait tu ?

    T'inquiétes, je m'occupe de toi

    - Mais je suis sale.. enfin  ohh oohh, n'aspire pas tout mon chéri, gardes-en pour le bébé

    Je lapais sa chatte poilue et souillée, ma langue fouillant le vagin remontant au clito que j'aspirais fort

    - OOh Mon chéri que c'est bon continu;

    Je me déchainais dans un bruit glauque de sucions, je me disait que là j'étais bon au moins

    Elle eu un orgasme puissant - m'appuyant violemment la tête contre sa chatte les cuisses serrées et tremblantes.

     

    Ce petit cinéma reprit la fois suivante, mais là elle me dit qu'il fallait mieux la faire jouir avant avec ma langue pour ne pas compromettre la fécondation du bébé. Je la prenais donc ainsi, après son orgasme la bouche barbouillé de sa mouille, je jouissais en quelque aller-retours minablement, comme une conclusion, alors que ça aurait du être le plat principal.

     

    Mon égo était à sa place, je me retrouvais ridicule à chaque fois, mais cela me plaisait paradoxalement, si bien que je commençais à surfer sur les site d'humiliation du petit pénis, de plus en plus, et bien sur à regarder des vidéos de cocufiage, de chasteté... je m'engouffrais avec toute la perdition que cela suppose dans ce fétichisme pour l'humiliation puis la domination féminine, la féminisation des fiottes, le candaulisme, l'interracial, auto convaincu que je ne la méritais pas...ma queue en main.

     

    Elle de son côté (je l'appris plus tard) alla se renseigner sur internet, et surtout auprès de sa copine Karine, sa grande copine à laquelle elle disait tout et qui avait une grand influence sur elle...

     

    Vint le jour du second rendez-vous chez la gynécologue, que j'appréhendait beaucoup.

    Elle nous reçu dans son cabinet avec une grand sourire pour elle de compassion et une poignée de main froide à mon sujet sans regard.

    Ce fut très étrange car durant la conversation, elles firent toutes deux comme si je n'étais pas là.

     

    -Alors voilà dit elle comme je vous l'ai dit la dernière fois la taille du sexe de votre mari importe peu dans votre problème de fertilité.

    Ma femme se retourna vers moi avec un regard compatissant,

    En fait, il y a un autre problème, le sperme de votre mari est très peu fertile, 

    -Ah oh... mince, en plus ! - dit ma femme

    Oui, il éjacule en petite quantité et en plus le sperme est peu concentré,

    Cloué sur ma chaise de stupeur, je baissais les yeux.

    Ma femme se retourna vers moi cette fois avec un regard sombre

    -Décidément la nature l'a peu gâté

    La gynéco éclata de rire.

    Oui ! oh oh ! mon Dieu mieux vaut en rire... que pleurer

    Une érection fulgurante saisie mon pénis.

    Je bredouillait un truc inintelligible

    Oui bon Monsieur pourriez -vous nous laisser quelque instant que je parle à votre femme.

    Je ne pouvais me lever, elle insista, je fini par le faire masquant comme je pouvais mon émoi, mais cela n'échappa à cette professionnelle qui fit une moue moqueuse à mon égard.

    Je me retrouvais dans le couloir sur la chaise d'attente les mains sur mon visage, me disant que vraiment là je touchais le fond et que mon mariage était foutu, le coeur même des désirs les plus profond de ma femme, enfanter, était remis en cause par mes disfonctions.

    Je tentais d'écouter mais seule des bribes me parvenaient.

    Ça va être dur... bla bla sous membré.....stimulation difficile...

     

    Dans la voiture du retour ma femme me dit 

    -Il ne manquait plus que ça...

    Je m'excusais, de ce que la nature m'avait donné,

    Elle me dit sèchement que si elle avait su, ma quasi infertilité, malgré son amour,  elle ne se serait peu être pas mise avec moi.. Que faire des enfants c'était son but principal dans la vie...Me reprochant de l'avoir mener en bateau avec ma soi-disant normalité.

    Une grande émotion m'envahi et je me mis à pleurer à chaude larmes, bredouillant des excuses -je ne voulais pas te mentir; mais tu sais, snif c'est dur pour moi d'être comme cela snif.

    Je pensais que là , elle s'apitoierais...

    -Pas si dur dit elle, la gynéco m'a dit que tu bandais au sortir du cabinet,    tu te rend compte tu bandes à l'idée d'être incapable! à l'idée qu'on ne pourra peut-être pas faire d'enfant! mais c'est quoi ton problème ?

    Je redoublais dans les sanglots

    ..Je suis un minable en fait chérie, heuu heuuu....sniff ... j'aime être humilié en fait je crois, sniff .... c'est en dehors de ma volonté,

    - Humilié à bravo, voilà que je suis avec une chiffe molle, une tapette en fait, mon Dieu comment veux tu maintenant que je te considère, tu es vraiment bizarre.

    La conversation s'arrêta là... la semaine passait vite et ma femme me parlait à peine que pour l'essentiel, je manifestais bien un soir l'envie d'un câlin.. Mais elle me repoussa en disant que ça n'était ni le moment, ni clair dans son esprit.

    Puis un soir elle m'attendait assise à mon retour du travail, l'air furieuse

    Ça va ? lui demandais-je penaud 

    -Non ca va pas, me dit -elle, à genoux devant moi s'il te plait ..

    Je du faire une tête ébahie, d'ailleurs ces mots n'avaient pas encore construit une réponse chez moi , que je reçu une gifle très violentes, qui conjuguée à la conscience de la situation me fit monter les larmes aux yeux, et fléchir ma posture, pour enfin tomber à genoux devant elle.

    -Dit donc mon salaud, non seulement je suis avec un sous homme à petite bite, éjaculateur précoce qui ne peux pas faire d'enfant mais en plus un vrai pervers...

    -Co...; Comment ça ? balbutiège

     

    -Tu me mens depuis toujours à me faire croire que tu es normal... mon dieu mais pourquoi je suis tombé sur toi (dit elle levant les yeux au ciel), tu ne me fait pas jouir, tu pleurniches maintenant tout le temps et en plus ... EN plus j'ai été voir tes historiques sur ton ordi... ! Mon dieu mais c'est quoi tout ca t'es anormal, toutes ces perversités ! C'est ca qui te plait ...?

    Je baissais les yeux n'osant plus la regarder, en imaginant cette fille si propre, si saine et prude, en train de découvrir toutes les horreurs auxquelles je m'adonnais, toute cette saleté que..;

    - Répond !

    -...... J'ouvrais la bouche mais rien ne sortait...

    Je ne savais quoi lui dire et  comment justifier toutes cette sombre part de moi. Je comprenais d'un coup que je ne la méritait pas, qu'une fille comme elle se trouvait dans une impasse avec moi, sordide...

     

    Puis je reçu une gifle..;  puis une autre  -

    - Salaud, salaud, lopette, minable, !

    Les coups pleuvaient, poing claques,  elle devenait hystérique, j'entrevoyais son regard noir et déterminé à me faire mal, puis dans ce tourment et dans ses insultes criées à ma face - Tapette, sous-homme, salaud

    Et ce fut des coups de pieds, elle continuait à me taper en visant maintenant mon entre jambe, je criais sous les coups, elle fit mouche à deux reprises, je me roulais par terre, en chien de fusil, la douleur fulgurante dans mes parties me remontait à la gorge.

    Puis ce fut le calme après la tempête, elle essoufflée, s'était écroulée dans le fauteuil, les jambes écartées, l'expression de colère de son visage prit une allure plus étrange, teintée de perversité. Là dans mon regard trouble de larmes, lové à ses pieds, je vis que sa main était sous sa jupe, compressé sur son pubis.. l'autre main mordue par sa bouche pour taire ce que je pris pour de la rage contenue et qui se révélait être un orgasme qui secoua tout son corps.

    Je n'osais bouger ni même la regarder, ainsi passa un temps.... je l'entendais bouger ,

    Puis elle me dit - viens faire ton devoir, j'ouvrais les yeux et me redressais sur mes mains et je la vis, jambe ouvertes sans culotte, un doigt visant sa motte poilue,

    -T'es bon qu'a ca.. n'est ce pas ?

    EUh ; je ..

    -Tais-toi 

    Je fourrais ma tête entre ses cuisses chaudes comme heureux d'être en communication à nouveau, ma langue trouva une chattes poilue, chargée de mouille et parfumé de sa journée de travail. Je la lapais et m'appliquais entre son clito et les grandes lèvres puis le puits ou j'enfonçais de temps en temps au plus profond ma langue, j'aspirais ses sécrétions, mon nez aussi s'engluait de tous son désir et participait aux ébats, elle gloussait au dessus de moi me maintenant fermement la tête.  

    Puis elle m'attrapa par les oreilles et me compressais la bouche sur elle, agitant ma tête comme un vulgaire objet de jouissance je suivais le rythme au mieux pour soulager ma douleur ,, je n'étais plus maitre de son plaisir elle reprenait les rennes, faisant de moi un pur objet sexuel. Elle cria cette fois son orgasme et ses cuisses me compressèrent la tête violemment le nez dans sa chatte, elle croisa les genoux autour de ma tête comprimant ma respiration.

    MmmHh MMhhh;

    Elle me libéra à la limite de l'étouffement, je me renversais en arrière demi inconscient.

    -C'est fini entre nous

    Oh non non s'il te plait je t'aime, tout allait bien jusqu'a présent... Je t'offre une belle vie , tu n'as pas à travailler..On a une maison.

    - Oui mais maintenant je veux des enfants.. et tu es incapable de m'en donner..

    Non mais on va y arriver et puis on peux essayer les FIV je me suis renseigné...

    -Moi aussi, je me suis renseigné auprès de Karine et de la gynéco figure toi..

    Tu es un amant misérable et tes perversions font de toi un sous-homme maintenant à mes yeux.

    Ecoute moi bien.. Jamais je ne donnerais à mes enfants tes gènes de pervert et de petite bite.. Tu imagines un fils avec tes attributs et ta perversité ? Tu imagines ?

    euh.; aff oui je vois ce que tu veux dire..

    -Ya rien a voir plutôt ou pas assez ! Dit-elle dans un éclat de rire nerveux.

    Ecoute d'après Karine, je peux te laisser vivre à mes côté mais à la condition que tu te soumettes à moi, c'est après tout une part de tes fantasmes?

    - Est-tu d'accord ?

    oui... oui bien sur Karine je ferais tout ce que tu veux.

    - Oui ... un sourire de ravissement envahie sa face - c'est bien mon chéri

    - A partir de maintenant tout va changer 

    - D'abord tu vas mettre ca....

    Elle me jeta une boite  sur laquelle je vi une photo de cage de chasteté en métal,

    va la mettre et revient à poil te mettre à genoux devant moi ...

     

    Je pris la boite avec curiosité et un peu crainte et de désespoir, je partais dans la salle de bain mettre avec difficulté la cage, ca me prit un certain temps surtout pour rassembler l'étui pénien à l'anneaux des bourses ,  la situation stimulant mon érection je me passais sous l'eau froide, je clippais enfin le cadenas et prenais la clef.

    je revenais penaud devant elle les yeux baissés n'osant la regarder, je me mis à genoux

    du bout du pied, elle titilla ma petite bite prisonnière, faisant teinter le métal du bout de son escarpin.

    - A voilà ! elle est à sa place, trop mignon, 

    - Donnes moi la clef . Je vais de dire ce qui t'attends si tu veux que l'on reste ensemble,

    - D'abord tu m'appelles Madame, en privé, toujours, pour les autres en dehors on est un couple normal, Je ne te libèrerais qu'une fois par mois si tu as été sérieux et je te laisserais jouir à ta convenance, mais jamais en moi tu entends .. Tu ne me pénètreras jamais plus.

    -Tu me donneras du plaisir avec ta langue uniquement, 

    Je me permettrais de prendre des amants et c'est eux qui me feront des enfants, toi tu les élèveras comme un bon père cocu et pervers. Si tu restes avec moi, tu seras en chasteté permanente, tu dormiras dans la chambre d'amis et tu n'auras plus jamais de ta vie de rapport sexuel avec moi, ni avec aucune autre une femme. Et tu seras la nounous des enfants de mes amants, mais t'inquiètes pas pour la plupart des gens ils penseront que tu es le père.  

    La révélation

    C'est ainsi que fut faite la révélation qui devait à jamais changer mon sort...quelques semaines après, lors d'un des léchages journaliers maintenant de sa chatte, je constatais l'épaisseur d'un liquide crémeux dans sa chatte souillée et trés dilatée. "tu peux voir que j'ai un amant  - ou plutôt le goûter , hein mon chéri" Levant les yeux d'un regard désespéré , je ne bronchais pas et je jouissais sous moi dans ma cage, accompagné du rire de ma femme.

    Quelques semaines plus tard, elle m'apprit sa grossesse...

    - Réjouis toi mon chéri, tu vas être bientôt le papa cocu de tes rêves.... imagine... tu vas dorénavant pourvoir tous les jours de ta vie, en regardant ton enfant,  t'exciter dans la cage de ton humiliation mon sous-homme !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Mare ou peut-être plus précisément MᗩRƐ ou MAR3 est un artiste danois de 23 ans qui dessine des illustrations perverses incroyablement sexy. Sur sa page Patreon, il dit qu'il dessine une variété de pervers différents, mais ce que vous trouverez principalement sont femdom, milfs, futa, contrôle de l'orgasme, chasteté, gros seins, grosses bites, SPH, NTR, facesitting, pieds…. Beaucoup de choses extrêmement bien illustrés qui correspondent à notre sujet.....etc.

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  • Par Jgiorca

    Au cours de la sixième année de mon mariage, j'ai découvert que ma femme avait une liaison. Quelques SMS explicites mal effacés sur son téléphone ne laissaient pas de doute. Quand je l'ai confrontée, je m'attendais à ce qu'elle le nie, mais au lieu de cela, elle a admis que oui, elle avait une liaison et elle s'est mise en colère, me disant que tout était de ma faute. Que chaque fois que nous faisions l'amour, j'atteignais toujours l'orgasme trop tôt. Que je l'ai toujours laissée frustrée. Qu'elle n'a jamais été satisfaite sexuellement. Qu’elle simulait toujours ses orgasmes parce qu'elle ne voulait pas me blesser.

     

    Jusqu’à ce moment de ma vie, j’ai toujours pensé que nous avions un bon mariage et une bonne relation sexuelle. Bien sûr, le sexe est devenu routinier et prévisible, mais cela arrive dans chaque mariage, mais là en fait c’était depuis le début. Elle simulait depuis toujours et moi en bon égoïste je n’avais jamais remarqué, enfermée dans son mensonge, elle n’avait jamais oser me faire affronter mon impotence.

     

    Mon ego machiste a été détruit et brisé. Elle a continué à m'attaquer, me disant que non seulement je souffrais d'éjaculation précoce mais que mon pénis était mince et de petite taille.

     

    Je l'ai toujours aimé et là j’avais honte, comme si moi je l’avais trahi, elle m'humiliait et me faisait me sentir si inadéquat avec sa vérité brutale.

     

    Sa colère s'est calmée et sa voix est devenue plus douce, peut-être qu'elle a réalisé l'horrible douleur qu'elle m'avait infligée. De sa voix douce et tendre, elle a dit : "Oh Philippe, je suis vraiment désolée pour ce que j'ai dit. J'aimerais pouvoir retirer ces mots, je t’aime et t’aimerais toujours malgré ton petit défaut"

     

    J'avais tellement honte et tellement de regret de l'avoir fait avoué tout cela, mais en même temps j’avais énormément de compassion pour l’avoir frustré tant d’année et de la reconnaissance qu’elle soit toujours avec moi. D'une manière ou d'une autre, son aveux m'a donné un sentiment de profonde intimité émotionnelle avec elle et il semblait qu'elle ressentait la même chose.

     

    Nous nous sommes blottis l’un contre l’autre et nous nous sommes caressés, et je lui dit : "Non. Ne retire pas ces mots. Ils sont vrais et je suis reconnaissant pour ton honnêteté. Cela me fait me sentir si proche de toi et pourtant si vulnérable. "

     

    Puis elle a demandé : « Pouvons-nous aller dans la chambre ? »

    Dans la chambre, nous nous sommes déshabillés et pour la première fois j'essayais de cacher mes organes génitaux à sa vue. J'ai toujours été fier d'être un homme mais cette nuit je me sentais gêné d'être nue devant elle. Ma petite érection dressée vers le ciel, ridicule…je savais qu'elle me comparerait à son amant, qu’elle me jugeais impotent.

     

    Elle retira les couvre-lits. Allongée sur le dos, elle m'a fait signe de m'allonger sur elle et, ce faisant, j'ai senti sa main guider mon érection vers son vagin.

     

    Je l'ai pénétré jusqu'au bout et j'ai commencé à pomper, mais j'étais tellement excité que j'ai commencé à éjaculer et à gémir de frustration. C'est alors que, pour la première fois, je l'entendis soupirer de déception. Je me sentais tellement inadéquate, tellement inutile. Je lui ai dit à quel point j'étais désolé. Que je n'étais pas à la hauteur que je ne la méritais pas.. Elle avait ses bras autour de moi et elle n'arrêtait pas de dire : "Tout va bien. Oh mon pauvre garçon, tout va bien. Ne t'inquiète pas. Ce n'est pas important. Tout ira bien, alors n'y pense pas."

     

    L’embarras était écrasant. Je suis resté allongé là, ma bite se dégonflant à l'intérieur d'elle jusqu'à ce qu'elle glisse. Elle a glissé ses mains le long de mon dos jusqu'au haut de mes épaules où j'ai senti ses mains me presser vers le bas, vers ses seins. Je suis descendu en embrassant sa peau jusqu'à ses seins et ses mamelons. Les tétons qu'un autre homme appréciait maintenant.

     

    Tout en suçant son mamelon, elle a bercé ma tête dans ses bras comme elle le ferait pour allaiter un bébé. « tu vois Philippe tous est mieux comme cela, j’ai un amant pour mon plaisir et tu m’as moi » ces mots m’apparurent si évident d’un coup..  Je tétais comme un enfant avide …Elle gémissait, son plaisir naissant me procurait un sentiment de paix. J'avais l'impression que je pourrais rester dans cette position pour toujours.

     

    Elle a passé ses doigts dans mes cheveux puis a saisi mes cheveux de chaque côté de ma tête. En éloignant ma tête de sa poitrine, elle a levé mon visage pour la regarder. Elle m'a regardé très attentivement sans aucune expression sur son visage.

     

    Elle étudiait mon visage pendant très longtemps. Peut-être qu'elle évaluait les dommages émotionnels qu'elle m'avait infligés ou peut-être qu'elle estimait combien d'humiliation je pourrais endurer.

     

    J'étais sur le point de lui demander : « Qu'est-ce qui ne va pas ? Quand elle a poussé ma tête vers son vagin, guidant ma bouche vers son clitoris. J'ai senti sa main sur l'arrière de ma tête alors qu'elle enfonçait mon visage dans ses poils pubiens. Son parfum était enivrant et cela a provoqué une autre érection de mon pénis.

     

    En léchant ses poils pubiens, j'ai exposé son clitoris, si rose et engorgé, mon joyau de la couronne. C'était ma chance de regagner son approbation, de compenser mes échecs. J'ai fermé la bouche sur son bijou, le suçant et goûtant son jus. Je pouvais l'entendre roucouler et haleter pendant qu'elle murmurait des instructions : "Oui. C'est ce que je veux. Continue comme ça. Ne t'arrête pas. Tu es a ta place là ….Suce-le plus fort. Plus fort ! C'est bien mon garçon ! Utilise ta langue."

     

    Je ne pourrais jamais la baiser aussi complètement que son amant, mais je serai le meilleur homme au cunnilingus. Suivant ses instructions, je faisais l'amour avec son bijou alors qu'elle  se tordait de plaisir, puis courbait sa chatte vers moi et criait avec son premier orgasme. Elle s'est débattue, a gémi, a donné des coups de pied et a grogné comme un animal sauvage et pendant tout ce temps, je me suis accroché à elle, comme un perdu, tout en continuant à sucer. Bientôt, ses secousses et ses tremblements se sont arrêtés et ma succion s'est transformée en un léger léchage jusqu'à ce qu'elle halète les mots : "Oh, s'il te plaît, arrête. C'est trop sensible."

     

    S'éloignant de son clitoris en feu, je me suis glissé jusqu'aux lèvres de son vagin, savourant tout cela. J'ai léché et poussé ma langue aussi profondément que possible dans son canal vaginal où je pouvais goûter la douceur de mon propre sperme mélangé à son jus. Je me dis que c'est là que va la bite de son amant. Pendant tout ce temps, elle continuait à murmurer ses instructions : "Oh mon Dieu, ça fait du bien. Laisse-moi sentir cette langue. Oui, c'est l'endroit. Bon garçon. Ne t'arrête pas."

     

    Après un moment à lécher et à boire son jus, son clitoris a eu le temps de se désensibiliser. Je l'ai léché et j'ai recommencé à le sucer. Pendant ce temps, elle continuait à murmurer ses mots d'encouragement jusqu'à ce qu'elle recommence à haleter et à trembler alors qu'un autre orgasme la submergeait. Celui-ci est plus violent que le précédent.

     

    Cette nuit, de cette manière, je lui ai donné quatre orgasmes. Après nous être arrêtés, nous nous sommes allongés les uns à côté des autres. Mon visage était couvert de son jus et ma bouche était irritée par le cunnilingus que je lui avais donné.

     

    Je lui ai demandé si elle l'aimait et elle a répondu : "Non ! Je n'aime que toi. Avec lui, ce n'est que du sexe mais si cela se résume à un choix alors je le choisirai uniquement parce que je dois avoir ma liberté sexuelle. « Je suis désolé mais je vais continuer à le voir."

     

    "Et si quelqu'un l'apprend ?" J'ai demandé.

     

    "Ne t'inquiète pas. Je suis très discrète." Elle répondit.

     

    "Qu'en est-il de notre sécurité", lui ai-je demandé.

     

    Elle a répondu : "Chérie, il veut juste me baiser, pas nous nuire."

     

    « Ca fait longtemps ? »  «Quelques mois »

     

    « Il est comment ? c’est qui ? »  son regard parti dans le vague et elle dit «  Pour répondre à ta première question dit toi qu’il est au double de toi et qu’il dure longtemps, j’ai souvent deux ou trois orgasmes avant qu’il jouisse en moi»

    Quand à la deuxième tu es trop curieux là… Comme tu le connais,  il vaut mieux que tu ne sache pas »

     

    « Mais tu te protèges au moins ? » « Tu sais bien chérie que c’est meilleur au naturel »

     

    "Et si tu tombes enceinte ?"

     

    Elle a répondu : « C'est moi qui porte le bébé et c'est moi qui lui donne naissance. Tu seras le père mais c'est moi qui déciderai qui me mettra enceinte. Je sais que c'est inacceptable pour n'importe quel homme à moins qu'il n'aime sa femme de manière inconditionnelle.

     

    Pesant tout ce qu'elle avait dit je marquais une pause dans toutes mes questions et la regardant dans les yeux, j'ai répondu : "Je t'aime inconditionnellement." Je senti mon trouble dans tout mon corps, mon sexe dressé éjacula des traits de foutre dans l’air, célébrant cette victoire totale de sa part.

    Un sourire approbateur de satisfaction apparut sur son visage.

    Nous n'étions plus mari et femme, nous étions désormais femme et cocu. Je suis devenu ce jour-là, son cocu acceptant, adorant et soumis.

     

    Le lendemain soir, alors que nous rentrions du travail et préparions le dîner, je lui ai demandé si elle voyait son amant aujourd'hui. Elle a répondu en disant: "Chérie, je vais te dire tout ce que tu veux savoir, mais cela doit être lorsque nous sommes dans la chambre et non ici dans la cuisine. Cela doit rester notre conversation sur l'oreiller."

     

    Les rapports sexuels sont devenus trop embarrassants pour moi. Nos relations sexuelles consistent en cunnilingus et en masturbation. Contrairement aux relations sexuelles où j'avais des éjaculations précoces, lorsque ma femme me masturbe, il me faut dix ou douze minutes pour jouir. Me caresser aussi longtemps était très lassant pour elle jusqu'à ce qu'elle découvre que lorsqu'elle parlait de son amant, cela me faisait jouir immédiatement.

     

    Depuis ce constat elle ne m’accorde le sexe qu’au retour de ses escapades bi-hebdomadaires, et maintenant je lèche une chatte distendue et rempli du foutre de son amant. Hésitant au départ, elle m’a convaincue me disant que son plaisir à me voir la nettoyer serait décuplé. Je lui doit bien ça après toutes ces années de frustration.

    Crémeux et si copieux, je l’apprécie de plus en plus, elle sait que j’attends maintenant mes doses avec impatience témoins de son épanouissement sexuel retrouvé. Quand le jus coule dans ma bouche elle m’encourage «  Prend ton jus mon bébé, vas-y tète…Oh tu vois il a mis la dose pour toi mon amour ….Oh il aime ça le petit garçon » je capte frénétiquement le foutre à grande lampée.

    « Fait ça bien mon chéri, sinon je risque de tomber enceinte »  elle sait qu’à ces mots je jouie sous moi automatiquement sur le drap.

     

    Cela fait une année maintenant, je ne l'ai plus jamais pénétré et nous sommes toujours très excités lorsqu'elle se prépare pour son rendez-vous. J'éprouve toujours des pointes de jalousie quand je la vois se préparer pour lui. Elle passe peut-être la nuit avec son amant, mais quand elle rentre chez nous le lendemain matin, elle est radieuse et ses yeux brillent et je sais que j’ai ma récompense de cocu.  

     

    Je l’aime si fort, elle est toujours la personne la plus excitante de ma vie et j'ai tellement de chance de l'avoir à mes côté malgré mon infirmité. L’autre jour elle m’a annoncé qu’elle était enceinte..


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  • En lectrice ponctuelle du site, c’est aujourd’hui moi qui viens vous raconter un truc dont j’ai un peu honte mais dont je ne crois plus que je pourrais me passer.

    Pour me présenter un peu, j’ai 28 ans et je suis infirmière libérale dans un petit village de province. Je vis maritalement avec Arnaud depuis 3 ans et nous avons une vie bien remplie. J’ai des horaires de folie mais j’aime beaucoup mon métier. Nous avons une vie un peu atypique car mon copain est barman dans une boite de nuit et du coup nous faisons souvent que nous croiser. Lui vit la nuit et moi le jour. Pour l’instant nous le vivons très bien mais c’est clair que les weekends en amoureux sont très rares.

    Je suis grande (1m70), les cheveux mi-longs châtain foncé, les yeux bleus et une silhouette normale. Agréable à regarder, je n’ai jamais eu de souci pour séduire mais maintenant que je suis maquée, ce n’est plus trop mon trip. J’en ai profité plus jeune mais depuis mon entrée dans la vie active et surtout depuis que j’ai rencontré Arnaud, j’ai une vie rangée.

    J’ai rencontré Arnaud grâce à des amis communs et ça l’a fait de suite entre nous. Il est vrai qu’il est très séducteur et j’ai craqué dès notre rencontre mais son métier doit y être pour quelque chose. Il savait y faire avec les filles. Je ne suis pas du tout jalouse. Peut-être le serais-je davantage si je côtoyais le monde de la nuit et que je le voyais faire, mais je vis très bien cette différence d’univers. Je suis profondément amoureuse de mon copain mais depuis quelques temps j’avoue que j’avais un manque de plus en plus grandissant. Un manque ou un besoin non satisfait…

    Quand nous avons fait l’amour la première fois avec Arnaud, je me suis vite rendue compte qu’il avait un petit sexe. J’avais bien sûr eu d’autres expériences avant lui et je pouvais faire la comparaison. J’ai d’ailleurs été surprise au départ car un bel homme baraqué comme lui, ne me laissait pas présager qu’il pouvait avoir une « petite bite ». Comme quoi, il ne faut pas se fier aux apparences.


    Dans un premier temps cela ne m’a pas dérangé plus que ça. Il arrivait à me faire jouir parfois, mais il venais en plus souvent bien avant moi. Nous nous sommes accommodés de la chose par des petits aménagements dans notre sexualité. Des préliminaires assez longs avec des pénétrations tardives. L’utilisation, à mon initiative, de sex toys quand nous avons été suffisamment à l’aise l’un avec l’autre. Je suis une femme libérée, bien dans son corps, et nous en sommes arrivés assez naturellement à l’utilisation de ces petits joujous bien utiles pour me satisfaire.

    Mais cela fait maintenant trois ans que nous sommes ensemble et depuis un an à peu près, quand je me caressais toute seule, je fantasmais sur de grosses queues bien épaisses et bien longues. Je m’imaginais être prise violemment par un mec indéfini sans visage réel, tellement bien membrée que je jouissais très rapidement. On a beau dire que la taille ne fait pas la qualité, moi j’aurais bien aimé qu’il l’ait plus grosse.

    Et puis au mois de septembre, je lui ai fait un petit cadeau. C’est un fana de sensations fortes et il rêvait de faire un saut en parachute. Mais cela coute cher. Et en surfant sur mes sites préférés, j’ai trouvé un baptême de l’air à prix cassé (sur Groupon pour ceux qui connaissent). Vu le prix je n’ai pas hésité. J’ai quand même appelé deux de ses potes pour savoir s’ils voudraient tenter l’aventure avec lui et surtout savoir si l’offre leur paraissait bien, vu que je n’y connaissais rien. Rapidement convaincus, ils ont accepté sans problème. Et donc le saut était programmé pour le 17 septembre, je m’en souviens encore. On avait choisi en semaine d’une part parce-que Arnaud aurait eu du mal à trouver un créneau le weekend et puis la boite nous a dit qu’il y aurait moins d’attente pour sauter en semaine.

    Le jour J nous nous sommes présentés à l’aérodrome avec ses deux potes. Je les ai accompagnés, c’était l’occasion de partager un moment avec Arnaud.
    Sous le hangar je peux vous dire que mon Arnaud, il n’en menait pas large. Il avait beau faire le guerrier et rigolé avec ses copains, je sentais bien qu’il était tendu. Mais on l’aurait été à moins n’est-ce pas ? C’était un saut en tandem qu’ils allaient faire car, seul, c’était plus cher et puis il fallait se former quelques heures avant de sauter. L’avantage du tandem c’est qu’ils ont eu juste un petit brief de quinze minutes et moi j’étais quand même plus rassurée car il est un peu foufou mon chéri. Ils avaient enfilé les harnais sur leur jean, il n’y avait plus qu’à attendre.

    Et là sous ce hangar, j’ai eu une putain de vision : Aurélien, un de ses potes en train de faire le con avec son harnais, en attendant le décollage. Les harnais étaient serrés et ça leur moulait les parties, je vous dis pas.
    Mais Aurélien, toujours en train de faire le pitre, accentuait la chose en tirant bien sur les sangles pour que ça lui remonte encore plus le paquet. Et il avait une bosse énorme dans son pantalon! Incomparable avec celle de mon mari, Il dandinait du cul, du bassin faisant rire l’assemblée. Et moi, je ne pouvais pas détacher mon regard de son entrecuisse. Pourquoi lui ? Pourquoi à ce moment-là ? Je n’en sais rien mais d’un coup j’ai des bouffées de chaleur qui me sont montées au visage.
    Je me suis dit « waouahh, il a l’air d’avoir une queue de black » et je l’ai regardé de façon toute à fait différente.

    Aurélien, c’est ce que l’on appelle un beau gosse, il fait de la muscu, un corps d’athlète, il plait aux filles et il en profite. Mais j’étais déjà avec Arnaud quand je l’ai connu et même si je l’ai trouvé séduisant, c’était le pote de mon chéri, point barre. Je n’aurais rien imaginé de plus. Bien sûr il est toujours dans la séduction, même avec moi, mais ni plus ni moins qu’avec une autre. C’est sa personnalité, il a toujours été comme ça. Mais là, de le voir gesticuler de la sorte, tirant sur les sangles pour bien mouler son paquet et mimer des coups de reins, ça m’a excité à un point, vous imaginez même pas.
    Enfin, ils ont décollé, ont sauté et tout c’est bien passé. Un super souvenir pour eux et ils aimeraient bien recommencer.

    Le problème c’est que les jours suivants, je revoyais Aurélien faire le con à l’aérodrome et j’imaginais une queue énorme, chaude, bien raide sous son pantalon et un soir j’ai fini par me caresser en mettant un visage sur mon fantasme. Et les jours suivants aussi. Je me masturbais en imaginant la queue d’Aurélien dans ma bouche ou me défonçant brutalement la chatte.

    Au final, tout bêtement mais sans doute avec quelques arrière-pensées inavouables j’ai fini par le demander en ami sur Facebook et tout doucement on s’est mis à tchatter.
    Je sais que je n’aurais pas dû, on sait bien comment ça finit ce genre de plan foireux. Mais on délirait, il me faisait du bien, me racontant des bêtises mais comme il le faisait d’habitude. Et moi, de plus en plus j’attendais ses messages sur mon I Phone, au boulot comme à la maison.
    Et toujours aussi régulièrement je me caressais en imaginant son gros engin.

    Quand j’ai commencé à imaginer que c’était lui qui me faisait l’amour alors que j’avais Aurélien sur moi qui me besognait comme il le pouvait, je me suis vraiment dit que j’avais un problème. J’ai essayé de me raisonner en me disant qu’il ne l’avait peut-être pas si grosse que ça et que ce devait être un effet d’optique ce jour-là, dû au harnais qui avait amplifié la bosse dans son jean. Mais rien à faire.

    Alors vendredi dernier, Arnaud étant au boulot, je suis passée chez lui. J’ai pris l’excuse que j’étais dans les parages et que je devais récupérer les DVD qu’Aurélien lui avait prêtés quinze jours avant alors qu’ils appartenaient à ma sœur.
    Il a été surpris de me voir mais j’ai essayé de paraître le plus naturel possible. Il m’a faite entrer et m’a proposé un verre. Moi qui ne picole pas plus que ça, j’ai accepté immédiatement. Un peu trop vite d’ailleurs ! Il a senti que je n’étais pas comme d’habitude, que j’étais mal à l’aise. Il m’a regardé bizarrement mais n’a rien dit. On a papoté un moment, parlant de choses et d’autres. Il a une façon de raconter, je l’aurais écouté parler des heures, avec beaucoup d’humour, et toujours en exagérant les traits. Il a un côté un peu théâtral que j’adore.

    En curieuse mais en passant pour la bonne vieille copine, je lui ai alors posé des questions sur sa dernière conquête. Il ne s’est jamais caché d’être un dragueur invétéré. J’avais une folle envie d’en savoir un peu plus sur son intimité. Arnaud m’a toujours dit qu’il leur racontait toujours ses plans cul et que c’était de vrais sketches.
    Un peu gêné au départ car il ne racontait ça qu’entre mecs il m’a expliqué qu’il s’était levé une jolie petite caille et qu’il l’avait baisée dans la voiture. A l’entendre, elle gueulait presque tellement elle avait pris son pied. J’étais toute excitée de ses paroles et je me suis dit que j’aurais bien aimé être à la place de la fille.
    Avec Arnaud, c’est devenu un peu routinier au fil du temps, sans parler de son problème de taille. En me racontant, il nous a servi un autre verre et au fur et à mesure qu’il me donnait des détails, je sentais mon string se mouillait de plus en plus. Il en rajoutait sans doute mais je buvais ses paroles. L’alcool produisait son effet et j’étais un peu euphorique, je me sentais plus sure de moi. N’en revenant pas de mon culot j’ai osé lui dire :

    « - Et tu les fais toutes gueuler comme ça, à chaque fois ? »

    Dans l’ambiance ainsi détendue, il a cru sans doute parler à un pote et il m’a répondu machinalement :

    « - Je veux ouais, un mec monté comme un cheval, elles en redemandent les salopes ! »

    Il s’est rendu compte un peu tard que c’était à moi, Lorette, qu’il parlait. Il s’est tu gêné . Mais moi je ne voulais pas qu’il se taise. J’étais déjà en transe. Alors pour éviter que l’ambiance ne retombe, je l’ai poussé à continuer, en rigolant.

    « - Arrête, tu te la joues là. Je crois pas qu’elle soit aussi grosse que tu le dis ! »

    A nouveau il m’a regardait bizarrement.

    « - Tu serais pas la cops de mon pote, je jurerais que tu me cherches ! »

    J’étais un peu paniquée de sa remarque mais je ne me suis pas démontée.

    « - Non, non, je suis juste curieuse. A t’écouter t’as une queue énorme ! Tous les mecs se vantent d’être super bien équipé, je suis sure que tu en rajoutes… »
    Piqué au vif, il me répond sans réfléchir :
    « - Tu voudrais pas que je te le prouve quand même ?"

    J’aurais dû faire machine arrière, mais j’avais tellement fantasmé sur sa queue que je ne pouvais pas revenir en arrière. J’ai rassemblé mes dernières forces et d’un air de défi, je lui ai dit :

    "Pourquoi pas ? »

    « - Ok, tu vas être servie alors ma cocotte ! »

    Il s’est levé, a déboutonné son jean et a sorti sa queue de son boxer.

     "Et encore là elle est au repos ! »

    Waouahh mon dieu mais quel engin ! Effectivement elle était au repos mais même au repos elle devait bien mesurer vingt cm à vue de nez et elle était bien large comme je l’avais imaginé. Un vrai tronc d’arbre ! Il aurait pu jouer dans des films X.
    Humm;;; un trouble grandissant m’a submergeait. J’avais chaud partout. J’avais une folle envie de la prendre dans ma bouche pour voir ce que cela allait donner en érection.
    Mais Aurélien a réalisé l’ambiguïté de la situation et a voulu ranger sa queue.

    Sans pouvoir me retenir, j’ai presque crié « Non ! » en tendant la main ... comme pour ne pas laisser échapper l'objet de tous mes désirs.

    Il m’a regardé surpris, et moi je restais bêtement bloquée sur son membre surdimensionné, une lueur d’envie dans le regard. Je n’osais pas bouger, je savourais juste cette vision fantastique. Et tout doucement sa queue a commencé à se redresser. Il commençait à bander.
    Son regard a changé. Il a compris que j’avais envie de sa queue. Alors il s’est approché de moi. J’avais son chibre à quelques centimètres.

    « - Vas-y, fait toi plaisir. »

    Je n’attendais que ça. Alors je n’ai pas hésité une minute. J’ai pris sa queue entre mais mains et j’ai commencé à le branler. C’était bon de sentir que mes mains avaient du mal à en faire le tour de tube de chair chaud. C’était tellement nouveau pour moi. Quelles sensations ! Ma petite chatte bouillonnait de plaisir et elle était trempée.
    Après quelques minutes d’astiquage intense, j’ai rapidement pris en bouche cet engin démesuré et je me suis mise à le sucer avec gourmandise. Comme un bâton de sucre d’orge sauf que la taille n’avait rien à voir !
    Je jouais avec son gland, je le léchais, plantant ma langue dans son méat, ressortant, gobant à nouveau l’engin. Mais elle était tellement énorme que je ne pouvais pas la rentrer entièrement dans ma bouche. Je n’avais jamais eu dans ma bouche une queue aussi grosse.

    Et puis ses couilles elles aussi en proportion, énormes, une seule d'Aurélien était aussi grosse que tout le paquet d'Arnaud... Quel pied ! J’avais tellement fantasmé sur cette situation. Je l’ai sucé, gobé, léché frénétiquement, montant et descendant sur sa hampe qui n’en finissait pas, un bon moment, mais j’avais aussi envie qu’il m’emplisse ma petite chatte liquéfiée, qu’il me meurtrisse de son dard puissant. Alors n’écoutant que mon désir, je me suis levé, j’ai relevé ma robe je me suis assise, jambes écartées, sur la table dans sa longueur, et droit dans les yeux, très gravement, je lui ai dit : "Baises moi, j'ai trop envie maintenant"

    Alors il écarté mon string et a enfoncé tout doucement son gland à l’entrée de mon vagin, c'était incroyable et centimètre après centimètre l’engin disparaissait dans mon intimité, me dilatant comme jamais..
    Je me disais « mais il va aller jusqu’où comme ça ? ». Quand il a senti qu’il butait au fond de mon vagin, il a commencé à me prendre doucement d’abord puis de plus en plus fort. Ma chatte était pleine de cette queue énorme et si au début, parce qu’il y allait avec douceur, je ne ressentais pas de douleur, quand il a commencé à accélérer la cadence de plus en plus vite, là j’ai vraiment senti qu’il me déchirait la chatte.
    Mais la douleur a vite laisser place à l’excitation et son diamètre qui écartait mes bords, me dilatait au maximum me rendaient folle. Je voulais maintenant qu’il me défonce encore plus. Je me suis allongée sur la table et j’ai posé mes jambes sur ses épaules pour qu’il me laboure encore plus profondément. Je gémissais, je criais presque sous les secousses brutales qu’il m’assénait.
    J’allais jouir comme jamais. Il me pilonnait, me défonçait la chatte à grands coup de boutoir, avec bestialité. Il grognait de plaisir et ça m’excitait sauvagement.

    De plus en plus fort, de plus en plus vite, il m’a bourré comme un dieu et j’ai joui en gueulant, oui, en gueulant, ca n'en finissait pas. Je rejoignais son tableau de chasse de filles qui avaient pris un pied phénoménal. Il m’a labouré la chatte encore un peu et il a joui bruyamment lui aussi.
    Il est resté dans ma fente quelques secondes, je ressentais ses spasmes à chaque trait de foutre, qui remplissaient ma chatte meurtrie mais repue. Puis il s’est retiré, dans un flop trivial, un filet de sperme a  dégouliné le long de mes cuisses.
    Moi pantelante, j’avais du mal à me remettre de cet orgasme fulgurant et je gisais piteusement sur la table, son sperme dégoulinant de ma chatte sur la table, les cuisses encore écartées, la chatte ouverte à l'air frais qui laissait un vide immense.

    On a quand même repris nos esprits. Nous étions maintenant mal à l’aise.


    Il m’a fait jurer de ne rien dire à Arnaud. Je le lui ai promis.


    Il m’a dit aussi que cela devait être la seule et unique fois. Mais ça, pas question, même si je ne lui ai pas dit. Cette queue surdimensionnée, je la veux encore dans ma chatte et hors de question que je m’en prive. Il m’a fait trop de bien et j’en redemanderai encore.

    Si ce ne sera plus lui ce sera un autre, dommage pour Arnaud mais je ne peux imaginer maintenant ma sexualité et ma vie sans ca : une belle grosse bite.


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