• Tout a commencé dans mon couple par une belle dégradation progressive, cela faisait neuf ans que nous étions ensemble Marisa et moi, après de long mois sans aucun rapport sexuel, elle m’apprenait qu’elle était enceinte.....

    Je l’avais connu à vingt ans et elle en avait dix huit, toujours vierge, je l’avais initié en lui laissant croire que j’avais eu une vie sexuelle épanouie avant alors que j’étais moi-même puceau et gauche avec les filles.

    Mais en plus j'étais muni d'un accessoire assez petit et avec une tendance à jouir trés rapidement à peine en elle, après quelques aller-retour.. Je lui présentais tout cela comme bien normal dans les règles de la reproduction, en lui expliquant que l'homme éjacule vite, car dans la nature, pour la survie de l'espèce, il faut que la femelle ne s'écarte pas de la copulation satisfaite, avant que le mâle eu fait son affaire. Quand à la taille de mon pénis elle ne savait pas vraiment que j'étais petit, n'ayant jamais eu d'occasion de comparer, nous n'avons jamais abordé le sujet à ma grande satisfaction.

    Ces faibles performances sexuelles, je pensais les avoir cachées dans son ignorance et sa naïveté du début, elles allaient prendre une réalité bien visible le jour ou nous avons été consulter pour notre difficulté à avoir un enfant.

    Car oui, depuis quatre ans, malgré nos rapports unilatéral bi hebdomadaire, Marisa ne tombait pas enceinte, à son grand désespoir car son horloge biologique marquait vingt huit ans et elle avait un intangible besoin d'être mère.

    La gynécologue spécialisée en fertilité des couples après avoir fait toute sorte d’examens à ma femme, nous convoqua ensemble pour aborder ma fonctionnalité de mâle et notre sexualité.

    Très autoritaire et froide, elle m’examina devant ma femme sur la chaise de gynécologie, mal à l’aise je la voyait me tripoter les couilles une à une les faire rouler dans ses doigts gantés pour voir si tout allait bien de ce côté et puis elle me décalotta mon petit pénis, un sourire un peu narquois au coin de la bouche, elle lançait à chaque étapes des « mouais mouais.. » peu convaincue ;

    -Bon tout à l’air a peu prêt normal de ce côté là… dit-elle à ma femme.

    qui me fit en retour un sourire de chien battu.

     

    Elle me dit en me tendant un gobelet gradué en plastique d’aller masturber dans une petite pièce à part pour me prélever mon sperme.

    La révélation

    Je me relevais de la chaise nu devant les deux femmes qui me regardaient, le feu au joues, j’allais m’enfermer dans la petit cabine, j’entendais à travers la porte la conversation qu’elle avait pendant ce temps avec ma femme,

     

    -Vous savez la taille du sexe importe peu quand il s’agit des enfants

    Ah bon pour quoi vous me dites cela ?

    -Parce que votre  mari à un petit sexe vous vous en rendez compte ?

    Ah bon.. ah oui - dit-elle rougissante

    -Oui, il ne doit pas vous donnez beaucoup de plaisir avec ça !,

    Euh… oui c’est vrai  - après un temps d’hésitation -  je crois que je n’ai jamais eu d’orgasme pendant nos rapports en fait docteur.

    -C’est bien ce que je pensais , mais vous avez eu déjà des orgasmes toutes seules ?

    Oui bien-sur et il me donne du plaisir parfois… autrement.

    -Bon vous me rassurez, nous les femmes avons le droit au plaisir aussi..

    Enfin après 9 ans ensemble …

    Euh …oui Docteur

    -Mais bon cela n’as pas trop de lien avec votre problème de fécondation, 

    Dans vos rapports jouit-il en vous ?

    Oui, assez souvent parfois très vite à peine entré,

    -Oui je vois le problème… bon de toute façon nous allons analyser son sperme déjà, pour voir si le soucis ne vient pas en fait de sa semence. 

     

    J’étais électrisé, en entendant ma femme se confier sous les questions un peu perverses de la gynéco qui lui faisait réaliser que j’étais un sous homme. Mon trouble se transforma en érection, mentalement je tombais si bas que cette effondrement de mon image me fit jouir minablement dans le verre en plastique gradué… 

     

    Au lit, même si je débordais de désirs, je sentais bien que je ne la satisfaisait pas vraiment, et si l’amour du début compense tout, au bout d’un moment cette frustration associé à notre manque de fertilité allait finir par détruire l’image de mâle que j’avais bâti sur son innocence.

     

    Il est vrai que mon sexe était pas dans les normes .. du moins ou juste au-dessous. Dans les vestiaires en garçons, je me cachais souvent, comme je pouvais, en voyant que je n’étais pas très bien développé de ce côté-là. Cela m’avait fait abandonner bien des sports collectifs. 

    Il mesurait 6 cm au repos et 12 en érection, un peu petit, comme dirait certaine, mais c’est surtout aussi son diamètre assez fin (2,8 cm en érection), qui me mettait bien en dessous des normes. Les normes… comme on dit « l’homme qui mesure son sexe, en a un petit », celui qui ne le fait pas c’est parce qu’il est sûr de lui.

     

    La gynéco nous donna rendez-vous une semaine après pour les résultats.

     

    Rentré à la maison ma femme aborda le problème à nouveau.

     

    -Tu sais Philippe, elle m’a dit que ton petit sexe n’avait rien à voir avec notre infertilité

    Comment ça ? j’ai pas un petit sexe ! rétorquais-je rougissant

    Mais si mon chéri la nature ne t’as pas fait de cadeau de ce côté d’après elle, mais tu sais je t’aime et ça n’a pas d’importance -  Lançât-elle le regard dans le vague.

    Une érection immédiate me pris à ses propos 

    Qu’est ce qui va pas chez moi ? je me dit intérieurement Je suis vraiment un minable ? Toutes ces années ou j'avais réussis à masquer mon petit problème arrivaient à leur termes. 

     

    Quelque jours plus tard nous faisions l'amour ou plutôt moi et elle en réceptacle concilient, elle me dit une fois en elle   - C'est vrai que je ne te sent pas tellement en moi....  - Je claquais d'autant plus fort des coups de boutoir désespérés, dans cette caverne ou j'écartais avec peine les cloisons, puis je jouissais immédiatement n'ayant pas tenue à la remarque, désespéré que cette certitude l'envahisse en même temps que mes gouttes de spermes misérables.

     

    Oui, je suis désolé ma chérie -  Dis-je en pleurnichant

    C'est pas grave mon amour tu as joui, alors pour le Bébé c'est bon !

    Oui ma chérie, et toi ? - Sachant pertinemment qu'elle n'avait rien ressenti

    Oui c'était bon ...mais court  - Il parait qu'avec cinq centimètre on peut faire des Bébés, t'en fait pas...

    Je glissais mon visage entre ses cuisses bien décider à lui donner du plaisir.

    - Oh mon chéri que fait tu ?

    T'inquiétes, je m'occupe de toi

    - Mais je suis sale.. enfin  ohh oohh, n'aspire pas tout mon chéri, gardes-en pour le bébé

    Je lapais sa chatte poilue et souillée, ma langue fouillant le vagin remontant au clito que j'aspirais fort

    - OOh Mon chéri que c'est bon continu;

    Je me déchainais dans un bruit glauque de sucions, je me disait que là j'étais bon au moins

    Elle eu un orgasme puissant - m'appuyant violemment la tête contre sa chatte les cuisses serrées et tremblantes.

     

    Ce petit cinéma reprit la fois suivante, mais là elle me dit qu'il fallait mieux la faire jouir avant avec ma langue pour ne pas compromettre la fécondation du bébé. Je la prenais donc ainsi, après son orgasme la bouche barbouillé de sa mouille, je jouissais en quelque aller-retours minablement, comme une conclusion, alors que ça aurait du être le plat principal.

     

    Mon égo était à sa place, je me retrouvais ridicule à chaque fois, mais cela me plaisait paradoxalement, si bien que je commençais à surfer sur les site d'humiliation du petit pénis, de plus en plus, et bien sur à regarder des vidéos de cocufiage, de chasteté... je m'engouffrais avec toute la perdition que cela suppose dans ce fétichisme pour l'humiliation puis la domination féminine, la féminisation des fiottes, le candaulisme, l'interracial, auto convaincu que je ne la méritais pas...ma queue en main.

     

    Elle de son côté (je l'appris plus tard) alla se renseigner sur internet, et surtout auprès de sa copine Karine, sa grande copine à laquelle elle disait tout et qui avait une grand influence sur elle...

     

    Vint le jour du second rendez-vous chez la gynécologue, que j'appréhendait beaucoup.

    Elle nous reçu dans son cabinet avec une grand sourire pour elle de compassion et une poignée de main froide à mon sujet sans regard.

    Ce fut très étrange car durant la conversation, elles firent toutes deux comme si je n'étais pas là.

     

    -Alors voilà dit elle comme je vous l'ai dit la dernière fois la taille du sexe de votre mari importe peu dans votre problème de fertilité.

    Ma femme se retourna vers moi avec un regard compatissant,

    En fait, il y a un autre problème, le sperme de votre mari est très peu fertile, 

    -Ah oh... mince, en plus ! - dit ma femme

    Oui, il éjacule en petite quantité et en plus le sperme est peu concentré,

    Cloué sur ma chaise de stupeur, je baissais les yeux.

    Ma femme se retourna vers moi cette fois avec un regard sombre

    -Décidément la nature l'a peu gâté

    La gynéco éclata de rire.

    Oui ! oh oh ! mon Dieu mieux vaut en rire... que pleurer

    Une érection fulgurante saisie mon pénis.

    Je bredouillait un truc inintelligible

    Oui bon Monsieur pourriez -vous nous laisser quelque instant que je parle à votre femme.

    Je ne pouvais me lever, elle insista, je fini par le faire masquant comme je pouvais mon émoi, mais cela n'échappa à cette professionnelle qui fit une moue moqueuse à mon égard.

    Je me retrouvais dans le couloir sur la chaise d'attente les mains sur mon visage, me disant que vraiment là je touchais le fond et que mon mariage était foutu, le coeur même des désirs les plus profond de ma femme, enfanter, était remis en cause par mes disfonctions.

    Je tentais d'écouter mais seule des bribes me parvenaient.

    Ça va être dur... bla bla sous membré.....stimulation difficile...

     

    Dans la voiture du retour ma femme me dit 

    -Il ne manquait plus que ça...

    Je m'excusais, de ce que la nature m'avait donné,

    Elle me dit sèchement que si elle avait su, ma quasi infertilité, malgré son amour,  elle ne se serait peu être pas mise avec moi.. Que faire des enfants c'était son but principal dans la vie...Me reprochant de l'avoir mener en bateau avec ma soi-disant normalité.

    Une grande émotion m'envahi et je me mis à pleurer à chaude larmes, bredouillant des excuses -je ne voulais pas te mentir; mais tu sais, snif c'est dur pour moi d'être comme cela snif.

    Je pensais que là , elle s'apitoierais...

    -Pas si dur dit elle, la gynéco m'a dit que tu bandais au sortir du cabinet,    tu te rend compte tu bandes à l'idée d'être incapable! à l'idée qu'on ne pourra peut-être pas faire d'enfant! mais c'est quoi ton problème ?

    Je redoublais dans les sanglots

    ..Je suis un minable en fait chérie, heuu heuuu....sniff ... j'aime être humilié en fait je crois, sniff .... c'est en dehors de ma volonté,

    - Humilié à bravo, voilà que je suis avec une chiffe molle, une tapette en fait, mon Dieu comment veux tu maintenant que je te considère, tu es vraiment bizarre.

    La conversation s'arrêta là... la semaine passait vite et ma femme me parlait à peine que pour l'essentiel, je manifestais bien un soir l'envie d'un câlin.. Mais elle me repoussa en disant que ça n'était ni le moment, ni clair dans son esprit.

    Puis un soir elle m'attendait assise à mon retour du travail, l'air furieuse

    Ça va ? lui demandais-je penaud 

    -Non ca va pas, me dit -elle, à genoux devant moi s'il te plait ..

    Je du faire une tête ébahie, d'ailleurs ces mots n'avaient pas encore construit une réponse chez moi , que je reçu une gifle très violentes, qui conjuguée à la conscience de la situation me fit monter les larmes aux yeux, et fléchir ma posture, pour enfin tomber à genoux devant elle.

    -Dit donc mon salaud, non seulement je suis avec un sous homme à petite bite, éjaculateur précoce qui ne peux pas faire d'enfant mais en plus un vrai pervers...

    -Co...; Comment ça ? balbutiège

     

    -Tu me mens depuis toujours à me faire croire que tu es normal... mon dieu mais pourquoi je suis tombé sur toi (dit elle levant les yeux au ciel), tu ne me fait pas jouir, tu pleurniches maintenant tout le temps et en plus ... EN plus j'ai été voir tes historiques sur ton ordi... ! Mon dieu mais c'est quoi tout ca t'es anormal, toutes ces perversités ! C'est ca qui te plait ...?

    Je baissais les yeux n'osant plus la regarder, en imaginant cette fille si propre, si saine et prude, en train de découvrir toutes les horreurs auxquelles je m'adonnais, toute cette saleté que..;

    - Répond !

    -...... J'ouvrais la bouche mais rien ne sortait...

    Je ne savais quoi lui dire et  comment justifier toutes cette sombre part de moi. Je comprenais d'un coup que je ne la méritait pas, qu'une fille comme elle se trouvait dans une impasse avec moi, sordide...

     

    Puis je reçu une gifle..;  puis une autre  -

    - Salaud, salaud, lopette, minable, !

    Les coups pleuvaient, poing claques,  elle devenait hystérique, j'entrevoyais son regard noir et déterminé à me faire mal, puis dans ce tourment et dans ses insultes criées à ma face - Tapette, sous-homme, salaud

    Et ce fut des coups de pieds, elle continuait à me taper en visant maintenant mon entre jambe, je criais sous les coups, elle fit mouche à deux reprises, je me roulais par terre, en chien de fusil, la douleur fulgurante dans mes parties me remontait à la gorge.

    Puis ce fut le calme après la tempête, elle essoufflée, s'était écroulée dans le fauteuil, les jambes écartées, l'expression de colère de son visage prit une allure plus étrange, teintée de perversité. Là dans mon regard trouble de larmes, lové à ses pieds, je vis que sa main était sous sa jupe, compressé sur son pubis.. l'autre main mordue par sa bouche pour taire ce que je pris pour de la rage contenue et qui se révélait être un orgasme qui secoua tout son corps.

    Je n'osais bouger ni même la regarder, ainsi passa un temps.... je l'entendais bouger ,

    Puis elle me dit - viens faire ton devoir, j'ouvrais les yeux et me redressais sur mes mains et je la vis, jambe ouvertes sans culotte, un doigt visant sa motte poilue,

    -T'es bon qu'a ca.. n'est ce pas ?

    EUh ; je ..

    -Tais-toi 

    Je fourrais ma tête entre ses cuisses chaudes comme heureux d'être en communication à nouveau, ma langue trouva une chattes poilue, chargée de mouille et parfumé de sa journée de travail. Je la lapais et m'appliquais entre son clito et les grandes lèvres puis le puits ou j'enfonçais de temps en temps au plus profond ma langue, j'aspirais ses sécrétions, mon nez aussi s'engluait de tous son désir et participait aux ébats, elle gloussait au dessus de moi me maintenant fermement la tête.  

    Puis elle m'attrapa par les oreilles et me compressais la bouche sur elle, agitant ma tête comme un vulgaire objet de jouissance je suivais le rythme au mieux pour soulager ma douleur ,, je n'étais plus maitre de son plaisir elle reprenait les rennes, faisant de moi un pur objet sexuel. Elle cria cette fois son orgasme et ses cuisses me compressèrent la tête violemment le nez dans sa chatte, elle croisa les genoux autour de ma tête comprimant ma respiration.

    MmmHh MMhhh;

    Elle me libéra à la limite de l'étouffement, je me renversais en arrière demi inconscient.

    -C'est fini entre nous

    Oh non non s'il te plait je t'aime, tout allait bien jusqu'a présent... Je t'offre une belle vie , tu n'as pas à travailler..On a une maison.

    - Oui mais maintenant je veux des enfants.. et tu es incapable de m'en donner..

    Non mais on va y arriver et puis on peux essayer les FIV je me suis renseigné...

    -Moi aussi, je me suis renseigné auprès de Karine et de la gynéco figure toi..

    Tu es un amant misérable et tes perversions font de toi un sous-homme maintenant à mes yeux.

    Ecoute moi bien.. Jamais je ne donnerais à mes enfants tes gènes de pervert et de petite bite.. Tu imagines un fils avec tes attributs et ta perversité ? Tu imagines ?

    euh.; aff oui je vois ce que tu veux dire..

    -Ya rien a voir plutôt ou pas assez ! Dit-elle dans un éclat de rire nerveux.

    Ecoute d'après Karine, je peux te laisser vivre à mes côté mais à la condition que tu te soumettes à moi, c'est après tout une part de tes fantasmes?

    - Est-tu d'accord ?

    oui... oui bien sur Karine je ferais tout ce que tu veux.

    - Oui ... un sourire de ravissement envahie sa face - c'est bien mon chéri

    - A partir de maintenant tout va changer 

    - D'abord tu vas mettre ca....

    Elle me jeta une boite  sur laquelle je vi une photo de cage de chasteté en métal,

    va la mettre et revient à poil te mettre à genoux devant moi ...

     

    Je pris la boite avec curiosité et un peu crainte et de désespoir, je partais dans la salle de bain mettre avec difficulté la cage, ca me prit un certain temps surtout pour rassembler l'étui pénien à l'anneaux des bourses ,  la situation stimulant mon érection je me passais sous l'eau froide, je clippais enfin le cadenas et prenais la clef.

    je revenais penaud devant elle les yeux baissés n'osant la regarder, je me mis à genoux

    du bout du pied, elle titilla ma petite bite prisonnière, faisant teinter le métal du bout de son escarpin.

    - A voilà ! elle est à sa place, trop mignon, 

    - Donnes moi la clef . Je vais de dire ce qui t'attends si tu veux que l'on reste ensemble,

    - D'abord tu m'appelles Madame, en privé, toujours, pour les autres en dehors on est un couple normal, Je ne te libèrerais qu'une fois par mois si tu as été sérieux et je te laisserais jouir à ta convenance, mais jamais en moi tu entends .. Tu ne me pénètreras jamais plus.

    -Tu me donneras du plaisir avec ta langue uniquement, 

    Je me permettrais de prendre des amants et c'est eux qui me feront des enfants, toi tu les élèveras comme un bon père cocu et pervers. Si tu restes avec moi, tu seras en chasteté permanente, tu dormiras dans la chambre d'amis et tu n'auras plus jamais de ta vie de rapport sexuel avec moi, ni avec aucune autre une femme. Et tu seras la nounous des enfants de mes amants, mais t'inquiètes pas pour la plupart des gens ils penseront que tu es le père.  

    La révélation

    C'est ainsi que fut faite la révélation qui devait à jamais changer mon sort...quelques semaines après, lors d'un des léchages journaliers maintenant de sa chatte, je constatais l'épaisseur d'un liquide crémeux dans sa chatte souillée et trés dilatée. "tu peux voir que j'ai un amant  - ou plutôt le goûter , hein mon chéri" Levant les yeux d'un regard désespéré , je ne bronchais pas et je jouissais sous moi dans ma cage, accompagné du rire de ma femme.

    Quelques semaines plus tard, elle m'apprit sa grossesse...

    - Réjouis toi mon chéri, tu vas être bientôt le papa cocu de tes rêves.... imagine... tu vas dorénavant pourvoir tous les jours de ta vie, en regardant ton enfant,  t'exciter dans la cage de ton humiliation mon sous-homme !

     

     

     

     

     

     Tout a commencé dans mon couple par une belle dégradation progressive, cela faisait neuf ans que nous étions ensemble Marisa et moi, après de long mois sans aucun rapport sexuel, elle m’apprenait qu’elle était enceinte.....

    Je l’avais connu à vingt ans et elle en avait dix huit, toujours vierge, je l’avais initié en lui laissant croire que j’avais eu une vie sexuelle épanouie avant alors que j’étais moi-même puceau et gauche avec les filles.

    Mais en plus j'étais muni d'un accessoire assez petit et avec une tendance à jouir trés rapidement à peine en elle, après quelques aller-retour.. Je lui présentais tout cela comme bien normal dans les règles de la reproduction, en lui expliquant que l'homme éjacule vite, car dans la nature, pour la survie de l'espèce, il faut que la femelle ne s'écarte pas de la copulation satisfaite, avant que le mâle eu fait son affaire. Quand à la taille de mon pénis elle ne savait pas vraiment que j'étais petit, n'ayant jamais eu d'occasion de comparer, nous n'avons jamais abordé le sujet à ma grande satisfaction.

    Ces faibles performances sexuelles, je pensais les avoir cachées dans son ignorance et sa naïveté du début, elles allaient prendre une réalité bien visible le jour ou nous avons été consulter pour notre difficulté à avoir un enfant.

    Car oui, depuis quatre ans, malgré nos rapports unilatéral bi hebdomadaire, Marisa ne tombait pas enceinte, à son grand désespoir car son horloge biologique marquait vingt huit ans et elle avait un intangible besoin d'être mère.

    La gynécologue spécialisée en fertilité des couples après avoir fait toute sorte d’examens à ma femme, nous convoqua ensemble pour aborder ma fonctionnalité de mâle et notre sexualité.

    Très autoritaire et froide, elle m’examina devant ma femme sur la chaise de gynécologie, mal à l’aise je la voyait me tripoter les couilles une à une les faire rouler dans ses doigts gantés pour voir si tout allait bien de ce côté et puis elle me décalotta mon petit pénis, un sourire un peu narquois au coin de la bouche, elle lançait à chaque étapes des « mouais mouais.. » peu convaincue ;

    -Bon tout à l’air a peu prêt normal de ce côté là… dit-elle à ma femme.

    qui me fit en retour un sourire de chien battu.

     

    Elle me dit en me tendant un gobelet gradué en plastique d’aller masturber dans une petite pièce à part pour me prélever mon sperme.

    La révélation

    Je me relevais de la chaise nu devant les deux femmes qui me regardaient, le feu au joues, j’allais m’enfermer dans la petit cabine, j’entendais à travers la porte la conversation qu’elle avait pendant ce temps avec ma femme,

     

    -Vous savez la taille du sexe importe peu quand il s’agit des enfants

    Ah bon pour quoi vous me dites cela ?

    -Parce que votre  mari à un petit sexe vous vous en rendez compte ?

    Ah bon.. ah oui - dit-elle rougissante

    -Oui, il ne doit pas vous donnez beaucoup de plaisir avec ça !,

    Euh… oui c’est vrai  - après un temps d’hésitation -  je crois que je n’ai jamais eu d’orgasme pendant nos rapports en fait docteur.

    -C’est bien ce que je pensais , mais vous avez eu déjà des orgasmes toutes seules ?

    Oui bien-sur et il me donne du plaisir parfois… autrement.

    -Bon vous me rassurez, nous les femmes avons le droit au plaisir aussi..

    Enfin après 9 ans ensemble …

    Euh …oui Docteur

    -Mais bon cela n’as pas trop de lien avec votre problème de fécondation, 

    Dans vos rapports jouit-il en vous ?

    Oui, assez souvent parfois très vite à peine entré,

    -Oui je vois le problème… bon de toute façon nous allons analyser son sperme déjà, pour voir si le soucis ne vient pas en fait de sa semence. 

     

    J’étais électrisé, en entendant ma femme se confier sous les questions un peu perverses de la gynéco qui lui faisait réaliser que j’étais un sous homme. Mon trouble se transforma en érection, mentalement je tombais si bas que cette effondrement de mon image me fit jouir minablement dans le verre en plastique gradué… 

     

    Au lit, même si je débordais de désirs, je sentais bien que je ne la satisfaisait pas vraiment, et si l’amour du début compense tout, au bout d’un moment cette frustration associé à notre manque de fertilité allait finir par détruire l’image de mâle que j’avais bâti sur son innocence.

     

    Il est vrai que mon sexe était pas dans les normes .. du moins ou juste au-dessous. Dans les vestiaires en garçons, je me cachais souvent, comme je pouvais, en voyant que je n’étais pas très bien développé de ce côté-là. Cela m’avait fait abandonner bien des sports collectifs. 

    Il mesurait 6 cm au repos et 12 en érection, un peu petit, comme dirait certaine, mais c’est surtout aussi son diamètre assez fin (2,8 cm en érection), qui me mettait bien en dessous des normes. Les normes… comme on dit « l’homme qui mesure son sexe, en a un petit », celui qui ne le fait pas c’est parce qu’il est sûr de lui.

     

    La gynéco nous donna rendez-vous une semaine après pour les résultats.

     

    Rentré à la maison ma femme aborda le problème à nouveau.

     

    -Tu sais Philippe, elle m’a dit que ton petit sexe n’avait rien à voir avec notre infertilité

    Comment ça ? j’ai pas un petit sexe ! rétorquais-je rougissant

    Mais si mon chéri la nature ne t’as pas fait de cadeau de ce côté d’après elle, mais tu sais je t’aime et ça n’a pas d’importance -  Lançât-elle le regard dans le vague.

    Une érection immédiate me pris à ses propos 

    Qu’est ce qui va pas chez moi ? je me dit intérieurement Je suis vraiment un minable ? Toutes ces années ou j'avais réussis à masquer mon petit problème arrivaient à leur termes. 

     

    Quelque jours plus tard nous faisions l'amour ou plutôt moi et elle en réceptacle concilient, elle me dit une fois en elle   - C'est vrai que je ne te sent pas tellement en moi....  - Je claquais d'autant plus fort des coups de boutoir désespérés, dans cette caverne ou j'écartais avec peine les cloisons, puis je jouissais immédiatement n'ayant pas tenue à la remarque, désespéré que cette certitude l'envahisse en même temps que mes gouttes de spermes misérables.

     

    Oui, je suis désolé ma chérie -  Dis-je en pleurnichant

    C'est pas grave mon amour tu as joui, alors pour le Bébé c'est bon !

    Oui ma chérie, et toi ? - Sachant pertinemment qu'elle n'avait rien ressenti

    Oui c'était bon ...mais court  - Il parait qu'avec cinq centimètre on peut faire des Bébés, t'en fait pas...

    Je glissais mon visage entre ses cuisses bien décider à lui donner du plaisir.

    - Oh mon chéri que fait tu ?

    T'inquiétes, je m'occupe de toi

    - Mais je suis sale.. enfin  ohh oohh, n'aspire pas tout mon chéri, gardes-en pour le bébé

    Je lapais sa chatte poilue et souillée, ma langue fouillant le vagin remontant au clito que j'aspirais fort

    - OOh Mon chéri que c'est bon continu;

    Je me déchainais dans un bruit glauque de sucions, je me disait que là j'étais bon au moins

    Elle eu un orgasme puissant - m'appuyant violemment la tête contre sa chatte les cuisses serrées et tremblantes.

     

    Ce petit cinéma reprit la fois suivante, mais là elle me dit qu'il fallait mieux la faire jouir avant avec ma langue pour ne pas compromettre la fécondation du bébé. Je la prenais donc ainsi, après son orgasme la bouche barbouillé de sa mouille, je jouissais en quelque aller-retours minablement, comme une conclusion, alors que ça aurait du être le plat principal.

     

    Mon égo était à sa place, je me retrouvais ridicule à chaque fois, mais cela me plaisait paradoxalement, si bien que je commençais à surfer sur les site d'humiliation du petit pénis, de plus en plus, et bien sur à regarder des vidéos de cocufiage, de chasteté... je m'engouffrais avec toute la perdition que cela suppose dans ce fétichisme pour l'humiliation puis la domination féminine, la féminisation des fiottes, le candaulisme, l'interracial, auto convaincu que je ne la méritais pas...ma queue en main.

     

    Elle de son côté (je l'appris plus tard) alla se renseigner sur internet, et surtout auprès de sa copine Karine, sa grande copine à laquelle elle disait tout et qui avait une grand influence sur elle...

     

    Vint le jour du second rendez-vous chez la gynécologue, que j'appréhendait beaucoup.

    Elle nous reçu dans son cabinet avec une grand sourire pour elle de compassion et une poignée de main froide à mon sujet sans regard.

    Ce fut très étrange car durant la conversation, elles firent toutes deux comme si je n'étais pas là.

     

    -Alors voilà dit elle comme je vous l'ai dit la dernière fois la taille du sexe de votre mari importe peu dans votre problème de fertilité.

    Ma femme se retourna vers moi avec un regard compatissant,

    En fait, il y a un autre problème, le sperme de votre mari est très peu fertile, 

    -Ah oh... mince, en plus ! - dit ma femme

    Oui, il éjacule en petite quantité et en plus le sperme est peu concentré,

    Cloué sur ma chaise de stupeur, je baissais les yeux.

    Ma femme se retourna vers moi cette fois avec un regard sombre

    -Décidément la nature l'a peu gâté

    La gynéco éclata de rire.

    Oui ! oh oh ! mon Dieu mieux vaut en rire... que pleurer

    Une érection fulgurante saisie mon pénis.

    Je bredouillait un truc inintelligible

    Oui bon Monsieur pourriez -vous nous laisser quelque instant que je parle à votre femme.

    Je ne pouvais me lever, elle insista, je fini par le faire masquant comme je pouvais mon émoi, mais cela n'échappa à cette professionnelle qui fit une moue moqueuse à mon égard.

    Je me retrouvais dans le couloir sur la chaise d'attente les mains sur mon visage, me disant que vraiment là je touchais le fond et que mon mariage était foutu, le coeur même des désirs les plus profond de ma femme, enfanter, était remis en cause par mes disfonctions.

    Je tentais d'écouter mais seule des bribes me parvenaient.

    Ça va être dur... bla bla sous membré.....stimulation difficile...

     

    Dans la voiture du retour ma femme me dit 

    -Il ne manquait plus que ça...

    Je m'excusais, de ce que la nature m'avait donné,

    Elle me dit sèchement que si elle avait su, ma quasi infertilité, malgré son amour,  elle ne se serait peu être pas mise avec moi.. Que faire des enfants c'était son but principal dans la vie...Me reprochant de l'avoir mener en bateau avec ma soi-disant normalité.

    Une grande émotion m'envahi et je me mis à pleurer à chaude larmes, bredouillant des excuses -je ne voulais pas te mentir; mais tu sais, snif c'est dur pour moi d'être comme cela snif.

    Je pensais que là , elle s'apitoierais...

    -Pas si dur dit elle, la gynéco m'a dit que tu bandais au sortir du cabinet,    tu te rend compte tu bandes à l'idée d'être incapable! à l'idée qu'on ne pourra peut-être pas faire d'enfant! mais c'est quoi ton problème ?

    Je redoublais dans les sanglots

    ..Je suis un minable en fait chérie, heuu heuuu....sniff ... j'aime être humilié en fait je crois, sniff .... c'est en dehors de ma volonté,

    - Humilié à bravo, voilà que je suis avec une chiffe molle, une tapette en fait, mon Dieu comment veux tu maintenant que je te considère, tu es vraiment bizarre.

    La conversation s'arrêta là... la semaine passait vite et ma femme me parlait à peine que pour l'essentiel, je manifestais bien un soir l'envie d'un câlin.. Mais elle me repoussa en disant que ça n'était ni le moment, ni clair dans son esprit.

    Puis un soir elle m'attendait assise à mon retour du travail, l'air furieuse

    Ça va ? lui demandais-je penaud 

    -Non ca va pas, me dit -elle, à genoux devant moi s'il te plait ..

    Je du faire une tête ébahie, d'ailleurs ces mots n'avaient pas encore construit une réponse chez moi , que je reçu une gifle très violentes, qui conjuguée à la conscience de la situation me fit monter les larmes aux yeux, et fléchir ma posture, pour enfin tomber à genoux devant elle.

    -Dit donc mon salaud, non seulement je suis avec un sous homme à petite bite, éjaculateur précoce qui ne peux pas faire d'enfant mais en plus un vrai pervers...

    -Co...; Comment ça ? balbutiège

     

    -Tu me mens depuis toujours à me faire croire que tu es normal... mon dieu mais pourquoi je suis tombé sur toi (dit elle levant les yeux au ciel), tu ne me fait pas jouir, tu pleurniches maintenant tout le temps et en plus ... EN plus j'ai été voir tes historiques sur ton ordi... ! Mon dieu mais c'est quoi tout ca t'es anormal, toutes ces perversités ! C'est ca qui te plait ...?

    Je baissais les yeux n'osant plus la regarder, en imaginant cette fille si propre, si saine et prude, en train de découvrir toutes les horreurs auxquelles je m'adonnais, toute cette saleté que..;

    - Répond !

    -...... J'ouvrais la bouche mais rien ne sortait...

    Je ne savais quoi lui dire et  comment justifier toutes cette sombre part de moi. Je comprenais d'un coup que je ne la méritait pas, qu'une fille comme elle se trouvait dans une impasse avec moi, sordide...

     

    Puis je reçu une gifle..;  puis une autre  -

    - Salaud, salaud, lopette, minable, !

    Les coups pleuvaient, poing claques,  elle devenait hystérique, j'entrevoyais son regard noir et déterminé à me faire mal, puis dans ce tourment et dans ses insultes criées à ma face - Tapette, sous-homme, salaud

    Et ce fut des coups de pieds, elle continuait à me taper en visant maintenant mon entre jambe, je criais sous les coups, elle fit mouche à deux reprises, je me roulais par terre, en chien de fusil, la douleur fulgurante dans mes parties me remontait à la gorge.

    Puis ce fut le calme après la tempête, elle essoufflée, s'était écroulée dans le fauteuil, les jambes écartées, l'expression de colère de son visage prit une allure plus étrange, teintée de perversité. Là dans mon regard trouble de larmes, lové à ses pieds, je vis que sa main était sous sa jupe, compressé sur son pubis.. l'autre main mordue par sa bouche pour taire ce que je pris pour de la rage contenue et qui se révélait être un orgasme qui secoua tout son corps.

    Je n'osais bouger ni même la regarder, ainsi passa un temps.... je l'entendais bouger ,

    Puis elle me dit - viens faire ton devoir, j'ouvrais les yeux et me redressais sur mes mains et je la vis, jambe ouvertes sans culotte, un doigt visant sa motte poilue,

    -T'es bon qu'a ca.. n'est ce pas ?

    EUh ; je ..

    -Tais-toi 

    Je fourrais ma tête entre ses cuisses chaudes comme heureux d'être en communication à nouveau, ma langue trouva une chattes poilue, chargée de mouille et parfumé de sa journée de travail. Je la lapais et m'appliquais entre son clito et les grandes lèvres puis le puits ou j'enfonçais de temps en temps au plus profond ma langue, j'aspirais ses sécrétions, mon nez aussi s'engluait de tous son désir et participait aux ébats, elle gloussait au dessus de moi me maintenant fermement la tête.  

    Puis elle m'attrapa par les oreilles et me compressais la bouche sur elle, agitant ma tête comme un vulgaire objet de jouissance je suivais le rythme au mieux pour soulager ma douleur ,, je n'étais plus maitre de son plaisir elle reprenait les rennes, faisant de moi un pur objet sexuel. Elle cria cette fois son orgasme et ses cuisses me compressèrent la tête violemment le nez dans sa chatte, elle croisa les genoux autour de ma tête comprimant ma respiration.

    MmmHh MMhhh;

    Elle me libéra à la limite de l'étouffement, je me renversais en arrière demi inconscient.

    -C'est fini entre nous

    Oh non non s'il te plait je t'aime, tout allait bien jusqu'a présent... Je t'offre une belle vie , tu n'as pas à travailler..On a une maison.

    - Oui mais maintenant je veux des enfants.. et tu es incapable de m'en donner..

    Non mais on va y arriver et puis on peux essayer les FIV je me suis renseigné...

    -Moi aussi, je me suis renseigné auprès de Karine et de la gynéco figure toi..

    Tu es un amant misérable et tes perversions font de toi un sous-homme maintenant à mes yeux.

    Ecoute moi bien.. Jamais je ne donnerais à mes enfants tes gènes de pervert et de petite bite.. Tu imagines un fils avec tes attributs et ta perversité ? Tu imagines ?

    euh.; aff oui je vois ce que tu veux dire..

    -Ya rien a voir plutôt ou pas assez ! Dit-elle dans un éclat de rire nerveux.

    Ecoute d'après Karine, je peux te laisser vivre à mes côté mais à la condition que tu te soumettes à moi, c'est après tout une part de tes fantasmes?

    - Est-tu d'accord ?

    oui... oui bien sur Karine je ferais tout ce que tu veux.

    - Oui ... un sourire de ravissement envahie sa face - c'est bien mon chéri

    - A partir de maintenant tout va changer 

    - D'abord tu vas mettre ca....

    Elle me jeta une boite  sur laquelle je vi une photo de cage de chasteté en métal,

    va la mettre et revient à poil te mettre à genoux devant moi ...

     

    Je pris la boite avec curiosité et un peu crainte et de désespoir, je partais dans la salle de bain mettre avec difficulté la cage, ca me prit un certain temps surtout pour rassembler l'étui pénien à l'anneaux des bourses ,  la situation stimulant mon érection je me passais sous l'eau froide, je clippais enfin le cadenas et prenais la clef.

    je revenais penaud devant elle les yeux baissés n'osant la regarder, je me mis à genoux

    du bout du pied, elle titilla ma petite bite prisonnière, faisant teinter le métal du bout de son escarpin.

    - A voilà ! elle est à sa place, trop mignon, 

    - Donnes moi la clef . Je vais de dire ce qui t'attends si tu veux que l'on reste ensemble,

    - D'abord tu m'appelles Madame, en privé, toujours, pour les autres en dehors on est un couple normal, Je ne te libèrerais qu'une fois par mois si tu as été sérieux et je te laisserais jouir à ta convenance, mais jamais en moi tu entends .. Tu ne me pénètreras jamais plus.

    -Tu me donneras du plaisir avec ta langue uniquement, 

    Je me permettrais de prendre des amants et c'est eux qui me feront des enfants, toi tu les élèveras comme un bon père cocu et pervers. Si tu restes avec moi, tu seras en chasteté permanente, tu dormiras dans la chambre d'amis et tu n'auras plus jamais de ta vie de rapport sexuel avec moi, ni avec aucune autre une femme. Et tu seras la nounous des enfants de mes amants, mais t'inquiètes pas pour la plupart des gens ils penseront que tu es le père.  

    La révélation

    C'est ainsi que fut faite la révélation qui devait à jamais changer mon sort...quelques semaines après, lors d'un des léchages journaliers maintenant de sa chatte, je constatais l'épaisseur d'un liquide crémeux dans sa chatte souillée et trés dilatée. "tu peux voir que j'ai un amant  - ou plutôt le goûter , hein mon chéri" Levant les yeux d'un regard désespéré , je ne bronchais pas et je jouissais sous moi dans ma cage, accompagné du rire de ma femme.

    Quelques semaines plus tard, elle m'apprit sa grossesse...

    - Réjouis toi mon chéri, tu vas être bientôt le papa cocu de tes rêves.... imagine... tu vas dorénavant pourvoir tous les jours de ta vie, en regardant ton enfant,  t'exciter dans la cage de ton humiliation mon sous-homme !

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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