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Par jgiorca le 29 Novembre 2018 à 22:06
Ma femme a été fidèle pendant des années, sage, sérieuse... jusqu'au jour où j'ai parlé à mon meilleur ami médecin de mon fantasme de la voir me cocufier.
Au début, il m'a dit que j'étais débile, que c'était stupide...
Mais régulièrement, je remettais l'histoire sur le tapis.
- être fidèle, c'est de la possession. Ma femme n'est pas un objet. Et si ça se trouve, elle a envie d'un autre homme, mais elle craint de ne plus être assez séduisante.
- Ça va pas! Elle est superbe, elle a un charme fou.
- Elle croit que non. Tu devrais lui dire, toi, mon meilleur ami.
- je ne me vois pas faire ça.
- Alors, c'est que tu n'es pas sincère, tu dis ça pour me faire plaisir
- Mais non !
- Elle te plait ? Tu la draguerais ?
- Si elle n'était pas ta femme, oui.
- Encore une excuse bidon. Si elle te plait, essaie de la séduire.
- T'es givré ! Et si elle craque ?
- Tu sais depuis 30 ans que nous sommes ensemble, elle n'a jamais été voir ailleurs.
- C'est qu'elle n'en ressent pas le besoin.
Je le sentais troublé... après un silence je lui ai dit :
- et si je te le demandais ? Si je te proposais de tenter de la séduire, pour voir ?
- C'est risqué. Si ça marche, tu seras fâché après moi.
- Non. J'y pense très souvent ; tous les jours je t'imagine avec elle, la faisant jouir, en me masturbant.
- c'est une situation bizarre.
- Tu sais ce que c'est que le candaulisme ?
- Non !
- Renseigne toi…
Quelques jours plus tard, c'est lui qui a repris la conversation :
- Je me suis renseigné sur le candaulisme. Je ne ressens pas ça, mais j'admets que ça puisse exister.
- Est-ce à dire que tu es prêt à tenter de séduire ma femme ?
- Ça me fait un peu peur, mais si tu y trouves du plaisir, pourquoi pas ?
- Oui, ça me fait plaisir. Et même, j'espère que tu réussiras, que tu me feras cocu.
- Bon. D'accord, j'essaie.
Etant absent tout une journée, j'en ai averti mon ami. Comme par hasard, il est passé à la maison, juste avant midi. Comme nous le connaissons depuis des années, ma femme l'a invité à l'apéro, puis à déjeuner. Il l'a fait boire, elle qui ne supporte pas 2 verres. Puis il lui a dit
- Je plongerais bien dans la piscine.
- Vas-y, elle est à 27°
- Je n'ai pas mon maillot de bain.
- Bof. Avec Philippe, on se baigne nus.
Il a aussitôt quitté ses vêtements, la bite déjà mi-raide, bel organe (12/14 cm au repos, la mienne en érection)
- tu ne viens pas ?
- C'est gênant, nus tous les deux.
- Bof, on se connait depuis si longtemps.
Elle a fini par se mettre toute nue et ils se sont baignés, se frolant…
Puis, il est sorti, là, il bandait dur, superbe membre.
- Je préfère sortir, tu vois l'effet que tu me fais ?
Elle ne disait rien. Il restait là, debout à la regarder nager.
- Tu es vraiment très elle.
-Allons, dis pas de bêtise, je suis vieille, toute dégradée.
- Mais non, regarde comme je suis excité.
- Monsieur, je suis mariée.
- Madame, j'ai l'autorisation de votre mari.
- Qu'est-ce que tu racontes ?
- il m'a dit qu'il rêvait de te voir prise par un autre homme.
Elle semblait gênée
- tu ne me crois pas ?
- Si, il m'a déjà dit ça en faisant l'amour.
Mon ami est retourné dans la piscine, s'est approché de ma femme
- Faisons-lui plaisir.
Puis il a tenté de l'embrasser, elle se débattait mollement.
- J'ai tellement envie de toi. Offrons-lui ce cadeau…
Elle a cessé de se débattre, offrant sa bouche au baisers torrides de notre ami.
Tout est allé très vite, pelotage intense, caresses de fesses. Elle a fini par répondre à ses caresses, fesses, bite. Il l'a soulevée et l'a empalée sur sa bite. Elle ne luttait plus, au contraire, elle avait envie
- Prends-moi. Faisons-lui plaisir. Viens
Il était tellement excité qu'il a éjaculé très rapidement, bien au fond… elle a joui en même temps que lui… ils sont restés collés un moment, s'embrassant, se caressant…
- Merci, ma chérie. Excuse-moi, j'étais tellement excité. Allons nous reposer un peu, on sera moins nerveux la prochaine fois.
- Tu crois ? J'ai un peu honte. On devrait en rester là
- Chut ! Tu as joui, moi aussi, nous avons réalisé son rêve.
- Il faut que je te dise : je ne prends aucune contraception…
Ils son allés s'allonger à l'ombre, toujours nus.
Assez rapidement, il a retrouvé une belle érection et a recommencé à la caresser.
- non, mon chéri, il ne faut pas.
- Chut ! tu n'es pas crédible.
Il l'a prise à nouveau, en missionnaire, faisant durer le plaisir, retardant sa jouissance. Elle a connu 3 orgasmes Au troisième, il a tout lâché.
- Maire, je t'aime.
- Allons, pas de grand mot.
- Tu n'as pas joui ?
- Oh si, mon chéri. Comme jamais. Tu es juste à la bonne dimension. J'ai adoré.
- Alors, nous allons devenir amants officiellement.
- Comment ça, officiellement, on va publier une annonce dans la presse ?
- On va commencer par annoncer la grande nouvelle à ton cocu.
- C'est aussi ton cocu, à toi aussi.
- Oui, c'est notre cocu ! On devrait peut-être lui téléphoner pour lui annoncer la bonne nouvelle.
- tu es fou
- Fou de toi, mon amour.
- Non mais, tu ne vas pas remettre ça !
- Non. Nous allons lui faire la surprise, attendre le bruit de la voiture pour le cocufier pour la 3ème fois.
- Tu exagères.
- Je t'aime
- Ça tu l'as déjà dit.
- Et je le redirai encore.
Ils se sont caressés toute la fin d'après-midi, résistant au désir.
Quand je suis arrivé, j'ai eu la surprise de voir mon ami en action sur le dos de ma femme. Une superbe levrette qui permettait aux deux amants de me regarder en jouissant.
- Bonsoir, mon cocu, tu vois, on te fait plaisir
- Je t'avais dit, Philippe que j'avais envie d'elle. Tu es cocu. Cocu et content ?
- Oui, cocu et content.
J'ai baissé mon pantalon et mon slip pour me masturber en regardant mon cocufiage,mon rêve enfin réalisé.
Ils ont joui ensemble, se sont encore embrassés et caressés. J'ai éjaculé.
Puis, nous avons parlé, eux toujours nus, enlacés, face au cocu :
- Merci, mon ami pour ce cadeau. J'aime ta femme. Je vais la faire jouir souvent.
- Merci à vous. Je voulais être cocu, je le suis.
- Tu sais mon cocu chéri, j'aime vraiment faire l'amour avec Alain. Il me comble.
- Nous allons devenir amants officiels, avec la bénédiction du cocu.
- Ah !
- Ça te gêne, mon cocu ?
- Euh… je ne sais pas, je n'avais pas envisagé ça.
- Fallait y penser avant. Alain me baise si bien, que je n'ai plus besoin de toi. C'est lui mon homme, maintenant.
- Tu veux me quitter ?
- Pas du tout Tu es mon mari, cocu, mais mari. Tu seras mon cocu chéri.
- Mais tu ne feras plus l'amour avec ta femme.
- Ah bon ?
- Oui, nous en avons parlé. Alain me baisera et lui seul. Toi, tu pourras regarder, te branler, me caresser, mais jamais me pénétrer. Nous en avons parlé cet après-midi.
- Ah !
- J'aime ta femme, elle m'aime, mais elle reste avec toi. Je viendrais la prendre quand elle aura envie ou moi. Souviens-toi, elle ne t'appartient pas…
Depuis, il vient la prendre quasiment tous les jours et je n'ai que le droit de la caresser. Parfois elle me branle et c'est tout.
Mais un jour, j'ai tenté de la pénétrer… elle s'est débattue
- Ah non ! Le cocu n'as pas le droit ! Arrête ou je le dis à Alain.
J'ai été un peu brutal, aussi, quand Alain est arrivé ce soir là il a été très sévère :
- Dis donc, cocu, tu connaissais la règle du jeu. C'est ma femme, cocu ! Tu ne dois plus la pénétrer. D'autant plus qu'elle est enceinte.
- Enceinte, de toi ?
- Évidemment, cocu ! Tu ne la baises plus depuis 6 mois.
- Alors ?
- Ce sera notre secret, mon enfant aura deux pères.
- C'est ca, tu vas élever mon fils avec ton argent.
- Si elle est enceinte pourquoi je ne peux pas la pénétrer ?
- Tu n'as rien compris, cocu. Marie, amène le matériel- Que vas-tu faire ?
- je vais te couper les couilles, cocu. Comme ça, je suis sûr que tu ne me feras pas cocu.
Elle : - C'est peut-être un peu excessif.
- Ecoute, ma chérie, on en avait parlé, tu étais d'accord… C'est le seul moyen pour qu'il te laisse définitivement tranquille avec sa petite bite... allez, cocu, amène tes couilles.
Il s'est jeté sur moi,m'a mis un coup de poing magistral qui m'a fait m'assoir à demi inconscient,il m'a immobilisé, bâillonné, elle, complice m'a lié les mains dans le dos de la chaise puis les chevilles.
Je reprenais conscience doucement quand une douleur horrible me prenait le scrotum.
Il faisait une boucle avec un fil métallique, me l'a passé autour de la couille gauche, un autre autour de la droite. Elle regardait intensément la scène en se touchant la vulve, un sourire vicieux au coin des lèvres.
- oh mon dieu dit elle je jouie... un spasme la secouait
- Vas-y ma chérie, serre fort le fil, moi, je prends l'autre. Un, deux trois.
Les amants ont serré d'un coup sec. Douleur fulgurante… je suis tombé dans les pommes.
Comme il est médecin, il a soigné, suturé et mis mes balles perdues dans un bocal de formol avec mon nom et le sobriqué cocu à jamais sur l'étiquette.
Puis ils ont fait l'amour devant moi, en levrette, me regardant ironiquement :
- Regarde mon cocu comme il me baise bien -un éclair de furie dans les yeux
- Merci cocu, de m'avoir donner ta femme, je vais bien la remplir, tous les jours que Dieu fera.
Je pleurnichais dans mon coin, de l'invraisemblance de cette situation et de leur affront.
- Tu vois, tu l'as voulu, tu l'as eu mon cocu, tu ne seras plus un homme à jamais , mais tu seras un cocu pour toujours.
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