• Et là je ce compris tout d’un coup... Son membre fit ses premiers pas en moi, le gland d’abord se présenta frottant son mufle sur mes lèvres remontant sur mon clito, ce préliminaire tout en conscience de l’ampleur du sujet, me retournait la tête faisant frissonner tout mon corps avide, à l’attente affolée de la pénétration.

    J’écartais plus les cuisses encore, par réflexe idiot, comme s’il fallait vraiment ouvrir tout à fait le passage, encourageant ainsi le fabuleux partenaire à se joindre enfin.

    J’allais connaître une vraie pénétration avec un phallus de mâle Alpha et pas la petite nouille habituelle que me servait mon mari depuis huit ans.

    Le gland entra.... Waouh déjà je sens mes lèvres l'enserrées, s'ouvrir comme une fleur, ce contact massif cette chaleur, ma voie mouillée l’absorbe, mais tout mon corps frémi à la sensation de dilatation, il avance et là c'est incroyable, je le sens m'ouvrir un éclair de douleur me traverse, comme si je perdais à nouveau ma virginité, puis la sensation indescriptible comme une lumière croissant sans cesse.

    Il avance encore un peu,

    Je ne peux m'empêcher de regarder, je vois cette masse connectée à moi glisser en subtiles aller-retour, oh mon Dieu que c'est trivial, mon clito aussi explose dans un orgasme immédiat, je m'aperçois qu'il est stimulé par l'élargissement de mon vagin de l'intérieur, je suis complètement dilatée.

     

    C'est effectivement autre chose .... Il commence ses aller-retour et pénètre plus avant, je suis en feu, mes contractions pour l'enserrer sont bloquées, inversée, j'ai l'impression de m'ouvrir sans cesse, comme une chute en avant que je ne maîtrise pas; c'est lui qui maîtrise qui me prend , je comprend enfin ce qu'est de posséder, d'être possédé, dépendante, envahie.

    Je capitule, j'ondule sur ce va-et-vient , le chîbre s'enfonce maintenant au trois quart, je ne pensais pas pouvoir absorber une telle chose, un orgasme violent monte, je ne bouge plus pour le savourer, il me transperce,  des éclairs partent électriser ma colonne vertébrale, mes yeux se révulsent, mon âme bascule, et bascule encore. Des vagues de plaisir roulent sur moi sans cesse, se clament un peu. 

    Soudain autre chose il touche en haut... oh jamais j'ai eu ca, le fond du vagin, et le col de l'utérus est atteint touché, titillé, repoussé à chaque pénétration, c'est un peu étrange et ça n'a jamais été aussi fort, mon vagin s'étire sur le pénis, me procurant au final un bien être incroyable. 

    L'orgasme revient différent en vagues presque constante chaque fois qu'il vient au fond, je suis en transe, lui aussi, il me pilonne maintenant allègrement. 

    Je n'avais jamais connue cela; le pénis de mon mari n'ouvrait pas ces voies là, n'allait pas dans ces tréfonds et ne pouvait révéler ces sensations cachées, je suis enfin femme, cet homme me fait enfin femme...complète, on ne joue plus là.

    Enfin sa jouissance à lui, j'ai la sensation de sentir ses jets de sperme, je suis agitée de soubresauts incontrôlables, il se retire, je me calme ... l'air frais entre un peu dans mon vagin dilaté, mon corps reprend sa place doucement, perlé de sueur, je le sens encore en moi alors qu'il n'est plus là, le sperme s'écoule de moi repoussé par les chairs qui reprennent leur place.

    Je suis toute bouleversée et je pleure, pas de joie, pas de peine, mais de sensations.

    Je ne peux m'empêcher de regarder le pénis de l'homme trempé de nos ébats, magnifique majestueux et fier, comme une bête enfin apaisée.

    Et je repense à toutes ces années ou mon mari m'a fait son cinéma de petit mâle s'agitant en moi pour pas grand chose, des demi-orgasmes incomplets mais je ne savais pas que cela pouvait être autrement...

     

    Et je souris intérieurement en me disant que celle qui disent que ce n'est pas la taille qui compte, c'est qu'elles n'ont sans doute jamais connu cela...

     


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