• Qu'est-ce qui ne va pas avec toi ?

    J'écris ceci de mon plein gré. Cette histoire fait partie d'un accord entre ma femme et moi : si je révèle mes insuffisances en tant qu'amant sur ce site, c'est que  bien sûr : nous tirons tous les deux une gratification sexuelle du nouvel arrangement, et le secret est révélé à au moins une autre personne. Il rigole probablement de lire ça, s'il n'est pas trop occupé à baiser ma femme.

    Colleen est magnifique, et je ne l'échangerais pas contre une autre femme sur terre. Elle rit facilement et souvent, et est toujours partante pour s'amuser. Elle est toute en jambes, mais vous ne le remarquerez que si vous pouvez détacher vos yeux de sa poitrine. Ses seins sont plutôt petits (un bonnet B), mais hauts et fermes et si parfaitement proportionnés qu'on lui demande tout le temps si elle a fait du mannequinat. Les cheveux auburn encadrent un visage orné d'yeux saphir et d'un soupçon de taches de rousseur. Ses lèvres sont si pleines que vous jureriez qu'elle vient de faire une fellation.

    Il est difficile de comprendre comment j'ai pu épouser une telle déesse, mais j'ai bénéficié de son éducation religieuse qui l'a gardée vierge jusqu'à notre nuit de noces. Sans point de référence, elle ne savait vraiment pas quelle taille un homme devait avoir, ni combien de temps devait durer un rapport sexuel. J'ai de la chance! Je ne mesure qu'environ 12 cm en érection complète et je décharge généralement 3 ou 4 petits jets rapides après quelques minutes de contact.

     Lors de notre nuit de noces, je ne suis même pas allé aussi loin : elle voulait voir à quoi ressemblait un pénis et, lorsqu'elle m'a pris entre ses doigts et son pouce, je suis venu juste à son contact. J'ai giclé sur son poignet, ce qui a provoqué un rire surpris, puis j'ai débandé mollement malgré toutes ses tentatives pour me ranimer. " J'ai trop envie de toi " me dit-elle.

    Il fallut attendre le lendemain avant que je ne réussisse à la pénétrer et sa déception était évidente. Deux minutes de tâtonnements avant que je brise sa virginité et instantanément je spasme à l'intérieur de sa belle chatte, tellement troublé de prendre son hymen. J'ai fait de mon mieux pour la faire jouir avec mes doigts, en lui massant le clitoris, et la pénétrant légèrement d'un index, mais il était clair qu'elle attendait plus que ça de sa première fois.

    Nous avons persisté pendant plus d'un an et elle a appris à prendre en main sa propre satisfaction sexuelle, en se masturbant violemment après mes tristes et fugaces pénétrations.

    Les deux fois ou elle me  pris en bouche je jouissais instantanément au contact de ses lèvres, elle ne s'y risqua plus guère sachant que cela terminait trop vite nos séances d'amour.

    Un jour, une de ses copines a organisé une de ces soirées de filles ou elles abordent sans pudeur leur vies conjugales. Elle est revenue à la maison avec un gode d'environ 18 cm de long et beaucoup plus épais que moi. Il était clair qu'il y avait eu beaucoup de confidences, car elle avait été stupéfaite par le commentaire d'une autre femme selon laquelle son mari était plus gros que ce gode.

    « Peux tu imaginer une telle chose ? m'a- t elle demandé , les yeux rêveurs. Il était clair à ses yeux qu'elle avait une révélation. " Euuh .. oui, approuvais-je les yeux baissés, tu sais tout le monde n'est pas fait pareil"

    Puis elle apprit q'une de ses amie a eu une liaison que son amie a décrite comme "juste pour le sexe". Colleen a été consternée par la tromperie de son amie, elle abordait plus que souvent le sujet , m'interpellant, mais ces conversations révélaient une curiosité pour des "relations purement sexuelles" qui m'a inquiété.

    Inquiet, et en même temps excité. Je sais que je ne suis pas bon au lit et, franchement, j'ai honte de pouvoir faire si peu pour quelqu'un que j'aime tant. Quand j'ai vu ses yeux s'écarquiller à la pensée d'un amant, et que je l'ai vue se lécher les lèvres à l'idée d'un orgasme provoqué par le coït, j'ai senti une tension dans mon pantalon.

    "Allons à l'étage," dis-je, la ramenant de son regard distrait. Elle sourit et me prit la main. Dans la chambre, je me déshabillais rapidement alors qu'elle faisais glisser son jean moulant sur ses hanches et dégrafait son soutien-gorge. "Je veux te lécher," dis-je en la repoussant sur le lit. Elle écarta les jambes et je lapai avidement sa fente serrée. Elle caressa ses propres seins alors qu'elle frottait sa chatte sur ma bouche, haletant alors que je baisais avec la langue son trou enflammé.

    "J'ai besoin de toi en moi," gémit-elle en me repoussant et en grimpant dessus. Mon petit pénis avide se tenait debout comme un cadran solaire et, fin comme il est, il s'est glissé en elle facilement. "Oui!" elle gémit et commença à me chevaucher d'avant en arrière. J'ai pensé pendant un moment que cette fois serait différente - nous étions tous les deux tellement excités que j'étais sûr de durer un moment, mais soudain l'image d'elle avec un autre homme m'est venue à l'esprit. Je l'imaginais en train de glisser sur une bite si épaisse qu'elle en avait le souffle coupé. Je l'ai vue les yeux écarquillés et tremblante au sommet d'un membre palpitant, graissée par sa propre excitation, et c'était tout ce qu'il fallait. Mes yeux se son troublés lorsque j'ai éclaté en elle, giclant comme un petit garçon dans sa couche.

    Son regard s'ouvre étonnée et déçu. Elle a regardé entre nous alors que mon pénis débandé glissait et continuait à faire couler son jus sur mon ventre.

    « Merde, Paul, » lâcha-t-elle, « qu'est-ce qui ne va pas avec toi ? Nous ne faisions que commencer !

    "Je sais, bébé, je suis tellement désolé. Je ne peux pas m'en empêcher. Tu veux que je prenne ton gode ? Je pourrais te faire jouir avec."

    "Non," dit-elle, ses yeux devenant durs alors qu'elle me fixait, "Je veux que tu me manges. Tu as fait ce gâchis, maintenant tu le nettoies." Je savais que par "gâchis", elle voulait dire plus que sa chatte gluante qu'elle faisait glisser maintenant sur ma poitrine - elle voulait dire toute notre vie sexuelle - mais ses lèvres intimes qu'elle pressait contre mon visage était la préoccupation immédiate. Je ne gicle pas beaucoup et ce que je fais est assez liquide donc ça s'est surtout écoulé au moment où elle est arrivée à ma bouche, mais l'idée de manger du sperme était assez révoltante.

    J'essayai un autre coup de langue et l'entendis gémir d'approbation. J'ai fait un autre essai, cette fois avec enthousiasme et j'ai senti sa prise sur mon cuir chevelu me plaquer contre elle.

    Alors que son corps commençait à répondre à mon attention, l'image d'elle avec un autre homme me revintà l'esprit . Soudain, je ne léchais plus mon propre sperme de sa chatte; Je léchais le sperme d'un autre homme de son trou fraîchement baisé.

    C'était électrique ! J'étais captivé en imaginant ma femme en proie au plaisir sexuel, satisfaite d'une manière qu'elle n'avait jamais été en 14 mois de mariage, et moi réellement capable de contribuer à l'expérience. J'avalai avidement ses lèvres lisses, plongeant ma langue aussi profondément que je le pouvais alors que je cherchais le nectar de nos jus combinés. J'imaginais sa chatte, étirée et rassasiée comme elle aurait dû l'être, déversant l'évidence de son plaisir.

    Elle a réagi avec le même enthousiasme, frottant son entrejambe contre ma mâchoire. Ses mains se déplaçaient vers la tête de lit alors qu'elle secouait ses hanches et sa respiration se faisait en halètements courts. J'ai regardé ses mamelons se dresser en pointes raides tandis que sa poitrine devenait rose. Je pouvais à peine respirer à cause de la pression de son aine sur mon visage, mais je léchais et sirotais comme jamais auparavant.

    Ses jambes s'écartèrent encore plus à l'approche de son orgasme, et je l'imaginai s'ouvrir plus large pour accueillir une bite beaucoup plus grosse que ma langue. J'ai saisi ses fesses et tendu ma langue vers le haut alors qu'elle commençait à grogner "Oui! Oui! Oui!" et a été soudainement accueillie par un flot étincelant de sa crème. « Oh putain, oui ! » cria-t-elle en jouissant sur mon visage.

    Elle resta là, tremblante, alors que vague après vague de plaisir la traversait. Quand elle a finalement baissé les yeux avec un sourire perplexe, j'ai pointé mon aine - j'étais à nouveau dur, quelque chose dont elle n'avait jamais été témoin. « Eh bien, qu'est-ce qui t'arrive ? » demanda-t-elle en riant et s'éloigna de moi.

    "Je ne sais pas bébé," ai-je menti, "mais je dois encore te baiser!"

    "Allons-y alors!" elle gloussa et s'étendit sur le lit. J'étais sur elle en un éclair, et ma bite d'enfant a pénétré dans sa fente crémeuse si rapidement que je doute qu'elle ait même su que j'étais à l'intérieur. J'étais mon moi habituel, tâtonnant, me débattant alors que je luttais pour empêcher mon petit bâton de gicler, mais dans mon esprit, je voyais les lèvres de sa chatte pistonnées d'avant en arrière par une bite d'homme, de vrai homme. Elle a ri de mon empressement, mais avant qu'elle ne puisse m'installer dans un rythme, j'ai éclaté à nouveau et j'ai vidé mes testicules dans sa chatte en feu.

    Elle pinça les lèvres de déception, mais elle me caressa les cheveux alors que ma respiration revenait à la normale. "Eh bien, je ne sais pas si cela peut vraiment être qualifié de 'putain de baise', mais c'était le meilleur que tu aies jamais été pour moi", a-t-elle déclaré. « Qu'est-ce qui était différent pour toi ? As-tu vraiment aimé me manger après être entré ? À quoi pensais-tu ?"

    J'ai fait une pause avant de répondre, sachant que la vérité à ce moment pourrait avoir de profondes conséquences. Je savais que son éveil sexuel suivait un chemin que je ne pourrais pas arrêter, et je savais aussi que je courais un risque réel de la perdre si je ne remédiais pas à mes lacunes.

    J'ai considéré les nombreux conséquences possibles de ma confession et j'ai finalement décidé qu'il valait mieux lui dire que de garder une femme aussi incroyable frustrée, et si je la perds autant que cela soit avec mon consentement que de la laisser cherché son contentement en secret de son coté.

    "Je t'imaginais avec un autre homme," dis-je.

    "Quoi?" lâcha-t-elle. "mais... qui ça ?"

    "Personne en particulier," dis-je. "Juste quelqu'un d'autre. Quelqu'un qui a la capacité et, euh, les outils pour te rendre heureuse."

    « Mais je suis heureuse !"

    "Pas sexuellement," répondis-je, "nous le savons tous les deux. Et ne me dis pas que tu n'as pas imaginé la même chose." Elle me regarda longuement avant de répondre.

    "Oui, Paul, j'ai imaginé ce qu'un autre homme pourrait me faire ressentir. Je ne peux pas te dire combien de fois j'ai dû rentrer à la maison et me masturber après avoir parlé avec une petite amie de sa vie sexuelle.

    Tellement de fois j'entends des histoires sur de longues séances, ou des orgasmes multiples, ou même du plaisir de prendre une très grosse bite, ça me rend folle de désir. Mon gode me donne une certaine satisfaction, mais ce n'est pas un homme, et tu ne pourra jamais être à la hauteur de ces désirs légitimes, tu es juste trop petit, et tu jouis juste trop vite.

    « Veux-tu prendre un amant ?

    "Je ne veux pas te tromper."

    « Et si c'était avec mon approbation ?

    « Tu ferais ça ?

    "Je pourrais. Je devrais y penser. Je t'aime, Colleen, et je veux que tu sois heureuse, même si cela signifie un certain stress pour moi."

    "Je pense que tu y as pensé, Paul, sinon tu n'en parlerais pas maintenant. Et tu y pensais aussi il y a quelques minutes, et ça n'a pas semblé te causer trop d'inconfort !"

    "C'est vrai," concédai-je.

    Elle s'assit et me regarda profondément dans les yeux. "Je veux que tu réfléchisses longuement et sérieusement à cela Paul. C'est un grand pas, et je ne le ferai pas avec désinvolture.

    Si c'est un endroit où nous allons aller, je veux y aller en toute confiance. Es-tu capable de ça, pour moi?"

    J'ai dégluti et j'ai hoché la tête. Elle étudia mon visage pendant plusieurs secondes.

    "Lève-toi Paul." Je l'ai fait, debout à côté du lit alors qu'elle glissait vers le bord. "Je vais te sucer, et je veux que tu imagines que je suce quelqu'un d'autre. Regarde-moi et imagine ma bouche autour de la bite d'un autre homme. Imagine le plaisir que je lui donne, et imagine le plaisir que je reçois , aussi. Imagines toi que j'ai pris un amant, et que je me donne à lui, complètement et entièrement. Je veux savoir ce que ça te fait ressentir.

    J'ai lutté contre la peur et la confusion alors qu'elle glissait du lit et s'agenouillait devant moi. J'ai regardé ses mains fines effleurer l'intérieur de mes cuisses et ses doigts s'enrouler contre le dos de mes couilles. Ma bite était déja semi bandante de la situation, et commençait à avoir des secousses de désir.

    J'ai senti ses lèvres se presser contre mon ventre alors qu'elle commençait une traînée de baisers vers mon aine, ma nouille se tendait doucement. Ses doigts prirent ma saucisse comme une cigarette et elle commença à embrasser le bout doux. Alors qu'elle ouvrait la bouche, l'image commençait à prendre forme dans mon esprit. Voici le beau visage de ma femme pressé contre la bite d'un autre homme.

    Alors que je regardais ma bite mince disparaître entre ses lèvres pleines et que je sentais la chaleur humide de sa bouche, j'ai soudainement vu le pénis d'un autre homme, strié de veines et gorgé de sang, poussé contre sa langue avide. J'ai commencé à me raidir. Elle passa sa langue le long du dessous de ma petite bite et je vis une autre bite, secouée de désir et scintillante de liquide pré-éjaculatoire, nichée là. Soudain, j'étais aussi dur que je ne l'avais jamais été. Elle leva les yeux et je vis une lueur méchante dans ses yeux alors que ma réaction devenait claire.

    Elle a déplacé ses mains vers mes hanches, enfonçant ses ongles dans la chair de mon cul alors qu'elle avalait ma bite de garçon au fond de sa bouche. Elle ne faisait pas une gorge profonde, car j'ai à peine atteint le fond de ses dents, mais elle a agi comme si j'étais un monstre dans sa bouche, convulsant sa gorge autour de ma tête alors qu'elle tordait sa bouche d'avant en arrière autour de moi. Ses cheveux se balançaient contre mon ventre alors qu'elle m'attirait, et je l'imaginais le prenant jusqu'au fond de sa gorge,  profondément alors que ses lourdes couilles battaient sur son menton.

    Elle a avancé une main et a pris mon sexe entre son pouce et son index et a commencé à me branler, les agitant entre mon entrejambe et ses lèvres alors qu'elle suçait la tête comme une shoupa choup. Mes boules étaient compressées dans leur petit sac, serrées contre mon aine, alors que mes hanches commençaient à se cabrer. Colleen m'a regardé fixement et a souri en les grattant avec ses ongles et, alors que j'imaginais ses doigts enroulés autour d'une tige aussi épaisse que son poignet, je lui ai donné la réponse qu'elle voulait.

    "Oh mon Dieu, oui !" ai-je lâché alors que mes petites noix se convulsaient. J'ai lâché un flux de sperme dans sa bouche ouverte alors qu'elle riait de joie. Elle m'a pomper encore quelques fois pour être sûre qu'elle m'avait complètement vidé de mon jus, puis s'est levée sur ses pieds avec ma charge toujours en bouche. Elle a pris mon visage dans ses mains et a amené ses lèvres sur les miennes, puis a poussé le sperme chaud dans ma bouche, faisant tournoyer sa langue. Elle rompit notre baiser et resta là, rayonnante de sa beauté et de sa liberté retrouvée, me regardant attentivement.

    "Merci, mon chéri. Je pense que nous sommes au bord de quelque chose de très merveilleux."

    Je déglutis et souris en retour.

    Pendant plusieurs jours après que Colleen fut exposé à mes désirs de cocu, elle était toute joyeuse. C'était comme si ma confession soulevait un poids de sa poitrine, comme si elle pouvait à nouveau respirer. Je ne savais pas alors qu'elle avait été ravagée par la culpabilité de ses désirs adultères, et ma permission d'explorer ces désirs l'a libérée de cet énorme fardeau. Elle bouillonnait positivement d'excitation. Je su plus tard qu'elle est allé explorer mes fantasmes sur internet et à beaucoup appris.

    "Paul, tu sais que je t'aime, et je ne regretterai jamais de t'avoir épousé. Tu m'as montré que tu tenais à moi de tant de façons. Mais je ne sais même pas par où commencer pour te remercier ! C'est le plus grand cadeau que tu ne m'as jamais fait !"

    Je souris timidement. Après un pendentif en diamant et une Fiat 500 Dolcevita, comment étais-je censé comprendre que mon plus beau cadeau était la permission de baiser quelqu'un d'autre ?

    Elle remarqua mon expression blafarde et prit soudain mon visage entre ses mains, tenant fermement mes yeux dans les siens.

    "Oh, n'aie pas l'air si inquiet. C'est aussi un cadeau pour toi-même. Il était clair le week-end dernier que tu étais plus excité que tu ne l'as été depuis des mois. Je vais te rendre aussi heureux que je le suis."

    J'ai concédé à son point de vue. Elle scruta mon visage quelques instants puis me prit les mains.

    "Allez, bébé, amusons-nous. Va chercher Hercule sur la table de chevet et rejoins-moi dans le salon."

    J'ai hésité un instant. Hercule était son gode - à sept pouces de long et d'épaisseur comme un tube de papier toilette, il m'éclipsait. C'était difficile de se sentir inadéquat à côté d'un morceau de plastique.

    "Maintenant ! " dit-elle, expérimentant sa nouvelle domination.

    Je me suis précipité vers la chambre.

    Quand je suis revenu au salon, Colleen avait déjà commencé à se déshabiller. Son pantalon et son maillot de sport (elle avait été à un cours d'aérobic plus tôt) étaient empilés à côté de la chaise en cuir et, sous mes yeux, son soutien-gorge suivit bientôt. Elle s'est tournée vers moi, vêtue uniquement d'une culotte en coton à rayures bleues et vertes et de chaussettes blanches.

    J'ai retenu mon souffle. Colleen a certains des seins les plus magnifiques que j'aie jamais vus, actrices porno incluses. Ils ne sont pas particulièrement grands, mais si parfaitement formés qu'ils appartiennent à un musée. Ils s'inclinent doucement de ses épaules à de belles pointes roses, puis se courbent vers son torse comme des colombes jumelles. La dispersion des taches de rousseur sur sa poitrine est hypnotique - vous ne pouvez pas détourner le regard.

    Elle sourit devant mon admiration. "Tu aimes?" elle a demandé. J'ai hoché la tête et dégluti. "Est-tu d'accord que je mérite plus que ce que tu ne pourras jamais offrir?" J'ai de nouveau hoché la tête.

    "Viens, bébé, tu as un nouveau rôle dans ma vie : tu dois me servir, fournir tout ce que je désire." Elle souriait largement, appréciant clairement son autorité. « Tu n'as plus le pouvoir, tu n'as simplement pas les outils pour me faire jouir. Eh bien, » rit-elle de bon cœur, « je suppose que tu en as un dans la main !

    Colleen écarta les pieds et posa ses mains sur ses hanches.

    "Mets-toi à genoux, Paul. Je veux que tu vénères ma chatte."

    Je suis tombé sur le sol entre ses jambes ouvertes et j'ai regardé vers le haut. Son visage était masqué par ses cheveux auburn, ses yeux écarquillés et sa bouche légèrement ouverte alors que l'excitation de son contrôle sur moi s'établissait. C'était une déesse - ses seins montaient et descendaient avec sa respiration, son ventre tonique, le berceau de ses hanches .

    Mais l'élément marquant était ce magnifique monticule. Sa culotte était bien tendue sur les renflements jumeaux de sa vulve, sombre entre ses jambes avec la sueur de sa récente séance d'entraînement. Pas un poil ne dépassaient - elle s'est soigneusement taillée pour le plus petit des bikinis. Avec ses mains sur ses hanches, elle a poussé son entrejambe vers l'avant sur mon visage.

    J'ai commencé à atteindre sa culotte pour la retirer.

    "Non, Paul," dit-elle, "laisse ma culotte. Tu ne mérites pas ma chatte nue," sourit-elle.

    Je reposai mes mains sur mes propres cuisses et levai mon visage vers sa vulve recouverte de coton. L'arôme était enivrant. Sa séance de sport avait emmêlé le tissu à chaque pli de ses lèvres, et l'humidité était clairement complétée par son propre flux sexuel. Rien de repoussant - c'était à la fois frais et parfumé.

    J'ai tenu mon nez à quelques centimètres de son pli et j'ai inspiré profondément. Je tournai légèrement la tête et donnai un petit coup de langue à l'intérieur de ses cuisses ; le premier, puis l'autre. J'ai déplacé ma langue à la jonction de ses jambes et de son aine, où l'élastique a mordu sa chair douce. J'ai léché la ligne qu'il dessinait, de l'avant de ses cuisses jusqu'à la limite de ce que mon cou me permette entre ses jambes. Elle s'est accroupie plus bas et a écarté ses jambes plus loin pour me donner plus de place et j'ai fait des aller retour jusqu'au panneau sous son cul. Un nouvel arôme ici, pas désagréable, mais définitivement plus sauvage. C'était une forêt de chênes contrastant avec le jardin à la française de sa chatte.

    "Oui," murmura-t-elle, alors qu'un bref spasme traversait ses jambes. Je levai le regard plongeant directement dans ses grands yeux. Elle m'étudiait, jaugeant toujours ma réaction face à sa domination. "Lèche ma culotte sale, espèce de merde sans valeur. Lèche l'entrejambe en sueur de ma culotte et fais-moi jouir !"

    Il est difficile de décrire ce que ces mots m'ont fait ressentir. A ce mots un début d'érection comme un flash électrique se déclanchait . Ma femme m'a traité de merde inutile, mais je ne m'étais jamais senti aussi précieux pour elle. J'avais quelque chose à donner : mon attention servile à ses besoins, et je me suis soudain senti un chien très aimé. Et, comme un chien, j'ai mis ma langue au travail pour exprimer mon amour pour elle.

    J'ai commencé à laper le tissu serré à grands coups, faisant glisser la salive sur le gousset humide et la faisant pénétrer dans les plis formés par ses lèvres gonflées. Elle a grogné de plaisir et a commencé à tourner ses hanches comme une pole dance, frottant son entrejambe contre ma bouche et mon menton. Mon cou me faisait mal à cause de l'effort, mais j'appuyai contre elle, poussant ma langue contre le nœud dur que je pouvais sentir au sommet de sa fente.

    La crème a commencé à s'infiltrer à travers le coton sale et je l'ai lapé avec impatience. Le tissu s'est relâché au fur et à mesure qu'il était trempé et j'ai pu le forcer dans le trou de ma jolie femme, la baisant presque aussi profondément avec ma langue que je l'avais fait avec ma bite.

    Soudain, elle saisit ma tête dans ses mains, enroulant ses doigts fins dans mes cheveux alors qu'elle se redressait. Elle a tiré fort sur mon cou alors qu'elle écrasait mon visage dans son entrejambe, inconsciente de mon inconfort. je n'étais plus qu'un objet de plaisir.

    "Oh, putain, oui ! Mange ma sale chatte, espèce de petite bite !" Les muscles sur le devant de ses cuisses tremblaient alors qu'elle commençait à jouir, sa tête rejetée en arrière et ses seins gonflés me surplombant. J'ai léché tout ce que je pouvais, alors même qu'elle secouait ma tête d'avant en arrière pour augmenter la friction sur son clitoris. Elle baisait mon visage, totalement absorbée par son propre plaisir. Soudain, elle plaça ses deux mains autour de ma nuque et me tira contre son aine, ses genoux fléchissant soudainement alors qu'elle jouissait avec un gémissement. Je pouvais à peine respirer pour l'inondation soudaine qui s'est déversée de sa chatte. J'ai lutté pour continuer à lécher même si je sentais que je pourrais m'évanouir.

    Tout aussi soudainement, elle m'a lâché, me libérant, et s'est effondrée en arrière sur la chaise. Moi aussi, je suis tombé à la renverse sur le cul. Je regardai ma femme, aussi belle que je ne l'avais jamais vue, avachie dans le fauteuil. Ses cheveux étaient emmêlés sur son front et son corps brillait de transpiration. Ses mamelons étaient érigés et durs alors que sa poitrine se soulevait avec sa respiration. Entre ses jambes, le tissu détrempé de sa culotte avait perdu tous les contours douillets de sa chatte et pendait simplement comme un chiffon usé. Elle lécha ses lèvres alors que sa respiration revenait à la normale.

    « Tu vois pourquoi je ne pourrais jamais te quitter, bébé ? Tu sais toujours comment mettre un sourire sur mon visage ! Elle me sourit puis baissa les yeux vers mes genoux. « Es-tu dur, petit garçon ? Elle ne pouvait pas le voir à travers mon jean, mais mon bâton raide s'était frayé un chemin à travers la braguette de mon slip et était fermement pressé contre ma fermeture éclair. Comme je suis si petit, aucun renflement n'est apparu, mais j'étais dur comme un stylo Sharpie (et à peu près aussi gros !).

    "Montres-le-moi," demanda-t-elle. "Sors ton petit clito et montres-moi combien tu as aimé ça."

    Je me suis tortillé en arrière et j'ai enlevé mon jean, puis j'ai tiré mon boxer blancs vers le bas. Mon zizi tendu s'est retourné et m'a giflé le ventre. Colleen rit à nouveau alors que je me remettais sur mes genoux, ma petite queue dressée et ridiculement tendue de désir vers elle.

    "Oh mon Dieu, chéri, regarde-toi ! Tu ressembles à un petit garçon ! Si tu n'avais pas ces poils, je jurerais que tu n'as pas eu ta puberté. "

    Tu m'as l'air à ton maximum petit vicieux, tiens Hercule à côté de ta queue et comparons-les !"

    J'ai ramassé le gode oublié et l'ai tenu le long de mon sexe. Il m'a éclipsé, à la fois en longueur et en circonférence. Elle rit bruyamment au contraste, pointant son doigt vers ma petite saucisse tandis que l'autre main massait avec fébrilité sa poitrine tremblante.

    "Donne-moi ça, Paul. Laisse-moi te montrer à quoi ma chatte est censée ressembler avec une vraie bite à l'intérieur."

    Elle a pris le gode de ma main et s'est penchée en arrière sur la chaise. D'une main, elle a écarté l'entrejambe trempée de sa culotte et a révélé sa chatte brillante, de l'autre, elle a amené le bout épais du gode à ses lèvres lisses. Elle le fit glisser de haut en bas,  mouillant la tête d'Hercule en observant ma réaction.

    "Imagine que c'est la bite d'un autre homme, mon chéri. Imagine que je reçois enfin la baise que je mérite, et que tout ce que tu peux faire est de regarder. Regarde-le jouer avec moi, assuré qu'il peut me donner tout le plaisir que je veux, et que il peut durer toute la nuit. Regarde mes jambes écartées pour lui, ma chatte désireuse de laisser un vrai homme me prendre.

    Ses paroles m'ont électrisé. Alors qu'elle glissait juste le bout du gode entre ses plis scintillants, j'imaginais un autre homme prêt à prendre ma belle femme juste devant moi. J'imaginais ses couilles, lourdes de sperme, prêtes à inonder son ventre de foutre. J'ai saisi mon zizi avec mes doigts et j'ai commencé à me branler.

    « Ne te touche pas ! elle a crié. "Gardes tes mains loin de cette petite chose! Je sais que tu vas jouir dans deux secondes, alors que je veux que tu regardes. Met tes mains à plat sur le sol devant toi et regarde-moi me faire baiser."

    Elle avait raison... J'ai failli venir de ce contact. À contrecœur, je lâchai mon zizi et le laissai flotter dans l'air, palpitant, alors que mon orgasme s'éloignait. J'appuyai mes paumes contre le sol et me penchai plus près de ses jambes, mon visage maintenant positionné entre ses genoux. Je regardais, concentré, alors qu'elle commençait à glisser la bite en plastique à l'intérieur.

    "Oh, oui," commença-t-elle à chuchoter à son étalon imaginaire, "enfonce cette grosse bite en moi ! Prends-moi, mon amant, je suis entièrement à toi !"

    Elle a pris le gode à deux mains maintenant et l'a tiré dans sa chatte trempée. J'ai regardé ses lèvres intérieures s'ouvrir et s'étirer au fur et à mesure qu'elle pénétrait, et je les ai regardées saisir sa longueur glissante alors qu'elle se retirait.

    Elle gémit en enfonçant la grosse bite en elle, et son clitoris se détacha comme un bouton de nacre. Les images et les sons étaient écrasants : le "sluck, sluck" de la friction humide alors qu'elle pistonnait plus vite faisait trembler mes propres jambes alors que mon penis d'enfant battait de désir dans l'air. J'imaginais son amant, grand et puissant, labourant sa fente fertile alors qu'elle lui abandonnait son corps.

    Oh Paul il me dilate comme jamais,

    Je regardais hypnotisé, les chairs de son vagin accompagner, enserrer le pénis énorme à chaque mouvement.

    "Oh, mon Dieu, Paul, il va me faire jouir ! Je vais jouir sur sa grosse bite, quelque chose que tu n'as jamais réussi à me faire faire !"

    Une main se déplaça vers son clitoris et le caressa au rythme du gode plongeant. Ses genoux se sont écartés alors qu'elle s'ouvrait encore plus à son amant imaginaire, et j'imaginais son urgence alors qu'il se préparait à gicler son sperme épais à l'intérieur de ma femme. Sa propre crème coulait librement et formait une flaque sur sa chaise, et j'imaginais les premiers filets de sperme s'écoulant autour de l'union de sa chatte et de sa bite.

    Avec un cri, elle a plongé le gode jusqu'au fond de sa chatte et l'y a maintenu en tripotant furieusement son clitoris. Ses jambes se raidirent et son estomac se serra alors qu'elle jouissait en soubresaut, et j'imaginais son amant éclater en longs traits de spermes en elle.

    Soudain, une éclaboussure contre la base de la chaise m'a fait baisser les yeux et j'ai réalisé que je jouis aussi. Intacte, ma fine bite palpitait comme un serpent sur une clôture électrique. Flux après flux de sperme aqueux pulvérisé contre le pied de la chaise alors que mon corps vacillait sur place. J'ai gardé mes mains à plat et j'ai juste regardé ma bite spasmodique jusqu'à ce que mon orgasme cesse et que mon érection se dégonfle lentement.

    Colleen a retiré le gode de sa chatte maintenant apaisée avec un pop trivial et a regardé le désordre sur le sol.

    "Jésus, Paul, tu n'as absolument aucun contrôle. J'allais te baiser, pour te remercier de ta complicité, mais tu ne peux même pas regarder sans jouir. Tu es vraiment pathétique."

    "Je ne pouvais pas m'en empêcher," dis-je, les yeux toujours baissés, "l'idée que tu baises un autre homme devant moi m'excitait trop."

    "Hmm," répondit-elle. "Moi aussi. Je t'imaginais en train de me lécher, tout comme tu l'avais fait plus tôt, alors même que la bite d'un autre homme sortait de moi. L'idée que tu participes à mon adultère le rendait confortable, d'une certaine manière, et l'idée de ta langue fouillant ma chatte après que sa bite ait explosé en moi, ca m'a fait jouir."

    Je la regardai comme un chien affectueux. Ses yeux étaient brillants et beaux, et elle me souriait.

     

    « Je ferais n'importe quoi pour que tu te sentes aussi bien à nouveau ! Je lui ai dit.

    "tu sais qu'il y a un prix pour pouvoir regarder... Voudras tu me nettoyer quand nous aurons fini?"

    "Oui." dis-je rougissant

    "Tu seras prêt à lécher le sperme d'un autre homme, le jus conquérant d'un vrai mâle"

    "Oui." baissant les yeux

    « Voyons si tu es prêt pour ça. Je veux que tu nettoies le désordre que tu as fait sur le sol.

    Je regardai le tapis d'un air dubitatif. Mon sperme fin était déjà en grande partie imbibé, mais il y en avait de petites flaques par endroits, et le pied de la chaise était encore mouillé.

    "Vas-y," l'a-t-elle aiguillonné, "imaginez que c'est le sperme de mon amant qui coule de ma chatte. Si tu le nettoies, je pourrais te laisser te masturber."

     

    J'ai baissé la tête vers la chaise et j'ai léché les traînées de sperme sur le cuir lisse. J'imaginais qu'il s'agissait de filets de leurs fluides mélangés qui coulaient de ses cuisses. Pendant que je léchais, je levai les yeux et la vis masser lentement sa chatte. Elle avait remis le tissu mouillé en place et pressait toute sa main contre sa vulve.

    Elle ne me quittait pas des yeux.

    J'ai continué à lécher les restes de foutre sur la chaise, puis j'ai appuyé mon visage contre le tapis et j'ai léché les flaques gluantes partout où j'en voyais. Je ne pouvais pas vraiment les lécher mais je pouvais faire tourbillonner ma langue dans les endroits humides et goûter la substance saumâtre.

    "Oh, ouais, c'est chaud bébé. C'est le jus de mon amant et de mon plaisir que tu lèches, après qu'il m'ait rempli de sperme !"

    J'ai léché le sol et la chaise avec un enthousiasme surprenant, et j'ai réalisé que je devenais de nouveau dur. Je suppose que l'un des avantages de l'éjaculation précoce est un temps de récupération plus court !

    "Viens, Paul, je veux revoir ce petit zizi. Je veux te regarder tirer dessus jusqu'à ce que tu exploses. Mets-toi entre les jambes de maman et branle-le pour moi!"

    "Et juste avec deux doigts, tu n'as pas besoin de plus ..."

    Elle massait toujours sa chatte à travers la culotte alors que je m'agenouillais entre ses cuisses. Ma queue était droite quand je l'ai prise entre mon doigt et mon pouce. J'ai commencé à le remuer d'avant en arrière alors qu'elle riait de sa dernière phrase humiliante.

    "Puis-je revoir ta chatte ?" J'ai demandé.

    "Non, Paul, tu ne peux pas voir ma chatte, mais tu peux jouir sur ma culotte si tu veux."

    Elle a retiré sa main de ses genoux et m'a exposé son entrejambe en coton humide. J'ai regardé le tissu taché et j'ai imaginé les lèvres gonflées et le vagin distendu à l'intérieur.

    "Ce n'est plus ta chatte, Paul. Je vais prendre un amant et le lui offrir. Je vais le laisser me baiser quand il veut, comme il veut, et tout ce que tu peux faire c'est regarder. Imagine à quel point ce sera bon pour lui, de glisser sa belle grosse bite dans ma chatte serrée en sachant que tu avaleras le sperme directement de ma chatte fraîchement baisée."

    Ces mots me mettaient à ma place, cette place m'excitait maintenant.

    Je grimaçai et grognai alors que mon zizi vibrait entre mes doigts. Je l'ai pointé directement vers le monticule gonflé dans sa culotte et j'ai laissé mon orgasme partir. Tout le plaisir était là, même si j'éjaculais fortement mais plus grand chose. Pas plus de trois petites giclées de sperme se sont envolées, mais elles ont atterri carrément sur son slip en coton rayé bleu et vert.

    Colleen éclata de rire.

    "Tu es vraiment pathétique," rit-elle. "Mais je t'aime pour ça. Maintenant," dit-elle, se levant de la chaise et retirant sa culotte lisse, "nettoie ça. Il est temps pour moi de trouver un amant qui puisse nous rendre tous les deux heureux."

    J'ai pris le coton gluant dans ma bouche et j'ai hoché la tête.

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