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Par jgiorca le 2 Novembre 2024 à 13:59
Le cocu : un statut de soumission et de renoncement à la virilité
Adopter le statut de cocu, c’est accepter que sa place n’est plus celle d’un homme au sens traditionnel. Ses attributs masculins, souvent insuffisants ou inadéquats, ne sont plus des symboles de puissance ou de domination, mais plutôt des signes de faiblesse qui marquent un renoncement à la virilité. Ce rôle de soumis le conduit à adopter une attitude plus humble, plus effacée, qui se rapproche de celle d'une "femelle" au service de sa partenaire et de ses désirs. Pour lui, l'acceptation de ce statut s’accompagne d'un ensemble de gestes quotidiens destinés à rappeler sa soumission et sa place d'infériorité.
La cage de chasteté : symbole de sa soumission
Souvent enfermé dans une cage de chasteté, le cocu se voit privé de tout pouvoir ou de tout contrôle sur ses propres attributs. Ce dispositif, imposé par sa partenaire, lui rappelle physiquement et mentalement qu'il n'a plus d'autorité sur sa propre virilité. Incapable de satisfaire ses propres envies, il accepte que ses attributs ne sont pas faits pour le plaisir, mais pour la soumission et la renonciation. Cette cage de chasteté devient un rappel constant de son statut de sous-homme, de sa place au service des plaisirs de sa femme et de son amant. Son corps ne lui appartient plus ; il est là pour leur satisfaction, leur amusement, et il doit apprendre à embrasser ce rôle avec docilité et humilité.
Uriner assis : un acte de féminisation et d’obéissance
Dans cette logique de soumission, uriner debout est un privilège qu’il n’est plus en droit de s'accorder. Ce geste traditionnellement masculin devient une posture arrogante et déplacée pour lui. Uriner assis est une attitude de déférence, de féminisation, un rituel quotidien qui le rabaisse et souligne son nouveau rôle de "femelle" obéissante. Loin de s’affirmer, il doit adopter une posture qui convient à son statut de cocu, renonçant même à ce simple acte de virilité. Il s'assoit pour uriner, conscient que son corps n'a plus l'autonomie d'un homme.
Le rappel constant de son statut de sous-homme
À chaque fois qu’il se retrouve face aux toilettes, que ce soit chez lui ou à l’extérieur et donc plusieurs fois par jour, le cocu se rappelle avec humiliation et un certain plaisir coupable de sa condition.
Il n’a donc plus jamais accès aux urinoirs publics et doit se comporter avec discrétion, comme une femme et s'enfermer (Et parfois attendre en se tortillant ...comme les femmes qu'une cabine se libère). En présence de ses copains, il est désormais exclu de ces moments virils partagés où l’on se tient côte à côte pour uriner face à la nature. Prétendant avoir besoin de s’éloigner pour "la grosse commission," et s’isole alors à l’écart, s’accroupissant discrètement derrière un buisson.
Ce choix, bien qu’imposé, devient un geste de renoncement, une façon d’effacer discrètement sa virilité même en public, acceptant même de sacrifier des moments de camaraderie et de complicité masculine pour adopter une posture de femelle humiliante.
S’il est enfermé dans une cage de chasteté, cette sensation de dépendance à être assis devient nécessaire et se fait encore plus intense : il sait qu’il n’a pas d’autre choix que de se comporter ainsi, soumis et contrôlé. Cette posture assise, même dans les toilettes publiques, est un rituel d’humiliation discret mais profondément symbolique. Elle lui rappelle qu’il n’est plus un homme, mais un soumis femellisé qui s’incline aux moindres désirs de sa partenaire, réduit à une position inférieure, sans prétention à la puissance masculine.
Les conséquences de ne pas respecter cette règle
Laisser la lunette des toilettes relevée, ou pire, la salir, n'est pas seulement un signe d'irrespect : c’est un oubli grave de son rôle et de sa soumission. Un cocu qui oublie de rabaisser la lunette, ou qui manque de propreté, démontre un manque de discipline et d'attention qui pourrait lui valoir une punition.
Si la Maitresse à un doute ou constate des manquements à cette règle, des trace suspectes, elle devra imposer que la porte reste ouverte à chaque miction de son soumis, pour avoir le loisir de contrôler sa posture.
Mais aussi pour punition si il y a lieu elle pourra l'obliger à nettoyer la lunette avec sa langue à chaqun de ses passages, porter des couches et ne plus avoir accès au WC pendant une semaine ou par exemple boire sa propre urine pendant une journée
Respecter scrupuleusement cette règle n'est donc pas une simple question d’hygiène, mais un moyen de prouver sa soumission, de montrer qu’il accepte pleinement sa place de sous-homme.
Un geste simple, mais chargé de symbolique
En définitive, uriner assis est pour le cocu un acte d'humilité et de soumission totale. Ce geste quotidien, modeste et apparemment anodin, devient un puissant rappel constant de sa condition. Chaque fois qu'il s'assoit pour uriner, il renonce à son ancienne virilité pour embrasser sa nouvelle place. Et loin de le voir comme une contrainte, il apprend à savourer cette humiliation discrète, cette affirmation silencieuse de son dévouement et de son infériorité, il est même des soumis qui ont un début d'érection à chaque fois qu'ils s'assoient, une preuve du plaisir de cette humiliation permanente de ne plus se comporter comme un homme.
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