• La tarte

    LA TARTE.

    Chapitre 1

    J'ai rêvé d'être cocu. Lorsque j'avais des relations sexuelles avec ma femme je fantasmais sans arrêt à l'idée qu'elle fasse l'amour avec un autre homme sa virilité pénétrant la chatte de ma femme. Évidemment j'étais forcé de regarder la chose puis après forcé encore de lécher sa chatte encore trempée du sperme de l'amant.

    Mon moment favori c'était quand elle me forçait avec sa main sur ma nuque à nettoyer le sexe de son amant, puis lorsque j'avais fini que je devais la nettoyer jusqu'à ce que plus rien ne coule de sa chatte.

    C'était toujours pour moi un excellent moyen de mettre le feu aux poudres. L'idée d'une queue d'homme dans ma bouche, suivie par une délicate mousse crémeuse était virtuellement le seul fantasme que j'avais, et comme j'aurais pu le prévoir il s'est développé jusqu'à l'obsession.

    Je ne savais même pas que ma femme avait elle aussi commencé à partager le même fantasme, elle ne m'en avait jamais rien dit, comme je ne le lui en avais pas parlé. Ce qui brisa ce silence conjugal fut assez trivial comme souvent au début. C'est arrivé il y a un an et je ne l'ai jamais oublié.

    J'y pense même sans arrêt me demandant si les choses seraient différentes aujourd'hui si ce n'était pas arrivé.

    Comme beaucoup je surfais sur internet à la recherche de mon fantasme, j'ai trouvé un site qui offrait des milliers d'histoires, des photos, des vidéos, si je m'abonnais.

    Le contenu me convenait admirablement, et c'est ce qui m'a incité à donner mon accord et en moins d'une minute j'étais membre.

    C'était le mieux que j'ai vu jusqu'à ce moment, histoire après histoire, des hommes cocus racontaient, certains en avaient parlé à leur femme, d'autres avaient surpris leurs femmes avec des amants et aimaient regarder depuis une cachette. D'autres avaient accepté de devenir le cocu de leur femme.

    Une histoire m'excitait tout particulièrement parce qu'elle rejoignait mon fantasme selon lequel Sandra -- ma femme -- me disait ne plus être satisfaite de mon petit pénis, et que soit je consentais à ce qu'elle ait des amants, soit elle me quitterait. Bien sûr j'acceptais avec dégoût, puis avec le même dégoût je faisais ce que je devais une fois que l'amant avait joui en elle.

    Les photos et vidéos étaient top, j'aimais celles qui montraient une femme étendue sur un lit où l'on voyait du sperme couler de sa chatte encore entrouverte, elle tenait la tête de son mari à deux mains le forçant à avaler la queue encore en érection de l'homme encore couverte elle aussi de foutre gluant.

    J'ai au moins eu le bon sens de ne pas imprimer les photos, mais je n'ai pas pu m'empêcher de le faire avec certaines histoires. J'étais certain de pouvoir les cacher dans un coin de mon bureau, et je les avais sous la main lorsque c'était nécessaire, notamment lorsque ma femme utilisait l'ordinateur que nous partagions.

    Vous vous doutez de la suite, Sandra est tombée dessus en cherchant une agrafeuse. L'histoire du dessus de la pile s'appelait « Sandra prend un amant », et ce nom avait attiré mon attention, et cela lui fit le même effet. Elle lut les premiers paragraphes, puis toute l'histoire.

    99% des femmes auraient réagi de deux manières : certaines auraient été honteuses d'apprendre que leur mari avait de tels fantasmes et elles auraient fait de leur mieux pour passer sous silence leur découverte. Les autres auraient réagi avec colère, et fait face à leur mari. Sandra n'est pas comme ça. Sa réaction fut de chercher les autres histoires, et de les lire du début à la fin.

    Elle m'a dit que c'est ce qu'elle a fait, et qu'elle était de plus en plus excitée à chaque nouvelle histoire. Elle comprenait que nous partagions le même fantasme mais que nous étions trop timides pour en parler. Elle résolut de mettre un terme à cette situation, et à sa façon, directement, c'est ce qu'elle fit.

    Lorsque je suis rentré du boulot elle m'appela au salon, c'était surprenant, car d'habitude elle préparait le dîner à cette heure-ci.

    En entrant dans la pièce je l'ai vu étendue sur le canapé et une pile de papier sur la table basse devant elle. Elle m'indiqua le coussin devant elle m'indiquant qu'elle voulait que je me mette là, ce que je fis.

    J'ai jeté un œil sur les papiers, et mon cœur faillit cesser de battre, la page du dessus portait en titre "Sandra prend un amant"

    Je devais être rouge comme une tomate, je me sentais comme un gamin pris la main dans le pot de confitures. Elle devait être en colère. Et elle commença simplement par me dire :

    - J'ai trouvé ça dans ton bureau aujourd'hui, certaines sont excellentes, je pense que tu les aimes aussi sinon tu ne les aurais pas imprimées, celle du dessus est ta favorite?

    Elle me regarda droit dans les yeux attendant ma réponse. J'essayais de trouver une réponse qui prouverait que mon intérêt était totalement innocent. J'ai même imaginé lui dire qu'il s'agissait d'un projet de recherche pour mon boulot. Mais comme je ne suis pas dans cette branche je n'ai pas trouvé ça crédible.

    J'ai opté pour ce que je méritais et j'ai dit "oui".

    Elle a souri, en partie à cause de ma honte, mais aussi par satisfaction de me voir répondre honnêtement. Sachant que la conversation dépendait d'elle elle m'a dit :

    - En voyant mon nom dans le titre ma curiosité a été piquée, puis quand j'ai lu ce que faisait cette femme, et ce que son mari faisait, ça m'a paru très intéressant. C'est quoi ta partie favorite?

    Je ne pouvais tout bonnement pas me faire à l'idée de tout déballer comme ça, j'avais caché ça si longtemps, j'avais du mal à faire face à brûle-pourpoint, mais j'ai compris au bout d'un moment qu'elle n'était pas en colère, et que cela semblait même lui plaire. J'ai bredouillé :

    - Je ne sais pas, toute l'histoire m'intéresse

    Elle ne voulait pas que je m'en sorte comme ça, et elle a dit sur le ton de la conversation :

    - Mon moment préféré c'est quand elle force son mari à nettoyer la queue de l'amant. Je trouve ça excitant de voir un homme faire ça. Si c'était nous dans l'histoire j'aimerais aussi quand tu as ta part dans ma chatte, ça doit vraiment être bon tu ne crois pas?

    J'étais aux abois, et j'ai répondu :

    - Oui je pense qu'elle aimerait ça

    Elle tenait le poisson bien ferré, et elle a continué :

    - Je ne parle pas d'un autre homme ou d'une autre femme, je te demandais ce qui nous plairait le plus si nous le faisions, ça m'excite de penser à toi en train de sucer la queue d'un homme, puis te sentir avaler son foutre dans ma chatte, c'est cette partie qui t'excite le plus aussi?

    Sandra a toujours été celle qui de nous deux avait la parole facile. Il était courant pour elle d'utiliser des mots comme queue ou chatte, mais les utiliser dans ce contexte c'était différent. Elle mit un bras sur mon épaule, et commença à doucement me caresser, elle me demanda doucement :

    - Je me demande si le foutre d'un autre homme aurait le même goût que le tien. Penses-tu que tu aimerais ça?

    Elle me demandait ça parce que j'aimais la lécher après nos relations sexuelles, et j'étais familier avec le goût de mon sperme. Elle m'avait tout de suite dit que ses orgasmes étaient aussi importants que les miens, et elle m'avait fait promettre que si je jouissais le premier je l'aiderais jusqu'à ce qu'elle jouisse elle aussi.

    Il y a eu bien des fois ou mon pénis refusait de coopérer après avoir giclé une fois, et c'est pour cela qu'elle pouvait insister pour que je descende à la cave. Les premières fois n'avaient pas été facile pour moi mais j'avais développé un goût pour la chose, et c'était devenu agréable pour moi. En regardant en arrière je réalise que lécher mon propre sperme dans sa chatte pouvait être la source de mon fantasme?

    Sandra m'a dit récemment avoir toujours fantasmé à ce moment-là sur le fait que je léchais le foutre de son amant. On était sur la même longueur d'ondes bien avant que je le sache.

    Lorsque j'ai essayé de répondre à sa question j'étais incapable d'être aussi honnête et ouvert qu'elle, et j'ai rusé en disant :

    - Je ne sais pas, c'est dans beaucoup d'histoires de ce genre, les autres hommes doivent trouver ça bien.

    Elle se rapprocha encore et me dit d'une voix douce :

    - Tu veux essayer, ou c'est juste un fantasme?

    C'était droit au but, et de nouveau je ne suis pas arrivé à répondre honnêtement. J'ai dit

    - Je ne sais pas, j'aime penser à ça depuis longtemps, tu veux essayer?

    Si je pensais la tromper en lui retournant sa question, j'avais tort, elle répondit sans hésitations:

    - Il y a longtemps que j'y pense, je pense qu'on devrait essayer si tu es capable de gérer ça, tu peux vraiment et honnêtement t'asseoir là et regarder un autre homme me faire l'amour?

    Elle me caressait depuis quelques minutes, mon cerveau coulait à pic jusqu'à mes couilles, c'était trop bon, et je ne voulais pas qu'elle s'arrête, j'ai dit tout doucement

    - Je crois qu'on peut essayer, ce doit être quelque chose que tu veux toi aussi, je ne voudrais pas que tu fasses ça à cause de moi.

    Elle a ri avant de répondre :

    - Si je ne voulais pas que ça arrive ça n'arriverait pas tu peux être sûr de ça.

    Puis elle passa une vitesse supérieure en me disant :

    - Dans toutes ces histoires c'est la femme qui décide, et elle fait faire à l'homme des choses, c'est comme cela que tu vois les choses pour nous?

    Dans ma tête c'était toujours Sandra qui avait le pouvoir et elle me faisait faire ces choses. Admettre ça maintenant devant elle m'était difficile, j'ai dit :

    - Je veux que ce soit ta décision, je ne pourrais jamais te forcer à faire quelque chose comme ça.

    Elle a rigolé et a pincé ma queue en érection désormais en disant :

    - Tu as sacrément raison tu ne pourrais pas, s'il y a quelque chose de forcé à faire je suis celle qui en décide!

    Puis elle donna une chiquenaude à ma queue et dit :

    - Je vais voir où en est le dîner, il sera prêt dans une demie heure ne sois pas en retard.

    Et sans autre mot elle me laissa seul avec tout ce qu'elle venait de me dire.

    Dès qu'elle fut partie j'ai regardé les histoires qu'elle avait trouvées, comme elle n'avait pas mentionné quelque chose qui était la partie la plus importante j'espérais qu'elle ne l'ait pas trouvé.

    Il y avait dans ces histoires un élément supplémentaire dans le cocufiage. Cela donnait à peu près ça, après être devenu cocu, l'amant de la femme devient jaloux du mari, et commence à insister pour qu'il ne soit plus un rival.

    Chaque histoire avait un chemin différent, mais en définitive le mari perdait toujours quelque chose, en général d'ailleurs il perdait sa queue.

    A la pensée de ma femme lisant de telles histoires sachant qu'elles m'excitaient, me plongea dans une honte terrible. A mon grand soulagement ces histoires n'étaient pas dans la pile, ce qui voulait dire qu'elle n'avait pas regardé le tiroir d'en dessous.

    Soulagé je me suis assis et j'ai réfléchi à ce dont nous avions parlé.

    Une telle conversation me semblait incroyable. J'en suis arrivé à la conclusion qu'elle voulait prendre un amant baiser avec lui pendant que je regardais, et puis que je fasse ma part ensuite. Beaucoup plus que ce que je pouvais gérer d'un coup, et en allant à la salle de bains avant le dîner j'étais dans le brouillard.

    Chapitre 2.

    Elle était prête à prendre le taureau par les cornes si j'ose dire, ce fut évident lorsque nous fîmes l'amour cette nuit-là. D'abord il était peu fréquent que nous fassions l'amour le vendredi soir, habituellement c'était le samedi, avec une autre nuit durant la semaine selon les circonstances, celle-ci avait eu lieu la veille!

    Après nous être douchés, et mis au lit, Sandie ne perdit pas de temps pour remettre sur le tapis le sujet qui ne m'avait pas quitté l'esprit depuis notre conversation quelques heures avant. Elle me choqua en me disant sans préliminaires :

    - Tu dormiras à poil, désormais ce sera plus facile pour moi de t'exciter quand je rentrerai à la maison avec du travail pour toi. Commence par enlever ton slip.

    J'ai toujours dormi en slip. Ses ordres me semblaient faciles à suivre elle m'avait excité en me caressant le pénis depuis que nous étions au lit. J'ai senti un frisson lorsque je l'ai enlevé, et que je l'ai expédié de l'autre côté du lit.

    Que l'on me dise de faire quelque chose a toujours été mon désir secret, et ce désir soudain réalisé s'est révélé très excitant pour moi. Aussitôt ma queue était en érection complète.

    Sandie a mis sa main dessus, et a commencé à me caresser doucement, me rendant plus excité à chaque seconde qui passait. Au bout d'un moment elle a dit :

    - J'ai pensé à qui pourrait être mon premier amant. Ce n'est pas quelque chose que l'on doit prendre à la légère. Plein de mecs aimeraient me mettre la main dans ma culotte, mais on revient à la sécurité. Si un homme doit me baiser à cru, je dois savoir que je suis en sécurité en le laissant faire, tu es d'accord?

    Ce sujet vient rarement dans les histoires que je lisais, et encore moins souvent dans mes fantasmes. Même excité comme je l'étais je pouvais comprendre que si l'homme portait un préservatif, le principal objet de mon fantasme en serait pas présent lorsque je lécherais la chatte de ma Femme. Qu'elle ait prévue une réponse prouvait qu'elle était déterminée à continuer,

    - J'ai tourné ce problème dans ma tête, et j'en suis arrivée à Jack, que penses-tu de lui?

    Jack est le voisin d'à côté, plus âgé que nous d'environ 15 ans, il était enseignant, et a pris une retraite anticipée pour prendre soin de sa femme gravement malade. Lorsque celle-ci dût être prise en charge par un établissement spécialisé Jack a continué à vivre ici en rendant quotidiennement visite à sa femme.

    Cela semblait un choix tellement inhabituel que j'ai hésité avant de lui demander calmement :

    - Pourquoi choisirais-tu Jack? Je pensais que tu aimerais un homme plus jeune.

    Elle a ri avant de me répondre :

    - Jack est un excellent choix, il n'a pas fait l'amour depuis au moins deux ans, et seulement avec sa femme, c'est une bonne assurance sanitaire, il habite à côté, et ce sera pratique pour lui de venir dans notre lit, et il a une grosse queue.

    Dans d'autres circonstances cela m'aurait fait rire, mais tout ce que je trouvais à dire fut :

    - Comment tu sais ça?

    - Il tondait la pelouse au printemps dernier, et je lui ai demandé de m'étaler la lotion solaire sur le dos, je l'ai regardé du coin de l'œil pendant qu'il m'étalait la lotion et je voyais sous son short une très grosse bosse, bien plus grosse que la tienne.

    Je dois vous expliquer pourquoi ces circonstances ont été possibles. Je gagne très bien ma vie, Sandie n'a pas besoin de travailler, et pour éviter de s'ennuyer elle a pris des cours de cuisine, lorsque la femme de Jack est tombée malade Sandie a préparé les repas du couple, Jack nous a rendu le service en venant tondre la pelouse, et cet arrangement entre voisins a continué après le départ de sa femme. Nous sommes très proches y compris amicalement, et je suppose que c'est la raison pour laquelle Sandie n'a vu aucun inconvénient à ce qu'il lui passe la crème solaire sur le dos.

    Au ton de sa voix je savais qu'elle avait fait son choix, je dis :

    - On dirait que les jeux sont faits.

    Elle répondit à brûle-pourpoint :

    - Oui c'est exact. Depuis que je sais que je vais baiser je veux choisir avec qui. Je te ferais savoir quand ce sera à toi de faire ta partie.

    Cela me permit de demander ce qui me trottait dans la tête depuis notre conversation, et j'ai demandé calmement :

    - Et quand vas-tu faire ça?

    Elle m'a branlé plus fermement avant de me répondre :

    - Lorsque je serais prête. Tu le sauras quand je te ferais goûter ta première tarte à la crème.

    J'étais près de jouir, et sa référence à mon fantasme à fait fleurir l'idée dans ma tête, elle savait l'effet que cela avait sur moi, l'effet que ses mots crus avaient sur moi, et elle me donna le second ordre de la soirée :

    - Je vais te montrer comment nous ferons à partir de maintenant, mets-toi sur le dos.

    Sans réfléchir je me suis mis sur le dos, dans la lumière tamisée je la voyais accroupie sur le lit, presque nue, comme elle dormait habituellement en été, je l'ai vu guider ma queue dans sa chatte.

    Etant donné l'excitation qu'elle m'avait procurée avec sa main, et le sujet de notre conversation, je savais que j'allais éjaculer très rapidement. C'est ce qu'elle voulait, elle me dit :

    - Souviens-toi de ce que c'est, quand je commencerais à baiser avec Jack tu n'auras plus cette chance, si sa queue est aussi grosse que je l'ai vue je ne te sentirai plus, ce serait perdre notre temps, vas-y éjacules maintenant, et je te donnerais ta première leçon sur la bonne manière d'éjaculer hors de ma chatte.

    Elle a accéléré le rythme et en moins d'une minute j'ai lâché mon sperme en elle, elle a continué à me monter jusqu'à ce que mes spasmes cessent, puis elle s'est soulevée, et a approché sa chatte de ma tête.

    Cette façon de lui donner du plaisir avec ma bouche est la partie la plus excitante pour moi de mon fantasme, mais dans nos relations sexuelles normales je serais descendu entre ses jambes, elle était toujours sur le dos quand je léchais et suçais, et je n'aurais jamais pensé à lui demander de s'asseoir sur mon visage, alors que j'en avais tant envie.

    Mais cette fois elle se mit en place comme si cela faisait des années, je commençais à lécher sa chatte, et elle me donna des instructions sur la bonne manière de lui donner du plaisir, à voix basse elle me dit :

    - Ce sera plus facile pour toi de me bouffer la chatte, quand je suis sur le dos beaucoup de foutre se perd et tu ne l'as pas, de cette manière tu pourras avaler la moindre goutte... Je veux que tu fasses courir ta langue le long de ma fente, que tu prennes tout le foutre qu'il y a là, c'est la partie qui sort la première, tu dois le faire tout de suite, et vite.

    Puis elle ne dit plus rien jusqu'à ce que j'ai fini cette partie et que j'ai léché et avalé aussi vite que je le pouvais. Il n'y avait pas beaucoup de foutre dans cette partie de sa chatte, et en fait j'en récupérais moins dans cette position.

    A un moment donné elle me dit :

    - Arrêtes-toi là, tu sens ce point? Oui c'est mon clitoris, rappelles-toi où il est, je vais juste bouger un peu pour mettre ma fente sur ta bouche, c'est là qu'il y a le plus de foutre, tu dois être capable de tout avaler.

    Elle s'est repositionnée doucement, je sentais son clitoris frotter contre mon nez, elle me donna des instructions :

    - Vas-y je suis juste sur ta bouche, suces mon trou

    Je fis comme elle l'ordonnait, et je fus surpris par la quantité de foutre dans ma bouche. Quand je bouffais sa chatte avant je n'avais jamais eu à traiter une aussi grosse quantité de foutre, et je voyais ce qu'elle voulait dire lorsqu'elle m'avait dit que j'en perdais une grosse quantité en route, au début ça a débordé de ma bouche, je l'ai fermée, et j'ai avalé, dès que la première livraison fut en route je me suis remis au travail, je n'avais jamais pensé qu'un homme de mon âge produisait autant de sperme.

    Avec le temps ma queue était de nouveau en érection. Quand Sandie sentit que j'avais fini ma tâche, elle me dit :

    - Maintenant je vais te montrer une autre façon que tu auras de me bouffer quelque fois.

    Elle remonta d'un cran, et retourna son corps jusqu'à ce qu'elle soit face à mon entrejambe, après s'être mise en position elle me dit :

    - Cela met mon clitoris juste sur ton pubis, tu dois te rappeler d'être toujours épilé avant de te mettre au lit, je ne veux pas frotter mon clitoris sur ta toison.

     

    Pendant qu'elle me donnait cette leçon elle avait commencé à pousser son bouton contre mon pubis, et je peux dire au ton de sa voix que ça l'excitait, ce qui m'excitait c'était que mon nez était enfoncé dans ses fesses et dans mon état d'excitation l'arôme me transportait. Sa respiration s'accélérait, et quand elle parla de nouveau c'était presque un murmure, elle cria :

    - Quand je te dis de pousser ta langue dedans tu le fais le plus possible sois prêt.

    Cet ordre me surprit alors que ma langue était enfoncée dans sa chatte aussi loin que je le pouvais, tout ce qu'elle voulait je le faisais, alors j'ai essayé de me concentrer en attendant son ordre, plutôt que sur ma queue.

    Il arriva plusieurs choses à la fois, la première a été un cri explosif de sa part, suivi par son ordre "Maintenant, fais-le!". En même temps qu'elle faisait cela je sentais une de ses mains travailler dans sa chatte qui était maintenant projeté au-delà de mon nombril, son autre main agrippait mes testicules et semblait faire de son mieux pour me l'arracher.

    C'était inattendu, elle se déplaça, son anus devant ma bouche, et quand elle m'ordonna d'enfoncer ma langue le plus loin possible celle-ci plongea dans l'anus.

    Vous pensez que c'est plus dégoûtant qu'excitant, quand je suis dans mon état normal c'est ce que je dis, mais là je commençais à jouir et tout ce que nous faisions me mettait dans tous mes états, ma langue dans son cul avait ajouté une nouvelle dimension à une situation déjà extrêmement érotique.

    Je ne vous ennuierais pas par une éprouvante description de nos sessions pendant les deux semaines suivantes, sinon vous dire qu'elles étaient toutes du même acabit, ce qui était étrange c'est que c'était toutes les nuits, à la fin de ces deux semaines Sandie me complimenta sur ce que j'avais appris sur les tartes à la crème comme elle les appelait. Elle me dit que j'étais prêt à le faire en vrai, mais elle voulait que je continue à le pratiquer jusqu'à ce qu'on le fasse vraiment.

    C'est ce que je fis.

    Chapitre 3

    La nuit ou Sandie me fit des compliments était un mardi, je m'en souviens. Elle m'avait fait des allusions voilées au fait qu'elle était presque prête à aller voir Jack. Elle ne m'a jamais dit qu'elle allait essayer de séduire le voisin, juste que c'était pour bientôt. Étant donné la manière dont elle avait augmenté mon anticipation chaque nuit, je savais que ce ne serait jamais assez tôt pour moi.

    Le samedi suivant a semblé parfaitement normal. J'ai travaillé sur la haie entre notre maison et celle de Jack et quand il m'a vu il m'a rejoint. La conversation fut difficile pour moi alors que la seule pensée que j'avais était ma femme au lit avec lui. Je suis sûr qu'il m'a trouvé distrait mais il n'en a jamais rien dit.

    Sandie cuisinait pendant que je travaillais dans le jardin, et un arôme délicieux vint me chatouiller les narines alors que je retournais à la maison. Il était 18h, et elle me dit de me laver les mains, en m'annonçant que le dîner serait servi à mon retour.

    Nous avons dîné une heure après que je sois rentré, et je restais assis attendant le dessert qu'elle avait cuisiné, j'étais sûr que c'était une de ses fameuses tartes, mais je n'arrivais pas à identifier son genre à l'odeur.

    A ma grande déception le dessert qu'elle servit fut une boule de glace, mais je me suis contrôlé en pensant avoir de la tarte plus tard suivi d'une autre merveilleuse session au lit. Dès que le dessert fut fini, Sandie se leva de table, elle me dit :

    - Je vais aller prendre un bon bain maintenant, tu vas débarrasser la table.

    Et elle sortit de la pièce, me laissant nettoyer la pièce. Rien d'extraordinaire je prenais en plus en plus souvent la charge de ces tâches ménagères. D'habitude elle prenait un bain juste avant que nous allions au lit, ce soir c'était différent.

    Assis dans le canapé je lisais le journal, lorsqu'elle revint du bain. Sa vision me coupa le souffle, j'aurais voulu la supplier de me laisser lui donner du plaisir.

    Elle portait un short ultra-court, à part ses sandales son seul autre vêtement était un haut qui lui couvrait ses seins, si mince que l'on voyait ses tétons, d'un seul coup d'œil on les voyait dressés, et j'ai trouvé cette vision très stimulante.

    Elle portait une boîte en métal qu'elle utilisait pour transporter la nourriture à nos voisins, et en réponse à ma question non dite elle dit :

    - J'ai cuisiné une tarte pour Jack, et je pense en ramener une ici, je me demande de quel genre.

    J'étais si distrait par son apparence que je n'ai pu lui répondre, mais j'ai dit :

    - Elle est à la noix de coco? C'est ce que ça sent.

    Elle sourit en disant

    - Non chéri, mais pas loin, c'est une tarte à la crème à la banane, je pensais cela approprié, comme ça tous les deux vous aurez une tarte à la crème ce soir, mais la tienne ne sera pas à la banane.

    Elle marcha vers la porte, me laissant sans réactions. Son mot final fut :

    - Maintenant tu es un gentil garçon, au lit à 23h, salut.

    Elle quitta la maison, et je me suis retrouvé avec le cerveau en ébullition. Je me suis répété ce qu'elle avait dit encore et encore, me demandant si cela voulait dire qu'elle avait décidé que le moment était venu pour elle de séduire Jack. Quand elle reviendrait ramènerait-elle un petit supplément dans notre lit où elle me le livrerait?

    Je ne pensais à rien d'autre de toute la soirée, et je ne sais absolument pas ce que j'ai fait pendant ce temps, j'ai dû essayer de regarder la télé, mais aucun souvenir, j'ai dû essayer délire, mais je ne me souviens de rien, je me souviens juste m'être battu avec ma main pour ne pas me branler, l'urgence de me masturber me submergeait et me rendait dingue.

    Vers 22h je n'en pouvais plus de curiosité à propos de ce qui se passait de l'autre côté. J'ai songé plusieurs fois à aller fureter du côté de la maison de Jack. La peur que Sandie me surprenne m'a arrêté, la voir en colère après moi était plus que je n'en pouvais supporter, et je l'ai attendu, bien que totalement anxieux.

    J'ai passé la dernière heure et demie avant de me coucher dans la baignoire, même là je ne pensais à rien d'autre, j'avais même peur de toucher mes parties génitales, je n'aurais probablement pas pu me retenir, je voulais plus que tout sauver mon orgasme pour Sandie, sachant que si j'éjaculais maintenant je perdrais tout désir, et je ne voulais pas de ça.

    Peu avant 23h je me mis au lit, nu comme ordonné, je me suis étendu sur le dos, mon érection ne frottant pas ainsi, et j'évitais la moindre stimulation avec le drap, je n'avais jamais vu l'horloge tourner si lentement et lorsqu'une heure après j'ai jeté un œil sur l'horloge, une minute seulement était passée.

    Vers 23h30 j'ai entendu la porte de devant se fermer, mon cœur a commencé à battre fort, j'étais dans l'anticipation, et j'ai entendu la dernière marche produire son craquement, mon regard était fixé sur la porte, et quand j'ai vu dans l'obscurité sa forme apparaître c'en était presque trop.

    En entrant dans la chambre elle mit ses mains derrière son dos, et défit son haut, j'espérais qu'elle allume la lumière que je vois ses merveilleux seins, elle n'avait pas cessé d'avancer vers le lit et avait atteint son côté, j'ai vu ses mains toucher son côté, puis je l'ai vu enlever son short.

    Je n'ai pu me contenir plus longtemps, et j'ai chuchoté d'une voix rendue rugueuse par l'émotion :

    - L'as-tu fait?

    Elle n'a pas dit un mot, mais a grimpé dans le lit sur ses genoux, elle a balancé une jambe au-dessus de ma tête, quelque chose de blanc entre ses jambes et elle chuchota d'une voix aussi âpre que la mienne :

    - Vois par toi-même

    Je n'ai même pas pu attendre qu'elle baisse sa fente jusqu'à ma bouche, j'ai mis mes mains sur ses cuisses et touché, j'ai su alors pourquoi elle m'avait entraîné pour lui rendre le service qu'elle attendait, sans ces instructions je n'aurais pas réussi à le faire proprement dans ma frénésie.

    Mon premier coup de langue me donna la réponse, le goût explosa dans ma bouche salé, l'odeur musquée de sa chatte me dit qu'elle avait baisé, c'était un goût différent du mien, l'odeur aussi était différente.

    Ce qui était vraiment différent c'était la chaleur dans sa chatte, et la douceur des lèvres de sa chatte, lorsque j'ai passé ma langue dessus, son clitoris aussi était bien plus gros, tout était la preuve de son excitation, aussi grande que la mienne, et qui me menait à un plus haut degré d'excitation.

    J'essayais de contenir mon impatience débordante et de la servir ainsi que je l'avais appris. Mais elle devait être encore plus excitée que d'habitude parce que j'avais léché par deux fois lentement autour de sa chatte, et elle chuchota vivement :

    - Plus vite, lèche plus vite bon Dieu!

    Cela augmenta mon désir, et ma langue travaillait le plus vite possible. Je léchais aussi vite que possible ramenant les trésors que je trouvais dans ma bouche, les

    avalant, j'ai avalé tout ce que j'ai trouvé, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien, elle avait dû réalisé qu'il n'y avait plus de foutre pour moi, alors elle bougea rapidement plaçant son clitoris sur mon nez et sa délicieuse chatte sur ma bouche.

    - Bouffes-là, maintenant, vas-y!

    Mes lèvres se collèrent à son ouverture, et je récoltais tous ses jus mêlés et divins.

    Un cri naquit dans sa gorge, j'ai senti ses cuisses se refermer sur ma tête, elle pressait sa fente contre mon visage avec tant de force que je ne respirais qu'avec peine, mais c'était sans importance, elle me dit brutalement :

    - Bouffe-le ce foutre, bouffe-le salope!

    Je n'avais besoin que de ça pour jouir, je n'ai même pas eu à toucher ma queue, à ses mots j'ai éjaculé. Rien à faire de savoir si j'étouffais, sa fente sur mon visage, tous ces jus aux senteurs et aux goûts mêlés ce devait être comme ça le paradis, plus la peine de mourir j'y étais!

    Je ne sais pas si Sandie s'est soulevée ou si mon corps a réagi instinctivement, mais je me souviens avoir cherché de l'air en tournant la tête tout en essayant d'avaler ce que j'avais dans la bouche, le résultat fut que j'étais presque évanoui, cela me prit plusieurs secondes pour atteindre les deux buts, et Sandie était à mes côtés me tenant fermement. Sa respiration s'apaisait, elle me chuchota à l'oreille :

    - Alors c'était aussi bon que tu le pensais?

    Le mot "bon" n'avait aucun sens dans ce contexte, et j'essayais de trouver les mots qui convenaient, finalement j'ai répondu :

    - Je ne peux te dire combien ce fut merveilleux, j'ai lu depuis si longtemps là-dessus, mais ce que tu m'as fait ce soir n'a rien a voir avec ces histoires, aucune comparaison possible, c'est la meilleure chose qui me soit jamais arrivée.

    Elle ajouta :

    - On dirait que tu es prêt pour plus que ça

    Elle rit doucement, et cela me prit un certain temps avant de réaliser qu'elle sentait mon érection en se pressant contre mon corps, jusque-là je n'avais pas conscience de bander aussi dur, c'était déjà arrivé bien sûr mais lorsque j'étais plus jeune, ce qui se passait démontrait simplement combien cette soirée m'avait excitée. Elle me posa alors une question simple à laquelle je rêvais de répondre, mais sans que je puisse trouver de mots, elle me demanda tranquillement :

    - Tu veux savoir?

    Je sus ce qu'elle voulait dire, et j'ai simplement répondu

    - S'il te plaît

    - J'ai amené la tarte à Jack, comme tu sais, quand il a vu ma tenue ses yeux lui ont sorti de la tête, il ne disait plus rien, je lui ai demandé si je pouvais entrer, il s'excusa de sa distraction et il m'ouvrit la porte. Il était juste derrière moi, j'essayais de remuer mon petit cul et ça a dû marcher parce que j'ai entendu clairement sa respiration s'accélérer, dans la cuisine je lui offert une part de ma tarte, et il était congestionné, il me sortit une assiette, me demandant si j'en voulais aussi, j'ai dit que non ; j'ai coupé la part et l'ai mis dans son assiette, il était assis à la table de la cuisine, et j'ai pris une position suggestive, je m'étais entraîné dans l'après-midi devant le miroir, je peux te dire qu'il faisait de son mieux pour ne pas mater ma chatte, après toutes ces années sans chatte le pauvre semblait désespéré, aucun moyen pour lui de louper ce que je lui offrais. Il a fini sa tarte, et j'ai suggéré qu'il range l'assiette dans le lave-vaisselle pour qu'il se lève, c'était si comique la manière dont il essayait de me cacher son érection, comme prévu il bandait, il avait un short, et la tente était énorme si tu vois ce que je veux dire, il essayait de tenir l'assiette devant et elle est tombée par terre, comme elle était en plastique elle ne s'est pas cassée, je me suis baissée pour la ramasser, ma tête était à quelques centimètres de la bosse, il était mort de honte il ne bougeait plus. En ramassant l'assiette j'ai caressé l'érection par inadvertance au passage, il a mis ses mains devant mais semblait si gêné, alors j'ai mis ma main sur la sienne et je lui ai demandé s'il était blessé là, il a eu une expression si comique! Alors je l'ai embrassé, il a mis quelques petites secondes à réagir, mais quand il l'a fait, il était dedans, c'était très sérieux, il était enthousiaste. J'ai frotté mon corps contre le sien, et il a décollé. Et nous avons été dans la chambre, nous nous embrassions et nous caressions, et quand nous avons été au lit il a continué, il a dégrafé mon short, enlevé mon haut, et ses yeux étaient braqués sur mes seins, j'ai approché sa tête et il est devenu dingue, je n'ai jamais été aussi bien sucé sur mes tétons, c'était bon! Il a passé un temps infini à les lécher, les sucer, et même les mordre et les pincer, puis ses yeux se sont rivés sur ma chatte, mon cul était en l'air à ce moment-là et j'ai dit mais ne t'arrêtes pas, j'ai ouvert mes cuisses, pris une de ses mains que j'ai posé entre elles, et il a semblé se souvenir de ce qu'il fallait faire, et il m'a doigté prodigieusement bien, j'ai remis sa tête sur mes tétons et je l'ai laissé faire, c'était génial. Je ne sais pas combien de temps il a fait ça mais j'ai décidé qu'il était temps de le voir nu, j'ai déboutonné sa chemise, lui ai enlevé, et après son short et son slip, et je dois te dire qu'en voyant la taille de la tâche humide dans son slip j'ai cru qu'il avait joui, sa queue était dure comme de la pierre, elle était encore plus grosse que je ne l'avais imaginé, le double de ce que j'avais vu dans le jardin, elle est deux fois plus grosse que la tienne. Je ne pouvais plus résister, je me suis étendue sur le dos, et je l'ai guidé en moi, je l'ai laissé faire le reste, il était nerveux, mais il a pris son temps, s'il m'avait prise comme un bélier je serais morte, j'ai perdu ma virginité à 15 ans, et je ne m'en souviens plus vraiment sauf que ça avait été bon et que ça m'avait fait mal en même temps. Maintenant je sais ce que ça veut dire que de la perdre une deuxième fois. Ses premiers coups de boutoir l'ont enfoncé plus loin que tu n'es jamais allé, c'était un territoire inexploré, jusqu'à ce soir j'ai été vierge toute ma vie, maintenant je sais ce qu'être baisée par une vraie queue veut dire, super! Tu sais que tu éjaculais juste quelques secondes après être entré en moi? Et bien Jack ce n'est pas ça, il devait avoir perdu la tête d'excitation, mais il arrivait à se contrôler, il m'a baisé lentement très longtemps, et quand j'ai été sur le point de jouir il a accéléré le mouvement, Dieu que c'était bon! Il semblait savoir quand mon orgasme approchait parce qu'il s'est enfoncé si loin, si profond en moi, j'avais le feu au cul, c'était si bon que je pensais pouvoir mourir, et là il a éjaculé, mais à la vérité je ne m'en suis pas aperçue j'étais trop occupée par mon orgasme, rien d'autre n'avait d'importance. Je suis revenue à moi, et j'ai pris conscience qu'il me baisait à nouveau, cet homme est d'une vigueur, je me sentais trempée, je me suis dit que je devais lui dire d'arrêter, mais c'était si bon, et je ne l'ai pas fait, je te jure sur ma mère que sa queue était encore plus grosse, lorsqu'il a giclé la deuxième fois j'ai cru faire une crise cardiaque. Je n'ai pas eu d'orgasme la deuxième fois mais c'était bien, je me sentais vraiment bien d'avoir cette grosse queue en moi, je n'avais plus besoin de jouir pour l'apprécier, c'est la meilleure baise que j'ai jamais eue, j'espère que la prochaine sera encore meilleure. Je sentais son foutre couler en moi quand j'ai bougé, je ne savais pas qu'un homme pouvait décharger autant, mais bien sûr tu sais ce qu'il en est non? Je lui ai dit que je devais rentrer, on s'est embrassés, tu sais ce qu'il y avait de drôle? Il m'a remercié, cela peut sembler drôle mais j'ai aimé ça. Je me suis dépêché pour rentrer je ne voulais pas que tu en perdes une goutte, tu connais la suite.

    Je connaissais la suite et c'est revenu en flash dans ma mémoire seconde par seconde, pas moyen d'expliquer combien c'était excitant d'entendre Sandie me raconter comment elle avait séduit notre voisin, et comment elle avait couru pour que je la nettoie.

    Aucune histoire ne peut se comparer avec ça. Je lui ai dit que je l'aimais, et qu'elle était si précieuse pour moi. Sa seule réponse fut de mettre une main sur mon épaule de me pousser sur le dos et de me dire :

    - Prouves-le

    Je savais ce qu'elle attendait de moi. Sa chatte était devant ma bouche, et j'ai enfoncé ma langue aussi loin que possible, puis elle a mis ses mains sont venus sur mon entrejambe et elle a commencé à faire ce qu'elle m'avait appris à apprécier ces derniers jours, une main tenait mes testicules, l'autre pinçait ma queue centimètre par centimètre, et elle a continué comme ça jusqu'à ce que sa respiration s'emballe.

    Elle est descendue plus bas à ce moment-là, et a mis une main sur son clitoris et a commencé à le caresser furieusement, son mouvement avait placé son anus sur ma bouche et je fis mon travail en poussant ma langue profondément en elle.

    Comme nous approchions de notre second orgasme elle s'est concentrée sur la punition de mon pénis avec la main qui lui restait, j'avais appris à aimer cette sorte d'attention et cela m'excitait encore plus, quand elle a gémi pour signaler son orgasme j'ai soulevé mon cul pour pousser de force ma queue contre sa main espérant que cela renforcerait ses efforts.

    Et c'est ce qu'elle fit, elle pinça la peau tendre juste sous le gland, et la tira de toute sa force, en même temps elle dit d'une voix enragée

    - Dieu j'aimerais que tu sois aussi grosse que celle de Jack

    Et j'ai giclé, et j'ai poussé ma langue encore plus loin en elle. Après son second orgasme en moins d'une heure, elle en eut un troisième très rapidement,

    Sandie était rassasiée, elle se laissa revenir à la réalité, en deux minutes elle se coucha près de moi sur le ventre, en me disant « bonne nuit ».

    J'étais sûr qu'elle dormait, mais je lui ai répondu :

    - Bonne nuit, je t'aime, merci pour ce que tu as fait aujourd'hui

    Rien ne me laissa entendre qu'elle avait entendu, mais je me sentais mieux de l'avoir dit, j'avais noté mentalement d'être plus courtois envers elle à l'avenir après sa remarque sur les remerciements de Jack. Elle est la personne la plus importante du monde pour moi, et je devais le lui prouver par mes mots et mes actes. Avec cette résolution ancrée dans mon cerveau je l'ai rejoint dans son sommeil satisfait.

    Chapitre 4

    Si j'avais attendu de ma femme qu'elle aille voir son amant tous les soirs puis qu'elle revienne dans notre lit pour le service qu'elle attendait de moi j'aurais été déçu. Elle m'avait déjà dit que si elle réalisait mon fantasme, elle serait la seule à décider. Elle attendait de moi que je respecte mon engagement, ce fut évident le lendemain.

    Je me suis réveillé le premier, et je suis resté étendu quelques minutes, regardant son visage, mon amour pour elle me subjuguait, et j'avais une envie folle de la prendre dans mes bras pour lui dire combien elle était spéciale pour moi.

    La seule chose qui m'arrêta de le faire était le simple fait qu'elle n'était pas du matin, et elle ne voulait rien de moi, ni de personne d'autre, avant de s'être réveillée par elle-même, et d'avoir bu une tasse de café.

     

    Je suis sorti du lit tranquillement, j'ai pris ma douche et je suis descendu vaquer à des tâches diverses. Quand j'ai entendu Sandie descendre je me suis rué dans la cuisine pour préparer son café et le lui apporter dans le salon dans lequel nous discutions habituellement le dimanche matin.

    Nous nous sommes salués comme habituellement, nous sommes assis, et avons discuté, au bout d'une demi-heure elle a changé de vitesse, et lorsqu'elle a commencé de parler je pouvais dire que nous allions avoir une discussion sérieuse.

    - Je ne me souviens pas avoir eue de nuit aussi reposante. Bien sûr trois orgasmes ne font pas de mal. En parlant de mal, ma chatte n'a jamais été comme ça, Jack est allé deux fois plus loin que toi, et je le sens aujourd'hui. Elle a poursuivi d'un ton pensif Plus j'y pense, mieux c'est, en me concentrant je sens sa queue forcer pour entrer.

    N'ayant rien à ajouter à ce qu'elle disait je la regardais en attendant la suite. Au bout de quelques instants c'est ce qu'elle fit :

    - Je pense que nous devons réfléchir sérieusement à ce qu'on fait là. Étant donné la forme que me donne le fait d'avoir été baisée seulement deux fois par Jack et la façon dont tu sembles plus excité que jamais à l'idée d'avaler son foutre en moi, je pense que nous allons devenir accros à cette situation. On devrait voir plus loin, et réfléchir un peu avant de continuer.

    Cela la fit rire, voyant que je n'avais pas saisi la blague elle arrêta de rire suffisamment pour me dire :

    - Loin, et raide. C'est tout Jack ça.

    Son rire éclata et je me joignis à elle. Une fois que nous fûmes calmés j'ai demandé :

    - Tu veux dire que tu ne veux pas recommencer? C'est ce que tu veux dire?

    Elle a un peu réfléchi et répondu :

    - Non, tout le contraire, j'aimerais y retourner maintenant, et qu'il me baise toute la journée, c'était chouette cette grosse queue en moi, et si je pouvais, je la garderais tout le temps en moi. ...

    Elle se tut semblant réfléchir à ce qu'elle voulait dire, puis continua :

    - C'est ce que j'essaye de dire, ça va devenir une habitude si ça continue, ce qu'il m'a fait c'est génial, et ce qui est arrivé ensuite n'était pas mal non plus. L'idée de te nourrir avec le foutre de mon amant doit déclencher une réaction nerveuse je suppose.... Quand j'étais assise sur toi la nuit dernière, j'ai pensé à des choses effrayantes, tu te souviens comment j'ai traité ta petite queue quand j'ai eu mon deuxième orgasme?

    Elle s'arrêta longuement, j'ai hoché la tête en me souvenant de la douleur de ses pincements et quand elle étirait ma peau.

    - Si tu savais à quoi je pensais, tu aurais peur, ou tu devrais avoir peur... Elle sembla réfléchir et poursuivit.. Pour faire bref, si on décide de continuer nous allons y aller de plus en plus profondément, tu peux faire usage de ton imagination sur ce que ça veut dire pour nous deux, nous devons décider maintenant ce que nous faisons.

    Elle attendait que je dise quelque chose, en repensant à ce qu'elle avait dit j'ai réalisé que ma queue bandait. C'était la première fois que sa présence se faisait sentir, j'ai souri en pensant que j'avais déjà voté et j'ai dit :

    - La seule chose que je peux dire est que la nuit dernière fut la plus excitante de ma vie, penser à ça maintenant m'excite encore, si je dois voter maintenant je te dis que nous ne devons pas arrêter, le choix final t'appartient, c'est selon ta décision.

    Elle acquiesçait de la tête même avant que j'ai fini, et elle dit sans hésitation :

    - Accord conclu, je connaissais ma décision dès que sa queue est entrée en moi, je veux le baiser à chaque fois que je peux, et comme je sais maintenant comme c'est excitant de te nourrir de son foutre je veux le faire souvent. Je te donne juste une chance d'avoir ton mot à dire.... Elle a ri et dit : après ça tu n'auras plus rien à dire du tout, ta bouche aura mieux à faire.

    J'ai ri avec elle. J'ai ressenti une telle excitation que je savais qu'aucune autre décision n'était possible pour moi.

    Après cette conversation Sandie décida qu'elle ne baiserait pas avant samedi, c'était mieux pour elle disait-elle elle avait des batteries à recharger. Comme je lui avais donné le pouvoir de décider je ne pouvais qu'acquiescer. Une autre partie de la décision était plus difficile pour moi à observer, elle me dit :

    - Tu ferais mieux de comprendre que pas de sexe signifie ça. Je veux que tu me promettes que tu ne joueras pas avec ton engin derrière mon dos. Tu peux le faire?

    J'étais sûr que ce n'était pas difficile, même si en pratique il allait en aller autrement.

    Nous avons passé la semaine suivante de la manière habituelle, moi travaillant, elle s'occupant de la maison. Elle ne donna aucun signe d'excitation, ou même d'y penser. Tout ceux qui nous connaissaient n'aurait rien remarqué d'inhabituel.

    J'avais noté un changement cependant, la manière dont Jack me remercia lorsque je l'ai croisé dans le jardin. Il a d'abord paru honteux, puis deux jours plus tard il me traitait comme un de ses étudiants. Difficile de donner un exemple, mais c'était l'impression que j'avais. Il semblait penser qu'il était en responsabilité, et que je devais le respecter.

    Samedi est arrivé et j'étais complètement excité, avant on faisait l'amour deux fois par semaine, je me masturbais quotidiennement, le plus souvent pendant la douche du soir, et de ne pas avoir pu le faire me rendait dingue, j'ai bandé pendant toute une journée, et Sandie qui l'avait remarqué m'a fait des références voilées au besoin de faire quelque chose pour résoudre ce problème, j'espérais que cela voulait dire qu'elle allait rendre visite à Jack et revenir ensuite me faire avaler son foutre.

    A ma surprise, et pour mon excitation immédiate, elle annonça deux heures avant le dîner que nous avions un invité cette nuit. J'ai immédiatement demandé si ce serait Jack, mais elle me dit d'être patient, et que toutes mes questions trouveraient une réponse. Cet intermède fut le plus long de ma vie.

    Une heure avant le dîner Sandie me dit de monter avec elle. Une fois en haut elle m'ordonna de lui préparer un bain et de l'assister. Cela ne fit qu'accroître mon excitation, cela confirmait mes soupçons, son amant allait se joindre à nous cette nuit. Je songeais à tout ce que cela impliquait, et j'étais coincé entre mes vraies sensations sur le sujet, c'était une chose de lire ça dans une histoire, et une autre de voir son fantasme être réalisé ; je me demandais si je pouvais y faire quelque chose, et à chaque fois la même réponse : je ne savais pas.

    Lorsqu'elle fut prête à sortir du bain je l'ai aidé, et j'ai commencé à la sécher en devant selon ses ordres prêter particulièrement attention à sa poitrine, et à son entrejambe, ce qui augmenta mon excitation au point que j'avais peur de gicler même sans m'être touché.

    Sandie avait étendu les vêtements qu'elle voulait porter cette nuit, je les ai vus sur le lit, et j'ai su que tous mes espoirs, toutes mes peurs seraient réalisées. Il n'y avait que trois choses : une culotte blanche, le short ultra-court qu'elle avait porté il y a une semaine, et un Marcel. Mes mains tremblaient en lui mettant ses vêtements, cela avait une puissance érotique très forte pour moi.

    Lorsque nous descendîmes je me dirigeais vers la salle à manger et me suis astreint à des activités domestiques pour distraire mes pensées et en espérant tranquilliser mon érection. Cela semblait fonctionner à 19h je n'avais qu'une demie-érection.

    Ce ne fut pas une surprise de trouver Jack dans l'entrée lorsque j'ouvris la porte. Nous échangeâmes les salutations, lui facilement, moi gêné, mais il avait apporté une bouteille de vin ce qui me donna une excuse pour aller à la cuisine et quitter ainsi la pièce.

    Sandie était occupée par une préparation de dernière minute, et semblait avoir fini lorsque j'entrais. Lorsque je lui dis que Jack était arrivé elle sourit et me donna une petite accolade et dit :

    - Je vais lui parler.

    Elle sortit de la cuisine, me laissant sans savoir comment l'on servait un plat ce qui n'avait jamais été ma responsabilité, beaucoup de changements avaient eu lieu dans nos vies et c'était juste un de plus.

    Je fis aussi bien que je pus transférant la nourriture sur des plateaux, puis les amenant à table. Lorsque tout sembla prêt je suis allé à la porte les appeler, et c'est là que le changement me frappa.

    Jack était assis dans mon fauteuil, et il n'était pas seul. Sandie assise sur ses cuisses, et alors que j'entrais dans la pièce, ils s'embrassaient. Je regardais en silence pendant ce qui me sembla une éternité. Lorsqu'ils finirent de s'embrasser Sandie me remarqua debout là et dit :

    - Oh chéri, le dîner est prêt? Nous avons faim.

    J'étais incapable de parler, et j'ai juste opiné de la tête. Ce fut le signal pour eux de se lever et de se diriger vers la salle à manger agissant comme si tout était parfaitement normal.

    Le dîner se passa tranquillement. Jack avait beaucoup d'histoires et il ne se fatiguait jamais. Avant que je puisse réaliser le repas était fini, Sandie me dit de débarrasser, et qu'elle servirait le dessert.

    Je me dépêchais de desservir et fut surpris quand Jack offrit de m'aider. Nous continuions à parler de sujets très ordinaires, et il était difficile pour moi de concilier ce qui se passait avec ce que j'espérais qui se passerait.

    La table fut vite nettoyée, et juste comme Jack et moi reprenions place Sandie entra apportant le dessert. Elle mit une part de tarte devant Jack, une autre à sa place, et une petite crème glacée devant la mienne. Comme je la regardais interrogatif, elle me dit avec un adorable sourire :

    - Ne t'inquiètes pas chéri, tu auras ta tarte à la crème plus tard.

    J'ai entendu Jack étouffer un rire, et alors que je le regardais je le vis tenter de cacher sa réaction au commentaire de ma femme. Lorsque Sandie se fut assise, il recommença avec ses histoires, et bientôt nous conversions tous facilement.

    Je mangeais ma crème glacée, ma tête me tournait ne songeant à ce qu'elle m'avait dit. D'après la réaction de Jack il était évident qu'il savait à quoi s'attendre cette nuit, et cela signifiait que Sandie lui avait parlé cette semaine, en lui racontant ma part dans cette affaire. Même avec l'effet apaisant de la crème glacée je savais que j'étais rouge de honte.

    Lorsque nous eûmes fini le dessert, j'ai débarrassé. Sandie me dit d'apporter la bouteille de vin et les verres dans le salon, et je me suis rué dans la cuisine pour faire cela.

    Comme la fois d'avant en entrant dans la pièce Jack était assis dans mon fauteuil, ma femme sur ses cuisses. Comme avant ils s'embrassaient, mais cette fois le niveau de passion était évident à voir.

    J'ai ouvert la bouteille et rempli nos verres, puis je leur ai tendu deux verres, et je pris le mien sur le canapé. Sandie choisit ce moment pour dire :

    - Mon dieu Jack, il y a quelque chose de dur comme la pierre dans ton pantalon, laisses-moi le sortir pour que ça ne me touche pas

    Elle s'assit sur le rebord du fauteuil, posa son verre sur la table, et nonchalamment posa ses mains sur son pantalon. Je regardais comme hypnotisé ses mains sur sa braguette. Il avait une érection ça se voyait, et elle le caressait, puis elle dit que ce serait mieux qu'elle reprenne sa place.

    Pendant un court espace de temps j'ai vu la bosse dans le pantalon de Jack, ma femme ne m'avait pas menti sur la taille de son pénis, étant donné la tente, la taille devait effectivement être du double de la mienne. J'étais écartelé entre des sentiments de jalousie et d'excitation.

    Sandie devait penser à la même chose, entre des gorgées de vin ils s'embrassaient, et à chaque fois les baisers étaient plus longs, son excitation était facile à voir, et cela m'enflammait encore plus. Lorsqu'ils eurent vidé leurs verres je savais que dans mon pantalon on n'était pas loin de ce qui se passait dans celui de Jack.

    Elle se leva, prit la main de son Amant, et alors que je regardais muet elle dit :

    - Montons tous maintenant elle me regarda droit dans les yeux et dit : Tu es prêt chéri? Je sais que Jack l'est.

    Ils rirent tous les deux de cette petite plaisanterie, mais j'étais frigorifié, et je ne pouvais répondre. Ce fut seulement lorsqu'ils quittèrent la pièce bras dans les bras que je trouvais la force de me lever pour les suivre.

    Chapitre 5

    Le temps que j'arrive à la porte ils étaient déjà en train de monter les escaliers, ma femme regarda par-dessus son épaule et dit :

    - Dépêche-toi chéri, je ne veux pas faire attendre Jack

    Ils continuaient à monter et j'ai accéléré pour les rattraper, ralentissant seulement lorsque je fus juste derrière eux à la porte de la chambre.

    Une fois dans la chambre ils se tenaient près du lit s'embrassant passionnément. Jack passait ses mains sur le corps de ma femme, et les mouvements, et les gémissements qu'elles faisaient l'excitaient encore plus. Elle se recula un peu, puis me dit :

    - Chéri, déshabilles-moi pour Jack.

    Puis elle attendit comme si elle n'était pas sûre de ma réaction, je n'en étais pas sûr non plus, mais pendant une seconde seulement, je fis les deux pas nécessaires pour l'atteindre, et mains tremblantes j'ai enlevé son haut. Comme il tombait au sol, Jack dit :

    - Sandie, tu as les plus beaux seins que j'ai jamais vu.

    Ses mains se sont posées dessus et il a commencé à les caresser, bougeant en cercles sensuels autour des tétons qui pointaient, puis les pinçant entre ses doigts. Ses gémissements croissaient en intensité, sa respiration s'accélérait, signalant ainsi le succès de son initiative, et je l'ai vue se tendre vers lui.

    J'étais comme hypnotisé à nouveau, incapable de bouger jusqu'à ce qu'elle dise :

    - Le reste chéri! Dépêches-toi, j'ai besoin de lui.

    Cet ordre sembla me réveiller, et j'ai abaissé son short, elle m'arrêta :

    - Pas comme ça, à genoux!

    Mon cerveau était dans ma queue, et ma queue était plus dure qu'elle ne l'avait jamais été. Sans pensée consciente je me suis agenouillé à son côté, et j'ai terminé le déshabillage de son corps magnifique. En quelques secondes elle se tenait nue devant son amant, et il lui redit à nouveau combien elle était belle.

    Je m'étais attendu à ce qu'elle me demande de le déshabiller lui aussi, mais cela n'arriva pas. Au lieu de ça c'est elle qui déboutonna sa chemise et la lui enleva. Puis elle tomba à genoux, et délaça ses chaussures, rapidement enlevées, et suivies par ses chaussettes. Puis elle déboucla la ceinture, ouvrit la braguette, dégrafa le pantalon, et le fit tomber à terre lentement.

    Je voyais la tente sous son sous-vêtement, elle était énorme, je sus ce qu'elle avait voulu dire en me disant qu'elle s'était sentie comme une vierge quand il l'avait baisé la première fois. Même si je ne voyais pas encore la taille réelle de son pénis, il était beaucoup plus gros que le mien.

    Elle baissa le caleçon, me révélant la chose qu'elle aimait sentir entre ses jambes.

    Sandie commença à caresser la queue lentement, elle me regardait, et m'a dit d'un ton très doux, presque rêveur :

    - Il n'est pas beau? Tu vois maintenant ce que je voulais dire? Je me sens comme une vierge!

    J'espérais qu'elle n'attendait pas de réponses de ma part parce que j'étais incapable d'en donner une. La vue de la main de ma femme caressant le pénis de son amant était tellement excitante à regarder. Sa queue semblait grossir encore lui rendant hommage, et je pouvais voir de petites gouttes foutre se former au sommet du gland.

    Après l'avoir caressé pendant une éternité elle dit sans me regarder :

    - Déshabilles-toi

    J'étais incapable de lui désobéir, et j'essayais de me déboutonner alors que mes doigts et mes mains semblaient gourds et insensibles, je finis par y arriver, mes vêtements étendus au sol parmi ceux de ma femme et de son amant.

    Elle le conduisit au lit, sans jamais lâcher son organe énorme, après lui avoir demandé de s'étendre au centre du lit elle lui grimpa dessus, écarta ses jambes, reposant légèrement sur ses genoux. Sans quitter des yeux sa queue elle me parlait doucement disant :

    - Chéri, restes avec nous, je te veux à côté de Jack, ta tête juste ici

    Elle m'indiquait le milieu du lit en disant cela, j'ai dû battre tous les records de vitesse en me dépêchant d'obéir.

    Dès que je fus en place elle s'avança, caressant sa queue l'approchant de sa chatte, ma tête était à quelques centimètres de la chose, et je voyais son foutre pointer, et prêt à couler. D'une voix tendue Sandie dit :

    - Chéri étales ça sur le gland de Jack cela va l'aider à entrer en moi

    Comme ma main s'approchait pour obéir, je savais qu'ils me regardaient tous les deux, comme si, si je réussissais cet acte cela aiderait n'importe quel autre homme à baiser ma femme plus facilement.

    Le simple fait de toucher son gland m'a dévoilé un nouveau côté en moi, et j'ai ressenti l'extrême douceur du gland, qui était aussi très dur. J'utilisais un doigt pour étaler le jus sur la chose, et j'étais presque dégoûté en retirant ma main lorsqu'elle dit :

    - Ça suffit, c'est pour moi, pas pour toi

    Elle avait mis sa main sur mon poignet en disant cela, et elle a retiré ma main de cette partie si fascinante en lui. Elle s'est positionnée au-dessus de son membre, et fit une pause avant d'ouvrir sa chatte pour l'accepter en elle, puis elle dit doucement :

    - Mets-là en moi

    J'ai placé une main sur la tige de la queue, et l'ai approché d'elle, elle a commencé doucement à abaisser sa chatte vers lui et je l'ai vue commencer à s'empaler sur lui.

    Ils gémissaient tous les deux alors que son gland disparaissait de ma vue, j'étais incapable de prendre conscience des bruits, j'entendais les gémissements de plaisir alors que son membre s'enfonçait de plus en plus profond, je l'ai entendu lui dire combien elle était belle, ce qui me fit honte, jamais je ne l'avais complimenté ainsi

    Elle le baisa ainsi pendant cinq minutes, elle dit à court de souffle :

    - C'est plus loin que tu n'as jamais été, je suis encore vierge ce soir

    Je ne voyais que sa queue disparaître dans la chatte de ma femme, et quand elle dit cela à peine 1/3 de son membre l'avait pénétré. Plutôt que de vouloir le voir sortir d'elle, je devais lutter pour m'empêcher de l'aider à s'enfoncer encore plus loin en elle.

    Je ne sais pas pendant combien de temps ils ont baisé, plus longtemps que lorsque je faisais l'amour avec elle, j'étais honteux, il était si évident que Jack était d'abord préoccupé par le plaisir de Sandie, pas par le sien.

    Cela était démontré par sa façon de caresser ses seins, il lui répétait qu'elle était belle, et il utilisait un doigt pour stimuler son clitoris, tout montrait son intérêt pour son plaisir, et quand elle a senti l'orgasme déferler sur elle, elle le supplia de jouir en même temps qu'elle.

    Aucun doute lorsque ce moment de plaisir ultime survint, tout en elle tendait à s'empaler sur sa queue, tout en rugissant un cri de plaisir, puis elle commença à dire des choses que je ne l'avais jamais entendu dire. Ses mots étaient simples mais si érotiques, et elle les a répété jusqu'à ce qu'elle jouisse,

    - Jack, gicles en moi, fais-le dépêches-toi, remplis ma chatte

    La passion dans ces mots était plus que je ne pouvais en supporter, et je sentais mon propre orgasme approcher. Il s'est encore plus enfoncé en elle, elle a crié une dernière fois de plaisir, j'ai vu sa tête se renverser si violemment qu'elle semblait brisée, son corps tremblait, leurs jus se mêlaient, il a mis ses bras autour d'elle, et ils se sont embrassés passionnément.

    Toutes les bonnes choses ont une fin, et il en fut ainsi de leur baiser. Sandie reprit sa position, et me regarda en disant :

    - Maintenant tu vois ce que c'est une vraie baise?

    J'avais perdu toute capacité à parler, je ne pouvais même pas hocher la tête, je savais la différence entre ma performance, et faire l'amour, on venait de m'en faire la démonstration. La honte que je ressentais cohabitait avec l'excitation extrême, et le désir qui me consumait.

     

    C'est alors qu'elle se retira à demi, et s'assit sur ses genoux, elle mit une main entre ses jambes, et elle utilisait ses doigts pour pincer les lèvres de sa chatte ensemble. Pas besoin d'explication pour savoir pourquoi elle faisait ça, et je savais que le moment était venu que je fasse ma part.

    Il n'y eut pas un mot lorsque j'ai commencé à lécher frénétiquement son membre en demi-érection comme si je mourais de faim, la main de Sandie sur ma tête ma langue le léchait, et elle me guidait avec sa main du sommet de sa queue à la base de ses couilles, la seule fois que sa main quitta sa position fut quand elle quand elle saisit son pénis pas besoin d'instructions pour que je sache que je devais ouvrir ma bouche, et compléter mes efforts.

    Sa queue dans ma bouche si tôt après qu'elle ait été dans le vagin de ma femme me semblait la chose la plus naturelle au monde. Le goût n'était pas très différent de celui d'il y a une semaine. Il m'en offrait une petite portion en quantité de ce qu'elle m'avait rapportée la dernière fois, la chose la plus excitante était la texture de son pénis, je n'avais jamais imaginé que ce soit si doux, et le velours exquis du gland, la chose la plus merveilleuse était de sentir la queue grossir dans ma bouche quand elle répondait à l'attention que je lui donnais. Sandie retira ma tête, il bandait à nouveau, et n'avait plus besoin d'aide.

    - C'est mon tour » dit-elle.

    J'ai baissé la tête, et me suis étendu sur le dos, elle a placé ses genoux près de ma tête, sa chatte encore fermée par ses doigts centrée sur ma bouche. Ses seuls mots furent :

    - Ton dessert est prêt.

    Elle a enlevé sa main, me laissant voir la vue la plus délicieuse au monde. Ses lèvres s'écartèrent délicatement, et le trésor qu'elle portait commença à goutter lentement vers ma bouche grande ouverte.

    Je l'ai vu me regarder, au moment où la première goutte de sperme tomba sur ma langue, j'ai savouré le parfum, j'ai vu la suite du jus se former, et j'ai avalé rapidement la première goutte, j'ai ouvert aussi grand que possible, et je fus récompensé en ayant la bouche pleine.

    Puis Sandie se plaça sur mes lèvres, et j'ai commencé à faire ce qu'elle m'avait enseigné. Toute ma concentration servait à suivre ses instructions, ma langue léchait autour de la fente, puis se concentrait sur le trou, bouchée après bouchée j'avalais, il n'y eut bientôt plus rien, même en pompant aussi fort que je le pouvais, mais j'étais totalement hors d'état de réfléchir, envahi par le plaisir, sans aucune idée de la quantité de foutre que j'avais avalé pour étancher ma soif.

    Quand elle voulut se retirer, j'essayais désespérément de recueillir une dernière goutte, mais elle avait une autre idée, et elle demanda à son amant de la mettre en pratique, sa voix était vive et émue lorsqu'elle dit :

    - Jack, tient ses jambes derrière sa tête

    Je n'avais plus de pensées rationnelles, et je ne savais pas du tout à quoi elle voulait en venir, comme il fit ce qu'elle demandait, elle plaça sa main sur ma queue et en même temps m'ordonna

    - Ouvres la bouche

    J'ai su ce qu'elle voulait, mais je ne pouvais désobéir, et ma bouche s'ouvrit le plus possible. Alors qu'il tenait mes jambes derrière ma tête, Jack poussa son érection contre mes couilles, il semblait inconscient de commencer à bouger sa chose contre moi, je pouvais sentir ses couilles pousser contre mon cul ouvert, ce qui aurait été dégoûtant pour moi dans un état lucide, ajouta à mon excitation sexuelle qui m'avait déjà envahi.

    Je la sentais caresser mon pénis, et je n'oublierai jamais la vue de mon foutre perlant sur mon gland, et la première goutte de sperme explosant littéralement. Elle cessa de me branler, et amena ma queue vers sa cible, je ne prétendrai pas qu'un quart de foutre vint dans ma bouche, mais mon chargement complet m'atteint en une fois, je tenais ma bouche ouverte en attendant plus, mais lorsque ma femme vit que j'avais déchargé, elle dit doucement :

    - Avale

    Je ne vous ennuierais pas plus avec la description de ce que nous fîmes tous les trois cette nuit-là. Jack et ma femme avaient été excités par les attentions que je leur prodiguais, et dès qu'ils le purent ils refirent l'amour pour la deuxième fois, une heure plus tard, mes services furent à nouveau requis, et pendant qu'ils m'excitaient, mon second orgasme de la nuit ne me fut pas autorisé.

    Je me souviens de Jack disant qu'il avait été comblé, et ayant besoin de rentrer chez lui pour du repos. Sandie accepta, et le regarda s'habiller.

    Nous le raccompagnâmes en bas, et les amants s'embrassèrent, et Jack partit. Nous avons éteint les lumières comme d'habitude, et nous sommes retournés au lit comme d'habitude. Étendue sur le lit, Sandie dit avec une voix étouffée :

    - C'était la meilleure chose qui m'est jamais arrivée. Je suis si heureuse d'être tombé sur tes histoires, pas toi?

    J'ai dû murmurer une sorte d'approbation, mais je n'en suis pas certain. Elle parlait très doucement, et je m'efforçais d'entendre, elle disait :

    - J'aime te voir sucer sa queue, quand il s'est frotté contre ton cul pendant que je tenais tes jambes en l'air, je voudrais le voir en toi, la prochaine fois peut-être..., Puis elle fut calme, et je sus qu'elle s'était écroulée de sommeil vaincue par une dure nuit.

    Je me suis endormi aussi, sans pensées consciente durant des heures. Je sais que j'ai eu des rêves excitants, et lorsque nous nous sommes réveillés j'ai dû rendre mon service à Sandie, j'aimais faire ça, et je commençais à croire que c'était ma destinée de faire cela pour toujours pour elle.

    Chapitre 6

    Ma femme et moi ne fîmes rien de nature sexuelle la semaine suivante, à moins que vous incluiez dans ces activités le fait d'en parler. Ses mots étaient excitants à mon oreille, sachant ce que j'avais appris dans les mois qui avaient suivi notre première expérience faisant de moi un cocu, j'aurais dû prêter plus d'attention en parlant à Sandie. Elle appréciait les compliments de Jack, et je pouvais dire qu'ils augmentaient son plaisir.

    Je me souviens d'une conversation que nous avons eu le soir suivant la visite de son amant. C'était court, mais important dans notre relation. J'aurais peut-être dû penser un peu plus à ce qu'elle me disait et à ma réponse aussi.

    Nous en étions au café, et elle commença par me dire, d'un ton de voix égale :

    - Bien, maintenant tu sais ce que c'est que d'être cocu. C'est aussi excitant que dans tes histoires?

    J'ai hoché la tête, et dit :

    - Dix fois plus excitant, quand j'ai vu sa queue disparaître en toi, ça a dépassé mon imagination, quand il a giclé en toi, et que je savais que tu le faisais pour moi, je ne pouvais penser à rien d'autre, c'était la meilleure des choses, t'en penses quoi?

    - Je ne peux l'expliquer, mais quand il m'a baisée pendant que tu regardais, cela m'a beaucoup plus excité que la semaine d'avant, c'est bizarre sans doute, mais c'est comme ça.

    J'ai acquiescé, et elle a continué :

    - Je crois que j'ai besoin de savoir vraiment si tu veux qu'on continue. Je sais tu as déjà répondu à cette question, mais c'était avant que tu le voies, et avant que tu ne suces Jack, tu en penses quoi maintenant?

    Je n'ai pas pris le temps de réfléchir, j'ai répondu :

    - C'est ce que nous devons faire, je n'imagine rien de plus excitant que la nuit dernière, et si tu veux continuer à le faire, je le ferais aussi.

    Avec un air de conclusion dans la voix elle dit :

    - Les choses sont dites. Souviens-toi juste comme tu es en demande maintenant, au cas où les choses qui arriveraient dans le futur n'iraient pas comme tu voudrais.

    Cela mit fin à notre conversation, et j'ai débarrassé la table pendant qu'elle prenait un bain relaxant.

    Je me rappelais encore et encore les détails de la nuit dernière, et ma part particulièrement, et cela me semblait encore plus excitant à chaque image flashant dans ma tête. J'étais nerveux pour la prochaine session, et je ne comprenais pas pourquoi Sandie pensait que je pourrais avoir des réserves à le refaire.

    Il était convenu que Jack se joindrait à nous pour le dîner de samedi prochain, et cela devint notre "rendez-vous". Nous discutions par-dessus la haie lorsque nous nous retrouvions dans le jardin, et je savais qu'il allait tondre notre pelouse mercredi, ce qu'il faisait depuis plusieurs années. S'il avait des relations sexuelles avec ma femme pendant que j'étais au travail je ne le savais pas, et je lui faisais confiance sur ce point.

    Le samedi suivant, dès que Jack fut entré, Sandie fut toute à lui. Elle portait à nouveau son costume de "voisine à baiser" comme elle les appelait, et dans la minute où Jack la vit habillée ainsi il ne put s'empêcher de la toucher.

    Pendant ce temps j'avais servi le repas et les avait appelé dans la salle à manger, il l'avait dénudé entièrement. Ils sont venus à table bras dessus bras dessous, et ils ont mangé rapidement.

    Si vous ne pensez pas que c'est excitant d'être assis et de dîner à table avec une femme nue, essayez ça. Ma queue bandait, et celle de Jack aussi.

    Lorsque ma femme m'ordonna de servir le dessert, je savais ce qui était attendu, j'apportais une part de tarte à la banane à la crème pour chacun d'eux, et une boule de glace pour moi. Lorsqu'ils virent ça, ils rirent tous les deux, et Jack dit que j'étais facile à dresser.

    Le dessert expédié ils ne pouvaient plus attendre, Sandie me dit de débarrasser, et nous nous dépêchâmes de monter dans la chambre.

    Elle m'ordonna immédiatement de me déshabiller, puis de déshabiller Jack pour elle, je trouvais cela plutôt bizarre, mais l'excitation que j'avais ressenti depuis une heure m'entraîna à le faire. J'ai essayé de le déshabiller rapidement, mais ce fut plus difficile que pour moi, j'ai fini par réussir, et il y eut bientôt trois personnes nues dans la pièce, deux d'entre eux avec une érection pointant vers une femme attirante.

    Sandie tomba à genoux devant son amant, et elle prit son pénis dans sa bouche, l'excitant quelques minutes, puis elle regarda sa queue. Elle dit sans me regarder :

    - Viens à côté de Jack chéri, je veux voir si elle est aussi petite que dans mon souvenir.

    J'ai obéi comme un robot, et fit ce qu'elle dit. Elle nous regarda, et rit franchement, en disant d'une voix forte

    - Elle est encore plus petite, on dirait un truc de gamin pour faire pipi, à côté d'une queue d'homme non? On va la mesurer, va chercher mon mètre à côté de la machine à coudre chéri.

    Et elle retourna à sa queue, semblant m'avoir éjecté de son monde, sûr du fait que j'obéirai. C'est ce que je fis bien sûr, la machine à coudre était dans la pièce voisine, je me suis dépêché, j'avais peur de ne pas trouver le ruban, mais il était bien visible sur la table comme s'il était placé là délibérément pour que je le trouve facilement. Je l'ai ramassé et suis retourné dans la chambre.

    Ses attentions amoureuses pour la queue de Jack avaient grimpé d'un cran, et je fus surpris de la retrouver avec la queue de Jack en bouche, elle avait toujours refusé de faire cela avec la mienne. Je le lui avais demandé plusieurs fois, la suppliant même parfois, mais rien ne l'avait jamais persuadé de le faire, et cela m'excitait de la voir faire cela avec son amant, alors qu'elle l'avait toujours refusé à son mari. J'essayais de ressentir de la jalousie, mais il n'y avait que l'excitation.

    Elle arrêta de sucer et lécher dès que je fus entré, prenant le ruban elle dit :

    - Maintenant voyons ça. Tu n'as peut-être même pas la moitié de la taille de Jack. Elle plaça le ruban le long de ma tige: 12 centimètres dit-elle.

    Elle n'avait pas mis le ruban tout à fait correctement, et j'étais certain qu'on devait être plus près de 15 centimètres, mais je n'ai rien dit.

    Puis elle fit de même avec Jack en disant

    - La moitié c'était peut-être trop généreux, il est plus petit que ça.... 23 centimètres annonça-t-elle, on dirait que j'avais raison, on a un pipi, et une queue, j'aime mieux les queues.

    Et ils éclatèrent de rire tous les deux, mais j'étais trop gêné pour me joindre à eux.

    Après ça la nuit fut la copie conforme de la précédente, le pénis de Jack entrait plus facilement cette fois, comme s'ils avaient fait ça toute la semaine, et que sa chatte s'était étirée pour mieux l'accueillir. Ils semblaient prendre leur temps pour atteindre l'orgasme mais ils y parvinrent.

    Ce fut mon tour, le même que la semaine dernière, puis ils baisèrent une seconde fois, pendant que je regardais, et après quoi je remplis ma tâche.

    La seule différence fut lorsque Jack tint mes jambes au-dessus de ma tête pour que ma femme puisse me masturber et que je gicle dans ma bouche grande ouverte, comme la fois d'avant il poussa contre moi et commença à bouger son pénis en petits coups contre mes couilles.

    Quand j'ai giclé dans ma bouche, et avant que Jack puisse relâcher mes jambes, Sandie dit :

    - Jack, mets ta queue plus bas

    Il n'eut pas l'air surpris par la requête, et il commença à bouger de bas en haut lentement, elle redit :

    - Plus bas, juste un petit peu plus bas ».

    Au bout d'une minute j'ai senti le gland glisser dans mon cul, puis pousser dans l'ouverture, j'étais sûr qu'elle allait lui dire de me baiser, mais au lieu de cela elle dit :

    - C'est assez pour cette fois, tu l'excites n'est-ce pas, je suis sûre qu'il aimerait ça, pas toi?

    La vérité c'était que la sensation de sa queue glissant dans mon cul, était excitante, je ne pensais pas une telle chose possible, Sandie aussi semblait excitée par la vue, et j'étais certain que nous explorerions cela bientôt.

    Après ce petit interlude je dus le lécher et le nettoyer une fois de plus, et les amants retournèrent à ce qu'ils faisaient de mieux, baiser. Je revins à ce que je faisais de mieux, regarder. Lorsqu'ils finirent de baiser bien sûr, je devins un actif participant.

    Cette nuit-là marqua le rituel pour plusieurs nuits de samedis à venir. Il y eut de légères variations bien sûr.

    En quelques occasions je dus continuer à sucer la queue de Jack jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma gorge. Elle trouvait cela plus excitant que moi, parce que pour moi le goût n'était pas le même sans le mélange des jus. Comme cela entraînait que Jack ne pouvait alors plus baiser, elle me faisait faire cela avec parcimonie.

    Elle continuait aussi à lui faire frotter sa queue contre mon cul, et une fois elle l'arrêta avant que j'ai un orgasme. Elle utilisa ses doigts pour essuyer mon gland du foutre qui était dessus pour l'étaler sur le sien et elle lui dit :

    - Voyons voir si tu peux le pénétrer...

    J'étais sûr que le moment était venu de perdre ma cerise, mais cela lui prit beaucoup de temps pour faire pénétrer le gland dans mon anus, et elle dit :

    - Ça suffit pour l'instant, la prochaine fois il en prendra plus

    Puis elle me branla pour me faire gicler dans ma bouche. Et je dus le lécher pour le nettoyer avant qu'il ne la baise pour la seconde fois.

    Je ne m'étais jamais demandé comment je me sentais à propos de la pénétration. Je n'avais jamais eu de pulsions homosexuelles, mais quand je pense que toutes mes histoires parlaient de maris nettoyant la queue de l'amant... Je sais que ce qu'il me faisait m'excitait beaucoup, mais j'étais dans le désir, je ne savais pas.

    Le samedi suivant, elle le fit me pénétrer totalement, me déflorant ainsi l’anus, j’eu très mal, mais je jouie aussitôt.

    Elle dit  -He bien te voilà femelle toi aussi !

    Elle me faisait prendre ainsi un  peu jusqu’à ma jouissance maintenant à chaque fois

    Au bout de  deux mois de ces rendez-vous réguliers, mon monde s'est écroulé. Je n'oublierais jamais cet instant, et ce repas de dimanche, avec juste moi et Sandie, fut mon heure la plus sombre.

    Chapitre 6 suite et fin

    On aurait dit un dimanche comme un autre, j'avais préparé un repas léger pour nous deux, c'était l'hiver, et nous regardions les oiseaux dans la mangeoire dehors. Tout aussi normal que possible, une journée pour un couple marié qui avait passé la nuit précédente à baiser et sucer le voisin.

    Après un long silence mutuel, Sandie dit tranquillement :

    - Chérie nous avons besoin de parler de quelque chose de sérieux.

    Je pouvais dire à son regard que ce qu'elle avait à dire était certainement sérieux, parce que sinon elle aurait souri en me regardant avant de commencer. Elle poursuivit :

    - Je devrais te dire ça devant Jack, et je suis très sérieuse, il me dit qu'il m'aime, et je ressens la même chose pour lui. Cela ne veut pas dire que je ne t'aime plus, parce que je t'aime. Je ne peux pas t'expliquer, c'est comme ça. Je vous aime tous les deux, mais j'ai besoin de lui d'une façon dont je n'ai pas besoin de toi. Tu peux le comprendre?

    Elle fit une pause, me donnant une chance de parler. Impossible pour moi de dire quelque chose, j'essayais d'organiser mes pensées suffisamment pour que je puisse dire quelque chose de sensé. J'ai bredouillé :

    - Je pense comprendre, je ne peux pas te blâmer d'aimer ce qu'il te donne parce que je sais que tu l'apprécies beaucoup. Es-tu en train de dire que tu l'aimes d'une autre manière que celle-là?

    Elle parla avec sérieux dans la voix :

    - Oui, je l'aime pour ce qu'il me fait au lit, et je l'aime en tant qu'homme. Comme je je dis, je t'aime encore, c'est juste que j'ai de très forts sentiments pour lui et nous ne pouvons pas l'ignorer.

    Après avoir lutté avec mon cerveau j'ai dit :

    - Qu'est-ce que cela signifie pour nous. Tu le veux plus que moi?

    Je sentais mon monde s'écrouler.

    Elle répondit doucement :

    - Ce n'est pas que je le veux plus que toi, c'est que je le veux autant que je te veux toi. Dans un monde parfait je vous épouserais tous les deux et ce serait chouette. On pourrait continuer à faire ce que nous avons fait depuis l'été dernier, et tout le monde serait heureux.

    Elle but un peu de café avant de poursuivre :

    - Depuis que nous vivons dans une société dominée par les mâles la loi ne me permet pas d'avoir deux maris. Je ne peux rien y faire.

    Elle arrêta de parler, semblant attendre une solution de ma part, mon esprit était chamboulé, et tout ce que je pouvais faire c'était de demander :

    - Que penses-tu que nous devrions faire?

    Elle y avait pensé parce qu'elle répondit sans hésitation :

    - Tu te souviens que je t'ai demandé il y a plusieurs mois quand tu es devenu cocu pour la première fois si tu voulais vraiment continuer? En fait je te l'ai même demandé deux fois, parce que je voulais être sûre. Si tu te souviens bien, ta réponse était que tu voulais définitivement que je continue de baiser avec Jack, et tu pensais que c'était la chose la plus excitante au monde. Tu vois le résultat? J'aime Jack, et je veux être sa femme? Je ne peux pas être plus honnête que ça.

    J'ai été abasourdi par cette révélation, et n'ai pas pu prononcer un son. Elle a continué :

    - Peut-être ne sais-tu pas que nous baisons presque chaque jour depuis que ça a commencé. Je n'ai jamais assez de sa queue, et il ressent la même chose pour ma chatte. Je suis prête pour lui à tout moment, cela m'a pris beaucoup de temps pour prendre conscience que baiser c'est bon pour mon corps et d’un grand équilibre pour mon esprit, et maintenant que je l'ai ; je veux que ça continue toujours.

    Je vais faire bref, Jack va venir s'installer ici, il dormira dans le lit avec moi. Tu peux dormir dans la chambre d'amis, ou ailleurs si tu préfères. Tu viendras dans notre chambre les samedis soirs, tu n'auras pas moins de sexe qu'actuellement, Jack dit que tu ne seras plus jamais autorisé à me baiser, ce qui n'a pas d'importance pour moi, et ne devrait pas en avoir pour toi, tu ne l'as pas fait depuis longtemps, et ça ne semble pas te manquer. Nous allons essayer comme ça quelques mois, pour voir si ça marche, qui sait, on décidera peut-être que nous ne nous aimons pas, et il rentrera chez lui, mais on peut aussi s'aimer de plus en plus, et l'on peut te demander de partir, si nous faisons ça, cela veut dire un divorce, et je serais libre d'épouser Jack.

    J'étais incapable de répondre, et elle continua :

    - Il y a une troisième option dont nous avons discuté. Tu veux que je t'en parle?

    J'ai hoché la tête, je ne pouvais faire que ça, ma bouche était totalement sèche.

    - Jack dit que tu peux continuer à vivre avec nous, même une fois mariés, à une condition. Sa condition est que tu ne sois plus jamais capable de me baiser. Tu vois il dit qu'il veut un enfant, et que je sois sa mère. Et moi aussi je peux porter l'enfant de Jack. On ne veut pas que tu me mettes enceinte, et que tu transmette tes gènes faibles,et je suis d'accord avec lui, si tu es d'accord aussi, il en sera ainsi, et tu pourras vivre avec nous, qu'en penses-tu?

     

    J'étais dans l'incapacité de penser, j'ai siroté un peu de café avant de répondre. On n'avait pas eu de relations sexuelles normales depuis plus de six mois, accepter un tel arrangement ne serait pas si difficile si je pouvais rester avec elle.

    J'ai dit :- Je pense que ce serait la meilleure manière tout ce que je veux c'est être avec toi, et si cela signifie que je ne peux plus avoir de relations sexuelles avec toi, alors qu'il en soit ainsi, ne me quittes pas, je ne pourrais pas vivre sans toi.

    Elle me sourit amoureusement avant de dire :

    - J'en étais sûre, mais tu n'as pas bien compris ce que nous voulons Jack et moi, nous ne voulons pas que tu sois capable de me baiser, pas que tu ne me baises pas, tu vois la différence?..... On tient cette idée des histoires que tu avais caché dans le tiroir du dessous, je les ai trouvés il y a quelques mois après les autres, et on les a lus, tu sais de quoi je veux parler?

    Je savais, je les avais lus et relus, et ce qui était arrivé aux maris dans ces histoires, c'était ce que ma femme et son amant voulaient me faire. Je me souvenais des paragraphes expliquant ce qui était arrivé aux hommes, lorsque je les avais lus elles étaient si excitantes, et c'était mon matériel masturbatoire le plus excitant que j'avais trouvé, lorsque je les vis sous cet angle j'ai eu une seconde pensée, j'essayais de comprendre si elle voulait dire ce que je pensais qu'elle voulait dire :

    - Tu veux dire... tu veux.... Me castrer?... M'enlever mon pénis?.. C'est ce que tu veux?

    Elle dû trouver ça amusant, elle a ri avant de répondre :

    - Oui ! chéri de mon cœur, c'est exactement ça, avec le nombre d'histoires que tu as caché cela doit plutôt t'exciter, tu n'auras aucune objection, n'est-ce pas?

    En vérité à cet instant mon cerveau faisait le grand 8, je n'avais pas d'opinion, c'était une chose de fantasmer sur ma castration, et une autre que ma femme et son amant me demandent de le faire si je voulais continuer à vivre avec eux.

    Me voyant incapable de dire quelque chose elle continua :

    - Jack veut que tu sois castré, mais une pénectomie serait suffisante, tu pourras garder tes couilles, je peux lui suggérer cela si tu décides que c'est ce que tu veux. Tu sais que ta queue est minable comparée à Jack, ce ne serait pas une grosse perte, c'est ta langue ton meilleur atout, et je ne veux pas que ça change, j'ai peur qu'en te castrant tu ne sois plus aussi enthousiaste, c'est pourquoi je te laisse tes couilles. Tu vas avoir plein de désir et l’impossibilité de l’exprimé…. Formidablement frustrant , non ?

    Et puis tu sais, cela ne te priverait pas forcément de l’orgasme, tu pourras toujours en avoir en stimulant ton cul et tes couilles, tu vas pouvoir explorer un nouveau comportement sexuel plus féminin mon amour, tout en étant plus capable de pénétrer un vagin. Ce qui est la préoccupation principale de Jack.

    - On ferait ça comment? » dis-je.

    Elle s'était préparée :

    - Jack et sa femme utilisait une location au Mexique, près de Tijuana. Il y a là-bas beaucoup de cliniques médicales, et il en a vu plusieurs d'entre elles proposant de la chirurgie péniale. Quand on a évoqué la troisième option, il a appelé là-bas, et ils proposent tout ce qu'on veut, castration, pénectomie, les deux!

    Puis elle rit en se souvenant de sa réaction à cette conversation, mais elle continua:

    - Ils m'ont dit avoir en moyenne une visite par jour de femmes américaines qui amènent leurs maris pour ce type d'opération. J'ai décidé d'être concise au téléphone, et je lui ai dit que je voulais une pénectomie pour mon mari, et que je voulais plus d'informations sur la procédure, ils m'ont dit qu'ils avaient une brochure, et m'ont donné les tarifs, j'ai donné mon adresse email, et elle m'a envoyé une brochure qui est arrivée il y a quelques semaines, nous l'avons lu Jack et moi, tu veux la voir?

    Je me sentais incapable de parler, j'ai acquiescé, elle ouvrit un tiroir près d'elle, et me tendit une belle brochure, je vis le titre : " Chirurgie particulière", et sous la photo une légende : "Castration et pénectomie expliquées en détail".

    Elle m'ouvrit la brochure à une page marquée, disant que c'était la seule qui prévoyait l'ablation du pénis. Je vis plusieurs illustrations qui montraient les étapes, puis sur la page suivante une photographie pleine page de l'entrejambe d'un homme après l'opération. Ses poils pubiens avaient été rasés, et le petit trou au-dessus des testicules était tout ce qui restait de son pénis.

    Je regardais la photo, tentant de concilier ce que je voyais avec ce que Sandie m'avait dit, je l'ai entendu dire :

    - Je pense que cette photo est la plus excitante, chaque fois que je la regarde, c'est comme si tu te tenais là, et que tu regardes ce qu'on t'a fait.

    Puis elle vint droit au but me demandant

    - Alors t'en penses quoi?

    Elle ne dit plus rien, me regardant. La décision m'appartenait, et elle avait tout dit. Je considérais les options qui s'offraient à moi, je savais que ma décision était prise, je ne pouvais pas vivre sans elle, et si je perdais quelque chose sans importance dans notre relation, elle continuerait, j'ai répondu simplement :

    - Oui je veux le faire, mon pénis se tendait sous moi.

    Ses yeux s'écarquillèrent, elle courut vers moi, s'assit sur le banc près de moi, elle m'embrassa ce qu'elle n'avait pas fait depuis longtemps. Elle éclaircit sa gorge, puis me dit :

    - Merci chéri, tu ne sais comme j'avais peur que tu choisisses de partir, je t'aime beaucoup, et je n'imagine pas ma vie sans toi, merci.

    C'était un grand poids retiré de mes épaules, ma décision était la bonne. Dans mon cœur je savais que je pourrais vivre sans pénis, et cela serait mieux pour moi, peut-être que si je n'avais pas eu ça aurais-je été plus aimant envers ma femme. C'était mon espoir. Je voyais clair maintenant et j'ai demandé :

    - On fait quoi maintenant?

    Elle me dit :

    - Je savais que ce serait ton choix, j'ai appelé la clinique il y a deux semaines pour programmer le rendez-vous, nous y allons au milieu du mois prochain ce qui nous donnera le temps de finaliser tous les arrangements. Le rendez-vous est le 17 janvier, un jour spécial pour toi

    Elle sourit machiavéliquement alors que je me rendais compte des implications de la date, c'était mon anniversaire, et j'aurais 36 ans. Lorsqu'elle vit que je comprenais elle continua :

    - Je pensais que ce serait le bon moment pour toi de commencer une nouvelle vie, tu es né à cette date avec ce bout de viande inutile entre tes jambes, et tu vas renaître 36 ans après sans lui.... Jack et moi nous marierons dans une église à Tijuana, ils ne sont pas regardants sur le nombre de maris d'une femme, le mariage est planifié pour le jour précédent ton opération, tu pourras être là pour me donner à lui.

    Nous passerons la nuit dans un motel, et tu peux imaginer ce que nous ferons, le lendemain on t'amène à la clinique, l'infirmière va te préparer, puis t'emmènera en salle d'opération, Jack et moi seront là, je suis autorisée à procéder à l'ablation, c'est comme ça que font la majorité des femmes, je rêve de ce moment où je vais faire de toi un sous-homme définitivement.

    . Après tu seras en convalescence et Jack et moi nous irons à Baja, on y passera une lune de miel d'une semaine pendant que tu reposeras, on te reprendra en rentrant, et après nous serons une famille heureuse.

    Je n'avais rien à dire, même si j'avais été capable de formuler une réponse. Ma vie avait été planifiée pour moi. Et je me suis glissé dans ce cocon confortable. C'est pourquoi je n'ai pas d'autres objections lorsqu'elle m'annonça que d'autres menus changements auraient lieu dans un futur proche.

    - Au retour nous vendrons les deux maisons, nous déménagerons où personne ne nous connaît, Jack et moi pourront vivre franchement comme mari et femme, Portland serait un bon choix, ta boîte à un bureau là-bas. Tu m'as dit une fois que tu pourrais aller là-bas.... Puis Jack me mettra enceinte, je veux que ça arrive le plus vite possible, lorsque je serais proche d'accoucher tu auras du boulot, les femmes enceintes n'ont pas de relations sexuelles pendant 6 semaines avant la naissance, et six semaines après....

    Pendant ce temps tu t'occuperas de Jack pour moi, je sais que ça t'excite quand Jack enfonce son gland en toi, tu devras vraiment aimer quand il te baisera pour de bon, et puis tu pourras le sucer. Je parie que tu auras plus de relations sexuelles que jamais dans ta vie. Tu vas apprendre à avoir des orgasme par le cul, tu vas devenir une bonne petite femelle à couilles ! Ce sera excitant pour moi de regarder, ça change, tu ne trouves pas?

    Et puis, une fois accouché, tu pourras renoncer à ton job, on aimerait que tu devienne notre femme de maison, tu seras une bonne nounous pour notre enfant.

    A ces mots j’éjaculais dans mon slip.

    Elle me donna une chance d'ajouter quelque chose en disant :

    - C'est comme ça que nous l'avons prévu, tu penses à autre chose?

    Je ne pouvais pas, même si je l'avais voulu. Ils avaient tout préparé avec précision, et je pouvais les remercier de faire encore partie de leur projet de vie.

    Cela me sembla plus simple de dire :

    - Tout ce que tu veux, est le meilleur pour nous deux mon Amour.

    Fin

     

     

     

     

    « La révélationUriner assis »

  • Commentaires

    6
    Mardi 8 Octobre à 13:37

    Récit très excitant, hyper bandant.
    Perso je décroche complètement quand on arrive à la castration et qu'on mélange le projet d'enfant aux fantasmes. c'est dommage.
    Mais merci pour ce texte tres bien rédigé.

      • Samedi 26 Octobre à 12:40

        Merci du commentaire, disons que c'est un exercise de style jusqu'au boutiste qui mériterait plus de longueur pour le rendre plus crédible...

    5
    MariCocu
    Mardi 21 Mai à 15:54

    Très bonne histoire. Tous les codes y sont. J'aime quand ma femme prend du plaisir avec de vraies grosses bites. Je prends du plaisir par procuration. 

    4
    Ilelle
    Lundi 20 Mai à 08:22

    Un des meilleurs textes que j'ai lus. Tout y est... Une vie faite pour le mari cocu que je suis 

    3
    paradoxe37
    Dimanche 19 Mai à 17:50

    Superbe texte ! 

      • Mercredi 29 Mai à 13:28

        Merci de vos encouragements, c'est effectivement un texte assez complet , le tour du fantasme...

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