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Je le veux en moi, sans rien...par felipe
Nous sommes mariés depuis 24 ans. Notre couple est une belle réussite… Nous avons de très bons jobs, avons fait trois beaux enfants et nous nous sommes constitué un beau patrimoine… Côté intime, nous avons exploré de nombreux univers… Nous avons commencé par l’exhibitionnisme lorsqu’elle s’est aperçue que l’idée d’être vue l’excitait, puis nous sommes passés aux attouchements, à l’amour côte à côte avec des couples puis à l’échangisme… Depuis 15 ans, nous étions dans cette routine avec des couples qui étaient devenus plus qu’intimes… De temps en temps, une sortie en club venait pimenter ce quotidien mais les scénarios semblaient écrits à l’avance et sans surprises…
Ma femme, elle, me surprend toujours… Brune, cheveux longs, de taille moyenne, elle est passée au travers des années et des grossesses sans en conserver les traces… Bien au contraire, à force d’une stricte hygiène de vie, elle s’est musclée tout en restant féminine… Ses seins sont lourds mais ne tombent pas, ses tétons sont toujours tendus et sa vulve, soigneusement épilée, généreuse. Elle s’aime sans culotte, sans soutien-gorge et adore montrer qu’elle ne porte rien.
Lorsque cette soirée débute, c’est de façon un peu monotone, l’habituel habillage : collants sans démarcation ni gousset qu’elle porte à même la peau, micro jupe moulante en vynil noir, chemisier noir transparent sous lequel ses seins dansent librement. Elle chausse enfin de superbes cuissardes en cuir noir et enfile une veste de la même matière… Délicatement parfumée, discrètement maquillée, la voilà prête. Elle est particulièrement séduisante, un peu mondaine, un peu pute, très salope…
L’ambiance du club est semblable à ce que nous connaissons déjà… Des hommes seuls et pas très séduisants, de très jeunes couples qui sont là pour allumer sans consommer et des habitués avec des heures de vol au compteur… Nous nous installons au bar, très vite, des mains viennent se balader sur elle… Elle les repousse, certains insistent et se font alors vertement éjecter… Un homme très BCBG, la bonne soixantaine, lui demande si elle accepte de le laisser passer son sexe sur ses cuisses, il explique qu’il fantasme sur les jambes gainées et qu’il a été séduit par les siennes… Contre toute attente, elle accepte et nous le suivons dans une alcôve, il verrouille… Elle s’installe et il se libère, sa queue est flasque mais longue et épaisse, doucement, il la frotte sur ses cuisses, la glisse contre ses mollets, il devient de plus en plus dur et son sexe à désormais une taille exceptionnelle, elle lui propose de venir caresser son entrejambe, il est enchanté… Simulant le coït, il frotte sa queue contre la vulve ouverte et trempée à travers le nylon, à plusieurs reprise, il tente de le percer de son dard mais ne parvient pas à s’enfoncer de plus de quelques centimètres, ma femme me regarde, elle est ravagée par le plaisir et l’envie, elle me tend la main, m’invitant à la rejoindre puis, de son autre main, elle stoppe son partenaire… Elle me regarde simplement et me dit :
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J’ai envie qu’il me baise à fond, il est très gros et très long, je le veux en moi, sans rien…
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Comment ça sans rien ?
Je ne comprends pas mais lui affirme :
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Ne vous inquiétez pas, je suis parfaitement sain…
C’est irréel, je ne sais pas quoi répondre alors elle se lève et retire son collant puis se repositionne sur le dos, les jambes ouvertes et levées, sa vulve est béante, dégoulinante. Elle me prend la main au moment où le gros membre la prend… Je le vois progresser en elle, lentement, elle se tend, se cabre et dans un grand cri, elle jouit… Lui reste immobile, il la laisse reprendre son souffle puis se met, doucement, à la besogner… A chaque fois, il sort complètement et replonge en elle, son gland est luisant de mouille, sa queue me semble plus grosse qu’avant, elle est tendue, bandée comme la corde d’un arc… Régulièrement, il écrase son gland contre le clitoris qui suinte. A chaque poussée, une vague de plaisir semble rouler dans son ventre, à chaque poussée, un bruit de clapotis se fait entendre… Elle ne dit rien, elle râle de plaisir, grogne, elle lui demande d’aller plus loin puis s’extasie en lui annonçant qu’elle le sent contre son utérus… C’est alors qu’un second orgasme la ravage, elle se tord, ses mains se crispent, une sur ses seins, l’autre sur son clitoris… Elle crie…
Lui est toujours tendu, droit, la queue raide, satisfait… Il la regarde, me regarde… Il lui laisse reprendre ses esprits…
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Je veux que tu m’encules…
Je tombe de haut… Elle pratique mais toujours au prix d’une longue préparation… Et jusqu’à maintenant, il était convenu que cet orifice m’était réservé…
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Je veux que tu me baises le cul et que tu te vides en moi…
Je ne sais plus que dire, je n’existe plus. A force de bander, ma queue est douloureuse. En d’autres circonstances, je lui aurais mis dans la bouche, mais là, je me sens de trop. Pas seulement parce que ce mec à la queue d’un âne et l’endurance d’un marathonien mais aussi et surtout parce qu’il est en train de baiser ma femme sans capote et qu’elle s’apprête à lui ouvrir son cul pour qu’il se déverse dedans… Elle a déjà baisé sans capote, des mecs se sont parfois répandus en elle mais il s’agissait de maris tranquilles, moyennement montés, dont je baisais l’épouse pendant que lui s’occupait de la mienne… Plongé dans mes réflexions, je reprends mes esprits alors qu’elle se met en position, son œillet est prêt, il déchire un sachet de lubrifiant et s’en enduit la queue… Du gland jusqu’à la base… Je m’inquiète, va-t-il tout lui mettre ? Un second sachet est répandu sur l’entrée de l’orifice convoité, juste en dessous, sa chatte est béante, ses lèvres gonflées de plaisir et un long filet de mouille s’en échappe… Il pose son gros gland violacé et d’une poussée, s’enfonce de 5 ou 6 cm, elle râle, grogne… Après une petite pause, il poursuit lentement sa progression jusqu’à ce que son pieu de chair disparaisse totalement… Il reste alors immobile, planté en elle…
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Je le sens bien, mon dieu qu’il est profond…
J’ose tripoter sa chatte, elle est trempée, tellement ouverte que je pourrais y glisser la main, mais elle me rejette :
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Laisse-moi, je veux sentir ce qu’il fait dans mon cul…
Et pour cause, il a commencé à bouger, de petits mouvements d’avant en arrière puis ils s’intensifient, gagnent en intensité et en amplitude, désormais il ressort jusqu’à la base du gland pour replonger en elle, son cul est ouvert, dilaté, il se met à la pilonner de plus en plus fort, de plus en plus vite, ses seins bougent en cadence, s’entrechoquent, ses tétons sont tendus, leurs peaux claquent l’une contre l’autre quand il envahit brutalement ses reins, elle passe des gémissements aux cris puis explose dans un râle rauque, les yeux révulsés, elle jouit en lui criant :
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Baise moi fort, plus fort, baise moi…
Lui aussi, d’un coup se tend, longuement, je vois des contractions dans son bas-ventre, je sais qu’il se déverse en elle, ça me rassure car je sais que c’est terminé… Mais c’est long, très long, je ne peux éviter de penser à tout ce sperme qu’il répand en elle…
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Oh, je sens tout, je sens ton jus, c’est chaud…
Il sort d’elle avec un bruit de succion, son anus est violet, boursouflé, en quelques secondes, un liquide épais s’échappe et commence à couler…
Enfin, elle me regarde :
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Tu devrais nettoyer…
Je prends une boite de mouchoirs en papier…
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Non, pas comme ça…
Elle se lève, me fait m’allonger sur le matelas et vient s’asseoir sur mon visage, je bouffe sa mouille mélangée au jus de son amant, je suis dégouté mais ma langue ne peut s’empêcher de fouiller en elle…
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Oui comme ça…
Puis, il est temps de se séparer… Du moins c’est ce que je pense…
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Je m’appelle Pierre, j’ai rarement baisé une femme aussi séduisante et j’ai envie de te revoir ; on peut se retrouver chez moi de temps en temps… Généralement, les femmes refusent que je les sodomise mais toi… D’ailleurs, veux-tu me faire plaisir ?
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Bien entendu !
Ils discutent comme de vieux amis, ne me regardent même plus…
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J’ai un ami dans ce club, il est en bas… Lui aussi aime enculer mais il a un problème bien plus conséquent que le mien…
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Quel problème ?
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Je préfère que tu le découvres…
Sur ce, il prend son téléphone et passe un appel… Quelques instants plus tard, on frappe à la porte… Quand il ouvre, un gigantesque black se tient dans l’encadrement…
Il rentre, se présente sous le prénom d’Albert… Adresse un sourire à ma femme…
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Albert, voudrais-tu montrer ton problème à Nathalie ?
Sans tarder mais sans précipitation, Albert, baisse son pantalon, de son caleçon émerge l’extrémité d’une énorme tige noire…
Ma femme regarde alors Pierre, puis Albert et enfin, se tourne vers moi :
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Ce n’est pas un problème…
Sur ce, elle tombe à genoux, et sans même le saisir avec ses mains, commence à téter l’énorme queue…
Albert a lui aussi baisé ma femme… Sans ménagements, usant et abusant de ses orifices, lui imposant une sodomie douloureuse mais qui déclencha chez elle un orgasme extraordinaire avant de lui déverser sa semence dans la bouche… Pierre revint ensuite à la charge pour une nouvelle décharge…
Moi j’ai fini par abandonner, j’ai quitté la pièce pour terminer la soirée au bar. Lorsqu’elle est descendue entourée de ses deux amants, ses traits tirés, ses yeux cernés ne dissimulaient pas sa satisfaction… De retour à la maison, j’ai pu déguster son entrejambe poisseux avant qu’elle ne s’endorme après un ultime orgasme… Ses orifices sont restés douloureux pendant quelques jours puis, la semaine suivante, elle m’a annoncé qu’elle allait retrouver Pierre et Albert… J’ai d’abord été exclu de ses rencontres, elle rentrait au petit matin, la chatte poisseuse, dilatée, l’anus éprouvé par les saillies… Puis j’ai eu le droit de la baiser à son retour. Ma queue trempait alors dans les restes de semence de ses amants, quel que soit l’orifice que je choisissais ; enfin, j’ai pu l’accompagner dans ses sorties, tout en restant discret. Ce sera pour une autre fois, si ça vous dit...
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Commentaires
Bravo pour ce récit ! Je m'y retrouve en tant que mari soumis et cocu !