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  • Je vous écris ici suite à la découverte de votre site qui correspond en de nombreux points à la situation que je connais depuis maintenant plus d'un an et demi avec ma femme. J'ai toujours eu des attirances pour la relation domination-soumission, pour diverses pratiques légèrement en décalage avec ce qui est communément admis par la majorité des gens, mais à chaque fois c'était moi qui avait le contrôle de la situation, qui décidais, qui commençais ou mettais un terme aux débats. Avec ma femme, il en a donc été naturellement ainsi au départ. Certaines choses avaient toutefois évolué depuis ma vie avec elle, puisque elle aimait passer des jeux de soumise au rôle de maîtresse plus directive. Ses tendances de domination-soumission, mélangées aux miennes, nous faisaient naviguer donc dans un certain esprit versatile, nous échangions les rôles, même si dans la plupart des cas, c'est encore moi qui décidais de tout. Quant au fait de me tromper, de vouloir l'être, il n'en était aucunement question pour moi.

    Je la provoquais quelques fois, lui disant que nous pouvions aller plus loin, qu'elle pourrait être plus curieuse dans les domaines sexuels qui m'attiraient, qu'elle pourrait aller sur le net pour voir ce qui se faisait, ce qui m'excitait, pour apprendre de certains sites et de certaines pratiques. Aussi, je fus agréablement surpris au départ lorsqu'elle se mit à surfer un peu plus qu'à son habitude, surtout que je pouvais de temps à autre constater le bon choix des sites qu'elle fréquentait, et qui ne la laissaient pas indifférente. Mais son comportement a changé petit à petit, sans vraiment que je m'en rende compte, disons simplement par toutes petites touches. Je mettais tout ceci sur le compte des soucis de travail, sur quelques énervements, etc... au bout d'un certain moment pourtant, plusieurs éléments venaient me rappeler qu'elle prenait de plus en plus de poids, d'importance, d'initiative dans nos relations sexuelles et dans la pratique consistant à me soumettre à elle. Un soir je compris un peu mieux l'évolution de la situation, suite à son aveu : elle discutait depuis un mois avec une maîtresse sur Internet, qui avait pour spécialité de mater les maris, de les retourner de macho en petite soubrette aimante à domicile. Je ne voyais pas où tout cela pouvait mener et c'est sans doute la raison pour laquelle je fus assez excité de cette réalité. Devant mes bonnes prédispositions, elle me demanda alors de mettre un contrat au point entre nous, pour continuer cette évolution, pour aller plus loin, pour accentuer les plaisirs et les fantasmes. Je n'y étais pas opposé ne sachant pas les aboutissants et les arrières pensées de cette proposition. Je ne voyais qu'un jeu.

    Sur idée de sa correspondante, elle avait élaboré un programme et un contrat, qui stipulait tout ce dont je devais être au courant pour la prochaine année à venir de nos relations sexuelles. Je perdais toute initiative, je devenais soumis, je devais porter en permanence une sorte de ceinture de chasteté masculine qui emprisonnait mon sexe, c'est elle qui décidait de nos relations, de ses jouissances, des miennes. Il y avait des gages, des punitions pour les manquements, et des récompenses etc. sur le coup, je trouvais cela un peu plus compliqué, organisé, et contraignant que ce que j'avais pu imaginer, mais devant sa détermination, devant ses avances, devant ses menaces sous entendues de l'équilibre de notre relation j'ai accepté.

    Très rapidement, j'ai compris que la dépendance sexuelle devenait la base de cette éducation. La ceinture que je portais (et que je porte toujours) correspond à une sorte de cage, avec mécanisme de fermeture et d'enlacement qui m'enserre le sexe, les reins, et qui empêche toute érection normale, et ne permet pas de pouvoir jouir. Elle seule possède la clé, et non seulement il est beaucoup plus difficile qu'il n'y paraît de s'en débarrasser, mais en plus c'est on ne peut plus douloureux vue le mécanisme d'enlacement spécialement conçu qui déchire la chair si on force la serrure ou la structure métallique (il faut trois mains pour pouvoir tout enlever à un moment donner sans rien enfoncer dans le gland, et si j'assiste ma femme à chaque fois ma femme lorsqu'elle le fait je me vois mal demander de l'aide à quelqu'un). Le premier mois, je n'eu pas le droit de jouir. Pour une entrée en matière cela était difficile mais aussi très excitant. Mais insidieusement c'est tout un contrôle qui s'installait que je n'arrivais pas à saisir, que je ne voulais peut être pas, dans le fond, au départ. Lorsque c'est l'autre qui décide de la jouissance, on s'attache à la satisfaire, on essaye de la contenter, on accepte plus volontiers ses réprimandes ou au contraire ses douceurs et fantasmes. Surtout que j'ai un appétit sexuel qui me fait me transformer en quelqu'un d'assez docile pour parvenir à jouir, ce que je ne savais pas. Aussi, quand elle m'a expliqué au premier jour du deuxième mois que l'on allait passer à l'étape suivante, je n'ai pas forcément pris mes gardes là non plus, pensant qu'elle se lasserait, qu'elle me ferait plus souvent jouir. Et de fait, alors que je portais tout le temps et continuellement la ceinture, elle m'ouvrirait parois cette cage pour me permettre de jouir. A condition que je me masturbe dans un temps imparti bien précis. Il fallait que je parvienne à chaque séance de liberté, à jouir devant elle en 3 minutes, montre en main. Si je n'y parvenais pas, elle refermerait la cage jusqu'à la prochaine fois. Les premiers temps, ce ne fut pas évident, et la première semaine je ne parvins pas à jouir. La deuxième semaine, n'y tenant plus, je me répandais sur le sol. En effet, à chaque fois, je devais être à genoux, elle assise devant moi en train de se masturber, de me raconter des choses très sexuelles, me permettant même de la toucher. Deux mois plus tard, je parvenais à jouir à chaque fois en moins de trois minutes.

    J'avais développé mon sens tactile, mon sens visuel pour pouvoir être très rapidement excité et jouir à chaque séance, ce qui me satisfaisait pleinement. C'est alors qu'elle enchaîna l'enseignement, en baissant le nombre de minutes dont je disposais. Je vous épargne le comptage des mois, et des minutes, mais au bout de 2 autres mois j'étais passé de 3 minutes, 2 minutes 30 secondes puis 2 minutes. Ce qui n'est pas si évident vous pouvez me croire. Toujours les séances se passaient de la même façon, elles étaient espacées normalement de quatre jours, parois une semaine. Ensuite, j'ai eu le droit à une fois tous les deux jours, et bien entendu, c'était plus difficile, parce que le manque favorisait auparavant l'excitation et la jouissance. De jouir à chaque fois, en 2 minutes prit deux mois. Le mois suivant, je devais toujours jouir en 1 minute 30 secondes, mais surtout sans avoir à la toucher, à la regarder, à pouvoir écouter ses fantasmes, me raconter des histoires. J'échouais souvent, elle me renfermait souvent sans jouir. Je développais le plus possible des choses qui me permettaient d'être excité, qui me permettait de jouir rapidement, j'accélérais mes mouvements de mains, je m'excitais de tout ce que je sentais ou voyais d'elle pendant les séances. Cela prit un peu plus d'un mois. Tombé à une minutes, puis réussissant ce challenge, elle me déclara quand je pus le faire non pas une fois mais à chaque fois, que je pouvais la pénétrer. Ce grand jour vint, elle se déshabilla, me masturba, me demanda de la pénétrer. Ce que je fis. Au bout de 30 secondes seulement, à mon étonnement le plus complet, alors que cela ne m'était jamais arrivé, j'ai jouis. Le sourire aux lèvres, elle me déclara que ce n'était pas grave, que l'on remettrait cela dans deux semaines. Je m'appliquais à la satisfaire, à jouir rapidement tout le restant des jours qui me séparaient de cette nouvelle pénétration. Je tins seulement une dizaine de coups en elle. Nouveau sourire. Elle me dit qu'on le ferait le lendemain. Le lendemain, elle me masturba pour me la rendre très dure, et au moment où elle me parla de façon très sexuelle et crue, au dernier moment avant de la pénétrer, je me déversais sur elle, sur sa peau, avant de parvenir à entrer en elle. Elle éclata de rire, à gorge déployée. De m'être ainsi conditionné à jouir rapidement, sans rien d'excitant autre que mes rapides images pour faire monter le plaisir, j'avais tout fait pour être relaché le plus possible, et ne mettre aucune barrière à la montée de la jouissance. Je n'arrivais (n'arrive) plus à me contrôler.

    Je n'étais pas au bout de mes surprises, puisque encore sous le choc de cette révélation, elle se leva et téléphona à son amie d'internet. Je ne pensais plus qu'elles se parlaient puisque ma femme ne m'en avait plus jamais rien dit. Alors de savoir qu'elles se téléphonaient maintenant, et certainement depuis longtemps vu leur manière de se parler, j'en restais abasourdi.
    Elle parlait de moi en des termes très injurieux, comme si je n'étais pas là, comme si tout allait de soi.
    - Ca y est, il est devenu précoce.
    - Ce n'est plus un petit mâle, c'est une petite merde...
    La conversation qui s'en suivit, je ne la retins même pas par cœur. Seulement des bribes me sont restées. A la fin de la conversation, elle se mit devant moi, j'avais eu pour ordre de me mettre à genoux, elle me fit lui lacer ses chaussures. Pendant ce temps elle me racontait ce qu'allait être la prochaine étape.

    - Tu te rends compte que tu ne peux plus me satisfaire sexuellement désormais. En même temps, il faut bien que je continue ton éducation de bon petit mari, et que pour autant je jouisse moi aussi. Bon il est vrai que durant tout ce temps, tu as du te douter que parfois je devais sauter le pas, parce que tes séances de masturbations ne remplaçaient pas une bonne queue... Ne fais pas cette tête, jusque là cela n'est pas arrivé souvent. Mais il va falloir t'y habituer. Désormais, je jouis, et tu jouis. Donnant donnant. Et comme toi tu ne peux plus, il va falloir que tu apprennes à vouloir et désirer qu'un autre me prenne et me fasse jouir pour avoir le droit toi aussi ensuite d'en profiter.

    Ensuite, elle est partie le soir, ne rentrant que le lendemain matin.
    Depuis elle sort très souvent, j'ai même rencontré l'autre maîtresse qui est venue constater mon état de précoce, et pour me montrer qu'elle était responsable en partie de tout ceci.

    Quand me femme rentre de ses sorties, elle me fait mettre nu, à genoux, s'assoit face à moi ou alors n'importe ou dans la pièce, et me raconte ce qu'il s'est passé. J'ai toujours droit à quelques minutes d'histoire, puis le droit de me masturber pendant moins de 2 minutes. Je n'ai plus aucune autre excitation que celle des histoires réelles que ma femme me raconte. Elle me trompe ouvertement, et c'est à cela que je dois de pouvoir jouir ! Parfois, elle se met jambes écartées, face à moi, me fais sentir son odeur et celle des autres males sur elle et je dois me masturber. Son amie lui a dit que du fait que je ne pouvais plus l'honorer et qu'il n'y avait pas de raison qu'elle s'abaisse à se nettoyer elle même le sexe, elle pourrait tirer profit de la situation en me faisant lécher sa chatte à ses retours et à la laver. Puisqu'il ne peut plus y avoir de contamination de mst pour les autres du fait de ma fidélité plus que concrète qui m'empêche de contaminer ma femme ou ses amants qui sont des connaissances sûres et certaines de cette même amie, et puisque ma femme a toujours aimé sentir du sperme chaud la remplir ce que je ne peux plus lui apporter, elles m'ont dit qu'il n'y avait pas de raison que ma femme ne se fasse pas prendre queue nue. Et comme elle n'a pas à s'avilir à nettoyer du jus de mâle, elle me fais lécher et avaler le sperme encore chaud en elle dès son retour, faisant coïncider ce moment avec celui de ma masturbation pour que je jouisse tout en buvant le sperme de ses amants.

    Je dois dire que maintenant j'attends avec impatience qu'elle revienne souillée par un autre, c'est devenu pour moi un vrai besoin d'avaler leurs sperme, humilié mais heureux de ça, je ne jouie plus que dans ces moments là, et toujours en moins de 2 minutes.



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  • Je suis marié avec Virginie depuis 10 ans et l'on peut dire que notre couple bat de l'aile doucement, nous ne faisons de moins en moins l'amour ma femme n'étant jamais disponible et lorsque que nous le faisons, je suis tellement en manque que je jouis assez vite et elle déclenche son orgasme automatique dans la foulée du mien question que tout le monde soit content.
    Bref, une sexualité morne et morose, je me masturbe beaucoup et des fantasmes se construisent dans ma tête de plus en plus nourris par ces sentiments d'insatisfaction et d'incompétence.
    Ma femme d'ailleurs m'a souvent surpris la main dans le sac, en train de me masturber et à chaque foi me traite de pauvre mec... À cela je lui réplique que si elle « le » voulait plus, je ne le ferais pas et elle de me dire « pour ce que l'on fait on pourrait autant s'en passer ».
    Elle exerce d'ailleurs de plus en plus d'autorité sur moi, que j'accepte assez bien, faisant ma part de tache ménagère pour la soutenir surtout qu'elle travaille de plus en plus avec un salaire qui la rend totalement autonome.
    Un jour mon neveu Alex est venir habiter chez nous momentanément, car il venait de finir ses études sur Paris et devait prendre une chambre, dés qu'il aurait trouvé du travail... C'était une question de semaines et cette présence à la maison mettait un peu de fraîcheur et de sympathie dans notre routine.
    Mais tout doucement s'installa un rapport avec ma femme qui me déplaisait... au début, il la draguait en douce, je le voyais bien et elle se laissait faire toute souriante à son égard. Moi, je devenais transparent, elle ne me disait même plus bonjour le matin, alors qu'elle lui faisait la bise à lui en l'entourant de ses bras...

    Puis elle commença à me donner des ordres devant lui, en m'humiliant à chaque occasion...
    Me disant que la vaisselle n'était pas propre, les courses mal faites... Tous cela devant lui et ce sentiment d'humiliation ne provoquait en moi aucune réaction, j'aurais dû faire le mâle, taper du poing, mais je sentais confusément que ce n'était plus mon rôle, je prenais étonnamment du plaisir même à me sentir humilié...Lui était gêné au début, je représentais pour lui le dominant du couple parfait, mais très vite il comprit que c'était elle le centre, et ne m'adressa de moins en moins la parole. C'était aussi tout pour elle, je le voyais bien tomber sous le charme, me laissant comme un simple meuble en dehors de toute attention.

    De plus en plus je me vis les servir, bientôt le soir, je faisais la cuisine, mangeait avec eux qui monopolisaient la conversation, puis je débarrassais et rangeais la cuisine alors qu'ils allaient s'affaler se le canapé à regarder la télé...Je ne choisissais plus les programmes, je me retrouvais sur le fauteuil alors qu'eux étaient sur le canapé, de plus en collés l'un à l'autre...
    Je finissais par dire à ma femme ma désapprobation sur son attitude elle me répondit.. « petit con tu me lâche un peu, ce n'est pas toi qui dirige ma vie, je fais ce que je veux avec Alex » le « avec Alex » provoqua directement un début d'érection chez moi, je crois qu'elle le vit, j'étais en slip, elle rajouta « contente-toi de nous faire la bouffe et tout le reste si tu veux que tous se passe bien...À ce moment, je bandais tout à fait, elle toucha ma bite à travers le coton, la tordit en disant « Dis donc, t'es vraiment un sous-homme », j'ai vu tes historiques de sites porno de lopes - je ne pensais pas que c'était à ce point ", je n'étais pas surpris de sa réaction mais plutôt de la mienne, j'avais du plaisir à cette humiliation . Quelque part libéré du poid de cette vérité inconsciente... Je n'étais donc qu'une lope moi aussi...Je me pliai au jeu... humiliant.

    Lui aussi commençait à me donner des ordres...Si je rechignais, elle m'injuriait et lui se marrait.

    Puis un jour, ils commencèrent carrément à se peloter sur le canapé devant moi , je regardais la télé fixement faisant semblant de ne pas voir, mais ma femme se mie à gémir sous ses caresses, je les regardais ébahi, il avait sa main dans sa culotte, je voyais distinctement son doigt aller et venir pendant que sa bouche fouillait celle de ma femme... Ma femme s'interrompit et dit à Alex « fait pas gaffe à ce con, il est bon à rien pour moi et je suis sûr qu'il rêve d'être cocu... » Alex répondit. « Alors on va le faire cocu ce connard, bien cocu, profondément cocu...Et elle de rajouter « Oui Alex va y fait le bien cocu ce bon à rien, va y donne-moi du plaisir...», « Avec joie » répondit-il. Je me levais et esquissais un pas vers eux, Mais Alex bondit d'un coup et avec sa vigueur me mit par terre d'un coup de poing, je me ramassais lamentablement, pendant ce temps, ils s'étaient déshabillés et donnaient libre cours à leurs ébats.


    Alex dit «On va faire ça devant lui ?..» Virginie de répondre « On s'en fou, en fait ça m'excite bien continu...». Là, je me mit à pleurer par spasme nerveux, secoué, je décidais de quitter la pièce, mais Alex m'interpella « reste là... tu as entendu, ça fait mouiller ta femme de le faire devant toi... » J'obtempérais. « D'ailleurs désape-toi pour voir si tu bandes ».

    Interloqué je me vis m'exécuter, nu, je constatais avec horreur que mon sexe était ridiculement dressé désignant les futurs amants d'un gland turgescent et baveux. Cela déclencha chez eux rires et quolibets « tu as raison, il bande le cocu, on va te donner des raisons plus profondes de le faire' . Ils reprirent leurs jeux me laissant au mien, je vis ma femme s'intéresser au sexe de mon neveu. « Waouh, tu es bien monté, dis donc , par rapport à lui, c'est sans comparaison, faut dire que j'en n'ai pas vu beaucoup des bites » puis elle s'adressa à moi, « regarde ça chéri » en masturbant Alex « tu ne seras jamais à la hauteur avec ta pine d'éjaculateur précoce » La bite d'Alex était épaisse et assez longue posée sur des couilles qui me parurent énormes...Puis elle l'enfourna dans sa bouche, je pensais brutalement qu'elle ne m'avait pas fait de pipe depuis des mois.

    Malgré moi de la voir enfourner ce mandrin de chair dans sa bouche me mettait au spectacle et je commençais à me caresser inconsciemment; « dit donc t'as vu, il se touche le gros porc... », «Oui ben, il a raison, dorénavant il ne lui restera que ça, j'ai plus l'intention de lui offrir autre chose » à ces mots, je jouissais en longues saccades sur le tapis.

    Puis ils continuèrent ainsi, je la vis tour à tour se faire prendre par la grosse queue d'Alex, ça n'en finissait pas, je voyais le membre s'enfoncer et disparaître entièrement dans cette chatte qui était mienne, l'écarteler, la pilonnant assez violement, ma femme poussait des râles et de temps en temps me jetait un regard de défi, puis repartait dans son plaisir. Il la retourna sur le tapis pour la prendre en levrette, son visage vers ma bite, si proche, elle me regardait fixement dans les yeux son corps secoué en rythme, la bouche entrouverte et haletante. « Alors le cocu dit Alex, tu vois comment il faut la prendre ta femme, ... » Il la tenait par les hanches et de temps en temps l'attrapait par les cheveux en la pénétrant en rythme soutenu « Laisse, dit-elle, il a jamais su faire' . Puis elle jouie a grand cris de plaisir, je ne la reconnaissais plus, cela n'arrêta pas Alex qui continuait de plus belle à la saillir, elle s'était effondrée sur le tapis le cul relevé et lui toujours opérant .

    Je me branlais à fond, il me regardait d'un sourire narquois., Il retira sa pine de ma femme dans un bruit de sussions et lui dit « aller, je veux finir dans ta bouche, elle rampa vers lui à quatre pattes m'offrant le spectacle de sa croupe et le repris en bouche...Là ce fut plus mécanique, pour obtenir son orgasme il lui pinat littéralement la bouche, en la retenant par la nuque (ma femme n'aurait jamais toléré ça de moi)...J'avais vue sur sa croupe ou son abricot humide et entrouvert témoignait encore de sa trahison, j'avais l'impression que ce petit œil mouillé me regardait souriant à mes déboires, puis il jouit en elle, lui remplissant apparemment la gorge, lui criant et elle poussant des gloussements de contentement, elle avala tout en pompant comme une hystérique la queue turgescente...(Elle n'a jamais avalé avec moi de toute façon les fellations complètes n'ont jamais été au programme avec ma femme, tout juste une prise en bouche dans le feu de l'action sans plus)...

    Là , elle était transformée en amante langoureuse, d'une maturité que je n'avais pas su révéler.
    Moi j'étais toujours bandant, mais j'avais eu deux ou trois orgasmes et mon sperme maculait le tapis devant moi...» Bon dit-elle nous on va se coucher, il t'es évident, petit cocu que ta place n'est plus dans mon lit, «tu vas nettoyer toutes tes saletés et tu dormiras sur le canapé... Bonne branlette ».

    Et ils partirent tout deux occuper le lit conjugal...



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  • Loïc et moi, nous formons un vrai couple depuis dix ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et je prends plaisir à le sucer autant qu'à me faire sucer et enculer. Mais dernièrement, tout a basculé suite à une fanfaronnade de sa part. "Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée sans que je débande !" Prétendait-il.
    Moi, je doutais un peu. Loïc m'a limée longtemps, très longtemps, avec sa petite queue bien droite et fine, mais pas durant une heure. Total en gage, j'ai eu le droit de lui demander ce qui me plaisait.
    - Loïc, je vais t'habiller en femelle, et tu m'obéiras en tout ! Tu seras ma petite pute à queue !
    Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout, et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré un slip en dentelles sous son nez. Une fois en érection maximale, j'ai accroché le slip au bout de sa bite, pour l'humilier. "Ta queue est raide comme un portemanteau", lui ai-je dit. Alors Loïc a rougi comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités, et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour de la queue de mon homme.
    J'ai cisaillé son membre en tirant le slip par les deux bouts. Loïc gémissait et me demandait d'arrêter. "Non, tu dois m'obéir en tout! ". II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre à quatre pattes. J'ai doigté son anus, en le félicitant d’avoir une si belle croupe, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique.
    Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, Loïc couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené devant la glace, et là je l'ai peloté. II bandait si dur que mon pauvre petit slip était prêt à se déchirer. J’en revenais pas mon mec était une vraie salope.
    Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de bambou, et je lui en ai donné vingt coups sur le cul. Loïc se trémoussait, de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée, le temps de me mettre nue. "Loïc, vilain petit chien, lèche ta maîtresse !" II a dû faire le beau entre mes cuisses et me donner de grands coups de langue dans la chatte. J’étais lâchée et toute exitée…
    J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave. "Suce et lèche, petit sale, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ".
    Loïc a obéi, pour la première fois sa langue glissait dans mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé ce petit sexe en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux, alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts, et j'ai joui.
    Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée à temps pour pose ma fente sur la bouche de Loïc et lui ordonner de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé une caresse sur la joue.
    Je me prenais a fond au jeu puisque lui aussi, apparemment adorait cela… j’en rajoutais alors…
    Loïc reçu l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain, le tout en petite tenue. II était mignon, son cul moulé par mon slip de dentelle, sa queue en érection grimpant jusqu'au nombril, et ses cuisses musclées gainées de nylon. J'ai passé l'inspection, déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à l'état de soubrette.
    J’avais une terrible envie de le battre qui me faisait me mordre les lèvres, J'ai dégrafé son soutif et sucé ses tétons qui ont durci. Alors je les ai cinglés avec l'extrémité du manche, et cette fois Loïc s'est écroulé à mes pieds. II m'a supplié d'arrêter.
    Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui ai retiré son slip, j'ai retroussé son prépuce, et j'ai sucé son gland. Je titillais le méat du bout de ma langue, et puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que les couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa petite bite luisante de salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué et m'a fait jouir très fort.
    Depuis ce jour, Loïc me supplie de le travestir en femme et de le commander. II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter), et accepte même sans rechigner de se mettre au service de mes amies intimes.

    Dernièrement avec mon amie Brigitte, nous avions passé l'après midi à nous distraire avec Loïc. Il avait d'abord fait le ménage en tenue de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre. (Brigitte est une superbe blonde de 30 ans très portée sur les femmes) ensuite nous avons "inspecté" le travail effectué par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition de 50 coups de cravache. Loïc voulu discuter comme quoi c'était trop, mais Brigitte lui dit "Un mot de plus et ce sera 100 coups" il se tût immédiatement et sur mon ordre se mit en position sur "le punissoir". Il s'agit d'un tréteau assez haut au-dessus duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. Son cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet "accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit. Une fois encore nous avons eu la preuve que mon esclave était excité par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la dimension de son engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)

    Avec Brigitte nous nous sommes partagé les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Loïc au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber son cul bien zébré.

    Au cours de la discussion, Brigitte me dit soudainement "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prennes un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire." Je n'avais jamais pensé à ça jusque là, mais cette idée me fit aussitôt mouiller. Je répondis aussitôt "C'est une bonne idée que tu as là, c’est que maintenant ce n’est plus vraiment un homme."

    En tournant la tête vers le coin où Loïc était en pénitence, je lui dit de venir à mes pieds. Je n'étais pas certaine encore de vouloir risquer mon mariage (j'aime toujours beaucoup mon mari) mais alors que mon esclave arrivait vers moi à 4 pattes, la tête baissée, je vis qu'il avait recommencé à bander. Le petit salaud, il bandait alors qu'on était en train d'évoquer l'idée de le faire cocu. Brigitte ne manqua pas de remarquer cet état de fait et déclara "Et en plus ça fait bander ta lopette de savoir qu'il va être cocu."
    J’étais subjugué de voir mon mari si bas, je pensais à toutes ces années auprès de lui ou je ne soupçonnais pas ses attirances, à mes yeux il tombait bien bas, je n’avais plus de respect pour ce sous homme, une nouvelle ère s’ouvrait pour moi de liberté et de plaisir épanoui… Je m'adossais au canapé en ouvrant mes cuisses au maximum et j'ordonnais à Loïc de nettoyer ma chatte trempée à l'idée des grosses bites qui allaient bientôt la pénétrer. Sans un mot, il se mit à l'ouvrage alors que Brigitte évoquais des amis à elle très bien montés qu'elle pourrait me présenter. Je commençais à mouiller comme une fontaine sous les coups de langue de mon soumis. Brigitte se positionna derrière Loïc qui, à 4 pattes, exhibait son cul rougi et elle lui massa la rosette avec du gel avant de lui entrer un petit vibro dans le cul. Durant toute l'opération Loïc continuait son travail de léchage et j'approchais doucement de l'orgasme. Brigitte continuait durant tout ce temps à faire des commentaires salaces qui ne faisaient que m'exciter davantage : "Et puis s'il est sage ce cocu, il aura le droit de préparer ta chatte pour tes amants." Elle se mit alors à pistonner l'anus de Loïc vigoureusement tout en lui effleurant les couilles de ses ongles en continuant à m'exciter "Tu vois chérie, quand tu auras trouvé quelques amants vigoureux, ta vie sera parfaite : satisfaction sexuelle garantie et un petit toutou soumis pour t'entretenir et te faire la vie belle pendant ce temps." Au même moment j'explosais en arrosant le visage de mon esclave de mon jus et lui se répandit misérablement sur le tapis. Nous l'avons insulté de s'être laissé allé comme ça et remis au coin.

    Lorsque Brigitte fut partie, je me tournais vers lui et dit : "Tu vois puisque tu n'as pas pu tenir une heure, il va falloir que je trouve quelqu'un d'autre pour ça." Il ne dit rien et baissa la tête.
    Je compris alors que l'avenir s'annonçait bien !

    Je vous tiendrais au courant de l'évolution de la situation.


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  • Lisez les questions, si elles correspondent à des situations ou attitudes familières chez lui, notez le nombre de point correspondant fait le total des points et comparez vos résultats à la fin.

    Avez-vous de l'autorité parfois sur lui ? – 1 point
    Avez-vous un salaire supérieur au sien ? – 2 points
    Participe t- il facilement aux taches ménagères ? – 2 points
    Fait-il facilement la gestion du linge lessive, étendage, repassage ? – 1 point
    A t-il déjà lavé votre linge délicat à la main ? – 4 points

    L'avez-vous déjà insulté devant des tiers sans qu'il réplique ? - 2 points
    L'avez-vous déjà frappé par jeux ou par énervement sans qu'il réplique ? - 2 points
    Vous a t il déjà avoué une relation homosexuelle ? - 2 points
    Est il capable de trouver un homme beau ? - 1 point
    Vous a t il déjà encouragé à vous habiller sexy lorsque vous sortez ? - 2 points
    L'avez-vous ou s'est-il déjà habillé en femme avec enthousiasme pour une soirée déguisée, carnaval ou autre ? - 3 points
    Le soupçonnez-vous de jouer avec vos culottes sale ou propre bas maquillage ou autre quand vous n'êtes pas là ? - 4 points


    S'est il déjà masturbé devant vous ? – 2 points
    S'est il déjà masturbé devant vous après un rapport infructueux pour lui ? - 2 points
    S'est il déjà masturbé devant après que vous ayez repoussé ses avances ? – 4 points
    Lui avez-vous déjà donné une fessée dans vos jeux érotiques ? - 2 points
    Est ce qu'il aime vous faire des cunnilingus ? - 2 points
    Est ce qu'il aime lorsque vous lui montez dessus pour faire l'amour ? - 1 point
    Est ce qu'il aime se faire doigter ? - 2 points
    Est ce qu'il aime se faire pénétrer par des godes ou autre ? - 4 points
    Aime t il rester la tête entre vos fesses, vous a t il déjà demandé de vous asseoir sur son visage ? - 4 points

    Résultats
    De 0 à 15 points, il n'est peut être pas mûr ou bien vous ne l'avez pas encore observé sous cet angle ou testé dans ces voies-là... Faites ce qu'il faut et refaite le test un peu plus tard.

    De 15 à 30 points
    Il est mur , c'est sûr, la bête abrite une vraie lopette prête à être révélé doucement par vous. À vous de jouer pour le pousser progressivement à cette déviance naturelle chez lui...

    De 30 à 50 points
    C'est une fiotte en fait, prête à vous servir ou à servir votre amant, elle n'attend qu'un signal pour sauter le pas...Allez-y carrément et n'oubliez pas de nous raconter le jour de la révélation.



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